Et voilà le chapitre 2 ! Il en a mis, du temps ! mais il est là, alors vous
pouvez le lire ! merci à.
Skadia : merci pour les compliments ! je me suis rendue compte du problème de mise en page, mais je sais pas comment faire. Quelqu'un pourrait m'expliquer ?
Puisque j'y suis, SVP, aidez-moi, pour la mise en page ! Siouplait !!!!
Et maintenant, j'ai un beta-reader ! je remercie beaucoup jb, et je promets d'essayer de lui donner un rôle assez important, et s'il lui prend l'envie de me donner des conseils, j'en tiendrai compte ! Merci jb.
Oh, et tant que j'y pense, entre nous cinq, il n'y aura absolument aucune romance, mais c'est possible que j'en mette avec des personnages extérieurs au groupe.
Et voici le.
Chapitre 2 : J'y suis, j'y reste.
Je m'éveillai dans un lit qui n'était pas mon lit. Je tournai la tête, et mes étagères chargées de livres n'étaient plus là. Et les événements de la veille me revinrent en mémoire. Et je laissai ma tête retomber dans mes oreillers. Ainsi, tout ceci était bien vrai. J'avais réellement changé de monde, j'étais désormais à Poudlard. Soudain, j'entendis une conversation. C'était la voix de JB, mais avec qui parlait-il. Mine de rien, je jetais un coup d'?il. Son interlocuteur avait des cheveux noirs en bataille, des yeux verts, et on apercevait le bout d'une cicatrice en forme d'éclair.
-Tu es. tu es.
Il hocha la tête. Je mis ma main sur ma bouche.
-Oh ! Je suis désolée... je ne voulais pas... enfin, je veux dire. ravie de te rencontrer.
Pathétique. Je suis le genre de fille qui se retrouve par magie, et sans savoir comment, dans l'univers de son bouquin favori, et qui fait quelque chose qu'elle sait pertinemment qu'il ne faut pas faire, et/ou qui dit des platitudes au héros.
Il sourit.
-Ce n'est pas grave.
JB se tourna vers moi.
-Est-ce que les autres sont réveillés ?
-Non, je ne crois pas. Et donc, ajoutai-je à l'intention de Harry comme si je ne faisais que de continuer une discussion entamée la veille avec un vieil ami, et qu'il n'était pas le personnage principal des bouquins absolument géniaux, qu'est-ce que tu fais ici ?
-Euh.
Il semblait désarçonné par mon attitude. Je ne savais pas que mes attitudes pouvaient désarçonner les gens. Cool. Il se reprit.
-Je suis tombé lors d'un entraînement de Quidditch. Et vous, il paraît que vous êtes des Moldus ?
-Oui. Mais on vient d'un autre monde. Et puis Dumbledore a trouvé un moyen qu'on ait des pouvoirs.
-Mais.ça existe les autres mondes ?
-Il semblerait. Mais on ne le savait pas avant d'arriver ici.
-Par exemple, vous ne saviez pas que notre monde existait ?
-Eh bien.figure-toi que dans notre monde, une femme a écrit tes aventures.
-Mes aventures ? Qu'est ce que tu veux dire ?
-Elle veut dire qu'un auteur très célèbre, elle s'appelle JK Rowling, intervint JB, a écrit un livre qui s'appelle Harry Potter. Ca raconte les aventures d'un jeune sorcier de quinze ans. Et en fait, je crois que c'est toi. Et tu es célèbre.
-Oh. Ca explique ta réaction, dit Harry à mon attention, je me demandais, aussi, si tu étais une Moldue. Il me regardait comme si j'étais complètement cinglée. C'est probablement ce qu'il devait croire, maintenant. Après tout, qui n'aurait pas été sceptique devant une telle histoire ?
-Oh, Harry, Jean-Baptiste, Hélène, je vois que vous avez fait connaissance.
-Professeur Dumbledore !
-Bonjour à tous. Vous deux, pourriez vous me faire le plaisir de réveiller vos camarades ? Harry, je crois que tu peux partir. Pendant que JB et moi essayons de réveiller Caro, Léa et Roxy, Harry, qui visiblement n'aimait pas cet endroit, se leva et sortit. Le professeur Dumbledore prit la parole :
-Bien, je suis venu vous dire que je pense que, tout compte fait, il ne serait pas nécessairement une bonne idée de vous faire rejoindre les classes. En effet, il me semble qu'il est essentiel que vous restiez en contact les uns avec les autres, or je crois que vous n'avez pas tous le même âge, n'est ce pas ? Nous acquiesçâmes.
-De plus, il y a de fortes chances pour que vous ne soyez pas tous dans la même maison. Donc, je vais quand même vous lancer le sortilège, et vous descendrez aux cachots boire la potion. Elle devrait être prête dans quelques minutes. Le professeur Rogue a eu l'obligeance de nous la préparer. Vous aurez vos pouvoirs, et vous serez, pour reprendre une expression moldue, des électrons libres.
-Donc, intervint JB, vous voulez dire que nous deviendrons des sorciers, et qu'en plus, on fera ce qu'on voudra ?
-C'est cela, oui. Vous pourrez aller suivre les cours, ou vous rendre à la bibliothèque, ou sur le terrain de Quidditch. Mais bien sûr, vous n'ignorez pas que l'accès à la forêt est interdit. -On sait, oui. Monsieur, je crois que je sais suffisamment de chose pour me débrouiller dans votre monde, du moment que j'aurais des pouvoirs. Et je sais exactement ce que je voudrais faire ici. J'ai juste une question.
-Posez-la.
-C'est juste pour savoir.où on va dormir.
-Eh bien, je compte vous attribuer une salle commune, avec des dortoirs, qui n'a jamais été utilisée. Cela vous convient-il ?
-Oui, mais où est ce qu'on ira manger ? Je veux dire, dans la Grande Salle ? Et si oui, à quelle table ?
-Eh bien, je suppose que ce sera à vous de déterminer avec quelle maison vous aurez le plus d'affinités, mais ce sera à vous de gérer cela. En fait, je ne peux pas vraiment m'en occuper, car vous n'êtes pas élèves de Poudlard. Mais, si cela vous fait plaisir, vous pourrez coiffer le Choixpeau. Je pense que cela ne vous dérange pas que j'emplois des mots de ce genre. Vous les comprenez, je crois ?
-Euh.oui, pour la plupart. Professeur, je viens de me rappeler, si nous avons des pouvoirs, il nous faudra une baguette magique.
-Je vous emmènerai cet après-midi sur le chemin de Traverse, et vous irez chez Ollivander. Bien, je vais vous laisser vous préparer. Lorsque tout le monde fut prêt (nous avions aimablement prié JB de nous laisser tranquille, le temps qu'on s'habille, ce qu'il avait fait, encore heureux !), le professeur Dumbledore revint. Je me demandais comment il avait fait pour revenir juste à ce moment là. Je me demandais s'il nous avait espionné ou si c'était juste parce qu'il le savait. Grâce à ses pouvoirs j'entends. Des pouvoirs ! Rien que de penser aux pouvoirs que j'allais recevoir accélérait les battements de mon c?ur.
Entendons-nous bien, je ne suis pas le genre de personne qui est assoiffée de pouvoir, et qui fait tout pour s'en procurer, mais avouez que c'est quand même plutôt excitant. Nous descendîmes donc aux cachots. Personne ne parlait, et cela rendait l'ambiance un peu angoissante, voire carrément sinistre.
Les murs de pierres mal taillés étaient gris, et la mousse verte. Je ne pouvais m'empêcher de faire le rapprochement avec les couleurs de Serpentard. De temps en temps, une goutte d'humidité suintait le long des parois, s'accrochait au sommet d'une aspérité ou elle restait accrochée, oscillant quelques secondes avant de tomber sur le sol avec un petit clapotis. Cette atmosphère mystérieuse correspondait exactement à la façon dont je m'étais représenté cette partie du château. Son occupant, le professeur Rogue correspondait exactement lui aussi aux images que m'avait fournies mon imagination. Nez crochu, cheveu gras, regard d'obsidienne, tout y étais. Il remuait lentement à l'aide d'un grand bâton de bois le contenu d'un gigantesque chaudron de fonte, un liquide épais vert, où de grosses bulles remontaient à la surface pour y exploser.
Le professeur Dumbledore nous expliqua :
-Pour que vous acquériez suffisamment de pouvoirs pour vous débrouiller dans Poudlard, vous devrez subir trois formules coup sur coup. La première, que je vais pratiquer tout de suite, l'Ajout de Pouvoir. Puis, vous boirez chacun un verre de cette potion, puis enfin, je vous lancerai un charme de durée. Nous allons commencer par.qui est volontaire ?
Personne ne se manifesta. Il faut dire que personne d'entre nous n'avait l'âme d'un Gryffondor, et encore moins d'un suicidaire. En effet, l'aspect de la potion était vraiment peu engageant. Et puis, pourquoi est ce que tout le monde me regardait ? Est-ce que je savais mieux qu'eux ce qui nous arrivait ? Non ? Si.
Je déglutis, et fit :
-Bon.D'accord.
Le professeur Dumbledore marmonna un sort, que je ne compris pas. Puis, un rayon de lumière dorée jaillit de la baguette, et vint me frapper en plein c?ur. Aussitôt, une douce chaleur se répandit dans mon corps. Tellement agréable, tellement. je me sentais complètement détendue.
Puis le professeur Rogue me tendit, sans un mot, un bol qui contenait un peu de la potion. Je le fis tourner entre mes mains, avant de me décider à l'avaler. Je m'attendais à goûter un liquide ignoble, poisseux, éc?urant. Mais au lieu de ça, ce qui coula le long de mon gosier était un liquide probablement digne de l'ambroisie que buvaient les dieux de l'Olympe. C'était délicieux. Indéfinissable. Puis le professeur Dumbledore me lança un sort, et j'étais parfaitement détendue. Si c'était aussi agréable que les précédents.
Mais ça ne l'était pas. Je me pris dans le ventre un rayon blanc. Blanc comme de la neige. Et aussi froid. J'en eu le souffle coupé. C'était si froid ! J'aurais aussi bien pu plonger dans l'océan arctique. J'avais l'impression que des milliers de couteau de glace me transperçaient. Mais les bons côtés étaient que non seulement, je conserverai mes pouvoirs tous neufs pour plus longtemps, mais aussi que ça faisait un bien fou quand ça s'arrêtait. Maintenant, j'avais des pouvoirs. J'étais une sorcière. Et je le sentais. Poudlard, j'arrive !
Skadia : merci pour les compliments ! je me suis rendue compte du problème de mise en page, mais je sais pas comment faire. Quelqu'un pourrait m'expliquer ?
Puisque j'y suis, SVP, aidez-moi, pour la mise en page ! Siouplait !!!!
Et maintenant, j'ai un beta-reader ! je remercie beaucoup jb, et je promets d'essayer de lui donner un rôle assez important, et s'il lui prend l'envie de me donner des conseils, j'en tiendrai compte ! Merci jb.
Oh, et tant que j'y pense, entre nous cinq, il n'y aura absolument aucune romance, mais c'est possible que j'en mette avec des personnages extérieurs au groupe.
Et voici le.
Chapitre 2 : J'y suis, j'y reste.
Je m'éveillai dans un lit qui n'était pas mon lit. Je tournai la tête, et mes étagères chargées de livres n'étaient plus là. Et les événements de la veille me revinrent en mémoire. Et je laissai ma tête retomber dans mes oreillers. Ainsi, tout ceci était bien vrai. J'avais réellement changé de monde, j'étais désormais à Poudlard. Soudain, j'entendis une conversation. C'était la voix de JB, mais avec qui parlait-il. Mine de rien, je jetais un coup d'?il. Son interlocuteur avait des cheveux noirs en bataille, des yeux verts, et on apercevait le bout d'une cicatrice en forme d'éclair.
-Tu es. tu es.
Il hocha la tête. Je mis ma main sur ma bouche.
-Oh ! Je suis désolée... je ne voulais pas... enfin, je veux dire. ravie de te rencontrer.
Pathétique. Je suis le genre de fille qui se retrouve par magie, et sans savoir comment, dans l'univers de son bouquin favori, et qui fait quelque chose qu'elle sait pertinemment qu'il ne faut pas faire, et/ou qui dit des platitudes au héros.
Il sourit.
-Ce n'est pas grave.
JB se tourna vers moi.
-Est-ce que les autres sont réveillés ?
-Non, je ne crois pas. Et donc, ajoutai-je à l'intention de Harry comme si je ne faisais que de continuer une discussion entamée la veille avec un vieil ami, et qu'il n'était pas le personnage principal des bouquins absolument géniaux, qu'est-ce que tu fais ici ?
-Euh.
Il semblait désarçonné par mon attitude. Je ne savais pas que mes attitudes pouvaient désarçonner les gens. Cool. Il se reprit.
-Je suis tombé lors d'un entraînement de Quidditch. Et vous, il paraît que vous êtes des Moldus ?
-Oui. Mais on vient d'un autre monde. Et puis Dumbledore a trouvé un moyen qu'on ait des pouvoirs.
-Mais.ça existe les autres mondes ?
-Il semblerait. Mais on ne le savait pas avant d'arriver ici.
-Par exemple, vous ne saviez pas que notre monde existait ?
-Eh bien.figure-toi que dans notre monde, une femme a écrit tes aventures.
-Mes aventures ? Qu'est ce que tu veux dire ?
-Elle veut dire qu'un auteur très célèbre, elle s'appelle JK Rowling, intervint JB, a écrit un livre qui s'appelle Harry Potter. Ca raconte les aventures d'un jeune sorcier de quinze ans. Et en fait, je crois que c'est toi. Et tu es célèbre.
-Oh. Ca explique ta réaction, dit Harry à mon attention, je me demandais, aussi, si tu étais une Moldue. Il me regardait comme si j'étais complètement cinglée. C'est probablement ce qu'il devait croire, maintenant. Après tout, qui n'aurait pas été sceptique devant une telle histoire ?
-Oh, Harry, Jean-Baptiste, Hélène, je vois que vous avez fait connaissance.
-Professeur Dumbledore !
-Bonjour à tous. Vous deux, pourriez vous me faire le plaisir de réveiller vos camarades ? Harry, je crois que tu peux partir. Pendant que JB et moi essayons de réveiller Caro, Léa et Roxy, Harry, qui visiblement n'aimait pas cet endroit, se leva et sortit. Le professeur Dumbledore prit la parole :
-Bien, je suis venu vous dire que je pense que, tout compte fait, il ne serait pas nécessairement une bonne idée de vous faire rejoindre les classes. En effet, il me semble qu'il est essentiel que vous restiez en contact les uns avec les autres, or je crois que vous n'avez pas tous le même âge, n'est ce pas ? Nous acquiesçâmes.
-De plus, il y a de fortes chances pour que vous ne soyez pas tous dans la même maison. Donc, je vais quand même vous lancer le sortilège, et vous descendrez aux cachots boire la potion. Elle devrait être prête dans quelques minutes. Le professeur Rogue a eu l'obligeance de nous la préparer. Vous aurez vos pouvoirs, et vous serez, pour reprendre une expression moldue, des électrons libres.
-Donc, intervint JB, vous voulez dire que nous deviendrons des sorciers, et qu'en plus, on fera ce qu'on voudra ?
-C'est cela, oui. Vous pourrez aller suivre les cours, ou vous rendre à la bibliothèque, ou sur le terrain de Quidditch. Mais bien sûr, vous n'ignorez pas que l'accès à la forêt est interdit. -On sait, oui. Monsieur, je crois que je sais suffisamment de chose pour me débrouiller dans votre monde, du moment que j'aurais des pouvoirs. Et je sais exactement ce que je voudrais faire ici. J'ai juste une question.
-Posez-la.
-C'est juste pour savoir.où on va dormir.
-Eh bien, je compte vous attribuer une salle commune, avec des dortoirs, qui n'a jamais été utilisée. Cela vous convient-il ?
-Oui, mais où est ce qu'on ira manger ? Je veux dire, dans la Grande Salle ? Et si oui, à quelle table ?
-Eh bien, je suppose que ce sera à vous de déterminer avec quelle maison vous aurez le plus d'affinités, mais ce sera à vous de gérer cela. En fait, je ne peux pas vraiment m'en occuper, car vous n'êtes pas élèves de Poudlard. Mais, si cela vous fait plaisir, vous pourrez coiffer le Choixpeau. Je pense que cela ne vous dérange pas que j'emplois des mots de ce genre. Vous les comprenez, je crois ?
-Euh.oui, pour la plupart. Professeur, je viens de me rappeler, si nous avons des pouvoirs, il nous faudra une baguette magique.
-Je vous emmènerai cet après-midi sur le chemin de Traverse, et vous irez chez Ollivander. Bien, je vais vous laisser vous préparer. Lorsque tout le monde fut prêt (nous avions aimablement prié JB de nous laisser tranquille, le temps qu'on s'habille, ce qu'il avait fait, encore heureux !), le professeur Dumbledore revint. Je me demandais comment il avait fait pour revenir juste à ce moment là. Je me demandais s'il nous avait espionné ou si c'était juste parce qu'il le savait. Grâce à ses pouvoirs j'entends. Des pouvoirs ! Rien que de penser aux pouvoirs que j'allais recevoir accélérait les battements de mon c?ur.
Entendons-nous bien, je ne suis pas le genre de personne qui est assoiffée de pouvoir, et qui fait tout pour s'en procurer, mais avouez que c'est quand même plutôt excitant. Nous descendîmes donc aux cachots. Personne ne parlait, et cela rendait l'ambiance un peu angoissante, voire carrément sinistre.
Les murs de pierres mal taillés étaient gris, et la mousse verte. Je ne pouvais m'empêcher de faire le rapprochement avec les couleurs de Serpentard. De temps en temps, une goutte d'humidité suintait le long des parois, s'accrochait au sommet d'une aspérité ou elle restait accrochée, oscillant quelques secondes avant de tomber sur le sol avec un petit clapotis. Cette atmosphère mystérieuse correspondait exactement à la façon dont je m'étais représenté cette partie du château. Son occupant, le professeur Rogue correspondait exactement lui aussi aux images que m'avait fournies mon imagination. Nez crochu, cheveu gras, regard d'obsidienne, tout y étais. Il remuait lentement à l'aide d'un grand bâton de bois le contenu d'un gigantesque chaudron de fonte, un liquide épais vert, où de grosses bulles remontaient à la surface pour y exploser.
Le professeur Dumbledore nous expliqua :
-Pour que vous acquériez suffisamment de pouvoirs pour vous débrouiller dans Poudlard, vous devrez subir trois formules coup sur coup. La première, que je vais pratiquer tout de suite, l'Ajout de Pouvoir. Puis, vous boirez chacun un verre de cette potion, puis enfin, je vous lancerai un charme de durée. Nous allons commencer par.qui est volontaire ?
Personne ne se manifesta. Il faut dire que personne d'entre nous n'avait l'âme d'un Gryffondor, et encore moins d'un suicidaire. En effet, l'aspect de la potion était vraiment peu engageant. Et puis, pourquoi est ce que tout le monde me regardait ? Est-ce que je savais mieux qu'eux ce qui nous arrivait ? Non ? Si.
Je déglutis, et fit :
-Bon.D'accord.
Le professeur Dumbledore marmonna un sort, que je ne compris pas. Puis, un rayon de lumière dorée jaillit de la baguette, et vint me frapper en plein c?ur. Aussitôt, une douce chaleur se répandit dans mon corps. Tellement agréable, tellement. je me sentais complètement détendue.
Puis le professeur Rogue me tendit, sans un mot, un bol qui contenait un peu de la potion. Je le fis tourner entre mes mains, avant de me décider à l'avaler. Je m'attendais à goûter un liquide ignoble, poisseux, éc?urant. Mais au lieu de ça, ce qui coula le long de mon gosier était un liquide probablement digne de l'ambroisie que buvaient les dieux de l'Olympe. C'était délicieux. Indéfinissable. Puis le professeur Dumbledore me lança un sort, et j'étais parfaitement détendue. Si c'était aussi agréable que les précédents.
Mais ça ne l'était pas. Je me pris dans le ventre un rayon blanc. Blanc comme de la neige. Et aussi froid. J'en eu le souffle coupé. C'était si froid ! J'aurais aussi bien pu plonger dans l'océan arctique. J'avais l'impression que des milliers de couteau de glace me transperçaient. Mais les bons côtés étaient que non seulement, je conserverai mes pouvoirs tous neufs pour plus longtemps, mais aussi que ça faisait un bien fou quand ça s'arrêtait. Maintenant, j'avais des pouvoirs. J'étais une sorcière. Et je le sentais. Poudlard, j'arrive !
