Petite-note-de-début-de-chapitres-qui-ne-servent-à-rien,-si-ce-n'est-que-
l'auteur-aime-raconter-sa-vie :
Ouf, voilà, après un long moment de tergiversations avec moi-même, pour savoir si j'allais continuer après la sortie du tome cinq, je me suis dit que comme on me le réclamai dans les reviews, et ben j'allais le mettre. En passant, je suis très en colère contre JKR, rapport à une certaine mort dans un certain cinquième tome. Mais bon, après tout, c'est l'auteur, elle fait ce qu'elle veut, n'empêche que je lui en veut.
Euh, je vais me presser, parce que si ma mère se rendait compte que je suis en train de vous publier ça plutôt que de réviser mon Brevet que je suis censée passer demain, je suis morte. Alors réponses aux reviews :
Luna : Merci d'avoir reviewé. C'est pas grave que tu l'ais pas fait la dernière fois, puisque tu le fais maintenant.
Miya Black : Oui, vive Sirius ! Merci pour la review. Je sais que mes chapitres sont courts, mais j'arrive pas à mieux faire !
Lexiann : C'est clair qu'une review, même pas très original fait toujours plaisir ! Et pouvoir aux Maraudeurs ! (surtout Mumus !!)
Bon, j'aime pas particulièrement ce chapitre, mais on fait ce qu'on peut, j'allais pas vous faire attendre trop longtemps. Personne a d'idée pour mon petit concours ? Ca dit à quelqu'un d'aller voir mon original fiction sur fictionpress ?Et bonne chance a tous ceux qui ont passé ou passent des examens. Place au.
.Chapitre 8 : Un test et des liens de parenté.
Le professeur Dumbledore nous ouvrit, nous regarda, fronça les sourcils et demanda :
-Rémus ? Hélène ? Qu'est ce que. ?
-Professeur, il faut agir..
-Rémus, du calme, entrez, et racontez-moi. Le professeur Lupin obéit, et une fois installé, raconta l'histoire sur l'Imagination. Une fois qu'il eut conclut en disant que je risquais d'être en danger, Dumbledore se leva, commença à faire les cents pas en se grattant la barbe.
-En effet. Voldemort risque de représenter une grave menace, si ce que vous avancez se révèle exact. Malheureusement, il faut s'en assurer, et ce, avant que Voldemort ne découvre quoi que ce soit.
-Mais... risquai-je, je ne comprends pas..
-Dumbledore se rassit, en face de moi, croisa les bras sur son bureau, et me regarda dans les yeux.
-L'Imagination est probablement le pouvoir le plus rare, et le plus puissant jamais répertorié. Il n'y a pas de commune mesure avec, mettons... le Fourchelang. Si Voldemort apprend que des Imagineurs, c'est le nom le plus courant qu'on donne aux personnes possédant ce pouvoir, existent, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour les attirer de son côtés, où du moins les empêcher de s'opposer à lui. Il y a actuellement une seule personne sur Terre qui possède à notre connaissance l'Imagination, sauf vous si vous l'avez, bien sûr. C'est un allemand. Ce qui prouve le danger qu'il y a à posséder ce don, c'est que, malgré le fait que Voldemort ait disparu à l'époque où ses pouvoirs furent découverts, il a bénéficié d'une protection. Je crois, ajouta-t-il, que je devrais écrire au directeur de Durmstrang afin qu'il le fasse venir. Vous serez plus en sécurité à deux.
-Mais, l'interrompis je, vous dites que vous n'êtes pas surs que je l'ai.. Alors. Comment.
-Comment s'en assurer ? Avec un test très simple. Attendez que je le retrouve.
IL se pencha et chercha dans son bureau, ouvrant les tiroirs, et enfin en ressortit une feuille de papier qui portait une tache d'encre, comme celle que les psychologues montrent, et ou on doit dire ce qu'on voit. Il me demanda ce que j'y voyais, justement. Je fus tentée de répliquer une tâche d'encre, mais en y regardant bien, peut-être que d'une certaine façon, ça avait les contours d'une fleur. Je fermais les yeux, pour visualiser dans ma tête les contours, et finalement, sans rouvrir les yeux, je déclarais :
-Une fleur. Une rose.
J'entendis une espèce de bruit, et j'ouvris les yeux en face de moi, Rémus me tendait une rose, d'une blancheur parfaite, et Dumbledore me scrutait d'un air étrange. Je pris la rose sans comprendre. Finalement Dumbledore finit par lâcher :
-Test réussi. Vous avez beaucoup d'Imagination.
De ce qui suivit, je n'ai que de vague souvenirs. Tout juste si je me rappelle être rentrée dans ma chambre, comme une somnambule, et m'être étendue sur mon lit, pour pleurer, sans raison, toutes les larmes de mon corps. Le test que j'avais « réussi » consistait, si on avait l'Imagination, à matérialiser ce qu'on voyait dans la tâche d'encre magique.
Et maintenant quoi ? Je possédais un stupide super pouvoir, et à cause de ça, je courrais un grave danger. Pour la première fois, je maudis le sort qui m'avait conduit à Poudlard.
Quelques heures plus tard, à l'heure du dîner, j'étais calmée, et toutes traces de larmes avaient disparu de mon visage. Je descendis, et mes amis s'enquirent des suites de ma chute. Je les rassurai, et comme le professeur Lupin me l'avait recommandé, je ne dis rien à personne de ce qui s'était passé.
Quelques jours plus tard, le mois d'octobre arriva, et s'écoula, sans incident majeur. En novembre, il fit plus froid, et un samedi, le professeur Lupin m'invita, ainsi que JB, Léa, Roxanne et Caroline à prendre le thé chez lui, c'est à dire dans ses appartement derrière son bureau, ce que nous acceptâmes sans hésiter. Nous étions donc chez lui, discutant de tout et de rien, des cours, du premier match de Quidditch de l'Année, Gryffondor contre Serdaigle, qui devait avoir lieu le mercredi suivant. Léa, et Caroline encourageait Gryffondor, mais sachant que plusieurs de nos amis de Serdaigle, Éric et Arthur faisait partie de l'équipe de leur maison, nous les soutenions JB et moi. Nous débattions de ce sujet, quand nous entendîmes une voix appeler du haut de l'escalier :
-He ! Oncle Rem' !
C'était une voix de garçon. Rémus avait un neveu ? Apparemment, je n'étais pas la seule à me poser des questions, vu les regards que nous nous lancions les uns aux autre pendant que Rémus s'excusait et montait voir ce mystérieux neveu. Quelques minutes plus tard, Rémus redescendait, et son neveu déboulait l'escalier, mais s'arrêta en nous voyant. S'il était surpris de nous voir, nous ne l'étions pas moins.
-Éric ? Qu'est ce que ..?
-Qu'est ce que je fais là ? Je pourrais vous retourner la question.
-On a été invité. Et toi ?
-Je suis chez mon oncle.
-Chez ton oncle ?
-Rémus est le frère de ma mère. Et à part ça, vous allez bien ?
-Euh. ouais.
-Content de vous avoir vu, mais je suis pressé, j'ai entraînement de Quidditch, faut que j'y aille. A plus.
Et il partit.
Éric était donc le neveu de Rémus ? Bon à savoir. Quand je questionnais Rémus, il me répondit que Éric était le fils de sa s?ur, et qu'il venait de temps en temps chez lui le week-end, et que s'il ne nous avait rien dit, c'était parce que il ne voulait pas qu'on l'accuse d'avoir des relations autre que professeur-élève avec des étudiants.
Nous passâmes somme toute, un agréable après midi, et nous rentrâmes dans notre salle commune, contents.
Ouf, voilà, après un long moment de tergiversations avec moi-même, pour savoir si j'allais continuer après la sortie du tome cinq, je me suis dit que comme on me le réclamai dans les reviews, et ben j'allais le mettre. En passant, je suis très en colère contre JKR, rapport à une certaine mort dans un certain cinquième tome. Mais bon, après tout, c'est l'auteur, elle fait ce qu'elle veut, n'empêche que je lui en veut.
Euh, je vais me presser, parce que si ma mère se rendait compte que je suis en train de vous publier ça plutôt que de réviser mon Brevet que je suis censée passer demain, je suis morte. Alors réponses aux reviews :
Luna : Merci d'avoir reviewé. C'est pas grave que tu l'ais pas fait la dernière fois, puisque tu le fais maintenant.
Miya Black : Oui, vive Sirius ! Merci pour la review. Je sais que mes chapitres sont courts, mais j'arrive pas à mieux faire !
Lexiann : C'est clair qu'une review, même pas très original fait toujours plaisir ! Et pouvoir aux Maraudeurs ! (surtout Mumus !!)
Bon, j'aime pas particulièrement ce chapitre, mais on fait ce qu'on peut, j'allais pas vous faire attendre trop longtemps. Personne a d'idée pour mon petit concours ? Ca dit à quelqu'un d'aller voir mon original fiction sur fictionpress ?Et bonne chance a tous ceux qui ont passé ou passent des examens. Place au.
.Chapitre 8 : Un test et des liens de parenté.
Le professeur Dumbledore nous ouvrit, nous regarda, fronça les sourcils et demanda :
-Rémus ? Hélène ? Qu'est ce que. ?
-Professeur, il faut agir..
-Rémus, du calme, entrez, et racontez-moi. Le professeur Lupin obéit, et une fois installé, raconta l'histoire sur l'Imagination. Une fois qu'il eut conclut en disant que je risquais d'être en danger, Dumbledore se leva, commença à faire les cents pas en se grattant la barbe.
-En effet. Voldemort risque de représenter une grave menace, si ce que vous avancez se révèle exact. Malheureusement, il faut s'en assurer, et ce, avant que Voldemort ne découvre quoi que ce soit.
-Mais... risquai-je, je ne comprends pas..
-Dumbledore se rassit, en face de moi, croisa les bras sur son bureau, et me regarda dans les yeux.
-L'Imagination est probablement le pouvoir le plus rare, et le plus puissant jamais répertorié. Il n'y a pas de commune mesure avec, mettons... le Fourchelang. Si Voldemort apprend que des Imagineurs, c'est le nom le plus courant qu'on donne aux personnes possédant ce pouvoir, existent, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour les attirer de son côtés, où du moins les empêcher de s'opposer à lui. Il y a actuellement une seule personne sur Terre qui possède à notre connaissance l'Imagination, sauf vous si vous l'avez, bien sûr. C'est un allemand. Ce qui prouve le danger qu'il y a à posséder ce don, c'est que, malgré le fait que Voldemort ait disparu à l'époque où ses pouvoirs furent découverts, il a bénéficié d'une protection. Je crois, ajouta-t-il, que je devrais écrire au directeur de Durmstrang afin qu'il le fasse venir. Vous serez plus en sécurité à deux.
-Mais, l'interrompis je, vous dites que vous n'êtes pas surs que je l'ai.. Alors. Comment.
-Comment s'en assurer ? Avec un test très simple. Attendez que je le retrouve.
IL se pencha et chercha dans son bureau, ouvrant les tiroirs, et enfin en ressortit une feuille de papier qui portait une tache d'encre, comme celle que les psychologues montrent, et ou on doit dire ce qu'on voit. Il me demanda ce que j'y voyais, justement. Je fus tentée de répliquer une tâche d'encre, mais en y regardant bien, peut-être que d'une certaine façon, ça avait les contours d'une fleur. Je fermais les yeux, pour visualiser dans ma tête les contours, et finalement, sans rouvrir les yeux, je déclarais :
-Une fleur. Une rose.
J'entendis une espèce de bruit, et j'ouvris les yeux en face de moi, Rémus me tendait une rose, d'une blancheur parfaite, et Dumbledore me scrutait d'un air étrange. Je pris la rose sans comprendre. Finalement Dumbledore finit par lâcher :
-Test réussi. Vous avez beaucoup d'Imagination.
De ce qui suivit, je n'ai que de vague souvenirs. Tout juste si je me rappelle être rentrée dans ma chambre, comme une somnambule, et m'être étendue sur mon lit, pour pleurer, sans raison, toutes les larmes de mon corps. Le test que j'avais « réussi » consistait, si on avait l'Imagination, à matérialiser ce qu'on voyait dans la tâche d'encre magique.
Et maintenant quoi ? Je possédais un stupide super pouvoir, et à cause de ça, je courrais un grave danger. Pour la première fois, je maudis le sort qui m'avait conduit à Poudlard.
Quelques heures plus tard, à l'heure du dîner, j'étais calmée, et toutes traces de larmes avaient disparu de mon visage. Je descendis, et mes amis s'enquirent des suites de ma chute. Je les rassurai, et comme le professeur Lupin me l'avait recommandé, je ne dis rien à personne de ce qui s'était passé.
Quelques jours plus tard, le mois d'octobre arriva, et s'écoula, sans incident majeur. En novembre, il fit plus froid, et un samedi, le professeur Lupin m'invita, ainsi que JB, Léa, Roxanne et Caroline à prendre le thé chez lui, c'est à dire dans ses appartement derrière son bureau, ce que nous acceptâmes sans hésiter. Nous étions donc chez lui, discutant de tout et de rien, des cours, du premier match de Quidditch de l'Année, Gryffondor contre Serdaigle, qui devait avoir lieu le mercredi suivant. Léa, et Caroline encourageait Gryffondor, mais sachant que plusieurs de nos amis de Serdaigle, Éric et Arthur faisait partie de l'équipe de leur maison, nous les soutenions JB et moi. Nous débattions de ce sujet, quand nous entendîmes une voix appeler du haut de l'escalier :
-He ! Oncle Rem' !
C'était une voix de garçon. Rémus avait un neveu ? Apparemment, je n'étais pas la seule à me poser des questions, vu les regards que nous nous lancions les uns aux autre pendant que Rémus s'excusait et montait voir ce mystérieux neveu. Quelques minutes plus tard, Rémus redescendait, et son neveu déboulait l'escalier, mais s'arrêta en nous voyant. S'il était surpris de nous voir, nous ne l'étions pas moins.
-Éric ? Qu'est ce que ..?
-Qu'est ce que je fais là ? Je pourrais vous retourner la question.
-On a été invité. Et toi ?
-Je suis chez mon oncle.
-Chez ton oncle ?
-Rémus est le frère de ma mère. Et à part ça, vous allez bien ?
-Euh. ouais.
-Content de vous avoir vu, mais je suis pressé, j'ai entraînement de Quidditch, faut que j'y aille. A plus.
Et il partit.
Éric était donc le neveu de Rémus ? Bon à savoir. Quand je questionnais Rémus, il me répondit que Éric était le fils de sa s?ur, et qu'il venait de temps en temps chez lui le week-end, et que s'il ne nous avait rien dit, c'était parce que il ne voulait pas qu'on l'accuse d'avoir des relations autre que professeur-élève avec des étudiants.
Nous passâmes somme toute, un agréable après midi, et nous rentrâmes dans notre salle commune, contents.
