Chapitre un peu plus long ! C'est mon préféré :) !

*-*-*

Véronica entra en courant dans la salle.

- Marguerite, on est invité au vingtième anniversaire du T-Rex Magazine.

- Dit plutôt, Malone t'a donné deux billets, mais il s'attend à ce que tu passes une partie de la soirée avec lui et moi je vais passer ma soirée en compagnie de stupides journalistes et de stupides pimbêches.

- Façon très subtile de dire non ma chère, mais tu vas tout de même venir. Tu n'as rien d'autre à faire ce jour-là et ça fait des lustres que tu n'es pas sortie en tant que célibataire.

- Parce que tu crois que je vais faire une rencontre intéressante ? Non merci.

- Alleeeeeeeez, s'il-te-plaît ! Je suis sûre que tu vas t'y plaire.

- Non !

Véronica fit la moue mais une idée lui vint à l'esprit.

- Si ta mère apprenait que tu refuses de sortir…

- Ah non, tu ne vas pas me faire ça !

- Comment vont tes parents ?

Marguerite lui lança un regard noir mais quand elle prit le billet, Véronica lui fit son sourire qu'elle faisait lorsqu'elle souhaitait être pardonnée.

Marguerite détourna le regard mais Véronica se planta devant elle.

- Arrête ! ordonna-t-elle en riant, Je détèste quand tu me regarde comme ça.

Mais deux semaines après, Marguerite ne riait plus du tout. Évidemment leurs robes, à Véronica et elle, firent fureur. Et elle avait l'habitude des stupides soirées mondaines. Mais John Roxton la dévorait du regard.

- Cessez de me regarder ainsi, vous êtes fiancé.

- T.O.P. teens et T.O.P. men étaient bondés à leurs ouvertures.

- Je le sais qu'est-ce que vous pensez.

- Et ils ont battus tous les records en une semaine.

- Je vous félicite.

- C'est vous qui fait féliciter ma chère.

- De toute façon, l'argent ne m'attire plus beaucoup. J'ai de quoi vivre bien pendant cent vies.

- Et le succès ?

Elle sourit timidement et détourna le regard.

- Ah ah ! Vous dites le contraire, mais vous aimez vous voir dans une revue, vous aimez quand on s'intéresse à vous.

- Qui n'aime pas ça ? Les gens s'intérressent à moi pour ce que je fais.

Il l'a regarda bizarrement.

- Vous ne vouliez pas faire ce métier.

- Avant non. Mais j'aime bien cela maintenant. J'aime beaucoup à vrai dire et je ne regrette pas dans quoi je me suis lancée… Et puis, on fait tous des choses que l'on ne veut pas.

Il sembla songeur et Marguerite sourit tristement. Elle avait touché son point faible.

- Vous êtes bien aimable aujourd'hui, déclara-t-il soudainement

- Profitez-en, ça ne durera pas longtemps.

À ce moment M. Challenger, le chef du journal les interrompu.

- John Roxton ! Où est votre épouse ? C'est un plaisir de vous voir ici !

- Merci. Danielle est sûrement en quelque part dans l'assemblée.

- Vous faites la conversation à Marguerite Smith à ce que je vois ! C'est bien, très intéressant. N'aviez-vous pas fait des étincelles la dernière fois ?

- C'est ce que nous faisions, coupa Marguerite de peur qu'une autre rumeur soit lancée, au revoir John Roxton. M. Challenger.

Elle s'en alla dans une direction d'un air guindé et se fit interpellé par une rousse qui portait une de ses créations et qui voulait presqu'un autographe. Elle dut faire de gros effort pour ne pas l'envoyer promener…

Il y avait une remise de prix. Reportage le plus touchant, plus intéressant, le plus drôle etc.

Marguerite écoutait distraitement. Pour la plupart c'était des filles qui gagnaient les prix. Puis vient le prix du reportage le plus surprenant, le plus essoufflant.

- Il a écrit sur quelque chose qu'une femme se serait fait un plaisir d'écrire. Mais il n'est pas une femme et il ne voulait pas faire cet article. Il avait une vision différente des choses, une vision qui nous a épaté. Il n'a pas parlé de la mode comme on s'y attendait tous, pourquoi l'aurait-il fait s'il n'en avait pas envie, il a parlé de ceux qui avaient derrière. La chronique de mode d'Isabelle qui était malade a été transformée pendant une semaine en quelque chose d'autre, en quelque chose de profond. Il a maintenant retrouvé son poste à sa chronique sport, mais nous a épaté. Un journaliste doué peut parler de n'importe quoi. Il l'a fait. Voici ce prix remis à Ned Malone !

Marguerite sourit. Et oui, qu'est-ce qu'on ferait sans elle ?

Roxton se tourna vers elle lui sourit. Elle sourit aussi mais le cacha bien vite.

La soirée allait bientôt se terminer et la plupart des gens étaient fatigués. Marguerite n'avait pas cherché à trouver de partenaires pour la danse et elle ne s'en souciait pas. Roxton s'approcha d'elle.

- Vous n'avez pas dansé de la soirée.

- Qu'est-ce que ça peut vous faire ?

- Vous voulez danser ?

- Et votre fiancée ?

- Je vous demande de danser, pas de m'embrasser.

Elle réfléchit. C'était très tentant. Le très beau John Roxton lui proposait de danser. Et si ça avait été n'importe quel prince, elle aurait dit non. Mais le prince de Blanche-Neige devait bien être un Roxton.

Il avait quelque chose en lui qui l'attirait. Les yeux… sa voix… sa peau… son odeur. Finalement peut-être qu'il l'attirait simplement.

Elle se réveilla soudain et réalisa ce qu'elle venait de penser. Elle secoua la tête.

- Non. Je ne vais pas danser avec John Roxton, je préfère de loin vous piquer avec une aiguille.

Il sourit et lui prit sa main alors qu'elle s'en allait.

- Vous en êtes sûre ?

Son cœur battait à mille à l'heure. Bon sûrement moins, mais c'est l'impression qu'elle avait.

Tout son corps disait oui à la danse. Mais pas son orgueil.

- Je ne veux pas.

- Vos lèvres disent non. Mais vos yeux sont troublés.

Il l'entraîna sur la piste de danse et commença à la faire danser. Heureusement, elle était une très bonne danseuse, car c'était aussi le cas de Roxton et il ne comptait pas la ménager.

Véronica et Malone s'arrêtèrent et les regardèrent abasourdis.

- Est-ce que je rêve ?

- Marguerite et Roxton dansent ensemble ?

- Et ils sourient…

Marguerite riait franchement avec un homme pour la première fois depuis… dix ans ! Ils ne remarquèrent pas que toute la salle s'était arrêtée et les regardait.

Il finit par la prendre carrément dans ses bras et à la faire tournoyer. Danielle arriva dans la pièce à ce moment.

- Pourquoi personne ne… Roxton !

Marguerite et Roxton cessèrent de danser et de rire.

- Danielle.

- Oh oh, murmura Véronica

- Comment oses-tu !

- Quoi ! Comment j'oses danser ? Tu ne t'es pas gênée toi.

- C'est différent !

- Et en quoi ma chère ?

Marguerite essaya de se retirer mais Roxton la retint.

- Tu m'as trompé !

- Quoi ! Mais tu délires Danielle, j'ai dansé avec une autre que toi ! Ce que tu as fait toute la soirée.

- Mais je ne me suis pas collée ou…

- Aaah ! Ça suffit ! s'écria Marguerite, Écoutes-moi bien la poupée ! J'en ai rien à faire de ton époux tu vois ! Je ne sais pas pourquoi tu fais toute une histoire d'un danse, toi qui s'est permise de danser avec tous les hommes ici. Et ton fiancé il n'a pas dansé qu'avec moi alors où est le problème ? Et puis ce n'est qu'une danse grand Dieu !!

- Je vous inderdit de me parler sur ce ton !

- Et bien je ne me gênerai pas !

- Ah non ? Moi non plus ! Écoutes-moi à ton tour. Je ne connais que ton nom et je sais déjà que tu n'es pas très sympathique. Tous les journaux n'ont que ça à dire. Ton mariage a échoué et je ne me demandes même pas pourquoi.  Et puis…

Véronica la frappa au visage.

- Oh la ferme !

Marguerite la regarda étonnée et les photographes commencèrent à sortir leurs appareils.

Marguerite, Véronica et Ned prirent la fuite. Roxton les suivis, laissant sa fiancée en arrière.

- John !! John revient ici !! Argh !!

Ils étaient en face du studio In D. Marguerite fut la première à entrer, suivie de Véronica, Ned et Roxton.

Marguerite activa le code automatique qui barrait toute les portes donnant sur l'extérieur et se rendit au milieu du bâtiment, suivie par les trois autres.

- Merci Véronica, dit-elle en marchant, mais je ne vois pas pourquoi tous les trois vous me suivez.

- Je me cache des journalises aussi si tu te souviens bien.

- Ah oui, désolée. Mais Malone et Roxton n'ont rien à faire ici.

- Moi je suivais Véronica.

Marguerite fut bien tentée de passer un commentaire désobligeant mais comme il était « proche » de sa meilleure amie, elle se retint. Par contre elle dévisagea Roxton. Au même moment, toutes les lumières s'éteignirent.

- Génial, une panne de courant. Sortez ! ordonna-t-elle à Roxton

- Oh non, je n'ai pas du tout envie de me retrouver face aux journalistes.

- Dites plutôt face à Danielle, répliqua-t-elle avec dégoût, Maintenant, dehors !

Il grimaça mais se dirigea vers une porte. Il essaya de l'ouvrir.

- Ça ne fonctionne pas.

- Quoi ?

Malone essaya à son tour mais rien.

- Essayons-en une autre.

Ils essayèrent toutes les portes de sorties qu'ils trouvèrent mais rien à faire.

- C'est à cause de la panne de courant, s'exclama Véronica, Marguerite a barré toutes les portes automatiquement et maintenant elles ne s'ouvrent plus !!

- Oh c'est pas vrai. Malone, vous avez bien votre cellullaire ?

- Oui, j'appelle le 9-1-1.

Il composa.

- Oui. Ici Edward Malone. Je suis prisonnier du studio In D. avec Marguerite Smith, Véronica Layton et John Roxton sur la rue Leann. Les portes ne s'ouvrent plus. Oui… non… mais… oui… oui, d'accord.

- Alors ?!

- À cause de la neige, il y a beaucoup d'accident. L'armée est occupée, mais ils vont essayer de nous envoyer une petite unité.

- La preuve qu'être populaire ne nous rend pas tous les services.

- Je refuse de passer la nuit ici ! Quelle heure est-il ?

Malone regarda sa montre.

- Minuit. Nous sommes le 22 décembre.

- Woa, décembre. Est-ce qu'il y a une fin à la saison de foot ou quoi ? pensa tout haut Véronica

- Oui, c'était il y a un mois et nous avons gagné.

- 22 décembre ? répéta Marguerite

- Exact, ça vous surprend ?

- Noël est dans trois jours.

- Quoi, vous n'avez pas acheté vos cadeaux, fit sarcastiquement Roxton

- Mais non, ce n'est pas ça et ne rêvez pas, il n'y en a pas pour vous.

- Alors c'est quoi ?

- Ça vous regarde peut-être ? fit violemment Marguerite en s'en allant suivie de Véronica

- Ah les femmes !

Marguerite courru jusqu'à la cafétéria du bâtiment et grimaça.

- C'est pas ici que je voulais être.

- Marguerite, arrête, fit Véronica

- Je sais qu'ils sont en train de faire des photographies pour une literie, il doit bien avoir un lit en quelque part…

- Marguerite, je t'en pris, écoute-moi.

- Et puis, plus qu'un.

Véronica agrippa le bras de son amie.

- Marguerite !! Ce n'était pas ta faute !

- Le jour de noël qu'il est est mort, tu te rends compte !

- Tu ne l'as pas tué. Tu es tombée des escaliers ! Et… c'est Étienne qui t'a poussé.

Les yeux de Marguerite se troublèrent.

- Je vous ai vu vous disputer le jour de Noël. Vous étiez mariés depuis une semaine. Je suis sortie de votre appartement pour voir où vous étiez, vos parents vous attendaient. Je ne sais plus trop pourquoi vous vous disputiez et…

Véronica avala durement et eu du mal à continuer. Marguerite s'assit et Véronica l'imita.

- Continue, je ne me souviens plus.

- Et… tu pleurais. Tu l'a giflée et il t'a poussée. Pas très fort, mais tu as déboulé les escaliers. On t'a emmené à l'hôpital et il a raconté je ne me souviens plus trop quoi, mais il s'en ai tiré. Tu es restée dans le coma une semaine avant que les médecins s'aperçoivent que ton bébé était mort. Tu es restée encore dans le coma deux semaines. Étienne venait tous les jours et pleurait. Je ne suis pas venue. Je ne… j'avais peur de le voir en face. Je n'ai pas eu le courage de dire ce que j'ai vu.

Marguerite la regarda dans les yeux et lui sourit.

- Ce n'est pas grave. Oh non, ne pleure pas pour ça, c'est moi qui est censé pleurer !

- Tu n'as jamais pleuré par la suite… je ne t'ai plus jamais vu versé une larme.

Marguerite leva les yeux au ciel et soupira, triste.

- Je n'ai plus jamais pleuré. Mais oublie ça Véronica, c'est du passé.

La jeune blonde hocha la tête et  détourna le regard, songeuse. Elles en avaient vécus des choses difficiles et jamais elles ne s'étaient laissées.

Mais l'ancienne Marguerite lui manquait. Celle qui souriait toujours, qui dansait et qui était douce comme un agneau.

Quand les deux hommes trouvèrent enfin les deux femmes qui étaient assises sur une table en mangeant des chocolats, ils furent surpris. D'abord, parce qu'elles mangeaient des chocolats. Et deuxièmement parce qu'elles semblaient avoir oublié qu'elles étaient prisonnières d'un édifice.

- Tu te souviens de ce garçon qui avait écrit ton nom en grafiti sur un mur ! Il prenait tout le mur et il y avait plein de cœur ! Je me souviens exactement de la voix du directeur ce jour-là !

- Mlle. Layton ! Si vous n'avez rien de mieux à faire que vous dénoncer, veuillez venir dans mon bureau !

- Tu l'avais envoyé promener et j'étais tellement mal pour toi que j'av…

Véronica éclata de rire en se souvenant et tomba presque de la table.

- Attention !!

- Et bien. Il semblerait que vous ayez de quoi vous amusez.

- Pas comme vous, messieurs.

- Nous vous cherchions.

Marguerite se leva et décida de repartir à la recherche des lits.

Véronica et les autres la suivirent. Elle trouva finalement le studio où il y avait deux lits king.

- Voilà !

- Mais, il n'y a que deux lits.

- Où est le prob… ah oui, réalisa Véronica, Et bien….

- Il n'y a pas de problème, déclara Marguerite, Véronica et Ned ensembles, moi dans le deuxième lit et Roxton… à terre !

- Ça ne me semble pas très équitable, répliqua Roxton

- Moi oui.

- Marguerite, ne fais pas l'enfant, interrompit Véronica, On pourra dormir dans le même lit et les deux gaçons dans le deuxième lit.

- Ah non ! fit Malone, Imaginez si les journalistes entrent demain matin pendant qu'on dort, dans quelle situation on sera. On pourra s'en tirer moi et Roxton, il est fiancé, mais toi et Marguerite…

- Stupides journaliste. Si nous n'étions pas connus aussi. Bon, je consens à partager le lit avec lui. Mais si vous me touchez John Roxton, je vous actionne !

- Ne vous en faites pas, je suis fiancé, ne l'oubliez pas.

- On ne connaît bien ceux qui nous entourent que lorsqu'on les voit agir.

- Hum, vous essayez de vous transformer en prophète ?

Bientôt, ils furent tous au lit et s'endormirent très vite, exténués de leur journée.

Pendant la nuit, Marguerite s'éveilla et se mit à claquer des dents. Le froid de l'extérieur s'était répendu et l'armée n'était pas encore arrivée. Ni l'électricité d'ailleurs.

- Vous avez froid ?

- Ça va.

- Vous êtes gelée Marguerite.

Roxton déposa sa main sur la joue de Marguerite.

- Vous êtes toute froide.

- Ça va je vous dis.

Mais elle retourna vers lui et se retrouva à deux centimètres de lui.

Elle essaya bien d'y résister, mais rien à faire. Ils s'embrassèrent tendrement et elle se rendormit dans ses bras, n'ayant plus du tout froid.

Si ils avaient été complètement éveillés, ils auraient sûrement trouvé ça bizarre. C'était comme… un rêve. Le prince charmant arrive, il embrasse la princesse et celle-ci est sauvée. Ils ne se connaissent pas mais s'aiment tout de suite, se marient et vivent heureux.

Véronica s'éveilla la première ce jour-là et sourit en s'apercevant qu'elle était dans les bras de Malone. Elle entendit un bruit et s'assit. Une télévision était ouverte.

Elle s'assit et écouta.

- Edward Malone, Véronica Layton, Marguerite Smith et John Roxton sont prisonniers de ce bâtiments depuis minuit hier soir lorsque Mlle. Layton a frappé la jeune fiancée de…

Elle regarda à côté d'elle et vit que Marguerite et Roxton étaient collés.

- Nous nous apprêtons à ouvrir la porte…

- Oh bon sang. Marguerite ! Roxton ! Debout !!

La jeune blonde se leva et les secoua.

- Ils s'en viennent, ils vont arrivés d'une minute à l'autre ! Debout !

- Véronica ? Que… fit Marguerit en s'éveillant, Oh mon Dieu ! Roxton debout !

- Quoi ?

- Debout !!

Elle le poussa en bas du lit et se leva.

- Aïe !! Mais vous êtes folle ! Ça va pas !!

- Les journalistes ar…

- Ils sont là ! fit un journaliste en appercevant Marguerite, Véronica et Roxton debout, encore dans leur habit de la veille

- Malone debout ! On s'en va !

- Non ! Moi je ne fuis pas encore ! déclara-t-il, Je rentre chez moi.

- Oui, moi aussi, aquiesça Marguerite

Tous les quatre au lieu de partir pas l'arrière, passèrent au travers des journalistes et rejoingnirent leurs voitures, exténués.

- Roxton ! appella Danielle en pleurant

- Danielle…

- Je sais que tu as couché avec cette femme !

- Non, je ne l'ai pas fait.

- Oui !

- Je ne l'ai pas fait Danielle ! Si c'est ainsi que tu veux vivre, en doutant toujours de moi et en me harcelant, voilà ma réponse : Adieu !

- Tu.. tu n'as pas le droit de me quitter.

- Oh bien sûr et je le fais tout de suite. Notre mariage n'aura pas lieu.

Les journalistes se jettèrent sur Danielle qui pleurait et sur Roxton fâché. Les trois autres soulagés d'être débarrassés des journalistes s'en allèrent, le cœur heureux.

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