Chapitre 18. Voldemort.
Salut !! Voici enfin le chapitre 18 ! Plus que le 19 et 20 à écrire. Alors, j'espère que vous aimerez ;) !
Mallissandre : Salut ! Les phots sont dévelloppées mais malheureusement, les scanner est un peu inutilisable alors… Salut, je sais que ça doit faire très longtemps, mais j'espère qu'il s'est bien passé ton examen !! Et puis, comme je compte faire une suite, c'est pas trop pire… Je n'ai pas vu si tu as mis de nouveaux chapitres !!! J'y cours après avoir posté ça !
Spyro : Merciiiii ! Et puis, t'en fais pas, je détèste faire des fautes alors, tant mieux si tu m'avertis !! Et malheureusement pour toi, personne de vraiment proche d'Harry va mourir. Désolée si ça te déçois…
Kawa : Salut toi ! Merci pour la review !! Et puis, j'espère que tu t'es pas trop étouffée cette fois en voyant ton nom ^_____^
Michou : Merci !!!! Wow, ch'uis toute fière, mon amie viens me donner une review !!!! Wow ! Justement j'ai un truc pour toi dans quelques lignes :
Pour Catherine, pour ses commentaires positifs et qui fut la première à lire l'histoire toute en papier.
Et pour Michelle, qui me donne des commentaires positifs à chaque matin, qui m'aide en anglais quand j'en ai besoin (Thank you !!) et bien sûr qui est mon amie (Cathou aussi, t'es mon amie, sois pas jalouse)
Alors voici ce que vous attendiez :
*~*~*
Sirius s'approcha timidement et plaça sa main sur l'épaule de James. Celui-ci se retourna et son visage s'illumina.
- Sirius ! Mon vieux frère !
Ils se serrèrent dans leur bras en riant.
- Whoa, je croyais que je ne te reverrais jamais, s'exclama Sirius
Lily quant à elle s'était tournée vers Alicia et elle lui sourit. Elles se jetèrent dans leur bras en pleurant.
- Ali !! Tu m'as tellement manqué !!
- Et toi donc !
McGonagall était complètement abasourdie et dû s'asseoir quelques instants. Elle avait les yeux pleins d'eau et regardaient Lily et James comme s'ils étaient ses propres enfants.
- Contents de vous revoir, lui annonça James en lui tendant une main
- Moi aussi, mes chers.
Puis James se tourna vers Dumbledore.
- Dumbledore, c'est bien votre style de nous ramener pour combattre, dit James en souriant
- Mon cher James, toujours aussi joyeux à ce que je vois.
Lorsque toutes les retrouvailles furent accomplies et toutes les larmes séchées, James se pencha vers son fils.
- Alors Harry, tu pourrais nous présenter à tes amis.
- Euh… euh… oui, bien sûr, dit-il encore impressionné par ses parents. Alors, voici Ron, mon meilleur ami.
Ron rougi comme une pivoine en bégayant un "bonjour". Lily sourit.
- Nous voulions te remercier de t'occuper aussi bien d'Harry, Ron.
- Mais… de rien… vraiment… bégaya-t-il
- Et voici Hermione, mon autre meilleure amie.
- Bonjour.
- Bonjour. Tu sais Lily, elle me fait penser à toi avec ses notes excellentes.
Hermione rougi à son tour et Harry souri. Il avait bien vite compris que son père serait toujours aussi mesquin qu'on l'avait décrit.
- Et voici… Rachel, annonça-t-il simplement
- Ta petite amie ? s'empressa de demander son père en souriant
- Euh… non… bafoua-t-il rouge
Sa mère sourit et pris la main de son fils.
- Que devons-nous faire maintenant ?
Elle s'adressait à Dumbledore, mais malgré son sourire, Harry sentait la tension qui régnait autour d'elle.
- Allez dormir, tous. Vous savez tous très bien ce que vous aurez à faire n'est-ce pas ?
Tous aquiesçèrent.
- Alicia, peut-être feriez-vous mieux d'aller rejoindre les élèves ?
- Non, je reste.
- Bien, mais ne combattez pas.
Harry aurait voulu parler plus longtemps avec ses parents; il n'avait que 48 heures après tout. Mais il savait que s'il ne dormait pas cette nuit, Voldemort aurait facilement raison de lui demain.
*~*~*
Le jeune garçon poussa la porte et, essoufflé, il chercha son maître des yeux. Le feu crépitait toujours dans la cheminée et l'odeur de sang régnait encore de façon horrible, mais il n'y avait plus de traces de l'être affreux qui vivait dans ce salon ni non plus de sa bête qu'il appelait Nagini.
- Que cherches-tu ? demanda un grand blond
- Monsieur Malefoy, je cherche le maître, monsieur.
- Le maître ? Il est déjà partit pour Poudlard. D'ailleurs tu devrais être à ton poste pour l'événement de demain.
- C'est que, voyez-vous, Dumbledore est au courant et il nous…
- QUOI !! QUI LUI A DIT ?!
- Je… euh… Harry Po…
- Et comment celui-ci a-t-il pu savoir ?
- Je ne le sais pas, je…. Je…
Malefoy donna un grand coup de pied dans une petite table et jura.
- On doit l'avertir, Crabbe. Tu viens avec moi. Dépêches-toi, on doit le retrouver !
*~*~*
Harry cria, sa cicatrice ne lui avait plus fait mal depuis bien longtemps maintenant. Même la fois où il avait vu Voldemort de proche, il n'avait presque rien ressentit. Mais cette fois, il la sentait brûler sous sa main et dans sa tête c'était pire.
- Harry !
Sa mère s'approcha et dès qu'elle posa sa main sur son bras, la brûlure arrêta d'un coup sec. Son père s'assit à côté de lui.
- Est-ce que ça va ?
- Oui, oui, ça va.
Ron était debout à côté et semblait inquiet.
- De toute façon, il est temps de se lever, lui dit doucement sa mère, qu'est-ce que tu as vu ?
- Voldemort ne savait pas que nous étions au courant. Mais Crabbe est allé à son repère. Voldemort était déjà partit et il a tout raconté à Lucis Malefoy. Ils essaient d'aller avertir leur maître.
- D'accord nous avertirons Dumbledore, lui dit doucement son père.
Ron, qui était déjà prêt, lui sourit et sortit du dortoir, le laissant seul avec ses parents.
- Je veux que tu fasses très attention à toi, lui dit sa mère en caressant ses cheveux, je ne veux pas que tu meures.
- Je ne veux pas mourir non plus, maman, répondit-il en souriant
C'était la première fois qui plaçait ces mots dans une phrase concrète. Sa mère lui sourit et James se mit à rire.
- Il est bien comme toi, James.
- Mais j'en suis fier, Lily. J'en suis fier.
- Je… commença Harry, je regrette que vous ne soyez là que pour deux jours. Et surtout dans ces circonstances. J'aurais tellement voulu vous connaître.
- Tu ne peux pas savoir comme nous ressentons exactement la même chose. De là où nous sommes, nous te voyons évoluer sans nous et souvent dans la douleur et tu ne peux pas savoir à quel point tout cela nous attriste.
- Pas autant que moi. Vous me manquer terriblement. Sans même vous connaître, je vous aimais déjà. Cette fois, ce sera beaucoup plus dur vous perdre…
- Oh Harry !
Sa mère le serra dans ses bras et son père passa son bras autour des épaules de deux des trois personnes les plus importantes pour lui. Ce jour allait être terrible pour tous, mais celui qui souffrirait le plus serait encore le survivant.
*~*~*
Même le vent s'affolait. Il chantait sa douleur au dessus de la tête des élèves et essayait de les dissuader de se battre. Ils auraient pu fuir, ils aurait pu se cacher tous au refuge des fondateurs, mais même les plaintes étrangement froides du vent pour le mois de mai ne semblait pouvoir les en empêcher. Ils se battraient, tous comme de grands sorciers et de grandes sorcières.
Avec Dumbledore en tête, entouré d'Aurors, de professeurs et d'élèves anxieux, ils semblaient prêts à laisser la mort les prendre. Évidemment, ils avaient tous faits leurs adieux à chacun d'entre eux et même leur testament. Ils se doutaient bien que le jour serait critique et que si la guerre durait jusqu'à la nuit, la plupart seraient épuisés ou mort.
Mais c'était rarement le cas chez les sorciers. Le plus fort gagnait après quelques heures à l'habitude… Bien sûr, les seules guerres sorcières qu'il y avait eu dans l'histoire était pour défendre le bien (sans compter celles des gobelins, de nature sanguinaire). Ils n'étaient pas comme les moldus, du genre à se battre pour un pays.
Pourtant, cette fois, une guerre sans merci aurait lieu.
Les mangemorts arrivèrent en premier et furent surpris de voir que tous étaient prêts. Les vilains se défirent vite de leur camouflage et sortirent leurs baguettes. Mais ils n'attaquèrent pas, ils attendirent un ordre de leur maître.
Lorsqu'il arriva, personne ne pu le manquer. Il portait une robe noire et son visage était recouvert. Il ne touchait pas le sol alors qu'il avançait. Plusieurs élèves sentirent la panique s'emparer d'eux mais essayèrent de ne pas la laisser voir. En particulier Malefoy.
Le seigneur des ténèbres s'approcha tranquillement et plus il était proche, plus Harry sentait sa tête redevenir douloureuse. Au loin, Lucius Malefoy et Crabbe arrivèrent; trop tard. Voldemort était surpris de les voir tous préparés, mais de toute façon, il avait confiance.
- Et bien. Il semblerait qu'il y aille des traîtres parmi mes fidèles. De toute façon, ça ne changera rien. Je vous tuerez tous.
- Essayez, mon cher Voldemort. Vous n'êtes pas le seul, de toute façon, à défier la mort, s'exclama James
Les yeux rouges de « l'homme » se dirigèrent sur James et une lueur de frayeur s'enflamma dans ses yeux. Il se tourna ensuite vers Lily et il grommela.
- Comment vous… Ah, bien sûr, vous avez déjà utiliser le médaillon que je venais justement récupérer.
- Vous avez enfin compris, murmura Hermione
Les yeux de Jedusor s'arrondirent et il leva sa baguette.
- Tuez-les !!
Ça y était. La guerre commença. Tous levèrent leur baguette et les deux groupes se mêlèrent. Les sorts de toute sortes se mirent à fuser de partout.
Tandis que les cris et les pleurs se mettaient à retentir, il semblait que personne ne visait Harry ou Hermione… enfin, personne sauf Voldemort. Sirius fut obligé de les quitter bien vite pour aller aider les gens plus à l'ouest, tout comme James et Lily. Bientôt, ils furent tous dispersés et Hermione, Harry et Ron étaient seuls avec Voldemort. Harry avait toujours une douleur atroce à la tête, mais vu la gravité des événements, il s'en souciait peu.
Le seigneur des ténèbres leva sa baguette vers Hermione.
- Sanguinus !!
Les trois adolescents, trop pétrifiés pour faire quoi que ce soit ne réagirent pas tout de suite, mais dès qu'ils entendirent Hermione hurler plus d'horreur que de douleur en voyant ses jambes en sang, Ron devint fou de rage et alla pour se jeter sur Voldemort mais ce dernier leva de nouveau sa baguette :
- Doloris !
Cette fois, c'est Ron qui se mit à hurler, étendu sur le sol. Harry, leva à son tour sa baguette.
- Avada Kedavra !!
Le sort atteint Voldemort de plein fouet et Ron cessa de crier. Mais la victime du sortilège, au contraire, sourit. Enfin, comme un démon pouvait sourire.
- Ah, ça chatouille.
Harry horrifié recula et aida Ron à se lever, mais il reçut un coup et fut obligé de laisser Ron et Hermione seuls, Voldemort à ses trousses. Au moins, pensa-t-il, Voldemort ne s'en prendra pas à eux.
- Allons, tu ne restes pas avec moi ?
Harry ne répondit pas et continua de courir, retenant ses larmes et ses cris de douleur.
Autour de lui, il voyait bien que les mangemorts étaient faits pour attaquer les gens par derrière et non pour combattre en guerre. Oui, la plupart des mangemorts étaient déjà maîtrisés ou morts… pourtant il restait les plus puissants qui semblaient donner du fil à retorde à tous les Aurors et combattants.
Il chercha du regard ses parents, Sirius, Remus, qui était arrivé le matin-même, ou un de ses amis, mais rien. Il ne voyait que des inconnus. La panique s'empara vite de lui. Il était totalement seul, poursuivi par Voldemort… Cette fois des larmes de désespoirs se mirent à couler. Il aurait voulu s'écrouler sur le sol et donner tout le poids l'écrasant à quelque d'autre.
Il sentit une main se poser sur son épaule et il aurait jurer que sa tête allait exploser.
- Mais voyons Harry. J'aimerais bien jouer avec toi
Le jeune garçon s'écroula de douleur ne rettenant plus ses cris et ses pleurs.
Tiens bon, Harry, je t'en pris…
Je n'en plus Rachel… J'en ai assez…
Tiens bon. Si tu le fais pas pour toi, fais le pour moi, Hermione, Ron, tes parents et surtout, pour le tuer.
Je n'y arriverai pas…. Je n'y arriverai jamais.
Des bras puissants vinrent le prendre et il entendit des paroles vagues. Il ouvrit ses yeux et vit que c'était Sirius qui venait de le sauver. Il vit des Aurors s'interposer entre eux qui fuyaient et Voldemorts.
- Ils… mourir… murmura-t-il à bout de force
- Je sais… marmonna tristement Sirius, Mais l'important c'est tu survives.
Les larmes d'Harry redoublèrent mais il était trop épuisé pour dire quoi que ce soit.
Le fait qu'il était à demi conscient ne l'empêcha d'entendre une voix de jeune fille hurler de douleur. Et il reconnaissait cette voix.
- Rachel….
Mais il ne put en dire plus qu'il s'évanouit.
*~*~*
Il s'éveilla dans un endroit plutôt sombre.
- Ça va chéri ?
C'était la voix de sa mère.
- Ça fait combien de temps que je suis ici ? demanda-t-il immmédiatement
- Deux heures.
- Où sommes-nous ?
- À l'infirmerie.
- Voldemort ?
- Toujours dehors. Mais il n'arrive pas entrer dans l'école.
Il regarda rapidement la pièce et les gens qui s'y trouvaient : Hermione, Priscilla Deauclair, Charles Trotwood, deux Serdaigles et un Poufsouffle.
Harry….
- Je t'aime maman.
Il la serra dans ses bras puis partit en courant.
- Harry !! pleura sa mère, sachant ce qu'il allait faire, Harry, je t'aime aussi !!
Il sortit dehors et fut frappé par ce qu'il vit. Les gens continuaient à combattre même s'ils étaient moins nombreux. Des centaines de corps étaient étendus sur le sol boueux. Il ne s'était pas rendu compte de combien ils étaient nombreux ce jour là. Ni combien de mangemorts avaient attaqué. Et maintenant, il constatait les effets terribles de la guerre.
En colère, il se mit à chercher Ron et Rachel.
- Ron !!
- Harry ?! Je suis là !
Il se retourna et le vit, plein de terre, baguette en main.
- Qu'est-ce qui c'est passé ?
- J'ai combattu Harry !!! Et je leur ai mis la pâté à ces imbéciles !!
- Ron, ce n'est pas le temps de plaisanter. As-tu vu Malefoy ?
- Oui. Je crois qu'il se cache, il s'est battu avec son père et il a perdu. On a peur qu'il soit déjà mort.
- Ça m'étonnerait qu'il se cache… Hermione est à l'infirmerie.
- Je sais… murmura tristement Ron en baissant la tête
Voilà pourquoi il rigolait… Il ne voulait pas arriver aux sujets délicats. Harry non plus d'ailleurs; il tournait autour du pot.
- As-tu vu Rachel ?
- Non.
Harry grommela et la chercha du regard. Ce serait difficile de la trouver, tous étaient boueux.
Rachel. Je t'en pris ne soit pas morte.
C'est une drôle de requête.
Rachel ! Où es-tu ?!
Je… je ne sais pas.
Fais-moi un signe, quelque chose !!
Je ne peux pas.
Harry commençait sérieusement à paniquer. Ron le dévisagea mais il s'en soucia peu. Il prit une profonde inspiration et essaya de se concentrer. Où était-il lorsqu'il l'avait entendu crier ? Non, il ne s'en souviendrait jamais.
Puis, il se souvint de l'halloween. Cho avait pronnoncer un formule clé… Et il avait appris comment faire cette année !
- Que celle que je cherche
Soit facile à trouver
Que celle que je cherche
Soit évidente à trouver.
Ce n'était pas du grand poème, mais ça fonctionna. Il se sentit tiré par une force et bientôt il fut obligé de courir pour suivre.
Il couru quelques minutes, ne sachant pas du tout où il s'en allait puis arrêta brusquement et Ron lui fonça dedans.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Le sort a arrêté.
- Peut-être qu'il n'a pas fonctionné ?
- Non, non, elle doit être par ici.
Harry avança prudemment, sachant qu'il était à la lisière de la forêt interdite. Puis, il l'aperçut, accotée sur un arbre. Il se dépêcha à aller la rejoindre et l'aida à se relever. Elle avait les mains en sang et était à moitié inconsciente.
Ron l'aida à la supporter le temps qu'elle était encore capable de marcher. Ils essayèrent le plus vite de se rendre à l'intérieur de l'école.
- Tu crois qu'on arrivera à temps ?
- J'espère
- Harry !
- Papa ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- As-tu vu Sirius ?
- Euh… il y a deux heures.
- James, je suis ici !
- Ah, je commençais à m'inquiéter. Et toi, ça va Harry ?
- Moi oui. Elle non.
Un rire glacial se fit entendre.
- Et bien, te voilà enfin. Et maintenant, tu ne m'échaperras pas.
- Je pourrais bien m'enfuir, répliqua Harry sans avoir besoin de se retourner pour savoir qui lui parlait.
- Tu ne le feras pas. Tu ne veux pas laisser cette sang-de-bourbre entre mes mains.
- Je ne veux laisser personne entre vos mains, Tom.
Cette fois, il lui faisait face, le visage exprimant une colère intense. Bientôt, Dumbledore, les Aurors et les autres élèves l'avait rejoint et lui faisait tous face.
Voldemort fronça ses « sourcils » voyant que tous ses mangemorts était hors d'état de combattre et une étrange lueur passa dans ses yeux lorsqu'il vit Drago rejoindre Harry.
- Vous êtes venu dans cette école, n'est-ce pas Tom ? demanda le survivant, Vous avez donc dû apprendre cette incantation ?
James posa sa main sur l'épaule d'Harry.
- Quelle incantation ?
- Celle qui permet de retirer de l'énergie à ceux qui vous touchent ou qui sont en lien avec ceux qui vous touchent pour ensuite réussir un très gros sort, vous voyez ce que je veux dire ??
Avant que Voldemort n'ait pu faire quoi que ce soit, Harry avait levé sa baguette.
Un frisson parcouru la foule autour d'Harry et un après les autres ils se mirent à tomber épuisés. Mais au contraire, Harry devenait de plus en plus puissant et vigoureux. Il sentit bientôt sa baguette vibrer et il eu peur qu'elle fende en deux.
Il sentit toute l'adrénaline monter en lui tandis que la colère était à son maximum. Il laissa la puissance de tous parcourir ses veines quelques instants, savourant la peur sur le visage de son adversaire.
- Vas-y Harry, lui dit sa mère qui s'approchait doucement de lui et qui posa sa main sur son épaule
Alors, il regarda les gens assis autour de lui, trop faibles pour se relever. Les gens inconscients et ceux morts. Il ferma les yeux et ce ne fut qu'un murmure.
- Avada Kedavra.
Toute l'énergie explosa, littéralement. Le survivant fut projeté en arrière et tomba dans les bras de son père. Un cri horrible retentit et un nuage de poussière s'éleva, recouvrant ceux qui avaient donner leur énergie à Harry (c'est à dire, tous les gens présents encore vivants). Puis, le ciel se couvrit et la pluie tomba.
Un esprit s'éleva et de lui émanait la colère. Il regarda Harry avec haine et disparut sous la foudre et les nuages. Les gens tous trempés se levèrent lentement et malgré tout le malheur qui s'était produit, des sourires s'affichèrent tranquillement.
Puis des hurlements de joies se firent entendre, des larmes coulèrent et Harry qui essayait de rester avec ses parents, Ron et Rachel fut soulevé et traité en roi…
*****
Bouhou, plus que deux chaps !! T'as raison Mallissandre, ça fait bizarre !
Andra
