Chapitre 19. Après la pluie, le beau temps.
Woua ! Je me surpasse ! Ça n'a pas pris trois mois pour le 19e chapitre ! Et j'ai atteint 5 dizaines de reviews, une demi centaine et oui 50 reviews pour 18 chapitres… Je suis toute fière ;) !
Lady Kim : Merci ! Je dois te dire que c'est l'avant dernier chapitre alors ouf, ça fait plus beaucoup à écrire…. Je compte faire un long chapitre pour le dernier.
Hermiona292 : Whoa !!! Ton message est tellement long que je me demandais s'il avait une fin quand je l'ai lu !!!!! Merciiii ! J'suis toute motivée là ;) ! Elle arrive la suite ! Mais je suis désolée, vraiment, je crois que la fin va te décevoir :'( ….
À tous ceux qui apprécient ma fic (en particulier Hermiona292, Lady Kim, Mallissandre et mes autres amies qui l'ont lu sur papier) je vous dédie ce chapitre.
*~*~*
La plupart des gens ne purent rien faire d'autre que se lever et aller dormir après cela. Le sort avait utilisé toute leur énergie.
Quand 20 heures sonna, 24 heures avaient passées depuis l'arrivée de Lily et James. Mais toute l'école dormait alors, personne ne s'en rendu compte.
Puis à six heures le lendemain, tous étaient reposés. Harry, Ron et Rachel allèrent à l'infirmerie visiter Hermione tandis que plusieurs faisaient le ménage de la cours. Comme le « ménage » consistait en fait à ramasser les corps morts, c'était plutôt les adultes qui s'occupait de cette tâche peu gratifiante.
Arrivé à l'infirmerie, Ron couru sur Hermione et lui prit la main.
- Mionne ! Tu vas mieux ?!
- Oui, oui je vais mieux, répondit-elle en riant, Et toi, tu t'en ai sortit ?
- Comme tu vois ! J'ai même pétrifié deux mangemorts !
- Whoa ! Félicitations !
Harry et Rachel sourirent en entendant les deux tourtereaux et commençèrent à les immiter ironiquement. En remarquant leur manège, Hermione embrassa Ron et les deux autres cessèrent en souriant de plus belle.
- Ça suffit ! cria Mme. Pomfresh en arrivant, votre amie a besoin de repos. Et il est possible qu'elle ne puisse plus utiliser ses jambes le reste de sa vie alors ouste !
- C'est vrai ça ? s'inquiéta Ron
- Non, mais elle sera en chaise roulante quelques jours.
- Mme. Pomfresh, je n'ai pas envie de rester ici. Les parents d'Harry sont arrivés puis j'aimerais bien les voir !
Elle grogna contre « cette école de fous qui ne cesse de torturer ses pauvres petits élèves qui ne veulent même plus se laisser soigner même quand la mort risque de les prendre » mais elle laissa Hermione sortir avec une chaise roulante.
Ron s'amusa comme un fou à conduire la chaise d'Hermione qui fermait les yeux et s'agrippait à sa chaise à chaque tournant, de peur de foncer dans quelqu'un… ou quelque chose.
Rachel et Harry suivaient en souriant, profitant des derniers moments de rires qu'ils auraient pour les prochains jours.
Enfin, ce n'était pas exact. Les examens avaient étés annulés, alors les B.U.S.E seraient évalués sur la moyenne de l'année. Parfait !
Mais d'abord, il y aurait les funérailles des morts et comme il avait cru comprendre de Ron, pour les funérailles d'autant de personnes mortes dans une guerre, les sorciers devraient garder silence une journée entière.
Puis il y aurait les festivités. Une semaine selon Ron.
Mais pour le moment, toute l'école attendait impatiemment l'arrivée des quatrièmes et moins. Tous ceux qui avaient combattus avaient l'air changés, plus mature, même si pour la plupart ils souriaient à s'en fendre le visage. Leurs traits étaient… soulagés. Même Hermione ne semblait pas s'en faire pour rien, ni ses jambes ou ses examens. Elle était simplement heureuse de vivre.
Tout comme Drago.
Au loin, on vit soudain une foule d'élèves boueux et sales qui semblaient avoir passés leurs quelques heures au refuge à pleurer et à angoisser. En tête se trouvaient de jeunes Aurors qui avaient l'air aussi peinés.
En apercevant leurs amis, frères, sœurs, cousins ou autre les élèves se mirent à courir et ce fut sûrement les plus grandes retrouvailles qu'on ai jamais connus pour seulement deux jours de séparation.
Emma se jeta dans les bras de son frère en le voyant et se mise à pleurer. Ses larmes laissèrent de longues traces sur ses joues salies et elle débita des paroles incompréhensible une bonne minute.
Ginny fit de même pour ses trois frères et pendant qu'elle était dans leurs bras elle fut rassurée de voir Draco en vie. Seul et l'air mélancolique, mais en vie.
- Hermione !! crièerent en cœur Lavande et Parvati, Qu'est-ce qui t'est arrivé ?!
- Oh rien de grave.
- Tu rigoles ? Tu es en chaise roulante !
- Mais, ce n'est que passager.
- Oh mon Dieu ! cria soudain un élève en pointant vers le ciel
Les autres élèves levèrent les yeux et dans le ciel, on pu apercevoir des centaines de hiboux transportant des lettres rouge vif. Les volatiles se battirent quelques instant pour se trouver une place sur le sol, déposèrent leur lettre et repartir. Le silence ce fut et Dumbledore prit la parole :
- Je vous conseille fortement de vous boucher les oreilles.
À ce moment les lettres explosèrent et des cris retentirent de partout, mais comme c'était la cacophonie absolue, personne n'entendit clairement ce que les voix, en majorité féminines, criaient.
La cacophonie dura plusieurs minutes et la plupart des élèves étaient pliés en deux, se bouchant les oreilles. Puis, une bonne partie des lettres fini avec un « vieux fou débile ! » et le bruit qui avait effrayé les oiseaux et autres bêtes cessa. Les élèves rirent légèrement et Dumbledore sourit.
- Bon, la plupart des parents sont fâchés contre moi. Mais comme aucun élève est mort, je n'aurai pas trop de problèmes… Pour le moment, profitez tous de votre journée, les célébrations officielles auront lieu à partir de demain.
Emma ne savait pas que ses parents étaient arrivés et pendant qu'elle alla se doucher et se changer, ceux-ci allèrent faire leurs dernières salutations aux professeurs et à Dumbledore car ils avaient planifié de passer la journée avec Alicia, Sirius, Harry, Emma et leurs amis.
Emma sortit de son dortoir et leva les yeux vers Harry. Derrière lui se tenait deux adultes. D'abord surprise, elle regarda les deux adultes puis elle sourit.
- Maman ? Papa ?
- Oui, c'est nous.
Elle s'approcha et les serra dans ses bras.
- Je vous avais sentis, je savais que vous étiez revenus !
Ses yeux brillaient.
- Mais malheureusement, nous serons ici jusqu'à 20h.
Son sourire s'effaça.
- Ne t'en fais pas Emma, nous resterons avec toi et ton frère, lui promis sa mère en la prenant dans ses bras
*~*~*
Avant de partir pour leur journée, James et Lily parlèrent avec Alicia et Sirius.
- Alors Alicia, commença Lily, tu es enceinte n'est-ce pas ?
- Oui, répondit faiblement celle-ci alors que Sirius passait son bras autour de ses épaules.
- Et qu'allez vous faire ? s'enquit James, Vous allez le garder n'est-ce pas ?
Les deux autres ne répondirent pas.
- Quoi ?! Vous ne voulez pas le garder ?!
- James, nous avons eu Élizabeth avant et…
- Mais cette fois Voldemort est anéantit !
- Non, il est redevenu essence, mais il n'est pas mort. Et il est essence quand Élizabeth est morte.
- Pour ma part, fit Lily, je me souviens seulement que lorsque vous aviez Liz, vous étiez vraiment heureux et je peux vous dire que si tu laisses mourir ton enfant Alicia tu te sentiras mal toute ta vie. Je sais que vous l'aimez déjà tous les deux mais vous avez peur. Quand Emma est morte, même j'étais morte aussi, vous ne pouvez savoir comme je m'en voulais, comme je ne m'étais pas rendu compte combien je l'aimais.
- Il y a donc une vie après la mort ?
- Et oui, répondit Lily en riant
Il y eu un court silence où Alicia et Sirius s'échangèrent un regard.
- Tu as raison Lily. Je crois qu'on allait faire la pire bêtise de notre vie. Merci.
Alicia se retint de pleurer et elle serra Lily dans ses bras.
Quelques minutes plus tard, tous les quatres plus Remus, Harry, Emma, Ron, Hermione, Rachel, Ginny et les jumeaux étaient en route pour leur journée.
La journée commença très bien. Ils traversèrent Pré-au-lard et presque tous le habitants sortirent de chez eux pour voir les Potter réunis.
Quand ils arrivèrent à la fin du village, il y avait une grande côte et Ron sourit.
- Non, Ron. Ne fais pas ça, je t'en pris. Ne fais pas ça.
Mais Ron n'écouta pas, il plaça un pied sur une des barres de la chaise roulante d'Hermione, puis deux et tous les deux dévalèrent la pente à une vitesse incroyable. Hermione criait et Ron riait.
Les autres les suivirent et finalement, lorsque la pente arrêta, Hermione riait aussi.
- Non mais tu es fou !
- Tu as apprécié alors tais-toi !
- Tu es fou quand même, on aurait pu se tuer !
Tous allèrent ensuite pique-niquer.
- Fred, Georges, je dois vous dire que je suis fier de la façon dont vous avez utiliser notre carte. Je suis heureux que vous l'aviez donné à Harry car il en a fait un aussi bon usage !
- Alors, c'était la vôtre ?
- Bien sûr. Et celle de Sirius, Remus et… euh, Peter.
- Peter ? demanda Ginny
- Celui qui a envoyé Sirius en prison et qui a trahi Lily et James, expliqua Remus
- Oh le salaud ! s'exclama Fred, Le sale rat !
Tous ceux qui étaient au courant de l'animagus de Peter éclatèrent de rire.
- En effet, approuva Lily, ce n'était qu'un rat.
- Était ? demanda Harry
- Il est mort à Azkaban, dit Sirius, Il est mort il y a quelques jours.
Tous se turent quelques instants puis les fous rires reprirent lorsque James plaça une araignée sur la tête de Lily qui se mit à crier en se débatant comme une folle.
Puis au loin, on vit une grande masse arriver. C 'était Hagrid et il empoigna Lily et James par la taille et les serra en pleurant.
- Hagrid, nous étions d'être partis sans vous ! Où étiez-vous bon sang ?
- À l'infirmerie ma petite, mais comme je suis heureux de vous revoir tout les deux. Oh, Lily, vous avez une araignée sur la tête.
Plus tard, comme ils passaient devant un lac, Rachel pointa un truc au loin et dès qu'Harry leva les yeux, elle le poussa à l'eau, mais il s'accrocha et tous deux tombèrent dans le lac. Et quelques secondes plus tard, Harry, James, Sirius, Remus, Ron et les jumeaux combattaient contre Rachel, Emma, Alicia, Lily et Ginny. Le combat était totalement inégal, mais c'était vraiment drôle.
Hermione les regardait distraitement et Hagrid était assis près d'elle en lui souriant.
- Tes jambes guériront n'est-ce pas ?
- Oui, elles guériront, mais j'aimerais bien être avec eux pour le moment.
- Bah tu vois, moi aussi j'aimerais bien mais si je saute dans l'eau je te paries tout ce que tu as que je vais créer le plus grand raz-de-marée de toute l'histoire.
- Vous n'avez qu'à ne pas sauter.
- Nah, j'suis bien ici. Dumbledore dit souvent qu'on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a et que si on essaie d'en faire plus, c'est là qu'on se blesse.
*~*~*
Tous passèrent une excellente journée et à 18h, ils repartirent tous vers Poudlard sauf James, Lily et leurs enfants.
- Patmol, tu donneras cette lettre à mon grand-père, demanda James, Et prends bien soin de toi, Alicia, ton futur enfant et… les miens.
- Compte sur moi Cornedrue.
Ils se serrèrent dans leurs bras. Tandis que Alicia et Lily faisaient de même, mais elles en pleurant.
- Ce fut un plaisir de vous connaître, dit Lily en s'adressant aux plus jeunes, Oh , ne pleurez pas Hagrid. Nous nous revérons.
- Pas trop top j'espère.
- Nous espérons aussi. Allez au revoir.
Quand tous furent partis, Emma leva la main comme pour poser une question.
- Ton grand-père ?
- Dumbledore est mon grand-père.
- Quoi !
- Et oui. Mais les explications, c'est à lui que vous devrez les demander. Pour le moment, il nous reste deux heures et je veux que ce soit les meilleures de ma vie… euh…de ma mort… en tout cas.
James se transforma en cerf et Harry sourit voyant que son Patronus était exactement le même.
Lily embarqua sur son dos et fit signe à ses enfants de faire de même.
- Il serra capable de nous supporter ?
- Oh oui ! Il a déjà porter Sirius, Remus et moi à la fois. Allez, grimpez.
Harry et Emma grimpèrent et le cerf partit à la course, provoquant les fous rires. Il se rendit à un endroit que les jeunes n'avaient jamais vus. C'était magnifique.
Il y avait pleins d'oiseaux qui ne furent pas impressionés le moins du monde lorsqu'ils virent James arrivé. L'herbe était fraîche et verte, et elle s'étendait sur des kilomètres. Tous descendirent et James se retransforma en lui-même.
Ils passèrent deux heures à se balader, à parler et en faisant que passer du temps tous les quatre ensembles. Harry était persuadé que c'était les deux plus belles heures de sa vie.
À 19h58, Emma regarda sa montre et ses yeux devinrent vitreux.
- Deux minutes, murmura-t-elle, la gorge serrée
- Oh Emma, je veux que tu saches combien nous t'aimons. Nous vous aimons tous les deux. Nous aurions voulu vivre avec vous. Nous aurions voulu vous voir grandir, apprendre, comprendre, poser des questions…
- Aimer, être heureux, créer…
- Mais le destin a choisit autrement. Vous ne pouvez pas savoir ce qu'on aurait donner pour le contrer, pour l'empêcher de nous reprendre, mais nous nous consolons en voyant comment vous êtes beaux, forts, intelligents, courageux… et en vie. Je vous en supplie, continuez sur la voix que vous avez prise, c'est la bonne et c'est la meilleure.
- Et n'oubliez jamais que nous vous aimons. Harry, continues à bien t'occuper de ta sœur, protège-la. Continue à combattre le mal, continue à espérez, et n'abandonne jamais. Nous t'aimons plus que tout. Emma, continues à être aussi sage et ne te laisses pas marcher sur les pieds malgré ce que les gens dirons de toi (comme Malefoy et Rogue) et reste aussi douce et compréhensive que tu l'es. Aide ton frère. Nous t'aimons plus que tout aussi…
- Ne nous oubliez jamais.
Harry et Emma serrèrent leurs parents dans leurs bras, le plus fort possible, espérant ne plus jamais les quitter. Ils s'agrippèrent de toutes leur forces, pleurant, mais leurs parents disparurent tout de même.
- On vous aime aussi, murmura Harry en prenant Emma dans ses bras qui avait éclaté en sanglots.
Il consola longuement sa sœur et laissa couler quelques larmes. Il ramassa les deux médaillons du ying-yang. L'original s'était séparé pour faire revenir James et Lily et il prit la partie noir et donna la blanche à sa sœur. Finalement, ils se secouèrent et rentrèrent au château et se dirigèrent vers le bureau du directeur.
Lorsqu'ils entrèrent, les yeux boursouflés, McGonnagall sortit. Elle aussi avait pleuré, visiblement.
- Allons, mes enfants, leur dit Dumbledore, Vos parents vous adorent. N'est-ce pas ce qui est le plus important à vos yeux ?
- J'aurais voulut qu'ils restent, murmura Emma
- Nous aurions tous voulu qu'ils restent, vous plus que d'autres et c'est normal. Mais de là où ils sont, ils veillent sur vous et vous pouvez être heureux d'avoir de si bons parents qu'ils ont donné leur vie pour vous. Et si vous voulez pleurer, allez-y, je ne vous empêcherai pas. Je connais ce genre de douleur.
- Nous voulons savoir pourquoi vous êtes notre arrière grand-père, en fait.
- Et bien, j'ai eut une fille qui s'est mariée avec un Potter, ils ont eut un fils, James et il a eut deux enfants. Voilà.
- Oui mais, répliqua Harry en souriant légèrement de cette réponse, pourquoi nous l'avoir caché et pourquoi ne… ne pas… pourquoi m'avoir placé chez… les Dursley.
- Je n'ai jamais voulu me présenter comme un grand-père pour plusieurs raisons Harry. Mais d'abord je vais t'expliquer les Dursley. La seule place où tu étais réellement en sûreté était chez les moldus. Les mangemorts ne pouvaient pas te trouver. Et puis, je ne pouvais pas m'occuper de toi Harry, je n'aurais certainement pas fait un bon tuteur.
- Mieux que les Dursley en tout cas.
Ce n'était pas de la colère, ni de la tristesse, mais il ne comprenait pas.
- En es-tu certain ? Quelles sont les choses les plus importantes de ta vie ?
- Mes amis, dit Harry sans hésiter
- Si tu étais pauvre demain, comment réagirais-tu ?
- Tant que je suis avec ma famille et mes amis…
- Si tu avais à faire un choix. La vie de ta sœur ou la tienne ? Laquelle donnerais-tu ?
- La mienne.
- Renoncer à tes pouvoirs et vivre avec tes parents ou garder tes pouvoirs et laisser tes parents ?
- Renoncer à mes pouvoirs !
- Laisser les autres combattre Voldemort et fuir ?
- Jamais !
- Tu vois, tu n'aurais jamais eut les mêmes convictions si tu n'avais pas vécu dans la misère. Peut-être que si, mais tu aurais hésiter et les biens matériels auraient eut une trops grande place dans ta vie. C'est ce qui arrive à tous les élèves de cette école. Tu te souviens de ce que Ron voyait dans le miroir ?
- Vous vouliez que je sois un vrai… un vrai…
- Guerrier. Oui, c'est vrai. Je savais que tu aurais à vivre de dures épreuves et que tu ne les traverserais pas si tu étais avec moi…
- Mais, pourquoi ne pas m'avoir dit que vous étiez mon grand-père ?
- Harry, aurais-tu compris à cette époque pourquoi je ne pouvais pas te garder ? Et puis, je suis le directeur de ton école, je ne voulais pas de favoritisme. Bon, il se fait tard. Je vous conseille d'aller quémender de la nourriture aux elfes de maison comme vous le faites souvent et d'aller vous coucher après votre festin.
Dumbledore leur sourit et les laissa s'en aller. Puis, il relut la lettre que James lui avait laissé.
Cher Grand-père,
Je suis extrèmement heureux de t'avoir revu, tu ne peux pas imaginer. J'aurais voulu passer plus de temps avec toi, mais le temps file trop rapidement dans ce monde et j'ai un fils avec qui je n'ai jamais pu passer de temps. J'ai une fille aussi ! Les choses n'ont pas tournées comme je l'aurais voulu, je suis désolé.
Je veux te dire que je suis vraiment heureux de savoir que tu as si bien veillé sur Harry les années où il était avec toi. Je retourne là où je dois aller. Et comme tu me l'as enseigné, ne déjoue plus le destin grand-père, c'est trop douloureux après, tu le sais.
Je t'aime très fort !
James
