Chap 7: Retrouvailles
Sheik était arrivée. Comment? Elle n'en avait pas la moindre idée. Son instinct sheikah avait prit le dessus pendant tout le voyage.
Finalement arrivée à l'entrée de la ville, elle avait repris conscience, pour se retrouver dans un corps transi. Ce qu'elle aurait voulu être une princesse forte, habile, toujours là pour aider. Au lieu de cela, Zelda se sentait inutile, pour ne pas dire complètement stupide!
Redevenant Princesse, elle s'avança à l'entrée de la ville, frappant trois lourds coups sur la porte.
Es-ce que la ville était amicale? Ou bien es-ce que c'était tout un piège, un coup monté?
Elle allait bientôt en avoir le coeur net. Un homme ouvrit une fente dans le mur et lui demanda son nom.
-Je désire parler au souverain de votre ville.
-Votre nom?
-Z.. Sheik.
-Sheik? Parfait. Veuillez procéder...-
Il ouvrit une portière cachée dans la muraille et laissa entrer la princesse. Mais un hennissement se répercuta sur les montagnes environnantes, comme une plainte, un appel. Zelda (enfin, Sheik, mais vous me comprenez) se retourna vivement. Son sang ne fit qu'un tour. C'était Thrust, avec une jolie inconnue. Elle s'apprêtait à le saluer et à lui parler, mais ce n'était ni le moment, ni l'endroit pour le faire.
Zelda se contenta de pointer les nouveaux venus du doigt et de lui dire qu'ils étaient avec elle.
Puis elle pénétra dans la ville marchande avec le coeur plein d'amertume.
.......
-Après vous...
-Gentleman, va! Répondit gentiment Natalia à Thrust, accompagné d'un petit rire.
Après avoir fait quelques pas dans l'enceinte de la cité, le garçon fit une remarque à l'ancienne fée:
-C'est étrange qu'on ait pu rentrer aussi facilement dans cette forteresse.
-Je sais. On rends visite au palais? La reine peut nous aider.
-D'accord. Guide-moi....
........
Zelda rencontra Link dans le réfectoire, et il est inutile de décrire les effusions de joie des deux adolescents. Comme vous l'aviez deviné, Thrust et Natalia retrouvèrent également les deux amoureux.
Reprenons le récit au moment exact où la reine Héra entra dans la salle, en trombe mais avec sang-froid.
Sheik était arrivée. Comment? Elle n'en avait pas la moindre idée. Son instinct sheikah avait prit le dessus pendant tout le voyage.
Finalement arrivée à l'entrée de la ville, elle avait repris conscience, pour se retrouver dans un corps transi. Ce qu'elle aurait voulu être une princesse forte, habile, toujours là pour aider. Au lieu de cela, Zelda se sentait inutile, pour ne pas dire complètement stupide!
Redevenant Princesse, elle s'avança à l'entrée de la ville, frappant trois lourds coups sur la porte.
Es-ce que la ville était amicale? Ou bien es-ce que c'était tout un piège, un coup monté?
Elle allait bientôt en avoir le coeur net. Un homme ouvrit une fente dans le mur et lui demanda son nom.
-Je désire parler au souverain de votre ville.
-Votre nom?
-Z.. Sheik.
-Sheik? Parfait. Veuillez procéder...-
Il ouvrit une portière cachée dans la muraille et laissa entrer la princesse. Mais un hennissement se répercuta sur les montagnes environnantes, comme une plainte, un appel. Zelda (enfin, Sheik, mais vous me comprenez) se retourna vivement. Son sang ne fit qu'un tour. C'était Thrust, avec une jolie inconnue. Elle s'apprêtait à le saluer et à lui parler, mais ce n'était ni le moment, ni l'endroit pour le faire.
Zelda se contenta de pointer les nouveaux venus du doigt et de lui dire qu'ils étaient avec elle.
Puis elle pénétra dans la ville marchande avec le coeur plein d'amertume.
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-Après vous...
-Gentleman, va! Répondit gentiment Natalia à Thrust, accompagné d'un petit rire.
Après avoir fait quelques pas dans l'enceinte de la cité, le garçon fit une remarque à l'ancienne fée:
-C'est étrange qu'on ait pu rentrer aussi facilement dans cette forteresse.
-Je sais. On rends visite au palais? La reine peut nous aider.
-D'accord. Guide-moi....
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Zelda rencontra Link dans le réfectoire, et il est inutile de décrire les effusions de joie des deux adolescents. Comme vous l'aviez deviné, Thrust et Natalia retrouvèrent également les deux amoureux.
Reprenons le récit au moment exact où la reine Héra entra dans la salle, en trombe mais avec sang-froid.
