4) Dans la chambre de l'ennemi
Draco avait eu un battement de c?ur en moins quand Harry l'avait l'observant dans la classe de Snape. Il avait essayé de déguiser, mais il savait que Potter l'avait remarqué (ou au moins soupçonné) la signification de son regard. Lui-même ne comprenait pas la sympathie récente envers Potter. Il savait simplement qu'après tout, les choses avaient changé, mais il s'efforçait de continuer à le tracasser comme toujours (et oui en ne peut pas laisser tomber nos habitudes), mais avec moins de désir qu'avant. Les mois passait et Crabbe et Goyle continuaient à martyriser les Gryffs, tandis que Draco, lui le faisait avec réticence, il les secondait. Bien que pour les Gryffondor c'était pareil. Malfoy avait toujours été le chef, et maintenant sûrement ne différenciait pas qui commençait ou pas.
Il avait commencé à suivre Harry dissimulé et avait examiné chacun de ses mouvements, et savait comment il était avec ses amis, comment il fixait de ses yeux verts le vif d'or quand il jouait au quidditch, comment il étudiait dans la bibliothèque, comment il mangeait sa seconde ration de flocon d'avoine... malédiction, qui lui-même n'a su quand le jeu "Contrarier Potter" s'était transformée en "Espionner Potter".
Le jour où Harry l'avait découvert en l'observant, Draco l'avait poussé dans l'entrée de la classe de Potions. Mais en réalité, ce contact était de loin beaucoup d'être une agression. Depuis il y quelques jours, Harry ne lui avait pas adressé la parole, ni même il ne l'avait vu. Et le blond avait trouvé cela étonnant que sa voix, qui bien que lui parlant avec haine ne perdait pas sa musicalité. Il s'étonnait de ces yeux émeraude qui jetaient des étincelles chaque fois qu'elles le voyaient. Ce geste au principe paraissait amusant, il l'enchantait le faire rager, mais il avait suprêmement commencé à ensuite lui paraître sexy...
Un moment !!!
Depuis quand Harry Potter paraissait sexy à Draco Malfoy ?
Le Serpentard à ces moments dans son lit, méditait sur les pensées que provoquait l'Enfant qui A survécu. Il s'était levé et était allé voir à sa petite fenêtre de sa chambre privée, en surveillant le ciel de couleur clair et le gazon humide de la régularité de sa fenêtre. Les dortoirs des Serpentards étaient semi souterrains, et seulement quelques-uns possédaient des fenêtres à la hauteur du gazon lui-même, en possédait une. Le coeur battant, et une sensation d'un inconnu l'assenaient.
"Quels démons se passe-il avec moi?" pensa-il, en passant ses doigts dans ses cheveux. Il avait déjà été attiré par des garçons, mais Potter ?
Bien qu'en faisant une analyse de conscience, ce corps svelte et ces yeux verts qui l'avaient fait rêver plus d'une fois... Serait-ce possibles ? Il devait l'admettre. Le Gryffondor lui paraissait attrayant. Malédiction.Et le pire s'est qu'en étant encore plus sincère avec lui-même, il devait aussi admettre qu'après ce temps à l'avoir observé non avec haine, mais avec la tête froide et impartiale, il s'était rendu compte qu'il n'était pas tellement mauvais... en réalité il n'avait rien de mauvais. C'était un bon garçon en définitive. Taux négligeable attrayant et charmant, dont quelqu'un pourrait être charmé.... Charmer ? Double malédiction !!!!
Harry... Harry... Harry. Des doux fantasmes ont germé dans la tête du blond jusqu'à la fatigue. Il avait pensé à ces possibilités avec un sourire dessiné sur ses lèvres fines, jusqu'à ce qu'il soit obligé de retourner à la (dure) réalité.
"Peut-être suis-je fou?". Le sourire s'effaça de sa face, tandis qu'il comprenait qu'il y avait un petit détail auquel il n'avait pas réfléchi : Potter le haïssait.
Une frustration est alors apparue. C'était la faute de cette haine ; il avait commencé à harceler Harry dès le début, pour des raisons erronées. Et il payait maintenant les conséquences. Merde.
Il s'était levé, et faisait les cent pas dans sa chambre, comme un lion en cage, furieux contre lui-même. Au début il voulait entendre d'où venaient les coups par sa fenêtre ouverte, mais il n'y avait personne, à part le gazon qui brillait avec des baisses de rosée. Il entendait à nouveau les coups, et Draco s'était pratiquement approché jusqu'à coller son nez au cristal, en regardant à l'extérieur. Un moment après, une paire d'yeux verts était apparue devant lui, en lui donnant une panique qui l'avait fait crier. (NDT : j'aurais bien vu ça en vraie moi)
C'était Harry, à genoux devant sa fenêtre avec un air malicieux en voyant la face de Draco. Il avait fini de sortir la cape invisible, devant l'extrême prudence du Serpentard, et il a dit :
Allez ! J'ignorais que je te donnerais tant de peur. -
Draco a fermé immédiatement la bouche, et a répondu avec sa habituée voix chargée de dédain :
Ni rêve pas, Potter. Que diable fais-tu ici ? -
J'ai besoin de parler avec toi, et comme je ne connais pas le mot de passe de ta maison, je suis venu par ce côté.ouvre la fenêtre que je puisse rentrer - le ton d'Harry était tellement impératif et ferme, que Draco a tourné la poignée et l'a laissé rentrer sans rien dire.
Harry glissa par la fenêtre étroite et transporta ensuite sa cape. Il l'a laissé sur le soutien d'un fauteuil, et observa autour de lui. C'était une chambre plus vaste et fine que celle qu'il partageait avec ses compagnons à Gryffondor, et elle était pleine d'élégants meubles en bois. La décoration avait les couleurs de Serpentard, vert et argenté. Il y faisait froid, parce qu'il n'y avait pas de feu dans la cheminée, mais le garçon blond qui le surveillait avec un mélange d'étonnement et de méfiance paraissait ne pas le remarquer.
Tu n'as pas froid, Malfoy ? - demanda Harry, en taillant les bras.
Non - a-il répondu avec une voix glaciale. Il était soutenu par un des piliers du lit, avec les bras croisés sur la poitrine. Jusqu'à ce moment, Harry n'avait pas remarqué que Draco était à moitié nu ; il portait seulement un léger pantalon de pyjama, qui était presque la même couleur que le torse nu et pâle de Drago, il avait une abondance de ces muscles sveltes que les sculpteurs aiment représenter. Il portait ses cheveux blonds décoiffés, qui lui tombait librement sur les épaules, et ses pieds sensibles paraissait congelés, peut-être en raison d'être déchaussé et arrêté sur l'étage froid. Toutefois, il paraissait ne pas s'en rendre compte. Une mèche rebelle glissa devant ses yeux, et il l'avait enlevée avec un geste distrait. Il avait les yeux cloués dans le Gryffondor, et Harry n'avait pas pu éviter de sentir cette sensation étrange qu'il avait sentie, il y a des mois dans la Grande Salle à manger, quand il s'est perdu dans le regard argenté du blond. Au commencement, il s'était rendu compte des caractéristiques de la face fine et il était passé de la méfiance du principe à un demi - sourire rare qui n'était pas celui habituel du Serpentard.
Harry s'est alors rendu compte qu'il s'était été littéralement absorbé en le voyant d'en haut vers le bas de Draco (O_O) ( zavés compris ? moi oui. ;), Et cela il s'était rendu compte parfaitement. En sentant le sang monter à ses joues, il a rapidement retiré la vue.
Draco, pour sa part, s'était senti assez étonné et en même temps mal-à- l'aise en voyant la manière dont laquelle Harry l'avait observé. Donc après tout, il n'était donc pas indifférent au garçon rougissant devant lui avec son pyjama à bandes. Il n'avait pas pu éviter de sourire devant la timidité de Potter ; il rougissait toujours, apparemment très intéressé de la conception de ce qui était caché par son pyjama, en jouant avec les doigts dans une attitude évidente nerveuse.
Après presque le désespoir qui avait été autorisé de la part de Draco un instant avant, il s'était senti maintenant de nouveau en contrôle de la situation. Très bien. À présent il voulait mesurer le terrain et jouer avec l'autre garçon un peu... seulement un peu. En réalité, il n'avait déjà plus tant de plaisir à le tracasser comme avant. Il se rappelait qu'Harry lui avait sauvé la vie. Il s'était laissé tomber sur le lit, conscient de la sensualité de ses mouvements.
Et bien ? - Demanda t-il, soutenu dans des coussins de soie verte.
- Bien quoi ? - répondit Harry stupidement, apparemment très concentré autre chose que la discutions. Il supposait qu'il allait parler de ce qu'il avait apporté (sa cape .) Sur ce qu'il s'était passé la nuit de l'incident, peut-être... cela il était quelque chose qui ne pouvait pas lui sortir de la tête.
On se demandait maintenant qu'est ce qu'il faisait dans ce lieu, en se sentant plus rare et confondu que jamais, bien qu'il ne sache pas précisément pourquoi.
La voix de Draco l'avait sorti de ses pensées, quand il l'a dit dans un ton lisse et traînant :
Tu as dit que tu venais parler, Potter. Parle alors où fait quelque chose, mais ne reste pas planté là -
Harry a vu à l'autre garçon lever un sourcil suggestivement, ses lèvres fines en étant courbé dans un sourire qui paraissait une invitation.
Que faisait-il ? N'était-il pas conscient de ce qu'il faisait-, ou jouait- il délibérément avec ? Il paraissait qu'il voulait le séduire. Au moins ce ton était utilisé dans la TV pour cela, par lequel à lui personne n'avait voulu le séduire avant. Bon, une fois qu'il avait découvert Colin Creevey le surveillant fixement tandis qu'il s'était douché après un entraînement de quidditch, le petit garçon l'avait vu avec un regard qu'il ne paraissait pas dire "Tu ne mangeras pas pendant une semaine, mais définitivement confus et perplexe. La situation était gênante... principalement parce qu'il supposait qu'il devrait se sentir offensé par les insinuations de Malfoy. Et il ne se sentait pas offensé. Dans ce cas absolu. Il pouvait inconfortablement sentir sa chemise étant collé à son corps par une sueur soudaine, bien qu'il y eût froid, et un bouleversement l'avait parcouru quand Malfoy s'était levé du lit et il s'était dirigé vers lui.
Harry était perplexe quand il l'avait pris par l'épaule et l'avait porté vers un fauteuil face à la cheminée. Il avait atteint son quota de froideur, et en murmurant "incendio" la cheminée avait pris feu. Ensuite, il avait été convenu dans les bras du fauteuil, en soutenant le coude dans le soutien du siège. Draco avait la même expression rêveuse qui l'avait vue en classe de Potions, en voyant les flammes dansant dans sa chambre. Harry voyait sa peau non souillée de sa poitrine à des centimètres de sa face, avec un reflet doré en raison du feu face à eux. Les petits mamelons attrayants ressortaient sur la peau laiteuse, et Harry connu une excitation croissante en lui. "Ceci ne m'affecte pas, je ne suis pas excité" c'était- il dit , bien que le rythme accéléré de son coeur dise le contraire. "Que se passe-il avec moi ?!" Il avait fermé subitement ses yeux.
- Je voudrais te remercier de m'avoir sauvé l'autre nuit - dit Drago au Début, avec la voix la plus sincère qui jusqu'à ce moment l'avait écouté Harry. Le Gryffondor s'était alors congelé, sans savoir que dire. Il avait levé les yeux vers cette face aiguisée qui continuait à observer les flammes. - Je regrettais ne pas l'avoir dit avant. Merci - susurra le blond, sans séparer sa vue du feu.
Ce n'est rien. - A dit Harry, en se sentant quelque peu intimidé. Toute la scène paraissait sortie d'un univers alternatif qui n'avait rien à voir avec la réalité. Toutefois, en profitant que le Serpentard parût disposé à parler en ce moment, il lui a demandé ce qui lui avait donné des retours dans la tête ces mois : - Malfoy... Pourquoi... tu voulais le faire ?
La face de Draco s'est durcie
Cela est quelque chose qui ne regarde pas - dit-il tranquillement , bien qu'avec un brin de rigidité dans la voix.
Ne m'en veux pas, c'est seulement que... parce que jamais imaginé que tu puisses faire quelque chose comme ça, et en vérité, si tu as besoin d'aide... -
Potter - dit Draco en lançant un regard dur - je me suffis pour régler mes affaires propres. Tu ne me connais pas dans ce qui est absolu, et celui qui t'a permis d'entrer ici sans te lancer un cruciatus c'est seulement parce qu'il te devait les remerciements, je n'aime rien devoir à personne. Maintenant, si tu n'as rien plus à dire, je crois que tu devrais retourner à ta chambre -
Draco n'a pas su pourquoi il avait réagi de cette manière. Il avait seulement senti cette fierté enracinée Malfoy refaire surface par la préoccupation de Potter. Il s'est senti humilié, et bien qu'une partie de lui ait senti des désirs d'abandonner celle-ci pour une fois et accepter les offres du Gryffondor, mais il avait refusé de le laisser le voir dans cet état de faiblesse. La satisfaction de savoir qu'il lui était attrayant a été vite changée en irritation envers le garçon brun. Il était illogique, mais n'avait pas pu l'éviter.
Harry était tracassé. Il croyait que pour une fois il pouvait être raisonnable avec son éternel ennemi, mais parce qu'il voyait, il était encore le même imbécile. Au diable Malfoy et ses problèmes et leur stupide fierté et son corps admirable. "Moi je l'ai bien gagné pour me prendre l'ennui" s'était-il dit. (NDT : Hein ?)
Bien Malfoy - Harry a fâché, en se mettant debout et en cherchant sa cape - alors maintenant cesse de me contrarier en potions avec ta stupide surveillance, non que tu manigance quelque chose, mais je ne veux plus que tu continues à le faire -
Draco senti que son sang bouillait devant ces mots. Humiliation. Il s'était levé d'un saut et avait crié :
Imbécile ! Dégage d'ici et retourne avec la race à celle dont tu appartiens !
- Et toi retourne dans ton nid, serpent!-
Meurt Potter ! -
Crève Malfoy ! -
Harry était sorti par la fenêtre en fureur, un moment avant que les cristaux explosent dans mille morceaux derrière lui. Un morceau aiguisé de verre lui entra dans la jambe, le faisant crier. La douleur avait été comme un éclair électrique, Il a dû s'arrêter, parce que son genou a involontairement plié sous lui. Il regarda la blessure, et il vit qu'elle était très profonde, on pouvait pratiquement mettre les doigts à travers la coupe (NDT : Beurk). Le sang jaillissait de partout. "Ça m'a sûrement coupé une artère" pensa-il, en serrant les dents pour retirer le fragment de verre et en faisant apparaître une compresse pour la presser sur la blessure. Il se leva et essaya de marcher, mais il ne pouvait pas ; il avait seulement obtenu que le sang sorte encore plus furieusement. Il avait senti les larmes courir sur sa face sans le vouloir, et la douleur augmentait chaque fois plus. Il s'était arrêté de nouveau, soutenu par un seul pied, il pensait comment il allait arriver à l'infirmerie, quand il vit Draco sortir par la fenêtre et courir vers lui.
Harry, Harry ! Je m'excuse, je m'excuse - dit-il avec la face encore plus pâle que ce qui est normal et les yeux fous, tandis qu'il voyait le sang qu'il commençait à inonder la verdure - je n'ai pas cru que toi, il allait t'atteindre, je regrette tant... -
Harry se laissa tomber au sol de nouveau. Il se sentait mal. Il ne savait pas si s'était parce qu'il pensait qui sera frappé ou par ce qu'il était certain, mais Malfoy paraissait vraiment préoccupé par lui. (NDT : Uuuhhhh... ?)
Fils stupide de... - commença à dire Harry, mais un brouillard noir a commencé à le couvrir. La dernière chose qu'il a vue ont été ces yeux gris en le surveillant avec un mélange panique et préoccupation, il sentit le frottement des cheveux soyeux dans sa face quand des bras l'ont levé dans l'air.
Draco avait eu un battement de c?ur en moins quand Harry l'avait l'observant dans la classe de Snape. Il avait essayé de déguiser, mais il savait que Potter l'avait remarqué (ou au moins soupçonné) la signification de son regard. Lui-même ne comprenait pas la sympathie récente envers Potter. Il savait simplement qu'après tout, les choses avaient changé, mais il s'efforçait de continuer à le tracasser comme toujours (et oui en ne peut pas laisser tomber nos habitudes), mais avec moins de désir qu'avant. Les mois passait et Crabbe et Goyle continuaient à martyriser les Gryffs, tandis que Draco, lui le faisait avec réticence, il les secondait. Bien que pour les Gryffondor c'était pareil. Malfoy avait toujours été le chef, et maintenant sûrement ne différenciait pas qui commençait ou pas.
Il avait commencé à suivre Harry dissimulé et avait examiné chacun de ses mouvements, et savait comment il était avec ses amis, comment il fixait de ses yeux verts le vif d'or quand il jouait au quidditch, comment il étudiait dans la bibliothèque, comment il mangeait sa seconde ration de flocon d'avoine... malédiction, qui lui-même n'a su quand le jeu "Contrarier Potter" s'était transformée en "Espionner Potter".
Le jour où Harry l'avait découvert en l'observant, Draco l'avait poussé dans l'entrée de la classe de Potions. Mais en réalité, ce contact était de loin beaucoup d'être une agression. Depuis il y quelques jours, Harry ne lui avait pas adressé la parole, ni même il ne l'avait vu. Et le blond avait trouvé cela étonnant que sa voix, qui bien que lui parlant avec haine ne perdait pas sa musicalité. Il s'étonnait de ces yeux émeraude qui jetaient des étincelles chaque fois qu'elles le voyaient. Ce geste au principe paraissait amusant, il l'enchantait le faire rager, mais il avait suprêmement commencé à ensuite lui paraître sexy...
Un moment !!!
Depuis quand Harry Potter paraissait sexy à Draco Malfoy ?
Le Serpentard à ces moments dans son lit, méditait sur les pensées que provoquait l'Enfant qui A survécu. Il s'était levé et était allé voir à sa petite fenêtre de sa chambre privée, en surveillant le ciel de couleur clair et le gazon humide de la régularité de sa fenêtre. Les dortoirs des Serpentards étaient semi souterrains, et seulement quelques-uns possédaient des fenêtres à la hauteur du gazon lui-même, en possédait une. Le coeur battant, et une sensation d'un inconnu l'assenaient.
"Quels démons se passe-il avec moi?" pensa-il, en passant ses doigts dans ses cheveux. Il avait déjà été attiré par des garçons, mais Potter ?
Bien qu'en faisant une analyse de conscience, ce corps svelte et ces yeux verts qui l'avaient fait rêver plus d'une fois... Serait-ce possibles ? Il devait l'admettre. Le Gryffondor lui paraissait attrayant. Malédiction.Et le pire s'est qu'en étant encore plus sincère avec lui-même, il devait aussi admettre qu'après ce temps à l'avoir observé non avec haine, mais avec la tête froide et impartiale, il s'était rendu compte qu'il n'était pas tellement mauvais... en réalité il n'avait rien de mauvais. C'était un bon garçon en définitive. Taux négligeable attrayant et charmant, dont quelqu'un pourrait être charmé.... Charmer ? Double malédiction !!!!
Harry... Harry... Harry. Des doux fantasmes ont germé dans la tête du blond jusqu'à la fatigue. Il avait pensé à ces possibilités avec un sourire dessiné sur ses lèvres fines, jusqu'à ce qu'il soit obligé de retourner à la (dure) réalité.
"Peut-être suis-je fou?". Le sourire s'effaça de sa face, tandis qu'il comprenait qu'il y avait un petit détail auquel il n'avait pas réfléchi : Potter le haïssait.
Une frustration est alors apparue. C'était la faute de cette haine ; il avait commencé à harceler Harry dès le début, pour des raisons erronées. Et il payait maintenant les conséquences. Merde.
Il s'était levé, et faisait les cent pas dans sa chambre, comme un lion en cage, furieux contre lui-même. Au début il voulait entendre d'où venaient les coups par sa fenêtre ouverte, mais il n'y avait personne, à part le gazon qui brillait avec des baisses de rosée. Il entendait à nouveau les coups, et Draco s'était pratiquement approché jusqu'à coller son nez au cristal, en regardant à l'extérieur. Un moment après, une paire d'yeux verts était apparue devant lui, en lui donnant une panique qui l'avait fait crier. (NDT : j'aurais bien vu ça en vraie moi)
C'était Harry, à genoux devant sa fenêtre avec un air malicieux en voyant la face de Draco. Il avait fini de sortir la cape invisible, devant l'extrême prudence du Serpentard, et il a dit :
Allez ! J'ignorais que je te donnerais tant de peur. -
Draco a fermé immédiatement la bouche, et a répondu avec sa habituée voix chargée de dédain :
Ni rêve pas, Potter. Que diable fais-tu ici ? -
J'ai besoin de parler avec toi, et comme je ne connais pas le mot de passe de ta maison, je suis venu par ce côté.ouvre la fenêtre que je puisse rentrer - le ton d'Harry était tellement impératif et ferme, que Draco a tourné la poignée et l'a laissé rentrer sans rien dire.
Harry glissa par la fenêtre étroite et transporta ensuite sa cape. Il l'a laissé sur le soutien d'un fauteuil, et observa autour de lui. C'était une chambre plus vaste et fine que celle qu'il partageait avec ses compagnons à Gryffondor, et elle était pleine d'élégants meubles en bois. La décoration avait les couleurs de Serpentard, vert et argenté. Il y faisait froid, parce qu'il n'y avait pas de feu dans la cheminée, mais le garçon blond qui le surveillait avec un mélange d'étonnement et de méfiance paraissait ne pas le remarquer.
Tu n'as pas froid, Malfoy ? - demanda Harry, en taillant les bras.
Non - a-il répondu avec une voix glaciale. Il était soutenu par un des piliers du lit, avec les bras croisés sur la poitrine. Jusqu'à ce moment, Harry n'avait pas remarqué que Draco était à moitié nu ; il portait seulement un léger pantalon de pyjama, qui était presque la même couleur que le torse nu et pâle de Drago, il avait une abondance de ces muscles sveltes que les sculpteurs aiment représenter. Il portait ses cheveux blonds décoiffés, qui lui tombait librement sur les épaules, et ses pieds sensibles paraissait congelés, peut-être en raison d'être déchaussé et arrêté sur l'étage froid. Toutefois, il paraissait ne pas s'en rendre compte. Une mèche rebelle glissa devant ses yeux, et il l'avait enlevée avec un geste distrait. Il avait les yeux cloués dans le Gryffondor, et Harry n'avait pas pu éviter de sentir cette sensation étrange qu'il avait sentie, il y a des mois dans la Grande Salle à manger, quand il s'est perdu dans le regard argenté du blond. Au commencement, il s'était rendu compte des caractéristiques de la face fine et il était passé de la méfiance du principe à un demi - sourire rare qui n'était pas celui habituel du Serpentard.
Harry s'est alors rendu compte qu'il s'était été littéralement absorbé en le voyant d'en haut vers le bas de Draco (O_O) ( zavés compris ? moi oui. ;), Et cela il s'était rendu compte parfaitement. En sentant le sang monter à ses joues, il a rapidement retiré la vue.
Draco, pour sa part, s'était senti assez étonné et en même temps mal-à- l'aise en voyant la manière dont laquelle Harry l'avait observé. Donc après tout, il n'était donc pas indifférent au garçon rougissant devant lui avec son pyjama à bandes. Il n'avait pas pu éviter de sourire devant la timidité de Potter ; il rougissait toujours, apparemment très intéressé de la conception de ce qui était caché par son pyjama, en jouant avec les doigts dans une attitude évidente nerveuse.
Après presque le désespoir qui avait été autorisé de la part de Draco un instant avant, il s'était senti maintenant de nouveau en contrôle de la situation. Très bien. À présent il voulait mesurer le terrain et jouer avec l'autre garçon un peu... seulement un peu. En réalité, il n'avait déjà plus tant de plaisir à le tracasser comme avant. Il se rappelait qu'Harry lui avait sauvé la vie. Il s'était laissé tomber sur le lit, conscient de la sensualité de ses mouvements.
Et bien ? - Demanda t-il, soutenu dans des coussins de soie verte.
- Bien quoi ? - répondit Harry stupidement, apparemment très concentré autre chose que la discutions. Il supposait qu'il allait parler de ce qu'il avait apporté (sa cape .) Sur ce qu'il s'était passé la nuit de l'incident, peut-être... cela il était quelque chose qui ne pouvait pas lui sortir de la tête.
On se demandait maintenant qu'est ce qu'il faisait dans ce lieu, en se sentant plus rare et confondu que jamais, bien qu'il ne sache pas précisément pourquoi.
La voix de Draco l'avait sorti de ses pensées, quand il l'a dit dans un ton lisse et traînant :
Tu as dit que tu venais parler, Potter. Parle alors où fait quelque chose, mais ne reste pas planté là -
Harry a vu à l'autre garçon lever un sourcil suggestivement, ses lèvres fines en étant courbé dans un sourire qui paraissait une invitation.
Que faisait-il ? N'était-il pas conscient de ce qu'il faisait-, ou jouait- il délibérément avec ? Il paraissait qu'il voulait le séduire. Au moins ce ton était utilisé dans la TV pour cela, par lequel à lui personne n'avait voulu le séduire avant. Bon, une fois qu'il avait découvert Colin Creevey le surveillant fixement tandis qu'il s'était douché après un entraînement de quidditch, le petit garçon l'avait vu avec un regard qu'il ne paraissait pas dire "Tu ne mangeras pas pendant une semaine, mais définitivement confus et perplexe. La situation était gênante... principalement parce qu'il supposait qu'il devrait se sentir offensé par les insinuations de Malfoy. Et il ne se sentait pas offensé. Dans ce cas absolu. Il pouvait inconfortablement sentir sa chemise étant collé à son corps par une sueur soudaine, bien qu'il y eût froid, et un bouleversement l'avait parcouru quand Malfoy s'était levé du lit et il s'était dirigé vers lui.
Harry était perplexe quand il l'avait pris par l'épaule et l'avait porté vers un fauteuil face à la cheminée. Il avait atteint son quota de froideur, et en murmurant "incendio" la cheminée avait pris feu. Ensuite, il avait été convenu dans les bras du fauteuil, en soutenant le coude dans le soutien du siège. Draco avait la même expression rêveuse qui l'avait vue en classe de Potions, en voyant les flammes dansant dans sa chambre. Harry voyait sa peau non souillée de sa poitrine à des centimètres de sa face, avec un reflet doré en raison du feu face à eux. Les petits mamelons attrayants ressortaient sur la peau laiteuse, et Harry connu une excitation croissante en lui. "Ceci ne m'affecte pas, je ne suis pas excité" c'était- il dit , bien que le rythme accéléré de son coeur dise le contraire. "Que se passe-il avec moi ?!" Il avait fermé subitement ses yeux.
- Je voudrais te remercier de m'avoir sauvé l'autre nuit - dit Drago au Début, avec la voix la plus sincère qui jusqu'à ce moment l'avait écouté Harry. Le Gryffondor s'était alors congelé, sans savoir que dire. Il avait levé les yeux vers cette face aiguisée qui continuait à observer les flammes. - Je regrettais ne pas l'avoir dit avant. Merci - susurra le blond, sans séparer sa vue du feu.
Ce n'est rien. - A dit Harry, en se sentant quelque peu intimidé. Toute la scène paraissait sortie d'un univers alternatif qui n'avait rien à voir avec la réalité. Toutefois, en profitant que le Serpentard parût disposé à parler en ce moment, il lui a demandé ce qui lui avait donné des retours dans la tête ces mois : - Malfoy... Pourquoi... tu voulais le faire ?
La face de Draco s'est durcie
Cela est quelque chose qui ne regarde pas - dit-il tranquillement , bien qu'avec un brin de rigidité dans la voix.
Ne m'en veux pas, c'est seulement que... parce que jamais imaginé que tu puisses faire quelque chose comme ça, et en vérité, si tu as besoin d'aide... -
Potter - dit Draco en lançant un regard dur - je me suffis pour régler mes affaires propres. Tu ne me connais pas dans ce qui est absolu, et celui qui t'a permis d'entrer ici sans te lancer un cruciatus c'est seulement parce qu'il te devait les remerciements, je n'aime rien devoir à personne. Maintenant, si tu n'as rien plus à dire, je crois que tu devrais retourner à ta chambre -
Draco n'a pas su pourquoi il avait réagi de cette manière. Il avait seulement senti cette fierté enracinée Malfoy refaire surface par la préoccupation de Potter. Il s'est senti humilié, et bien qu'une partie de lui ait senti des désirs d'abandonner celle-ci pour une fois et accepter les offres du Gryffondor, mais il avait refusé de le laisser le voir dans cet état de faiblesse. La satisfaction de savoir qu'il lui était attrayant a été vite changée en irritation envers le garçon brun. Il était illogique, mais n'avait pas pu l'éviter.
Harry était tracassé. Il croyait que pour une fois il pouvait être raisonnable avec son éternel ennemi, mais parce qu'il voyait, il était encore le même imbécile. Au diable Malfoy et ses problèmes et leur stupide fierté et son corps admirable. "Moi je l'ai bien gagné pour me prendre l'ennui" s'était-il dit. (NDT : Hein ?)
Bien Malfoy - Harry a fâché, en se mettant debout et en cherchant sa cape - alors maintenant cesse de me contrarier en potions avec ta stupide surveillance, non que tu manigance quelque chose, mais je ne veux plus que tu continues à le faire -
Draco senti que son sang bouillait devant ces mots. Humiliation. Il s'était levé d'un saut et avait crié :
Imbécile ! Dégage d'ici et retourne avec la race à celle dont tu appartiens !
- Et toi retourne dans ton nid, serpent!-
Meurt Potter ! -
Crève Malfoy ! -
Harry était sorti par la fenêtre en fureur, un moment avant que les cristaux explosent dans mille morceaux derrière lui. Un morceau aiguisé de verre lui entra dans la jambe, le faisant crier. La douleur avait été comme un éclair électrique, Il a dû s'arrêter, parce que son genou a involontairement plié sous lui. Il regarda la blessure, et il vit qu'elle était très profonde, on pouvait pratiquement mettre les doigts à travers la coupe (NDT : Beurk). Le sang jaillissait de partout. "Ça m'a sûrement coupé une artère" pensa-il, en serrant les dents pour retirer le fragment de verre et en faisant apparaître une compresse pour la presser sur la blessure. Il se leva et essaya de marcher, mais il ne pouvait pas ; il avait seulement obtenu que le sang sorte encore plus furieusement. Il avait senti les larmes courir sur sa face sans le vouloir, et la douleur augmentait chaque fois plus. Il s'était arrêté de nouveau, soutenu par un seul pied, il pensait comment il allait arriver à l'infirmerie, quand il vit Draco sortir par la fenêtre et courir vers lui.
Harry, Harry ! Je m'excuse, je m'excuse - dit-il avec la face encore plus pâle que ce qui est normal et les yeux fous, tandis qu'il voyait le sang qu'il commençait à inonder la verdure - je n'ai pas cru que toi, il allait t'atteindre, je regrette tant... -
Harry se laissa tomber au sol de nouveau. Il se sentait mal. Il ne savait pas si s'était parce qu'il pensait qui sera frappé ou par ce qu'il était certain, mais Malfoy paraissait vraiment préoccupé par lui. (NDT : Uuuhhhh... ?)
Fils stupide de... - commença à dire Harry, mais un brouillard noir a commencé à le couvrir. La dernière chose qu'il a vue ont été ces yeux gris en le surveillant avec un mélange panique et préoccupation, il sentit le frottement des cheveux soyeux dans sa face quand des bras l'ont levé dans l'air.
