Ou « Quand Sio' raconte sa vie… » :
* tatzammmmmmmm *
…
Voui… je sais ne dîtes rien !! Je suis créééé za la bourre… Fin vous plaignez point cha aurait pu être pire !!!!! ^^
So me revouàlà donc avec un nouveau chapitre qui sera finalement l'avant dernier vu que je n'ai pas trouver la place pour tout mettre ici… Va encore falloir attendre pour le chapitre sept !! * soupir * Z-êtes pô sorti d'l'auberge les copains ! * gniakgniakgniak *
Mé m'en veuillez pas tro… C pas ma fôteuuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!!!! (rââââ Jérôme… Jérômeuuuuuuuu !!!!!!!!!!!!)
^o^
G pleins de boulo (surtout que là on é en vacs… * supergrin *), ma Môman n'apprécie pas bôcou mon « attachement » à mon tré cher n'ordi'n'ateur (je cherche tjs un prénom…) et enfin : g trois zinvités à la maison é je peux pô me permettre de pas m'occuper d'eux ! Sinon, comme dirait Sev', ça serait un cataclysme !!! (d'ailleurs d'après ses dire ça en est déjà un… =_=)
Imaginez, les trois emmerdeurs : Hébus, Thanos ettttttt… Or-Azur !!!!!!!!
Ils sont tréééééé gentils ^_____^ et trééééé… * hem * … affectueux !! Mé bon s'entendent pas tré bien et foutent un tantinet le bordel (surtout un, j'vous laisse deviner lequel).
Je les aient casés au grenier pour pas causer tro de dégâts dans ma demeure mé c pas encore ça. Si vous saviez… * soupir *
[ Siiiiiiooooooo-ooooooooo !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ]
Keske j'vous disais… ils rappliquent…
* voix doucereuse *
Vouuiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!
[ Bubusse : C touâ qui a enlevé mon Pétaure du frigooooooo ?????????????????????? ]
o_o
Mé… naaaaaaaaaaaaaaaaan… *merdemerdemerde* Poukoâââ ???
[ Bubusse : Bé il é plus làààààààà !!!!!!!!!!!!!!! C une catastrophe ! Que vais-je manger mouâ ? ]
Mé enfin mon chou * hum *, ya pleins d'autre chose dans le frigo.
* jette un regard rapide dans ledit frigo *
…
Oui bon d'accord enfin, plus maintenant mais ça tu ne peux t'en prendre qu'à touâ même !
Et quand à la disparition de ton Pétaure… je n'y suis pour rien !
[ Bubusse : _ Qui a pu commettre un crime aussi odieux ?!?!? Mon Pétauuuuuuureuuuuuuuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!! ^o^ * buuuuuuaaaaaahhhhhhh * snif * ]
*désemparé *
Là, là… tout douuuuuux mon Bubusse… On va le retrouver ton Pétaure… * supergrin * Il n'a pas pu aller bien loin vu son état physique et son séjour dans le frigo gelé… Je vais appelé les voisins pour savoir si ils n'ont pas vu une moitié de Grosse bêbête dans le quartier d'accord ?
[ Bubusse : Vrai ? Hooooooo… t'es vraiment troooo chouette * bizbizbiz * (^^) ]
Meuh voui que c'est vrai… *hé hééééé * Maintenant remonte au grenier et laisse mouâ tranquille g du boulo à termier !!
* Bubusse s'éloigne en se mouchant soigneusement dans les rideaux (arrachés) du salon *
Oufffffff…
Ban bé vouàlà une nouvelle énigme : Le Mystère du Pétaure disparu ! *tatinnnnnnn *
So… vous avez pu constater l'ambiance jovial et animée de mes dernière journée de vacances… p Et encore, vous avez du bol, Zuzurre est parti sauver le poisson rouge d'une amie et il rentrera pas avant ce soir ! Vous avez éviter le pire !!! *veinards *
Quand à Nonos… *blushblushblush * il doit m'attendre au grenier pour notre scéance de…gym quotidienne… ##
Je vais donc vous laisser lire en paix, je reviens tout à l'heure !!!
Bonne lecture ! Ce chapitre est… horrible… *salaud de… *
Le truc que tout les écrivains Pottermaniacs rêvent d'éviter :
*soupir *
Et dire que g faillis l'oublier celui-là… Ca aurait été… navrant.
~_~
So… Tout est à Médème Jikaèr profiteuse et emmerdeuse de première mais bon, je ne me permettrais pas de la critiquer !!! *sourire faux-culs comme les autres poufs de ma classe *
Du moment qu'elle nous ponds ses bouquins mégas géniaux y'a AUCUNS problèmes !!
^-^
Chapitre 6
Remember Dray...
L'après-midi s'achève lentement. Alors que le soleil commence à baisser sur l'horizon incertain, le voile de la nuit monte petit à petit vers la voûte céleste teignant les cumulus de rose et de violet pâle.
Assis dans l'herbe haute à l'ombre d'un vieux pin, je m'emplis les yeux d'une mer verte aux reflets bleus moirés qui s'éclate en écume de nacre et d'argent éclatante sur la côte encore quelque peu ensoleillée.
Le vent emmêle mes cheveux, gonfle mes vêtements et balaye le sable de la crique à intervalles réguliers. Je sens l'atmosphère salée et humide s'étendre autour de moi par les embruns tous proches.........
Un étrange sentiment de bien-être s'est installé dans tout mon corps et il m'est si agréable que j'aspire à le garder le plus longtemps possible.
~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o
- Maman ? ! ?.........
Une petite tête blonde fait son apparition derrière la porte laissée entrouverte. A sa voix on devine une pointe d'angoisse, ses yeux embrassent le jardin cherchant désespérément.
La mer est grise, tout comme les yeux embués de l'enfant qui se tient sur le palier, cheveux au vent, elle rugit et se tord tel une monstre sous une toile d'eau infinie.
Eole souffle tout ce qu'il peut, faisant ployer les arbres avec mépris et gonflant les vagues énormes qui viennent violemment s'éclater contre les rochers le long de la côte aiguisée.
Vêtu d'une simple petite chemise blanche pâle, pieds nus il traverse l'étendue verte et fraîche d'un pas encore mal assuré de jeune garçonnet de quatre ans.
- Mamaaaaaannn ! ! ! ! ! !
Le vent siffle à ses oreilles et il commence à avoir un peu peur...
Pourquoi Maman n'est pas dans la maison ?
Pourquoi l'a-t-elle laissé tout seul ?
A petits pas tremblants il descend vers la crique...
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Salinger-sea.........
Si longtemps que je n'y suis pas venu que j'en avais oublié jusqu'à l'existence.
Petite crique sur la côte de la Manche magiquement cachée par un sort de repousse-moldus lancé par mon père lui-même, il paraît...
Une grande maison campagnarde aux allures de cottage faite de pierres bruts et de chaume entourée de ce qui avait été un jardin.
La nature ayant fait son œuvre des années durant, les rosiers grimpant, la vigne vierge et les mauvaises herbes ont envahi une bonne partie des plates bandes florales. Quelques vieux pins noueux et baies sauvages délimitent encore la propriété accédant sur la plage en elle-même. Celle-ci est recouverte d'un sable fins blanc cassé et cernées par un amas de récifs plus ou moins polis par l'eau, le vent et les années.
Et moi... entre les deux...
Le bruit incessant du ressac résonne à mes oreilles comme une musique vaguement agréable et reposante...
Tu dois apprendre à faire confiance...
Hum... Il est gentil l'papy gâteau mais je ne vois pas vraiment qui pourrait être assez digne de MA confiance ! Mon entourage n'est qu'imbéciles, lèches culs (ou ennemis) et couards. Piochons au pif dans le tas tant qu'à faire...
...
Tsss... pourquoi pas Potter tant qu'il y est ? Non mais vraiment n'importe quoi !
Je lâche un soupir d'exaspération. Vraiment pas envie de me casser la tête pour rien une fois encore...
Envie de rien...
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Le sable humide de la marée montante colle à ses pieds moelleusement. Chacun de ses pas laisse une petite empreinte qui peu à peu s'emplit d'eau salée tourbillonnante.
Face aux gigantesques vagues au fracas assourdissant, l'enfant se sent soudain très petit et très faible. Il est vrai qu'avec Maman, tout semble moins étranger à ses yeux... il est plus rassuré.
Mais Maman n'est pas sur la plage non plus.
...
Sûrement, elle ne l'aime plus et l'a laissé tout seul pour être enfin tranquille. Voilà pourquoi depuis quelques jours elle semblait plus distante et moins douce avec lui.
- Maman...
Désemparé, le blondinet se laisse lourdement tombé au sol et se recroquevillant sur lui-même il éclate en sanglots convulsifs, enserrant de ses petits poings de sable fin qui lui glisse lentement entre les doigts.
Tout seul...
~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o
...
Ou plutôt si, envie que cela finisse, envie d'oublier...
Prendre une réelle décision...
Elle semble toute trouvé cette décision mais encore faut-il qu'elle aboutisse à quelque chose. Mon but n'est certes pas de finir flashouillé par un éclair vert mais encore moins d'être le flashouilleur en question...
J'en reviens toujours aux même point, c'est d'un rageant ! C'est comme si je marchais sans avancer, du surplace...
Mon corps est engourdit et je suis empli d'une extrême lassitude. Plus de pensées, plus de réflexions... Juste moi...
Pourquoi suis-je venu ici ?
De cet endroit je ne me souviens que de détails vagues laissant un point de vue assez inintéressant alors que j'y aurais, paraît-il, passé quatre ans de mon existence...
Là encore, chose étrange, je n'avais jamais seulement eu l'idée de retourner à Salingersee et mon esprit s'y est rendu de lui même exactement comme un jet éclair éphémère.
Et je me retrouve là, seul avec mes pensées sans savoir pourquoi...
Je hais la bizarrerie ! !
Pourquoi ne suis-je pas tranquillement allongé sur mon lit à lire quelques bons bouquins passionnants ?
Pourquoi suis-je le fils de mon père ?
Mon père, toujours mon père, à léchouiller un ourlet élimé. Se faire écraser par plus grand et écraser plus petit faute de mieux et histoire de se donner du mérite...
Mon Dieu quelle occupation merdique ! ! Pour ne pas dire humiliante...
Soyons honnête avec moi-même : je n'ai jamais eu la réelle intention de devenir Mangemort.
La simple idée de devoir être aux ordres intensifs et implacables d'un Mage qui a réussit à se faire casser la gueule presque deux fois par un morveux d'environ trente ans plus jeune que lui m'est totalement insupportable.
D'ailleurs rien que le fait d'être à la botte de quelqu'un m'exaspère !
Môsieur Malfoy...
Je ne veux pas avoir besoin de qui que ce soit pour grimpé les échelons. Si je monte, ce sera tout seul et j'aurais au moins ce mérite là !
C'est vrai quoi ! Que vont-ils y gagner tout ces corbeaux, quand Il ne sera réellement plus là ?
Rââââh, je suis fier de moi, j'ai enfin réussis à extirper tout ce que je voulais ! !
Clapclapclapclap
N'en pêche que ça fait du bien de penser un peu... Même si ça a des tonnes d'inconvénients futurs.
Le vent s'est calmé, la houle aussi et il fait désormais presque noir sur la crique silencieuse et reposée.
Peut-être devrais-je aller dormir ?
Et oublier...
*
La porte de l'imposante bâtisse s'ouvre lentement sur une pièce encore plus noire qu'à l'extérieur. La maison n'étant pas équipée à la norme de la luminosité magique, je lance un lumos maximal sur les parois de pierres qui éclaire immédiatement la grande pièce centrale.
Autrefois richement décorée et colorée (de vert principalement), elle est désormais sombre et passée... Une odeur aigre de renfermé flotte encore malgré les fenêtres ouvertes à mon arrivé précédente.
Une longue table de chêne taillé occupe tout son centre et autour s'étendent quelques bibliothèques à demi vides couvertes de toiles d'araignées. Enfin, d'autres meubles dont un secrétaire poussiéreux rongé par un rat affamé... Ce qui avait dû être la tapisserie tombe en lambeaux lacérés. Au fond, on distingue les premières marches d'un escalier à l'aspect plus que douteux...
Je l'emprunte néanmoins pour accéder à l'étage. Les marches craquent dangereusement sous mon poids, je m'accroche fermement à la longue rambarde, on est jamais trop prudent !
J'accède enfin à un profond couloir vide et crasseux donnant sur diverses portes, ouvertes pour la plupart... Instinctivement, je me rends jusqu'au fond et pousse la dernière.
Ma chambre ?
...
Un sourire étonné et peu être un peu mélancolique apparaît de lui-même sur mes lèvres sèches.
Un petit lit défait et un bureau de même taille couvert de papiers poussiéreux et humides... Quelques jouets abandonnés et une armoire gris clair prête à s'effondrer à tout instant.
Au fond une fenêtre aux volets clos, les vitres cassées laissent entendre le bruit du ressac incessant.
Une chambre d'enfant de quatre ans...
J'effleure les couvertures désordonnées.
Des couleurs dansent devant mes yeux : du bleu, mordoré, du... vert.
De l'eau m'éclabousse en petite gerbes successives et j'entend autour de moi des éclats de rire cristallins. Des nuées nébuleuses apparaissent suivies d'étincelles pétillantes. J'entend au loin un chant au timbre mélancolique virant brusquement en danse joyeuse...
Défilé d'images enchaînées proches et lointaines à la fois...
Une figure féminine reflétant une pression bizarre dans mon estomac, un soulèvement de sentiments inconnus. Une caresse douce et un parfum enivrant...
Des étoiles dansent devant mes yeux, ma tête tourne effroyablement vite.
Un cri strident...
...
Une charpente floue se forme devant mes yeux et je me retrouve sur le sol froid de la pièce la bouche grande ouverte et les poings serrés à un épais drap blanc.
Je ne comprend plus rien.
Que s'est-il encore passé ? ! ?
Ca confine au délire, je ne me suis même pas sentis tombé ! Quand à ces flashs incontrôlés je n'ai aucune idée d'où ils peuvent sortir.
Mais qu'est ce que je peux être las soudainement...
Pourquoi donc s'acharne t'on autant sur moi en ce moment ? !
J'étouffe un bâillement et m'étale littéralement sur le lit qui craque bruyamment sous mon poids.
Au diable tout ces problèmes !
Dormir et partir loin...
...
~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o
Bien que l'onde, virant désormais au turquoise, progresse dangereusement dans sa direction, la petite forme recroquevillée sur le sable chaud ne semble pas vouloir s'en écarter...
Elle ne bouge pas.
Peut-être dort-elle...
L'eau léchouille avec amusement la fine chevelure d'or par petites saccades répétées.
Ses yeux clos laissent perler tour à tour de petites gouttes salées qui tombent avec légèreté sur le sol en formant quelques grumeaux blancs humides.
*
Lorsque l'homme apparaît l'enfant frissonne, une ombre recouvrant sa frimousse endormie.
Entièrement vêtu de noir, il dégage une étrange froideur. Son visage à demi caché par un grand chapeau brodé de vert laisse entrevoir un sourire satisfait sur des lèvres blanches et fines. De longs cheveux d'or nacré déferlent sur ses larges épaules musclées. Semblables à des serpents, ils donnent l'impression de se mouvez seuls dans le vent frais du matin.
Ses mains jointes derrière son dos tiennent une longue canne d'ébène au pommeau émeraude et d'une poche de sa cape pointe une épaisse baguette dont s'échappe encore des étincelles violettes, preuves de son récent usage...
Il reste prostré de cette manière quelques minutes puis d'un coup de sa canne, entreprend de réveiller la petite chose couchée en chien de fusil. Ses gestes ne sont pas violents mais lents et contrôlés, vraisemblablement il cherche à le toucher le moins possible.
La secousse est néanmoins douloureuse et le garçonnet se recroqueville encore plus sur lui-même ce qui lui vaut un deuxième coup plus brutal cette fois.
Il ouvre de grands yeux effarés à la vue de l'homme qui lui fait fasse et recule précipitamment en laissant échapper un gémissement apeuré.
Sa retraite est de courte distance car une eau glacée vient l'enserrer fermement et l'attire vers l'homme qui ne le quitte pas des yeux.
Ses yeux... A travers l'ombre noire de son chapeau se perçoivent maintenant très nettement deux petites fentes d'argent qui le brûle littéralement de l'intérieur.
Il a peur. Une peur immense et incontrôlable...
- Mamaaaaaaaannnnnnnnnn ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
L'homme hoche la tête avec un mépris apparent.
- Ttttt... Draco... J'aurais espérer que ta mère aurait fait quelque effort du côté de ton... éducation primordiale... Ton attitude est réellement navrante.
Le garçonnet regarde son interlocuteur sans comprendre, des mots bien compliqués qu'on vient de lui adresser là.
Et... sa mère ?
- Aurais-tu peur Draco ?
Il ne répond pas... Il ne comprend pas mais oui il a peur, il est mort de peur....
- Sais-tu que je ne tolère pas la peur dans mon domaine ?
- Où est Maman ?
- ... Hum... l'affection aussi... Il va falloir que je sévisse sérieusement...
L'enfant se tient le plus éloigné possible de lui, il le regarde en tremblant, suivant le mouvement de ses lèvres mais ne semblant rien entendre.
- Tu te demande sans doute qui je suis ?
Non.
- Je suis ton maître Draco, ton père.
Pas de réaction.
- Catastrophique... reprend le « père » en question sur un soupir appuyé. Mon nom est Lucius, Narcissa ne t'a pas parlé de moi ?
Lucius ? Narcissa ?
...
Et Maman ?
- ... Lucius Malfoy.
La colère succède à l'impatience dans la voix sifflante del'adulte.
- La sale garce, je lui ferait payer son œuvre destructrice ! ! Fils, approche !
Avant d'avoir exécuter le moindre geste dans sa direction, l'interpellé est projeté dans les airs et retombe aux pieds de l'homme sur le sable humide tel une poupée de chiffon.
- Avant toute chose, nous allons faire de toi ce que tu dois être : un Malfoy ! En ses heures j'ai besoin de tout, sauf d'une lavette incompétente.
Il l'agrippe par le col de sa petite chemise déchirée et le soulève à la auteur de son visage, le blondinet pousse un cri déchirant.
Lucius pointe sa baguette sous le nez de sa pauvre victime puis d'une voix sourde ...
- DracoOubliettes primo ! ! !
Il y eu un grand éclair jaunâtre qui explosa comme une petite bombe sur l'enfant éblouit. Sa puissance fut si forte que l'homme lâcha sa prise qui s'étala un peu plus loin, le visage blanc comme neige face au sol.
Une petite fumée âcre s'échappe encore de la baguette. Le sorcier reprend son souffle, s'approche de sa progéniture prudemment et le retourne d'un bref coup de canne.
En quatre ans d'existence, ce petit bout d'homme n'a jamais été autant couvert de bleus. Il respire faiblement, le sable chaud pénètre dans ses narines et sa bouche entrouverte.
- Draco ? ...
...
L'enfant gémi...
Ses yeux s'ouvrent difficilement, scrutant avec surprise le visage de Lucius abhorrant un sourire un rien triomphal.
Il sait qu'il a réussit... Son fils est neuf, il ne sait plus...
Avant que celui-ci n'ouvre la bouche il s'empresse de le devancer, employant un ton calme et posé, s'appliquant à faire pénétrer chacun de ses mots dans l'esprit du jeune garçon et écourtant au maximum les explications inutiles.
- Tu te nomme Draco Malfoy et je suis Lucius Malfoy, ton père. Tu vis depuis quatre ans dans cette bâtisse inconfortable et vas désormais habiter sous le toit respectif de Notre lignée : le manoir Malfoy. Je ferais de toi ce que tu dois être, tu apprendras...
Draco esquisse un sourire.
- Bonjours... père.
Le contentement du Père se lit pleinement dans le gris de ses yeux.
Pas de l'émotion, qu'est ce que l'émotion sinon une... faiblesse ? De la fierté peut-être...
*
Une femme vient d'apparaître sur le haut de la colline.
Grande et fine, elle est d'une beauté parfaite et douce. De long cheveux mordoré descendent le dans son dos reliés en une natte impeccable par un fin lacet de cuir de dragon Africain. Ses yeux sont vert émeraude tout comme sa robe légère et ample adoptant parfaitement ses formes et son style.
La crainte se lit dans son regard mais lorsqu'elle aperçoit les deux ombres près de l'eau elle pousse un soupir de soulagement et se met à courir dans leur direction.
- Dracooooooo ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Elle s'arrête net sous l'effet de la surprise. Cette deuxième forme, immense et noire à côté de lui, serait-ce... Sa bouche se tord en un rictus de désespoir et laisse échapper un gémissement. Lui !
Malgré sa peur apparente, la mère décide de rejoindre son enfant et arrivée à sa hauteur elle le prend dans ses bras et le sert contre son cœur.
- Draco... j'ai eu si peur... Pourquoi es-tu partis sans me prévenir ?
Elle relève la tête vers Lucius et surprend son sourire à la fois narquois et vainqueur. Un étrange pressentiment l'oppresse soudainement, elle dirige son regard dans les yeux de son fils. Celui-ci lui rend son regard.
Nuage d'incompréhension et de dureté.
- Père, qui est cette femme ?
...
~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o~_o
- Mamaaaaaannnnnnnnnnnnnn ! ! ! ! !
* * * * * * * * * *
Fin du chapitre
* * * * * * * * * *
…
*Sio' arrive en reboutonnant rapidement sa chemise *
*se recoiffe un ti peu *
…
*hem *
##
Aloooors… vous zavez aimer ?!?!?!?!?!?!?!
Mouâ je vous l'dis il est dégueulasse le Lucius !! Comme je veux lui casser la gueuleuuuuu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! è_é
Il a flashouillé Drayounet ! Mon petit Dayounet… *snif *
*câlins *
Vous savez quoi ?
Je me demande si je vais pas créer une ligue anti-maltraiteur-de-Drayounet !! (keske t'en pense Lena' ? ^^)
Non mé… bande de sadique !!! *arrrrrrrggghhhh *
Bon, j'arrête de grogner sinon partis comme je suis vous y êtes encore pour un bout de tps…
Lena' : Râlàlà… ma 'pichounette (et toc ! ^^) keske t géniale !!! Tu peux point savoir comment g t morte de rire devant t « réflexions personnelles » ! *warfwarfwarf *
Fô que tu passes za la maison pour voir mes zhôtes cââlineux (rôô bé g inventé un nouveau mot !) ! On va cheu faire une de ces soirées !! Avec Indochine en fond sonore pour l'ambiance et tout… *étoiles pleins les zyeux *
Rôôôô bisous za touââââââ !!!!!!!! bizzzz
Alo' : Un grand coucou à l'auteur d ma fic' préférée !! En espérant que la suite arrivera bien vite ! ^^
Csame : *tintiiiiinnnnn * Ca t'as plu ? J'espère… Dès que possible ze me jette sur ton chapitre *rôôahhhaarrr * !!!!!! ^_^ Biz
Diane'g'onne : Voui, cheu l'ai enfin mise tu vois… Après des moments de réflexions intenses cheu me suis dit (Sev' ma aider *biz *) que cha chervait a rien d'attendre véritablement l'avis des autres pour savoir si c t bien ou pô… J'aime bien ce que g fait… c le principal, nan ?
Cheu te fais de gros bisous, g pleiiiins de trucs à te dire !!!!!!!!! é_è
Sev' : Mon choupinet que zadoreuuuuuu !!!!!!! ## Mon surveilleur-des-trois-sqautteurs-de-ma-Malouine-demeure !!!!!!! ## Mon Nain préféré !!!!!!!! ## (Viveuuu les Nains !! ^o^)
Vi, cheu vé arrêter là paske je peux facilement faire une page, nan ? Bé j'espère que ton chapitre est bientôt près vu que tu vois que g qd m finis par mettre le mien ! *victouàreuuuuuu * Tu as vu que le Pétaure a disparu !! Perso' je pense que c un coup de Thanos qui é t incommodé par l'odeur mais bon… je vais rien dire pour l'instant sinon ça va encore faire des histoires… *naaaaaaan *
Bisous, câââlins ytouytou !!!! *smaaaaaackkk *
Mélu' : *tsssss * Je compte plus le nb de fois où g essayer de te joindre… Cha fé une semaine qu'on c pas eu zau tel !! C intolérable !!!!!
O_o
… En + là g presssske plus de forfé… *soupir *
Sont bô les fonds d'écrans, hein ? Ché Lena' qui me les a envoyé… (merchi Lenaaaaaaa')
Kisssouz !
Et sinon un grand merci et un rôôôô bisous à toute les personnes qui me suivent depuis le début et qui me reviewent paske je sais que je mets vraiment bôcou de tps à mettre mes chapitres en place et que ça doit être relativement chiant pour vous !!!
Continuer c vraiment sympa !!
Sioban O-Mara
