Et voilà le 3ième et dernier chapitre de ma fic ! Elle était pas très longue, masi de toute façon, comme elle avait pas l'air d'être bcp aimée, c pas grave. J'espère quand même que ce chap va vous plaire, bonne lecture !

Chapitre 3 :

                        « Malheur est bon à quelque chose… »

***

Harry essayait de dormir, mais il ne pouvait s'empêcher de repenser à sa dispute avec Hermione. Il ne savait pas ce qu'il devait faire… Hermione était revenu, elle serait présente à ses côtés, mais elle était morte, et il devra vivre tous les jours avec elle, en sachant qu'il est responsable de sa mort. Chaque jour, en la voyant, il allait se maudire d'avoir sa mort sur la conscience, et qui plus est, il aura Hermione tous les jours avec lui, sans pouvoir être « physiquement » avec elle, alors qu'il connaît les sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre.

Il réfléchissait, quand il sentit un léger souffle sur sa nuque. Il ne réagit pas tout de suite, croyant qu'une fenêtre avait été mal fermée, puis quelques secondes plus tard, il sentit de nouveau cette sensation.

- Hermione ? hésita Harry, pensant qu'il s'agissait de son amie.

Pas de réponse. Il se recoucha, puis le sentit de nouveau.

- Qui est là ? demanda t-il à voix basse, hésitante mais d'un ton plus assuré que celui de Drago.

« C'est ta conscience qui te parle Harry Potter… » commença une vois derrière lui, de la même manière qu'avec Drago. …

- C'est pas la peine de jouer la p'tite voix dans ma tête Hermione ! lança Harry après avoir hésité quelques secondes. Elle s'en charge déjà toute seule de me faire mon mea culpa…

- Tu es plus perspicace que Drago tu sais ! Il a marché beaucoup plus longtemps que toi ! l'informa Hermione en apparaissant soudainement.

- Tu es allée voir Malefoy ? demanda Harry, surpris. Et depuis quand tu l'appelle Drago ?

- C'est une longue histoire Harry. D'ailleurs, j'aurai besoin de ton aide… Est ce que tu pourras aller voir mes parents, quand tu pourras, et leur demander si je suis vraiment leur fille, ou s'ils m'ont adoptée. Je leur aurais bien demandé moi-même, mais ma… euh… condition physique les effraierait un peu je pense… Ils me croient morte, je le suis d'ailleurs, mais c'est mieux qu'ils ne sachent pas que je suis revenue ici, tu veux bien ?

- Bien sûr, mais pourquoi tu veux savoir ça ?

- C'est à cause de Drago… J'ai voulu lui jouer un tour, comme j'ai voulu te le faire aussi, sauf que de fil en aiguille, on a parlé et il m'a avoué qu'il avait eu une sœur…

- …. Avait eu ? l'interrompit Harry, ce qui la fit sourire en le voyant réagir de la même manière qu'elle.

- Oui, avait eu, car un jour, cette sœur a disparu. Il m'a confiait qu'ils étaient très proches, ils avaient le même âge, et cette disparition l'a beaucoup affectée. On n'a jamais retrouvé la moindre trace d'elle chez les sorciers… Il m'a aussi dit que le seul souvenir qu'il lui restait d'elle était une sorte de petit pendentif, un ourson en argent avec un petit cœur coupé en deux, et qu'il avait chacun une moitié de ce pendentif…

- C'est très triste, je comprends Hermione, mais je vois pas trop le rapport avec toi, ou avec tes parents…

- J'y viens, justement. Ce bijou était le seul lien qui la lui rappelait, et ils avaient ce bijou depuis qu'ils étaient enfants. Il ne l'a jamais quitté, et c'est un souvenir qui lui tient beaucoup à cœur, et si je te raconte ça, c'est parce que, aussi étrange et absurde que cela puisse paraître, j'ai le même pendentif. Regarde…. Ajouta t-elle en sortant le collier.

- Ce… ce qui veut dire que… que la sœur …de Malefoy qui a disparue… c'est… bafouilla Harry.

- …moi, termina Hermione avec une petite grimace, comme jugeant sa réaction. Enfin, j'en suis pas encore tout à fait sûr, mais c'est pour ça que je veux que tu ailles voir mes parents.

- Hermione… une Malefoy, répéta Harry en s'asseyant sur son lit.

- Je sais, ça surprend… déclara Hermione. Le seul problème, c'est que je ne sais toujours pas si je dois en être fière ou pas…

- Une Malefoy… répéta de nouveau Harry. J'arrive pas à croire que tu puisses être la sœur de Drago… pas après tout ce qu'il a put te dire ou faire… Au moins, le bon côté, c'est que si tu es vraiment une Malefoy, ça prouve que cette famille ne peut pas être aussi mauvaise que ça, et qu'il y a au moins quelqu'un de bien et de sensé dans cette famille de dingue.

- Tu sais, commença Hermione après quelques minutes de silence, je ne voulais pas te faire de mal. Je ne voulais surtout pas qu'il t'arrive quelque chose, c'est tout. Alors quand j'ai découvert cette formule, j'ai vu la solution à tous nos problèmes. Je suis désolée…

- Je t'en ai beaucoup voulu, comme me la dit Ginny, mais en fait je crois que je m'en veux encore plus, et c'est pour ça que je suis autant en colère. Je suis en colère contre moi car pour une fois, le Grand Harry Potter, le Survivant, n'a pas pu sauver la fille qu'il aimait. Quand c'est pour sauver le monde, je sais être courageux et vaincre les méchants, mais dés qu'il s'agit de mes amis, je ne vois plus rien… J'ai tellement peur de perdre ceux que j'aime de nouveau que… J'ai toujours voulu vous protéger, et je n'ai même pas était capable de voir ce que tu étais en train de faire. C'est pour ça que je m'en veux, parce que je n'ai pas su te protéger. Et ce que je craignais le plus est arrivé, par ma faute.

- Harry… souffla Hermione, on en a déjà parlé, et ça ne sert à rien de ressasser ça. Le plus important, c'est que le monde est définitivement débarrassé de Voldemort, je t'aime, et tu sais que je t'aime. Le reste n'importe plus maintenant. Je sais que tu m'aime, et tu n'a plus à regretter de ne m'avoir jamais parlé. Et en plus, j'ai appris que j'avais un frère, tu te rends compte ! J'ai toujours voulu avoir un frère ou une sœur, avec qui jouer ! s'enthousiasma Hermione.

Quoique je ne sais toujours pas si c'est une bonne chose ou pas…

Alors, on arrête d'être triste, on sourit, et on va voir mes parents, d'accord ? Je viendrai avec toi, mais ils ne me verront pas, ça te va ?

- Très bien, répondit Harry en esquivant un petit sourire.

Le lendemain, comme promis, Harry se rendit à Londres, chez les parents d'Hermione. Il était accompagné de Sirius, sous sa forme animale, et d'Hermione, invisible aux moldus.

Quand il arriva devant la grande maison, il fut un peu surpris, car il ne s'attendait pas à ce genre de maison. Il n'avait jamais eu le temps de passer quelques jours chez Hermione, et cette pensée le rendit un peu amer car il comprit qu'il n'en aurait plus jamais l'occasion.

S'il avait été surpris par l'aspect extérieur de la maison, Harry le fut encore plus par l'intérieur.

Après avoir frappé à la porte, la mère d'Hermione vint ouvrir, et au bout de quelques secondes, après avoir reconnu Harry, elle le fit entrer.

Elle le remercia une nouvelle fois d'avoir veillé sur sa fille, mais il se sentit gêné car bien qu'il la veillait, il n'avait pas su la protéger assez. Ils parlèrent pendant une bonne heure d'Hermione, et Harry appris plein de choses intéressantes, et il aurait vu l'embarras de son amie si elle n'était pas obliger d'être invisible.

Ensuite, elle lui proposa de visiter leur maison, et quand ils arrivèrent devant la chambre d'Hermione, sa mère sembla hésiter un moment.

- Vous n'êtes pas obligée vous savez, lui dit gentiment Harry. Je ne sais pas si Hermione aurait été d'accord que je rentre dans sa chambre…

- Si, au contraire. Je suis sûre qu'elle aurait été ravie. Elle n'arrêtait pas de nous parler de vous… Elle vous aimait énormément, et vous étiez ses meilleurs amis avec Ron. En tout cas les seuls dont elle nous parlait avec autant de fierté dans le regard et de respect dans la voix.

Hermione se sentit de nouveau embarrassée par tout ce que venait de raconter sa mère, mais elle décida que cela ne servait plus à rien, et partie rejoindre Harry qui était déjà à l'intérieur.

Elle le regarda, visiblement amusée par l'expression qui se dessinait sur le visage de son ami.

Il était tout simplement ébloui, aussi bien par la décoration, que par la grandeur de la chambre, que par l'immense bibliothèque qui était tout du long du mur, d'un bout à l'autre de la pièce. Maintenant, il comprenait pourquoi elle était aussi intelligente…

Sa chambre était très claire, le papier rose pale, de différentes teintes, et de nombreuses photos ornaient le mur, la plupart de lui, de Ron et de Ginny, tous lui faisant de grand sourires. Quelques objets sorciers étaient dispersés dans la chambre, et quelques livres moldus étaient posés sur le sol.

Quand la visite fut terminée, Harry et Mme Granger descendirent  dans le salon, et tout en prenant le thé, Harry lui posa quelques questions, plus ou moins indiscrète, mais à chaque fois il précisait que c'était Hermione qui voulait savoir, et que même si elle était morte, il était persuadé qu'elle était toujours avec eux. A chaque fois qu'il parlait des doutes d'Hermione quant à ses origines, Mme Granger paraissait gênée. Finalement, au bout d'une heure et demi, Harry avait assez de renseignements, et après l'avoir remercié une dernière fois, il s'en alla, en direction de Kingcross.

***

- Tu aurais dû voir la tête qu'elle a fait quand Harry lui a demandé s'ils m'avaient adoptée ou pas ! déclara Hermione à Drago, assis sur son lit, mais appuyé contre le mur.

Dès qu'ils étaient rentrés à Poudlard, Hermione avait remercié Harry pour son aide, et s'était aussitôt dirigée vers les appartements de Drago, qui étaient situés juste à côté des siens.

- Tu sais, ça a pas dû être facile pour ta mère d'avouer ça à Harry, et de reconnaître qu'elle avait mentit à sa fille toute sa vie… Surtout qu'elle a dû réagir qu'elle t'avait menti, mais que plus jamais elle n'aurait la possibilité de te l'expliquer.

- Tu as raison. Mais elle aurait pu me le dire auparavant. Elle aurait pu me dire tout simplement qu'avec mon père, ils n'avaient jamais pu avoir d'enfant, et qu'un jour, un homme étaient venu les voir en leur demandant s'ils voulaient adopter une petite fille. Ils avaient trouvé ça un peu étrange, mais quand l'homme était revenu le lendemain avec une adorable petite fille, ils n'avaient pas pu refuser. Il leur expliqua qu'ils n'auraient aucun problème, que tout était réglé. Il leur précisa juste que 6 ans plus tard, ils allaient recevoir une étrange lettre venant d'un école de sorcellerie, et qu'ils devaient m'y envoyer. Il leur expliqua brièvement que j'étais une sorcière, que j'avais subi un sort d'amnésie pour ne pas me rappeler de quoi que ce soit de ma vie, et que surtout, ils ne devaient pas avoir peur de la magie. L'homme était reparti, et ils n'avaient plus jamais eu de nouvelles de lui.

- Et ta mère a précisé à Harry de quoi avait l'air cet homme, celui qui t'avait enlevée à nous ? demanda Drago, un soupçon de rancœur toujours présente dans la voix.

Soudainement, Hermione parut un peu gênée.

- Hermione ? demanda Drago

- En fait… euh… elle lui a dit que… qu'elle ne se souvenait plus à quoi il ressembler… bredouilla Hermione en essayant d'être la plus naturelle possible, mais ce fut peine perdue car Drago remarqua aussitôt son embarras.

- Hermione ? je sais que tu mens.

- Très bien, concéda t-elle. Mais je ne suis pas sûre que cela te plaise. D'après ce qu'a dit ma mère, l'homme qui est venu ce soir là chez eux était… ton père.

- Quoi ? ! ? s'écria Drago.

- Je savais que tu serais en colère, je…

- Mais comment voulais-tu que je ne le sois pas ? Toutes ces années j'ai pleuré ma sœur en maudissant l'homme qui me l'avait prise, et je découvre aujourd'hui que cet homme est le même à qui je demandais chaque soir s'il n'avait des nouvelles d'elle ? Maintenant, je le déteste encore plus… Mais pourquoi ? Pourquoi avoir fait ça ?

- Je ne sais pas, peut être qu'il avait déjà de grands projets pour toi, et peut être que j'étais ta faiblesse. Comme tu me l'as dit l'autre jour, tu t'inquiétais toujours pour moi et me protégeais. Et bien que je n'aie aucun souvenir de cette époque, je suis persuadée que je t'aimais énormément, et ton père a du voir en moi un obstacle à ton éducation. Il voulait que tu sois fort, que tu n'ai pas peur de rien et tout ce qui va avec la panoplie de mangemort, mais en faisant attention à moi, tu étais trop faible. Alors que, regardes, il a plutôt bien réussi ! Tu as fait naître en toi tellement de colère, de rancœur que tu as toutes les qualités requises pour…

- Mais je ne serais jamais un mangemort Hermione ! Je n'ai jamais voulu l'être, et encore moins à présent, maintenant que je sais tout ça…. Je suis désolé, parvient-il à articuler.

Hermione fut touchée par ce que lui avait dit Drago, car même s'il était son frère, il n'en restait pas moins quelqu'un qu'elle avait toujours détesté et qui était trop fier pour s'excuser, regretter et pour être désolé.

Elle s'approcha de lui et lui caressa la joue du creux de la main. Elle ne pouvait pas le toujours, mais il pouvait sentir sa présence et cela le réconforter un peu. Il lui fit même un sourire, un vrai et sincère sourire.

Elle le lui rendit, se retourna et commença à partir…

- Tu m'as manqué p'tite sœur…

Drago lui avait parlé dans un murmure, mais au son de sa voix elle s'était figée. Elle se retourna, et les yeux brillants de larmes, elle lui répondit :

- Moi aussi…  Même si je ne m'en souviens pas, je suis persuadée que tu m'as énormément manqué… Et d'ailleurs, je demanderai à Dumbledore s'il ne peut pas m'aider à me rappeler de tout. Je n'ai que quelques souvenirs, mais la plupart me reviennent par flash, dans mes rêves.

- Je suis sûr que tu t'en rappelleras, des bons comme des mauvais, mais si ça peut te rassurer tu n'auras que quelques mauvais souvenirs, et beaucoup d'agréable, même si ça peut te surprendre.

Elle lui fit un dernier sourire puis partit.

- Une dernière chose, commença Drago avant qu'elle ne franchisse la porte.

- Oui ?

- Je ne t'ai jamais détestée. Sans trop savoir pourquoi, je n'arrivais pas à te détester comme les autres. Bon, c'est vrai que je ne t'aimais pas, mais c'était plus pour la forme, parce que tu étais une Sang de Bourbe. Mais quelque chose en moi m'empêchait de te détester vraiment. Maintenant, je sais pourquoi, ajouta t-il avec un petit sourire.

Et je suis fier de toi, reprit-il. Toi seule à réussi, toi seule a eu le courage de lutter et de vaincre Voldemort, et pour ça, je suis fier de ma p'tite sœur.

- Tu sais, commença Hermione après un long regard plein de tendresse et de remerciement envers son « frère », je ne t'ai jamais détesté non plus.

Tu étais arrogant, suffisant, sûr de toi, et tu ne m'aimais pas. Je ne t'ai jamais attaqué, et ce n'était jamais moi qui commençais les hostilités, moi je ne faisais que me défendre, c'est tout.

Elle marqua une pause, puis Drago reprit :

- Je suis désolé… Tu sais, je ne le suis que rarement, même jamais, mais je suis désolé de t'avoir fait autant de mal, car je sais que je t'en ai fait. Je le voyais dans ton regard. Bien sûr, tu étais trop fière pour le montrer, ou même pour pleurer devant les autres, - ce doit être dans les gênes, souria Hermione – mais je le regrette à présent. Trop souvent j'ai été trop loin, mais jamais tu n'as essayé de te venger, et ça, ça est une raison pour laquelle je te respecte énormément et pour laquelle je suis fier de toi, car quelque soit al situation, tu sais garder la tête haute, comme les Malefoy.

Voilà, je voulais que tu le saches.

Elle le remercia une nouvelle fois et s'approcha de lui, faisant parcourir sa main sur son visage, comme elle l'avait fait quelques instants plus tôt.

Elle lui accorda un dernier sourire puis partit.

- Je voulais que tu saches que j'étais fier de toi, continua Drago pour lui-même, mais je voulais également que tu saches que je t'aimais p'tite sœur. J'ai toujours sur que tu étais différente, et maintenant, je sais pourquoi, et je sais pourquoi je tenais autant à toi, pourtant une sang de bourbe.

Hermione fut très touchée par ce que venait de lui avouer Drago, même s'il ne s'adressait pas directement à elle. Elle avait attendu quelques secondes avant de partir, masi était heureuse de se qu'elle venait d'apprendre. Finalement, Drago Malefoy n'était pas aussi méchant qu'il le faisait croire, et elle commençait réellement à l'apprécier à sa juste valeur.

Elle se mit à rire et se dirigea vers la tour des Gryffondors, où l'attendait Harry.

***

Finalement, Hermione était plutôt contente. Certes, elle était morte, mais le mal était vaincu, elle avait enfin pu dire à Harry qu'elle l'aimait, et elle avait découvert qu'elle n'était plus seule, qu'elle avait un frère. Et par la même occasion, elle avait enfin pu résoudre le mystère de ses étranges rêves qu'elle faisait, où elle se voyait petite, jouant avec Drago. Bien sûr, elle n'avait jamais parlé de ces rêves à personne, mais elle savait au fond d'elle qu'ils voulaient dire quelque chose, et maintenant elle savait quoi.

Tout allait bien, et sa mort aurait eu plein d'agréables conséquences.

« Finalement, malheur est bon à quelque chose pensa Hermione. Mais combien d'honnêtes gens ou pu dire Malheur n'est bon à rien ».

C'est sur cette agréable pensée que toute allait bien qu'Hermione se sentit plus légère, comme transportée, et c'est alors qu'une douce et apaisante lumière l'enveloppa, et elle s'éleva petit à petit. Elle n'était pas destinée à être un fantôme de Gryffondor, ses amis allaient lui manquer, mais elle savait à présent pourquoi elle était revenue, et pourquoi maintenant, elle repartait, reposer en paix.*

* The end *

Voilà, ma fic est enfin termimée ! j'espère qu'elle vous a quand même un peu plus, même si peu d'entre vous me l'ont dit ! Vous êtes pas courageux  du tout ! lol

Voilà, je vous laisse, et a bientôt j'espère, ciao.