La nouvelle vie de Harry Potter Partie 2
Les personnages ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à J.K. Rowling.

Cette fiction est la 2e partie de La nouvelle vie d'Harry Potter, pour bien comprendre l'histoire, il serait important de la lire.

Chapitre V
Le baptême eut lieu lorsque Ronnie-James eut une semaine. Hermione choisit Bill et Fleur Weasley comme parrain et marraine et Harry était très heureux du choix de son épouse. M. Lander n'en revenait pas que le Kossy s'était trompé et il avait dit qu'il allait remettre les statistiques à jour en disant qu'il s'était trompé deux fois en cinq cents ans. À cela, Harry avait dit qu'il s'était trompé trois fois en cinq cents ans, puisque Hermione avait fait ce test deux fois, ceux-ci étant tous les deux des erreurs. Le petit Ron Potter avait maintenant trois semaines. Harry s'avérait être un excellent père. Il se réveillait toujours avant Hermione la nuit et c'est lui qui donnait le biberon. Hermione avait repris les cours. Harry et elle se relayaient. Une journée, elle allait au cours pendant que Harry s'occupait de Ron et l'autre c'était le contraire. Harry avait voulu envoyer Ron chez les Granger, mais Hermione avait refusé. Il avait du se résigner, mais il savait que cela nuisait aux études de Hermione et aux siennes. Jusqu'à maintenant cela fonctionnait plus ou moins bien et il ne voulait pas contrarier Hermione. Celle-ci était en cours et Harry lisait son livre de métamorphose quand il entendit son fils pleurer. Il se dirigea vers la chambre et prit son fils dans ses bras. Celui-ci le regarda et fit un petit sourire. Harry lui dit :

_ Bonjour, mon petit bonhomme, tu vas bien ? Viens papa va te donner ton biberon. Il amena Ron dans le salon et lui donna son biberon. Il adorait cela. Puis il lui fit faire des petits rots, alla le changer de couche, puis le berça jusqu'à ce qu'il dorme. Il se leva et alla le porter dans son berceau dans sa chambre. Mais dès qu'il mit les pieds dans la chambre il aperçu, un faucon, celui de Voldemort, qui attendait sur son lit. Il déposa Ron dans le berceau et prit la missive du faucon qui s'envola aussitôt en sortant de la chambre. Il s'assied sur le lit et lu le message. Puis il reprit Ron, le déposa dans un petit siège, qu'il prit dans ses mains et sortit rendre visite à ce cher vieux Rogue. Devant la gargouille du bureau du directeur, il se rappela qu'il n'avait pas le mot de passe et puis merde, pensa-t-il, il leva la main et dit :

_ Par ordre de Godric Gryffondor, je t'ordonne de t'ouvrir. La gargouille le regarda et le laissa passer. C'est Hermione qui avait découvert que Gryffondor ouvrait les portes à Poudlard avec ce sort dans le livre qu'il lui avait offert au Noël précédent. C'était la première fois qu'il s'en servait et cela semblait fonctionner. Il monta les escaliers et frappa à la porte.

_ Entrez, fit la voix glaciale de Rogue.

_ Professeur Rogue, je m'excuse de vous déranger.

_ Assoyez-vous. Harry s'assied en face de lui et reprit son fils dans ses bras. Fumseck vint se poser sur son épaule et caressa du bout du bec son fils.

_ Professeur je viens de recevoir ceci. Il lui tendit le parchemin que Rogue lut à haute voix.

Très cher Harry, Comme tu vois, je me porte à merveille. Grâce aux bons soins de mes serviteurs j'ai pu retrouver ma santé. Je sais où te trouver, maintenant. J'ai eu l'arrière-arrière grand-père, le grand-père, le père me résiste, mais maintenant j'ai une nouvelle cible, le fils et celui-ci est très facilement accessible pour moi, comme tu vois. Il me suffit de demander à mon fidèle faucon de me le ramener. Surveille-le Potter, tu pourrais le perdre. Ton ami, ou ton ennemi, Lord Voldemort.

_ Où était le faucon, Harry, dit Rogue.

_ Sur mon lit. Dans la chambre de Gryffondor.

_ Donc Voldemort sait où ce trouve la chambre.

_ Oui, je suis vraiment inquiet pour Ron.

_ Vous devriez le faire garder chez les Dursley.

_ MON FILS N'IRA JAMAIS CHEZ LES DURSLEY.

_ Ne te fâche pas, Harry, c'est que je me dit qu'il devrait aller vivre du côté moldu.

_ Dans ce cas nous devrions l'envoyer chez les parents de Hermione. Mais je doute qu'elle veuille s'en séparer, nous en avions déjà discuté, vous savez.

_ Oui, mais maintenant les circonstances ont changé. Je vous autoriserai à utiliser la poudre de cheminette pour aller voir votre fils toutes les fin de semaine. Nous devons absolument la convaincre.

_ Oui, mais elle ne m'écoutera pas.

_ Alors je m'occupe de la convaincre. Toi Harry préviens les Granger.

_ C'est comme si c'était fait, Professeur. Il remit son fils dans le siège et quitta le bureau. Il se rendit à la volière avec Ron dans le siège et demanda à Hedwige de le rejoindre dans la grande salle. Il se rendit dans la grande salle et s'assied à la table des Gryffondors en mettant le siège du bébé sur la table, Ron y dormait paisiblement. Il prit une plume et un parchemin et entreprit de rédiger la lettre pour ses beaux-parents.

M. et Mme Granger, Je vous écris parce que l'heure est grave. Voilà, mon ennemi de toujours sait désormais comment s'en prendre à moi. Il le ferait avec Ronald, et cela je ne veux pas que ça arrive. Alors, le professeur Rogue et moi croyons qu'il serait plus en sécurité chez vous, qu'ici, à Poudlard. Sachez que la vie de mon fils et de Hermione sont ce qui compte le plus pour moi en ce moment. Je vous demande donc si vous pouvez prendre soin de Ronald ? S'il-vous-plaît répondez-moi rapidement. Retournez la réponse avec Hedwige. Merci beaucoup de votre compréhension, votre tout dévoué gendre, Harry Potter.

Il attacha la lettre à la patte d'Hedwige et lui dit :

_ Trouve M. ou Mme Granger et remet leur en personne. Et rapporte moi la réponse. Celle-ci lui mordilla affectueusement le doigt et partit faire la tâche qu'on attendait d'elle. Harry demeura dans la grande salle. Il fit venir à lui, à l'aide du sortilège d'attraction son livre de métamorphose et en reprit la lecture. Il ne pouvait se résoudre à retourner dans son appartement tout en sachant que Voldemort pourrait lui enlever son fils. Il y demeura encore une heure quand des élèves arrivèrent dans la grande salle. Quelques gryffondors s'assirent avec lui à la table. Les filles furent éblouies par le petit Ronnie-James qui dormait à poing fermer dans son petit siège, elles étaient presque toutes autour de lui, à murmurer,

_ Il est tellement mignon.

_ Il ressemble tellement à son père.

_ Harry tu fais un merveilleux père, tu sais, lui dit Pavarti Patil une étudiante de sixième année.

_ Oui, je sais et en plus je suis tellement mignon, dit-il en souriant.

_ Pourquoi tu dis cela ? demanda-t-elle. Mais c'est Ginny qui répondit à sa question.

_ Vous regardez son bébé et lui dites qu'il est mignon, qu'il ressemble à son père, si le bébé est mignon et qu'il ressemble à son père, cela veut forcément dire que. . .

_ Ça va, j'ai compris, fit Pavarti en rougissant.

_ Où est Hermione, lui demanda alors Harry.

_ Rogue l'a fait appelée durant le cours de métamorphose. Et elle s'est rendue à son bureau. Elle doit sûrement y être encore.

_ Je vais l'attendre ici. Ron se réveilla et se mit à pleurer, il avait faim. Ginny demanda à Harry si elle pouvait le prendre pendant que Harry allait chercher son biberon et il accepta. Ginny prit Ron, mais celui-ci continuait de pleurer, et Harry sortit de la salle pour aller chercher le biberon de son enfant. Ginny essayait de le calmer, puis Hermione apparue en courant, l'air inquiète vers eux. Elle prit son enfant qui pleurait toujours.

_ Dieu merci, il va bien. dit-elle.

_ Bien sûr, j'en ai pris grand soin, répondit Ginny.

_ Pourquoi est-ce que Harry vous l'a laissé ici ?

_ N'en veux pas à Harry, il est allé cherché son biberon.

_ Il n'aurait pas du vous le laisser ! répondit Hermione presque en criant. Chut, bébé, maman est là. Puis Harry arriva avec un biberon dans les mains il regarda Hermione qui semblait très énervée et se dit qu'elle devait être très inquiète pour son fils. Il s'avança très lentement et vint l'étreindre en posant son menton sur sa tête. Elle se retourna brusquement en ayant toujours Ron dans les bras et lui fit face.

_ Harry Potter, pourquoi est-ce que tu as laissé notre fils ici, il n'était pas en sécurité.

_ Il était en sécurité, ici avec Ginny et tu le sais très bien, Herm. Répondit-il calmement. Maintenant donne moi Ron.

_ Il est très bien dans mes bras protesta-t-elle. Le bébé pleurait plus fort, maintenant sentant que sa mère était énervée, cela le stressait et le faisait pleurer plus fort.

_ Tu sais bien que non, donne-le moi, Herm. Il tendit les mains et lui prit l'enfant. Celui-ci cessa immédiatement de pleurer. Il se sentait en sécurité dans les bras paternels de son père. Harry s'assied à la table et donna le biberon à Ron. Puis il le garda dans ses bras pour le repas. Après le dîner il se dirigea vers son appartement avec Hermione et le bébé. Il laissa Ron dans le siège et s'assied sur le sofa. Hermione vint s'asseoir près de lui.

_ Rogue m'a parlé.

_ Je sais, Pavarti.

_ Elle est une vraie pie celle-là.

_ Et puis qu'est-ce que tu as décidé ?

_ Je crois qu'il serait plus en sécurité chez mes parents. Et je suis d'accord avec toi je ne l'enverrai jamais, chez les Dursley.

_ Je vois que nous sommes d'accords alors. Il la prit dans ses bras et la déposa sur ses genoux. Il lui donna un baiser sur la joue.

_ Je vais écrire à mes parents pour leur demander.

_ Non, répondit-il en la maintenant sur lui. Je l'ai fait. Il lui donna un baiser dans le cou. Elle frissonna. Il l'embrassa passionnément en laissant ses mains parcourir son corps. Elle répondait à son baiser et lui caressant les cheveux. Il réussit à se faire un chemin sous sa robe et caressait maintenant son dos. Depuis juin pensa-t-il que je n'ai pas pu la toucher. Il ramena ses mains devant son corps et les remonta sur ses seins. À ce moment-là, elle se leva rapidement et dit

_ Nous devrions préparer les vêtements de Ron si nous voulons qu'il soit en sécurité dès ce soir. Il la regarda tendrement, lui prit la main et la remit sur ses genoux.

_ Je t'aime Hermione, dit-il, il l'embrassa encore. Elle le regarda et lui dit :

_ Moi aussi je t'aime Harry, mais nous devrions préparer les bagages de Ron. Harry fut déçu, mais n'en dit rien. Il se leva.

_ J'y vais, toi restes ici avec lui, dit-il fermement à l'intention de Hermione.

_ Harry je ne voulais pas te faire fâcher.

_ Je sais, répondit-il d'un ton sans réplique. Et il monta dans la chambre préparer les effets de son fils. Il avait terminé lorsque Hermione vint le rejoindre une lettre à la main.

_ C'est la réponse de mes parents, dit-elle.

_ Herm, où est Ron.

_ Dans le salon, lis-la vite.

_ Ne laisse jamais mon fils seul dans cette appartement dit-il. Il se précipita dans le salon et vit un faucon qui venait de s'y engouffrer, il prit rapidement son fils dans ses bras. Et le faucon ressortit rapidement de la pièce, triste de ne pas avoir réussit sa mission.

_ Harry je suis si désolée, dit alors Hermione en pleurant. Il la regarda rapidement, il était fâché contre elle, parce qu'elle ne voulait pas de lui, elle ne voulait pas de ses caresses qui lui manquait énormément, et elle laissait son fils seul, alors qu'elle savait que c'était dangereux.

_ Tu n'avais pas à le laisser seul ici, Hermione Granger, tu le savais très bien, qu'est-ce qui t'a pris ? Il criait, mais Ron ne pleurait pas.

_ Harry je ne voulais pas,. . . je ne savais pas, je suis désolée.

_ Et moi je suis très déçu de ton comportement Hermione, dit-il d'un ton sans réplique. Il lui prit la lettre qu'elle avait toujours dans les mains et la lut silencieusement, puis sortit de la pièce avec Ron dans les bras et Hermione sur les talons. Ils se rendirent au bureau de Rogue.

_ Professeur Rogue, je viens de recevoir la réponse des Granger. Ils sont d'accords, quand peut-on y aller.

_ Mme Potter, vous êtes d'accord à ce que je vois, répondit Rogue en regardant Hermione.

_ Même si elle ne l'est pas, Ron ira chez les Granger un point c'est tout, répondit Harry rapidement, sans jeter un regard à Hermione. Il savait qu'il lui faisait de la peine, mais pour l'instant tout ce qui comptait pour lui c'était la sécurité de son fils. Rogue regarda le couple et constata qu'il y avait une certaine tension entre les deux jeunes gens, mais ne dit rien, après tout, il n'allait pas se mêler de cela.

_ Bien allons-y alors. Je m'y rends avec le petit en transplannant et vous deux y aller avec la poudre de cheminette.

_ Tenez, dit alors Harry en lui tendant Ron. Faites-lui bien attention, car si jamais il lui arriverait quoi que ce soit durant que vous l'avez et bien je. . .

_ Oui, je sais, répondit Rogue, vous allez me tuer. Ne vous inquiétez pas. Sur ce il disparu d'un pop. Harry se dirigea alors vers la sortie et Hermione lui demanda

_ Comment se fait-il qu'il a transplanné et qu'il était à Poudlard.

_ On ne peut pas transplanné dans Poudlard, mais on peut en sortir en transplannant du bureau de Dumbledore, c'est le seul endroit. Dit-il, encore fâché contre elle. Il arriva à son appartement, prit les effets de Ron et s'installa dans la cheminée sans regarder Hermione et cria

_ Les Granger. Il arriva alors dans la cheminée des Granger. Et découvrit Rogue tenant son fils. Il s'approcha et le prit dans ses bras. Rose vint l'étreindre.

_ Harry je suis si désolée de ce qui vous arrive.

_ Merci de le prendre, Rose.

_ Y'a pas de problème, répondit alors Charles. Où est Hermione ?

_ Je suppose qu'elle ne devrait pas tarder, répondit-il. Puis un bruit vint de la cheminée et Hermione apparue.

_ Maman dit-elle en pleurant. Elle se précipita dans les bras de sa mère.

_ Chut, ne t'en fais pas, il sera en sécurité ici. Je te promets, qu'il ne lui arrivera rien ici.

_ Bon, je dois retourner à Poudlard maintenant, dit alors Rogue.

_ Merci professeur Rogue, dit alors Harry en lui serrant la main.

_ Ah, j'oubliais, dit-il, je ferai envoyer Fumseck ici, ainsi il pourra nous avertir en cas de danger.

_ C'est une excellente idée, professeur dit Harry. Et Rogue disparu dans un pop. Hermione pleurait toujours dans les bras de sa mère et Harry ne semblait pas s'en soucier pour l'instant. Il se tourna vers Charles et lui dit :

_ Si on allait installer la chambre de Ron, qu'en pensez-vous Charles ?

_ Oui, allons-y Harry, les deux hommes montèrent dans la chambre d'amis, Harry déposa Ron dans le berceau et ils entreprirent de ranger les effets du bébé. Pendant ce temps-là, au rez-de-chaussé,

_ Qu'est-ce qu'il y a Hermione ?

_ On s'est disputé, répondit-elle en pleurant.

_ À propos de quoi ?, je suis certaine que ce n'est pas très grave, tu sais Harry t'aime vraiment.

_ Je ne sais plus, s'il m'aime maman, je suis si triste.

_ Écoute, Hermione, je crois que tu devrais en discuter avec lui, tu sais, je ne peux pas t'aider. C'est ton couple et c'est à toi de tenter de régler le différent que vous avez.

_ Peut-être que tu pourrais me conseiller, dit-elle en sanglotant.

_ Non, parce que je ne veux pas être prit entre vous deux. Restez à souper et après le souper je m'occuperai de Ronald et toi tu iras discuté avec Harry à l'extérieur. Faut régler les disputes, Hermione.

_ Je ne sais pas si Harry voudra souper ici.

_ Je m'en occupe, tu sais il ne m'a jamais rien refusé. Hermione essuya une dernière larme et vit son père et son époux arrivés vers elle et sa mère. Son père serra sa mère dans ses bras et Harry vint s'installer près d'elle mais ne fit rien, il ne la regardait même pas.

_ Je vais préparer le biberon pour Ron, dit-il en se rendant dans la cuisine.

_ Je vais t'aider, dit alors Rose. Elle suivit Harry dans la pièce. Elle regarda Harry.

_ Rose, ça va aller, dit-il. Je suis habitué.

_ Vous allez demeurer pour souper, n'est-ce pas, Harry ?

_ Oh, je ne crois pas, nous avons des cours demain.

_ Mais vous pourriez partir peu de temps après souper et vous seriez présents pour endormir Ron.

_ Bon, c'est d'accord, dit-il en souriant à sa belle-mère. Il prit le biberon et se dirigea vers Ron qui était dans son siège près de sa maman. Il prit l'enfant et entreprit de le faire boire. Hermione, Rose et Charles regardaient la scène, puis Charles dit.

_ Tu es un bon papa, Harry, je veux dire, tu me surprends vraiment.

_ Je m'habitues à mon rôle de père très rapidement et surtout Ron est tellement attachant.

_ Vous savez qu'il arrête de pleurer lorsque Harry le prend, dit alors Hermione. Et il est bien mieux que moi pour s'en occuper finit-elle tristement. Harry la regarda et constata qu'elle avait du chagrin, mais il retourna son attention sur le biberon du bébé. Puis Rose, dit :

_ Ron te ressemble tellement Harry et il semble si près de toi que c'est à croire que tu l'as fait tout seul. Dit-elle en souriant pour tenter de détendre l'atmosphère, mais la phrase n'eut pas l'effet escompté, puisque Hermione se remit à pleurer et dit en montant dans son ancienne chambre.

_ C'était presque le cas !

Harry se leva rapidement et rendit Ron à sa belle-mère pour qu'elle termine de le faire boire et monta rapidement rejoindre Hermione. Charles voulu le suivre, mais Rose l'en empêcha.

_ Hermione ouvre cette porte sinon je l'ouvrirai moi-même dit alors Harry devant la porte de la chambre verrouillée.

_ NON, vas-t'en.

_ Alohomora, la porte s'ouvrit et Harry entra en la refermant. Il regarda Hermione et s'assied sur le bord du lit.

_ Vas-t'en, je t'ai dit. Tu ne comprends vraiment rien, toi ?

_ Je partirai quand j'en aurai envie.

_ Dans ce cas, c'est moi qui part, dit-elle en se dirigeant vers la porte. Harry lança alors un sort sur la porte et Hermione ne put l'ouvrir. Elle était prise au piège avec Harry, seulement lui pourrait l'ouvrir maintenant. Elle le fixait avec toute la colère qu'elle ressentait, puis Harry, dit

_ Tu partiras quand tu m'auras dit ce qu'il y a, pas avant, Herm.

_ Et c'est toi qui demandes ça, permet-moi d'en rire, Harry.

_ Qu'est-ce que j'ai fait ?

_ Tu m'as presque accusé d'avoir laissé Ronnie dans les bras de Voldemort !

_ C'était le cas, Hermione, si je n'étais pas arrivé à ce moment-là, Dieu seul sait où serait Ron à l'heure qu'il est. Il demeura calme, malgré sa colère.

_ Mais je croyais que c'était seulement dans la chambre qu'il était en danger.

_ Ah, oui, et pourquoi croyais-tu que j'étais dans la grande salle sur l'heure du dîner alors, et que je l'ai tenu pendant tout le repas ?

_ Je croyais que c'était un caprice de papa-gâteaux, moi, c'est tout. Je n'y croyais pas vraiment. Harry la regarda droit dans les yeux et constata qu'il devait arrêter cette dispute avant que l'un ou l'autre fasse quelque chose qu'ils regretteraient. Il ne pouvait plus imaginer sa vie sans elle. Il devait la calmer et se réconcilier avec elle.

_ Je suis désolé de m'être emporté dit-il. Mais je suis très susceptible lorsqu'il s'agit des êtres que j'aime le plus au monde. Tu sais je suis prêt à tout pour ne pas qu'ils souffrent, même à perdre des points en répliquant à Malefoy, finit-il avec un sourire malicieux sur le visage. Elle le regarda, oui, c'est vrai, il ne parlait jamais lorsque les insultes de Malefoy l'attaquaient lui directement, mais lorsqu'elles lui étaient destinées, elle devait toujours calmer Harry, pour ne pas qu'il lui lance un sort.

_ Je suis désolée, moi aussi Harry, pour la scène à la grande salle.

_ Une scène, quelle scène ? dit-il amusé.

_ Tu sais bien, je revenais du bureau de Rogue et j'étais inquiète. J'ai vu alors Ronald pleurer dans les bras de Ginny et toi tu n'y étais pas alors, j'ai paniqué.

_ Pourtant tu devrais savoir, que je n'aurais jamais laissé Ronald là, si j'avais su qu'il ne serait pas en sécurité.

_ Oui, je sais maintenant. Toi tu n'es pas comme moi. Il se leva et s'en approcha. Il mit ses bras autour d'elle et posa son menton sur sa tête. Ils faisaient face à la porte de la chambre et voyaient leur reflet dans le miroir de la porte. Il lui sourit. Elle le regarda dans les yeux avec l'aide du miroir.

_ Harry est-ce que tu m'aimes encore ?

_ Non, elle fit une moue triste. Je t'adore, Hermione. Bien sûr que je t'aime encore, je ne peux pas imaginer une seule de mes journées sans toi. Il lui ôta les cheveux qu'elle avait sur la nuque et déposa un baiser sur celle-ci. Elle frissonna, puis se retourna.

_ J'ai eu peur que tu ne m'aimes plus. Tu semblais si fâché après moi, tu sais. Ça commencer avant que tu ailles préparer les affaires de Ron.

_ Mais comprends, Herm, depuis le mois de juin que moi je rêve de te caresser, de te faire frémir sous mes doigts et alors ce matin tu m'as dit que tu allais mieux, j'ai cru que nous pourrions, euh, le faire, c'est normal, quoi, nous sommes mariés.

_ Oui, je sais, mais je n'ai pas le goût en ce moment pour cela.

_ T'avais qu'à le dire, je me suis senti repoussé, moi.

_ Je croyais que tu ne comprendrais pas. Il l'embrassa sur la joue, puis murmura à son oreille,

_Pourtant je suis si compréhensif habituellement. Elle sourit, et l'embrassa passionnément. Puis elle lui dit

_ Est-ce que je peux te demander quelque chose, Harry ?

_ Oui, mon amour tout ce que tu veux.

_ La prochaine fois qu'on se dispute, peux-tu ne pas m'appeler Hermione Granger ? Quand tu as dit cela tout à l'heure ça m'a vraiment fait mal, j'ai cru que tu ne voulais plus de moi. Il sourit.

_ C'est d'accord, je tâcherai de m'en souvenir, et maintenant, Hermione Potter, que dirais-tu de retourner au rez-de-chaussé pour rejoindre notre fils et aider ta mère pour le souper.

_ Oui, je suis d'accord, mais avant j'aimerais une dernière chose.

_ Quoi ?

_ Çà, dit-elle en l'embrassant tendrement. Et ils descendirent retrouver leur fils et les Granger. Harry endormit son fils avant de retourner à Poudlard. Ils revinrent directement dans leur appartement. Harry arriva le premier et aperçu Bill et Fleur presque nus couchés sur le sofa devant la cheminée. Ils le regardaient mal à l'aise, puis Hermione apparue derrière Harry. Harry regarda la scène et dit

_ Je vais me souvenir de cela lorsque vous allez me réprimander en classe vous deux, il se mit à rire et entraîna Hermione en haut, dans sa chambre. Il l'embrassa, puis se coucha dans le lit où il s'endormit rapidement en serrant Hermione dans ses bras.
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