Bon disclamer: Je me répète, l'histoire est à moi, Maguy est à moi, et le reste, à J.K. Rowling.

Chapitre 2:Malefoy apprend les origines

Donc, Maguy a apprit qui est son père. Toute la journée, elle de cette nouvelle, ce qui ne fut pas très long, non que ce ne fut pas important, mais qu'elle s'en remit ou du moins, laissa son problème de côté, elle allait rentrer à Poudlard ! C'était humainement impossible de ne pas être excité lorsqu'on rentre à Poudlard. Aussi, elle s'amusa avec Sirius qui lui montra comment faire quelques pétards de son invention, au plus grand désarroi de Severus, qui était jaloux qu'elle rie, car souvenons-nous de ces sentiments envers Maguy, avec quelqu'un d'autre que lui.
Après le dîner, Maguy pensa à la rumeur de la chambre des secrets, et après en avoir parlé avec son parrain, elle sut que c'était vrai. Elle se dit alors que si elle était la fille de Tom Elvis Jedusor, il fallait bien que ça serve à quelque chose, et, durant l'année, elle n'aurait aucune pièce pour elle seule. Elle eut l'idée de voir si elle parlait fourchelangue pour avoir la chambre des secrets comme salle à elle seule, puisque seulement Lord Voldemort lui-même et Harry Potter pourraient rentrer. Mais, il fallait essayer avant tout et, devant le robinet de la toilette des filles menant à la chambre des secrets, elle fut dans un état d'excitation extrême (N.d.A : et il n'y a aucun sous-entendu) face à sa propre audace. Elle se concentra, imagina un serpent, puis dit : - Ouvre-toi, et il sortit un sifflement de serpent, elle jubilait face à sa capacité de pouvoir réaliser son projet.

Le robinet s'ouvrit et un trou de la largeur d'un basilic s'ouvrit. Elle sauta dans la bouche béante et glissa jusqu'à la fin. Rendu en bas, elle vit une peau de serpent en décomposition, des murs de pierres gris délabrées, des toiles d'araignée un peu partout. Elle avança, tout doucement, comme si elle avait peur de voir quelqu'un. Sincèrement, elle avait que le basilic n'eut pond un ?uf avant sa mort. Une chance pour elle, quand elle prit son courage à deux mains et appela en fourchelangue le dangereux et immense serpent, rien n'arriva. En regardant le lugubre endroit, Maguy se dit que la décoration avait drôlement besoin d'être refaite. D'un coup de baguette magique, et d'une formule, elle changea les murs grisâtres et serpenté de fissure en murs toujours gris, mais sans fissure. Des toiles rouges et un divan étaient apparut contre un mur. Elle fit un foyer qui crachait des flammes douce et chaude. Un lit trônait au milieu de la pièce et l'eau avait disparue. La jeune Tristesse d'adoption ou la Jedusor de sang, regarda l'heure. Elle devait se dépêcher car les élèves allaient arriver d'une minute à l'autre. Elle courut sans s'arrêter et devant l'entrer cria : - Accio éclaire de feu.

Intérieurement, elle remercia Rogue de lui avoir acheté ce cadeau pour Noël dernier, ce balai allait si vite et son accélération était si merveilleuse, qu'elle fut rendue en moins de temps qu'il faille pour dire «choixpeau ». Elle courut ensuite jusqu'à McGonnagall qui la regarda l'air de dire : « Il était plus que temps » Maguy murmura un vague : - Désolée ! Puis, les premières années arrivèrent et Maguy se glissa entre eux et fut très discrète. Quand elle rentra dans la grande salle et que tous le monde s'étonnait devant le ciel magique, elle lui jeta un regard bref et s'assit en attendant la célèbre chanson du Choixpeau.

Le trio était arriver et leur attention c'était porté sur cette fille, qui était trop grande pour être en première année et qui n'était nullement étonné par la majesté de Poudlard. Il la trouvait un peu trop blasée. Le Choixpeau avait terminé sa chanson et McGonnagall commençait à nommé les élèves : - Grimlingne Marci ! Le Choixpeau l'envoya à Serpentard. - Gran Julie ! - Poussoufle, cria sans tarder le Choixpeau. La répartition continua sans grand Gryfondor, puis, rendu au T, McGonnagall nomma le nom que tous les professeurs attendaient : - Cette élève rentrera directement en cinquième année, pour des causes personnelles, elle n'a pas put venir avant cette année, Tristesse Maguy Maguy se rendit au Choixpeau angoissé. - Tiens, tiens. murmura le choixpeau à l'oreille de Maguy, tu ne ressemble pas aux Tristesse. - C'est que je n'en suis pas une, lui répondit Maguy. - C'est ce que je vois, rétorqua le choixpeau, tu es une. ne dis rien, oui. étonnant. ton père est Tom Elvis Jedusor et ta mère, Maria Minero. - C'est ça, dit Maguy, mais je refuse d'aller à Serpentard. - C'est dans ton sang, pourtant. - Je refuse, n'importe où mais pas là. - Très bien, alors prenons le chemin de ton c?ur, puis cria pour toute la salle, GRYFONDOR !

Maguy rejoignit sa table et s'assit à côté du trio, puisqu'il n'avait de la place nul part ailleurs. Rendu à leur côté. Elle s'assit, puis Dumbledore commença son discoure de début d'année : - Bon début d'année à tous ! ! ! J'aimerais vous annoncer que, comme Sirius Black a été innocenté, il occupera un nouveau poste, celui d'organisateur d'activités, il s'occupera des fêtes et des sorties. Sur ordre du Premier ministre, monsieur Malefoy Fudge, Lucius, s'occupera des cours de Défense Contre Les Forces Du Mal. Sur ce, bon appétit ! Après avoir hué comme tout le monde, excepté les Serpentards, Maguy engagea la conversation. Elle regarda d'abord Ron et dit : - Ron Weasley ? Je suis Maguy Tristesse, mais ici, tout le monde m'appelle Mag. - Euh.répondit-il, enchanté. - Harry Potter, continua Maguy, et Hermione Granger, la meilleur de l'école ? Je suis Mag, comme je l'ai dit à Ron. - Salut, répondirent les deux principalement intéressé en ch?ur. - Euh. je ne comprends pas, dit Ron, tout le monde. Tu es nouvelle, comment ça, tout le monde ? - Ah, oui c'est vrai !!! Excuse-moi, dit-elle, tu ne savais pas que j'ai passé mon enfance à Poudlard, Dumbledore est mon parrain. - Quoi, sursauta Harry dont Maguy lui fit signe de parler juste beaucoup moins fort, Dumbledore est parrain ? - Si elle vient de le dire, répondit Hermione, mais, comment ce fait-il que tu ne sois pas venu à Poudlard avant ? - Je suis allé à Beaubâton, mon parrain pensait que ça serait mieux de même et après de longue négociation, j'ai réussit à le convaincre pour qu'il me laisse venir à Poudlard cette année, répondit la principale intéressée. - Tes parents sont morts, demanda Harry ? - Oui, et d'une certaine façon, répondit-elle, tu m'as sauvé la vie. - Ah oui, et comment, questionna Hermione ? - Ce cher Lord Voldemort, Ron et Hermione frissonnèrent, dit Maguy, voulait me tuer, moi aussi, mais j'étais chez Dumbledore, c'est à dire, ici, Voldemort a tué mes parents a tué les tiens, Harry, et voulait me tuer après. Comme il a perdu ses pouvoirs en voulant te tuer, tu m'as un peu sauver la vie. - Ah. répondit Ron, qui aurait bien aimé lui sauver la vie. - Donc, dit Harry, tu connais bien les profs ? - Oui, et je sais, dit Maguy avec un petit sourire, que Rogue n'est pas super avec les Gryfondors et ça va peut-être changer. - Comment, s'étonna Ron ? ? ! ! ! - C'est mon meilleur ami, dit Maguy, mon grand frère en quelque sorte. - Des goûts et des couleurs, on ne discute pas, répondit Hermione. - Tu habitais Poudlard quand tu étais petite, lui demanda Ron ? - Oui, et j'ai déjà «parlé » avec quelques anciens élèves, dont tes frères, les jumeaux, ils m'ont appris quelques tours.

Les bavardages furent interrompus par Dumbledore qui annonça la faim du repas. Maguy échangea un regard avec Rogue, puis vint le rejoindre après avoir demandé à ses amis de l'attendre. Elle lui demanda s'il était déçu et il lui répondit que ce qui les unissait était plus fort que tout et qu'une maison ne changerait rien à leur lien. Soulagé, elle partit se coucher.

Le lendemain, Maguy s'éveilla en très bonne forme. Elle s'habilla avec l'uniforme digne des Gryfondors, puis coiffa ses longs cheveux en une tresse qui tombait sur son épaule droite. Elle avait hâte à son premier cours, s'était celui de potion.

Dix minutes avant le début du cours, Maguy parlait avec Ron, Hermione et Harry quand Drago Malefoy vint les interrompent : - Alors, comme ça, t'es nouvelle. Une sang-de-bourbe qu'on vient juste de découvrir les talents magique ? - Non, j'étais à Beaubâton, et, à ta place, je ne dirais pas ça, dit Maguy, parce que voilà le professeur Rogue. - Tu crois que le professeur va faire attention à une Gryfondore ? - Tu paris, répondit Maguy en le regardant hargneusement ?

Puis, Maguy marcha vers le professeur détesté de la plupart des Gryfondors et dit : - Professeur, Drago Malefoy m'a traité de sang-de-bourbe. - Très bien, dit le professeur, une retenue pour monsieur Malefoy. - Mais, c'est faux, dit Drago, je n'ai jamais dit cela ! - Mentiriez-vous, par hasard, répondit Rogue, voudriez-vous une autre retenue ? - Non, merci professeur.

Le professeur commença son cour et fut, à l'étonnement de tous, très indulgent envers les Gryfondors, même envers ce maladroit de Neville Londubat. Il accorda des points pour Gryfondors lorsque Maguy donnait une bonne réponse, lorsque Hermione donnait les réponses, et même lorsque que Harry donna une réponse. Maguy regarda Malefoy d'un air « j'ai gagné », et Malefoy décida de la détester plus, vraiment plus que Potter. À la pause, il attendit Maguy puisqu'elle avait parlé avec le professeur. - Alors, dit Drago, tu ne m'as pas répondu et quand Drago Malefoy pose une question, on répond ! T'es une Sang-de-bourbe qu'on vient de découvrir ? - Non, vraiment pas, dit Maguy, je suis une Tristesse, la fille de Danny Tristesse, ancien Gryfondor, et de Maria Minero, ancienne Serpentard. - Quoi, s'étonna le pauvre et minable Malefoy, t'es la fille d'une SERPENTARD et d'un GRYFONDOR, il y a déjà eu des couples de ce genre ? - J'aimerais bien te répondre, répondit la jeune fille d'un air faussement désolé, mais, tu comprends, j'ai mieux à faire que de parler avec un minable de ton genre. Sur ce, elle partit.

- Tu viens de déclarer la guerre, Tristesse, murmura le malheureux Malefoy qui venait d'être collé par le professeur qui était aussi le directeur de Serpentard, Severus Rogue, je vais prendre ma vengeance en DCFM.

Et le garçon partit, non sans être intriguer par cette fille et par ses origines.

En DCFM, plus tard : - Donc, je suis votre professeur de Défense Contre les Forces du Mal. Je ferais l'appel et répondez vite parce que je n'ai pas que ça à faire. Donc : Granger Hermione - Présente Et il continua, il sourit au nom de son fils, grimaça au nom de Potter, puis. : - Tristesse Maguy - Présente Lucius continua à faire les présences, trouvant étrange, puisqu'il connaissait les parents de Maguy, que Maria s'était mariée avec un Gryfondor. Lucius commença alors son cours d'une manière très froide envers les Gryfondors et montrant très nettement son futur favoritisme envers les gens de sa maison. Puis, il parla des loups-garous. - Maintenant, dit-il, j'aimerais qu'on me dise quels sont les signaux qui permettent de savoir si une personne est ou non, un loup-garou. - Hermione leva évidemment la main - Mademoiselle Granger ? - Les principaux signaux sont, dit-elle sur un air de dictionnaire, la lune, je vous explique, la semaine de la pleine lune le loup-garou va donner l'impression qu'il est malade. Aussi, il n'aura rien en argent. - Ce n'est pas ce que je voulais entendre, monsieur Malefoy, s'il vous plaît, pourriez-vous donner la réponse à ce tas d'ignorant ? - Bien sûr, les principaux signaux sont, la lune, je vous explique, la semaine de la pleine lune le loup-garou va donner l'impression qu'il est malade. Aussi, il n'aura rien en argent. - Parfait, prenez ça en note, et je donne 15 points à Serpentard.

Tous les Gryfondors furent indigner face à l'imminente injustice et le trop grand favoritisme que le professeur avait démontré. Maguy, elle aussi indignée, décida de prendre la parole et prit un ton poli : - Professeur, je crois qu'il y a une erreur. - Pourquoi, dites-vous ça, répondit le professeur d'un air doucereux ? - C'est que, vous avez dit que ce que Malefoy a dit était excellent alors qu'il a répété exactement ce que Hermione a dit, répondit Maguy Tristesse. - Je préfère, dit-il, donnez les points aux Serpentards, et de toute façon, de quel droit contestez-vous ma manière d'enseigner ? - Depuis, professeur, dit-elle en essayant de garder son sang-froid, que vous ne respectez pas le règlement du code du professeur, qui interdit de faire du favoritisme envers un élève de sa famille. - Et vous les connaissez mieux que moi, et lui murmura à l'oreille puisqu'il était maintenant à côté d'elle, vous vous trahiriez pour quelques points ? Je sais ce que Dumbledore vous a dit, le moins d'élèves possibles doivent être au courant de votre enfance à Poudlard, et reprit plus haut, alors qu'elle lui lançait un regard des plus noir qui donna des frissons à Lucius : - Une retenue à Mademoiselle Tristesse pour s'être pensé supérieur à un professeur.

Et le cours passa, très lentement, les élèves prenaient des notes de cours et la plupart des élèves furent contents d'entendre la cloche sonner. - Je vous rejoins bientôt, pour le dîner, disons, dit Maguy en traînant des pieds pour savoir quelle retenue elle aurait. En rentrant dans le bureau du professeur, elle prit un grand respire et ne put s'empêcher de faire une petite grimace en voyant le fils de Lucius, Drago, celui-ci fit de même. - Alors, on se croit supérieur à un professeur, commença Lucius, je vais vous enlever cette mauvaise habitude, ce soir vous cirerez, à la manière Moldu, les coupe en argent de la salle des trophées. Ah ! Oui ! J'oubliais, j'aimerais une lettre d'excuse. - Oui, bien sûr monsieur, dit Maguy, avec la lueur d'insolence qui régnait dans ses yeux depuis le début du cours. Elle sortit et alla dîner alors que Drago parla avec son père : - Père, j'aimerais savoir si vous connaissez les Tristesses, ou plus précisément, Maria et Danny Tristesse. - Pourquoi voudrais-tu le savoir ? - Pour pouvoir humilier la Tristesse. -Bien.

C'est alors que Lucius dit ce qu'il savait au sujet de cette famille, et quand Drago vit que Maguy ne ressemblait pas à son père, il commença de ,longue recherche, convaincu qu'il découvrirait le vrais père biologique de cette dernière.