Tout le blabla, le disclamer n'a pas changer et je n'ai rien à dire à par que j'aime bcp le titre pcq il dit po grand chose!
= Chapitre 3 = Comment qu'on accueille la bonne nouvelle.
Ash regarda son père, les yeux ronds de surpire. Poudlard? Il allait aller à Poudlard? Mais... Et ses amis? Sa vie à Salem?
"Vous n'êtes pas heureux?" Demanda son père, ayant suivit les différentes facettes du visage de son fils.
"Mais si, papa, mais c'est assez... surprenant!" Se justifia Ash. "Je n'aurais jamais cru avoir l'occasion d'aller à Poudlard!"
"Mais c'est super, Ash! On va voir Harry Potter!!!" Cria Kelly, aux anges.
"Hé! Calme-toi, Kelly!" Rit son père. "Oui, je crois qu'il sera en septième année, à Griffondor mais je ne vois pas pourquoi tu es si enthousiaste de voir ce garçon! Il n'est qu'un adolescent normal, tu sais?"
"Oui mais quand même!" Dit Kelly.
Mélanie, qui n'avait rien dit jusqu'ici, se leva en plaidant qu'elle devait aller chercher la meringue au chocolat qu'elle avait préparé elle-même. Allan la suivit.
"Allan", murmura-t-elle, arrivée dans la cuisine.
"Oui, Mélanie?" Il se retourna, comprenant désormais que la meringue allait attendre.
"Es-tu sûr que ce n'est pas dangereux pour les enfants? Je veux dire... avec ce mage noir, Poudlard est le centre de toute l'action! Je m'inquiète beaucoup pour leur sécurité!" Confia-t-elle.
Allan ne parut pas surpris mais il le cachait bien. Il n'aurait jamais cru que sa femme puisse ne pas lui faire confiance quant à la sécurité de son fils et de sa fille. Il s'approcha d'elle et l'enserra de ses bras forts, la berçant doucement.
"Il ne leur arrivera rien, Mélanie! Je te le promet! Ils sont assez forts pour se défendre si jamais, par malheur, il arrive quelque chose! Et puis, Dumbledore m'a personnellement juré que leur sécurité, comme celle de tous les élèves, est assurée au maximum! Il ne peut rien leur arriver!"
* * *
"Dumbledore! Vous perdez complètement la tête, ma parole! Placez un détachement entier d'Auror à Poudlard et à Pré-Au-Lard en permanance... C'est impossible! Tout bonnement impossible!" S'écria Fudge.
"Mr le Ministre, vous n'avez pas compris! Je ne vous demande que deux ou trois hommes expérimentés qui pourraient nous aider en cas d'attaque de mangemorts! Pas d'un bataillon!" Dit le sorcier.
"Il n'y a plus beaucoup d'hommes expérimentés parmis ceux dont je puis me séparé! Un ou deux, tout au plus et ils ne vous seraient d'aucune utilité! Je me demande même s'ils accepteraient de quitter leur famille pour Poudlard!"
Dumbledore soupira. Cet homme était plsu têtu et plus idiot qu'une mule ne pouvait l'être! Il n'avait même pas compris que la survie du monde magique reposait sur les épaules d'Harry Potter et non sur les siennes.
"Ecoutez!" Insista Dumbledore. "Soit vous m'envoyez ces deux hommes de gré soit vous le leur ordonner! Vous êtes le ministre, non?"
Et tac! Fudge faisait nerveusement tourner son chapeau melon entre ses mains, signe qu'il était devant un dilemme de taille. Les secondes passèrent avant qu'il ne quitte le directeur de Poudlard après avoir donner, à regret, son accord.
"Ouf! Je me fais vieux! Même plus capable de convaincre cet abruti de Fudge!"
* * *
"FIRENNNNNNNNNZEEEEEEEE!!!!!" Criais-je.
Pas de réponse. Ce que ce centaure pouvait être têtu! "Touve le village par toi même!" Avait-il dit. Quel village? Pourquoi l'avait-il laissé dans cette forêt avec ses armes? Trève de plaisanteries, faut que je sorte d'ici!
Je me mis à avancer. Pendant des heures, j'ai marché, sans trop savoir
où j'allais quand soudain, un magnifique spectacle parvint à mes yeux noirs. Dorée comme le soleil avec une petite pousse de corne sur le front, une jeune licorne me fixait avec des yeux noirs et brillants. Je me suis figée, de peur que la jeune créature ne s'enfuie à ma vue. Il n'y a plus de licorne en terre du milieu depuis bien longtemps. Mais, chez moi, il y avait les licornes blanches et les licornes noires. Ces dernières étaient encore présentent, quoi que extrêmenent rare. Sauron ne les aimait pas de trop et n'en avait donc gardé que très peu, tuant leurs soeurs nacrées sans pitié.
M'agenouillant, je fis face au petit cheval d'or. Il pencha la tête sur le côté puis, curieux, il fit quelque pas dans ma direction mais, au moment où j'allais poser ma main sur le museau, une voix s'éveilla parmis les arbres.
[Qui est tu?]
Je me suis relevée promptement, trop promptement peut-être parce que j'eut à peine le temps de voir la petite licorne sauter par-dessus un épais buisson.
[Que celui qui s'adresse à moi daigne se révéler!]
Un être atterrit soudain pile à l'endroit où se trouvait bébé-licorne. Je sursautais à peine pourtant la ressemblance était réellement frappante. Cet elfe! Il avait de long cheveux blonds, des yeux bleus et des traits fins, des traits qui correspondaient à un autre elfe... Où était-ce le même? Après tout... Lui et ce nain avaient disparus lors de leur visite de Fangorn. Les rumeurs disaient même qu'ils avaient disparut de la surface de la terre car Fangorn avaient été fouillée par Silvebarbe, en vain!
Mais était-ce réellement possible? Après tout, moi j'étais bien ici! Et si lui aussi... Qu'est-ce que cela pourrait bien signifier?
[Je ne répèterais pas ma question!] Dit-il. [Je ne vous connais pas et je ne vous laisserais pas aller plus loin sans que vous ayez une bonne raison pour me convaincre!]
[Legolas?]
L'elfe perdit soudain contenance. L'arme baissée, la mâchoire pendante et les yeux ronds, il tenta de la récupérer mais il était bien trop surpris pour y arriver.
[Comment...] Bafouilla-t-il.
Non! C'est pas vrai? Je fais un rêve sublime ou quoi?
[Legolas!!] Lançais-je, tout heureuse en lui sautant littéralement au cou.
* * *
Legolas sentit le corps de cette semi-elfe aux longs cheveux et aux yeux noirs lui tomber dans les bras. Qui était-ce? Comment le connaissait-elle? Seul Gimli connaissait son nom dans ce monde.
Puis, tout à coup, alors que le parfum des cheveux et de la peau de celle qu'il serrait dans ses bras lui sautait au nez, la réponse lui vint: Nesline!
Il augmenta son étreinte sur la jeune elfe, heureux!
* * *
Pas besoin d'être philosophe pour me poser cette question: "Pourquoi est-ce tombé sur moi?". Mais, finalement, cette question en entraînerait bien d'autres! "Pourquoi Trelawney avait-elle fait cette stupide prophétie?" "Pourquoi a-t-il fallu que Voldemort n'en aprenne que la moitié?" Et nous pourrions continuer jusqu'à plus soif! Mais là n'est pas la véritable question.
Harry avait 17 ans et avait déjà vu mourir plus d'hommes et de femmes que personne! Chaque nuit, depuis que Voldemort connaissait l'excistence du lien qui les unissait, il voyait, dans ses rêves, les meurtres du mage noir. Seul comme accompagné de ses mangemorts, il tuait.
Le plus horrible aurait sans doute été celui-là, celui qui venait de le réveiller en sueur, en larmes, en colère et en rage! En sueur à cause du rêve épuisant, en larmes à cause du visage, du nom et de son lien avec la victime, en colère contre Voldemort et en rage à cause de ce qu'il avait fait! Ce salaud!
C'était Hermione. Hermione Granger, fille de moldus, était morte cette nuit, n'ayant même pas atteint ses 17 ans. Il l'avait énlevée, il l'avait torturée, il l'avait violée et enfin... il l'avait tuée. Aussi simple, peut-être un peu plus long, pour le mage noir, que de dire bonjour.
Et Harry avait tout vu... lui et pas un autre!
Que dirais Ron? Son meilleur ami était le petit ami d'Hermione depuis le début de l'année dernière.
Et voilà qu'elle était morte. La douce et gentille Hermione Granger, fille de dentistes moldus, élève la plus brillante de Griffondor, voir même de Poudlard, s'était vue retiré la flamme qui la gardait en vie par un être immonde et abjecte. Un être qui ne méritait plus de vivre depuis plus de 50 ans.
Harry ne parvenait plus à bouger. Il entendait encore les rires de Voldemort et les cris d'Hermione. La jeune fille, femme pardon, ne le suppliat pas, même si elle en mourais d'envie. Elle savait qu'elle allait mourir de tout façon et ce ne serait pas en suppliant son ennemi qu'elle s'éteindrait. Harry ne put qu'éloger son courage et sa bravoure. Elle n'était pas une Griffondor pour rien!
Il entendit à peine son oncle tabouriner à la porte. Il ne bougea pas d'un pouce pour ce connard. Qu'il aille se le cuire tout seul son bacon! Ce n'est pas Harry Potter qui te le fera aujourd'hui, ni les autres jours d'ailleurs!
Finalement, il se leva et se dirigea, non pas à la cuisine, mais à son bureau où il écrivit deux lettres: une à Dumbledore, l'avertissant de la situation et le priant d'informer les parents de la jeune fille, et une à Ron, qui lui prit le reste de la matinée.
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Et oui, qu'est-ce que vous voulez? C comme ça! Review! PlEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEASE!!!
Lywen désespérée de ne pas voir de review mais qui a fait l'effort de finir ce chapitre! Le suivant ne risque pas de subir le mm sort!
= Chapitre 3 = Comment qu'on accueille la bonne nouvelle.
Ash regarda son père, les yeux ronds de surpire. Poudlard? Il allait aller à Poudlard? Mais... Et ses amis? Sa vie à Salem?
"Vous n'êtes pas heureux?" Demanda son père, ayant suivit les différentes facettes du visage de son fils.
"Mais si, papa, mais c'est assez... surprenant!" Se justifia Ash. "Je n'aurais jamais cru avoir l'occasion d'aller à Poudlard!"
"Mais c'est super, Ash! On va voir Harry Potter!!!" Cria Kelly, aux anges.
"Hé! Calme-toi, Kelly!" Rit son père. "Oui, je crois qu'il sera en septième année, à Griffondor mais je ne vois pas pourquoi tu es si enthousiaste de voir ce garçon! Il n'est qu'un adolescent normal, tu sais?"
"Oui mais quand même!" Dit Kelly.
Mélanie, qui n'avait rien dit jusqu'ici, se leva en plaidant qu'elle devait aller chercher la meringue au chocolat qu'elle avait préparé elle-même. Allan la suivit.
"Allan", murmura-t-elle, arrivée dans la cuisine.
"Oui, Mélanie?" Il se retourna, comprenant désormais que la meringue allait attendre.
"Es-tu sûr que ce n'est pas dangereux pour les enfants? Je veux dire... avec ce mage noir, Poudlard est le centre de toute l'action! Je m'inquiète beaucoup pour leur sécurité!" Confia-t-elle.
Allan ne parut pas surpris mais il le cachait bien. Il n'aurait jamais cru que sa femme puisse ne pas lui faire confiance quant à la sécurité de son fils et de sa fille. Il s'approcha d'elle et l'enserra de ses bras forts, la berçant doucement.
"Il ne leur arrivera rien, Mélanie! Je te le promet! Ils sont assez forts pour se défendre si jamais, par malheur, il arrive quelque chose! Et puis, Dumbledore m'a personnellement juré que leur sécurité, comme celle de tous les élèves, est assurée au maximum! Il ne peut rien leur arriver!"
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"Dumbledore! Vous perdez complètement la tête, ma parole! Placez un détachement entier d'Auror à Poudlard et à Pré-Au-Lard en permanance... C'est impossible! Tout bonnement impossible!" S'écria Fudge.
"Mr le Ministre, vous n'avez pas compris! Je ne vous demande que deux ou trois hommes expérimentés qui pourraient nous aider en cas d'attaque de mangemorts! Pas d'un bataillon!" Dit le sorcier.
"Il n'y a plus beaucoup d'hommes expérimentés parmis ceux dont je puis me séparé! Un ou deux, tout au plus et ils ne vous seraient d'aucune utilité! Je me demande même s'ils accepteraient de quitter leur famille pour Poudlard!"
Dumbledore soupira. Cet homme était plsu têtu et plus idiot qu'une mule ne pouvait l'être! Il n'avait même pas compris que la survie du monde magique reposait sur les épaules d'Harry Potter et non sur les siennes.
"Ecoutez!" Insista Dumbledore. "Soit vous m'envoyez ces deux hommes de gré soit vous le leur ordonner! Vous êtes le ministre, non?"
Et tac! Fudge faisait nerveusement tourner son chapeau melon entre ses mains, signe qu'il était devant un dilemme de taille. Les secondes passèrent avant qu'il ne quitte le directeur de Poudlard après avoir donner, à regret, son accord.
"Ouf! Je me fais vieux! Même plus capable de convaincre cet abruti de Fudge!"
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"FIRENNNNNNNNNZEEEEEEEE!!!!!" Criais-je.
Pas de réponse. Ce que ce centaure pouvait être têtu! "Touve le village par toi même!" Avait-il dit. Quel village? Pourquoi l'avait-il laissé dans cette forêt avec ses armes? Trève de plaisanteries, faut que je sorte d'ici!
Je me mis à avancer. Pendant des heures, j'ai marché, sans trop savoir
où j'allais quand soudain, un magnifique spectacle parvint à mes yeux noirs. Dorée comme le soleil avec une petite pousse de corne sur le front, une jeune licorne me fixait avec des yeux noirs et brillants. Je me suis figée, de peur que la jeune créature ne s'enfuie à ma vue. Il n'y a plus de licorne en terre du milieu depuis bien longtemps. Mais, chez moi, il y avait les licornes blanches et les licornes noires. Ces dernières étaient encore présentent, quoi que extrêmenent rare. Sauron ne les aimait pas de trop et n'en avait donc gardé que très peu, tuant leurs soeurs nacrées sans pitié.
M'agenouillant, je fis face au petit cheval d'or. Il pencha la tête sur le côté puis, curieux, il fit quelque pas dans ma direction mais, au moment où j'allais poser ma main sur le museau, une voix s'éveilla parmis les arbres.
[Qui est tu?]
Je me suis relevée promptement, trop promptement peut-être parce que j'eut à peine le temps de voir la petite licorne sauter par-dessus un épais buisson.
[Que celui qui s'adresse à moi daigne se révéler!]
Un être atterrit soudain pile à l'endroit où se trouvait bébé-licorne. Je sursautais à peine pourtant la ressemblance était réellement frappante. Cet elfe! Il avait de long cheveux blonds, des yeux bleus et des traits fins, des traits qui correspondaient à un autre elfe... Où était-ce le même? Après tout... Lui et ce nain avaient disparus lors de leur visite de Fangorn. Les rumeurs disaient même qu'ils avaient disparut de la surface de la terre car Fangorn avaient été fouillée par Silvebarbe, en vain!
Mais était-ce réellement possible? Après tout, moi j'étais bien ici! Et si lui aussi... Qu'est-ce que cela pourrait bien signifier?
[Je ne répèterais pas ma question!] Dit-il. [Je ne vous connais pas et je ne vous laisserais pas aller plus loin sans que vous ayez une bonne raison pour me convaincre!]
[Legolas?]
L'elfe perdit soudain contenance. L'arme baissée, la mâchoire pendante et les yeux ronds, il tenta de la récupérer mais il était bien trop surpris pour y arriver.
[Comment...] Bafouilla-t-il.
Non! C'est pas vrai? Je fais un rêve sublime ou quoi?
[Legolas!!] Lançais-je, tout heureuse en lui sautant littéralement au cou.
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Legolas sentit le corps de cette semi-elfe aux longs cheveux et aux yeux noirs lui tomber dans les bras. Qui était-ce? Comment le connaissait-elle? Seul Gimli connaissait son nom dans ce monde.
Puis, tout à coup, alors que le parfum des cheveux et de la peau de celle qu'il serrait dans ses bras lui sautait au nez, la réponse lui vint: Nesline!
Il augmenta son étreinte sur la jeune elfe, heureux!
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Pas besoin d'être philosophe pour me poser cette question: "Pourquoi est-ce tombé sur moi?". Mais, finalement, cette question en entraînerait bien d'autres! "Pourquoi Trelawney avait-elle fait cette stupide prophétie?" "Pourquoi a-t-il fallu que Voldemort n'en aprenne que la moitié?" Et nous pourrions continuer jusqu'à plus soif! Mais là n'est pas la véritable question.
Harry avait 17 ans et avait déjà vu mourir plus d'hommes et de femmes que personne! Chaque nuit, depuis que Voldemort connaissait l'excistence du lien qui les unissait, il voyait, dans ses rêves, les meurtres du mage noir. Seul comme accompagné de ses mangemorts, il tuait.
Le plus horrible aurait sans doute été celui-là, celui qui venait de le réveiller en sueur, en larmes, en colère et en rage! En sueur à cause du rêve épuisant, en larmes à cause du visage, du nom et de son lien avec la victime, en colère contre Voldemort et en rage à cause de ce qu'il avait fait! Ce salaud!
C'était Hermione. Hermione Granger, fille de moldus, était morte cette nuit, n'ayant même pas atteint ses 17 ans. Il l'avait énlevée, il l'avait torturée, il l'avait violée et enfin... il l'avait tuée. Aussi simple, peut-être un peu plus long, pour le mage noir, que de dire bonjour.
Et Harry avait tout vu... lui et pas un autre!
Que dirais Ron? Son meilleur ami était le petit ami d'Hermione depuis le début de l'année dernière.
Et voilà qu'elle était morte. La douce et gentille Hermione Granger, fille de dentistes moldus, élève la plus brillante de Griffondor, voir même de Poudlard, s'était vue retiré la flamme qui la gardait en vie par un être immonde et abjecte. Un être qui ne méritait plus de vivre depuis plus de 50 ans.
Harry ne parvenait plus à bouger. Il entendait encore les rires de Voldemort et les cris d'Hermione. La jeune fille, femme pardon, ne le suppliat pas, même si elle en mourais d'envie. Elle savait qu'elle allait mourir de tout façon et ce ne serait pas en suppliant son ennemi qu'elle s'éteindrait. Harry ne put qu'éloger son courage et sa bravoure. Elle n'était pas une Griffondor pour rien!
Il entendit à peine son oncle tabouriner à la porte. Il ne bougea pas d'un pouce pour ce connard. Qu'il aille se le cuire tout seul son bacon! Ce n'est pas Harry Potter qui te le fera aujourd'hui, ni les autres jours d'ailleurs!
Finalement, il se leva et se dirigea, non pas à la cuisine, mais à son bureau où il écrivit deux lettres: une à Dumbledore, l'avertissant de la situation et le priant d'informer les parents de la jeune fille, et une à Ron, qui lui prit le reste de la matinée.
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Et oui, qu'est-ce que vous voulez? C comme ça! Review! PlEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEASE!!!
Lywen désespérée de ne pas voir de review mais qui a fait l'effort de finir ce chapitre! Le suivant ne risque pas de subir le mm sort!
