Chapitre 11 : The moonlight's Shadow
Severus cligna des yeux plusieurs fois. Il se pinça la joue, essayant de se rassurer, avait-il mal entendu ?
- Tu as dit tuer ? Ma Shiva ? Pourquoi ?
- Je t'avouerais que je ne sais pas. Je ne l'ai vu que trois fois dans ma vie, et c'est suffisant à mon goût. Pas que je la déteste mais je crois qu'elle n'apprécie pas l'idée de me voir respirer, elle me le fais bien sentir, dit Suh, s'asseyant sur le sol.
- Quand est-ce que ça s'est produit ?
Severus tremblait. Sa fille se leva et posa ses mains sur les tiennes.
- Tu veux vraiment en parler maintenant ?
Il acquiesça.
- Allons vers la Cabane Hurlante, on pourra s'y asseoir tranquillement.
Ils marchèrent silencieusement, aucun des deux ne savaient quoi dire en ce moment. Snape était soucieux, que s'est-il passé pour que celle qu'il a toujours aimé ait attenté à la vie de sa propre fille.
Suh s'arrêta et s'assit sur un banc, elle tapota une place vide et son père s'approcha.
- Je préfère que tu t'assieds ...
- C'est si grave ? Severus avait employé un ton dégagé.
- Mes frères ne sont pas au courant ...
Suh frissonna, elle tint fermement ses épaules. Elle secoua la tête lentement.
- Makoto, que t'arrive-t-il ?
Ne dis rien ! dit une voix dans sa tête.
" Il a le droit de savoir, c'est notre père ... "
Il n'était pas là quand on a été abandonné dans cette forêt ! Il ne doit pas savoir !!
" Il ne connaissait pas notre existence ! "
- Ma chérie, tu trembles !
Severus la prit par les épaules et retira sa cape et la déposa sur les épaules de la jeune fille.
- Ce n'est rien ..., la voix de Suh n'était qu'un murmure.
Personne d'autre que moi ne peut comprendre ta douleur.
- Ce que je vais te dire, n'en parle pas à mes frères, otou-san.
Il acquiesça, de plus en plus inquiet.
Elle lui raconta tout ce qu'elle avait pu : sa naissance, son errance dans la Forêt Interdite, sa rencontre avec les Potter, les problèmes rencontrés avec Lucius Malfoy, son anormalité ...
Severus leva la main et la regarda dans les yeux.
- C'est parce que ta mère était différente que je l'ai aimé.
- Je devrais être contente de la comparaison, mais j'y arrive pas. Il est où le piège ? Suh tenta de sourire.
*** *** *** ***
La nuit tombait rapidement. Les élèves rentrèrent en groupe à l'école et se dirigèrent vers la grande salle où le repas était servi.
- Nee-chan, t'étais où ? On vous a cherché, 'pa et toi ! dit Youhei.
- On a eu une discussion.
- Tu viens manger à notre table ? demanda-t-il.
- Non, allez-y. Je vais rester ici, j'ai pas l'impression d'être très appréciée par tes camarades ...
Il haussa les épaules et fut rejoint par ses frères. C'est à ce moment-là que Draco choisit de venir s'asseoir près d'elle.
- Bonsoir Draco.
- Bonsoir princesse. Je t'ai cherché à Hogsmeade, mais je n'ai pas réussi à te trouver.
- Désolée, mais j'étais avec mon père.
- Oh. Tu te souviens de la discussion que nous avons eu hier ? J'étais sérieux.
Suh posa ses couverts et regarda le jeune homme dans les yeux.
- Tu ne me connais même pas.
- J'apprends vite, sourit-il.
- T'es pas mon type.
Draco haussa les épaules.
- Tu préfères les types comme Potter ? Il est chétif, aucun intérêt !
- J'ai jamais dit ça, et puis il y a d'autres filles dans cette école. Pourquoi tu ne vas pas ennuyer l'une d'elles ?
- Parce que j'ai jamais rencontré aussi attirante que toi.
- Tu es tenace.
- C'est ma plus grande qualité.
Draco lui fit un clin d'œil et elle lui sourit.
*** *** *** ***
Harry se retenait pour ne pas se lever, il recommençait. Il tremblait tellement que Ron posa sa main sur son avant-bras.
- Qu'est-ce qui se passe, mon vieux ?
- Rien.
Ron suivit du regard ce que Harry dévisageait. Ron soupira et continua de manger.
- Harry, si tu es si jaloux, pourquoi tu ne lui parles pas ?
- De quoi tu parles ? lui dit-il sèchement.
- C'est pas à moi que tu dois mentir. Je suis là pour t'aider ... En plus, j'ai l'impression que quelqu'un t'observe depuis tout à l'heure.
Harry cligna des yeux et se retourna. Cho bougea instantanément la tête et se mit à converser avec sa voisine.
- Elle me regardait ?
- Elle fait comme toi.
- 'Comprends pas, dit Harry.
- De toute façon, ces temps-ci, tu ne comprends que ce que tu veux. T'es pénible, ouvre les yeux.
- Je te retourne la critique.
Il se tut et dévora sa viande.
*** *** *** ***
Il ne supporta davantage sa solitude et sortit de son domaine. Sa cape noire traînait sur le sol poussiéreux et sa capuche cachait son regard durcit par les années. Il irait juste lui faire une visite, et il le verrait également. Pour la première fois de ses propres yeux et non les siens.
Il sourit, peut-être qu'il allait s'amuser un peu avant. La forêt devint silencieuse à son arrivée. Il chercha une proie mais rien ne le satisfaisait, puis il leva les yeux au ciel ; un rire hystérique se fit entendre.
- La lune est belle ce soir. Quelle aubaine !
Il siffla longuement, et l'oiseau de feu apparu.
- Oui, maître ? dit Suzaku.
- Dis à ma sœur d'éviter de sortir ce soir, je vais faire un feu grandeur nature. Une chasse aux loups-garous.
- Dois-je lui dire autre chose ?
- Ne lui dis pas que je suis là.
Elle s'envola.
L'homme en noir se mit à rire et leva les mains vers la lune. Il dit alors des mots inconnus et bruts. Des hurlements retentirent par delà la forêts. Des centaines de loups coururent vers lui et s'arrêtèrent, montrant férocement leurs dents.
- Je veux me dégourdir les jambes, si je croise l'un d'entre vous sur ma route, il mourra. Je vous laisse dix secondes.
Ils partirent tous chacun de leur côté. Le temps écoulé, il partit en courant.
*** *** *** ***
Remus posa ses couverts doucement, et posa sa tête sur ses mains. Quelqu'un l'appelait à sortir, mais il résistait. La lune était haute, il ne voulait pas sortir de risque de croiser un élève.
- Non, qu'est-ce qui se passe ?
Il entendit une voix l'appeler puis il jeta un oeil vers la fenêtre. La lune le toucha de sa douce lumière et le transforma.
Sous sa forme de loup, il défonça en un bond la porte qui le maintenait loin des humains. Il courut vers l'extérieur, effrayant au passage de nombreux élèves et se retrouva dans le parc.
- Remus !!!
Suh était à la porte avec Sirius.
- Comment ça se fait qu'il se soit transformé ?!
- J'en sais rien, au moins il n'y a pas d'élèves à l'extérieur, dit Sirius.
Suh regarda la lune et vit son phoenix arriver.
- Suzaku ?
- Maîtresse, maître Raziel m'a dit qu'il ne fallait pas que tu sortes ce soir.
- Hein ? Pourquoi ça ?
- Chasse aux loups-garous, il m'a dit.
Suh et Sirius se regardèrent et sortirent en vitesse à la recherche de leur ami.
- Sirius, change-toi en chien, sinon il risque de t'attaquer !
- Et toi ?
- T'en fais pas, il est là-bas !! Remus !!!
Sirius changea d'apparence et bondit sur son ami pour l'immobiliser mais fut projeté à plusieurs mètres de lui.
- Sirius, Remus ! N'allez pas dans la Forêt Interdite ! Sirius, empêche-le !
Le loup s'immobilisa, il grognait. Il semblait effrayer par quelque chose, ou quelqu'un.
Des hurlements de loups se faisaient entendre, ils lançaient des cris de détresse. Remus partit dans la forêt.
Sirius reprit sa forme, boitant légèrement.
- Attends, qu'est-ce qui se passe, c'est quoi ces cris ?
- Des loups, ils se font attaqués.
- Des chasseurs ?
- Je ne crois pas ... Ca a attiré Remus. J'ai peur de savoir ce qui s'y passe, on y va ?
Sirius acquiesça et ils entrèrent prudemment dans les bois, baguettes en main.
*** *** *** ***
Il y avait des dizaines de cadavres de loups tout autour de lui, les mains pleines de sang.
- Non pas encore, ce n'est pas suffisant.
Des loups grognèrent et tentèrent de le mordre mais ils furent balayés d'un geste de sa main, les déchiquetant en deux et il en fit exploser d'autres. Ceux qui s'enfuyaient mourraient également sous d'affreuses souffrances.
Il en tremblait d'excitation, comme si le fait de ne pas pouvoir tuer le démangeait. Il riait comme un dément, faisant ricocher son rire dans les alentours silencieux.
Sirius s'arrêta.
- C'est un rire humain ?
- J'ai l'impression ...
- Reste près de moi, on ne sait jamais.
Suh secoua la tête.
Remus était encore debout face au fou, avec quelques uns de son espèce. Il reculait de peur de mourir mais il pouvait pas fuir ; l'homme les regardait avec un sourire.
Il pointa le doigt sur Remus et ...
Fin de chapitre
Severus cligna des yeux plusieurs fois. Il se pinça la joue, essayant de se rassurer, avait-il mal entendu ?
- Tu as dit tuer ? Ma Shiva ? Pourquoi ?
- Je t'avouerais que je ne sais pas. Je ne l'ai vu que trois fois dans ma vie, et c'est suffisant à mon goût. Pas que je la déteste mais je crois qu'elle n'apprécie pas l'idée de me voir respirer, elle me le fais bien sentir, dit Suh, s'asseyant sur le sol.
- Quand est-ce que ça s'est produit ?
Severus tremblait. Sa fille se leva et posa ses mains sur les tiennes.
- Tu veux vraiment en parler maintenant ?
Il acquiesça.
- Allons vers la Cabane Hurlante, on pourra s'y asseoir tranquillement.
Ils marchèrent silencieusement, aucun des deux ne savaient quoi dire en ce moment. Snape était soucieux, que s'est-il passé pour que celle qu'il a toujours aimé ait attenté à la vie de sa propre fille.
Suh s'arrêta et s'assit sur un banc, elle tapota une place vide et son père s'approcha.
- Je préfère que tu t'assieds ...
- C'est si grave ? Severus avait employé un ton dégagé.
- Mes frères ne sont pas au courant ...
Suh frissonna, elle tint fermement ses épaules. Elle secoua la tête lentement.
- Makoto, que t'arrive-t-il ?
Ne dis rien ! dit une voix dans sa tête.
" Il a le droit de savoir, c'est notre père ... "
Il n'était pas là quand on a été abandonné dans cette forêt ! Il ne doit pas savoir !!
" Il ne connaissait pas notre existence ! "
- Ma chérie, tu trembles !
Severus la prit par les épaules et retira sa cape et la déposa sur les épaules de la jeune fille.
- Ce n'est rien ..., la voix de Suh n'était qu'un murmure.
Personne d'autre que moi ne peut comprendre ta douleur.
- Ce que je vais te dire, n'en parle pas à mes frères, otou-san.
Il acquiesça, de plus en plus inquiet.
Elle lui raconta tout ce qu'elle avait pu : sa naissance, son errance dans la Forêt Interdite, sa rencontre avec les Potter, les problèmes rencontrés avec Lucius Malfoy, son anormalité ...
Severus leva la main et la regarda dans les yeux.
- C'est parce que ta mère était différente que je l'ai aimé.
- Je devrais être contente de la comparaison, mais j'y arrive pas. Il est où le piège ? Suh tenta de sourire.
*** *** *** ***
La nuit tombait rapidement. Les élèves rentrèrent en groupe à l'école et se dirigèrent vers la grande salle où le repas était servi.
- Nee-chan, t'étais où ? On vous a cherché, 'pa et toi ! dit Youhei.
- On a eu une discussion.
- Tu viens manger à notre table ? demanda-t-il.
- Non, allez-y. Je vais rester ici, j'ai pas l'impression d'être très appréciée par tes camarades ...
Il haussa les épaules et fut rejoint par ses frères. C'est à ce moment-là que Draco choisit de venir s'asseoir près d'elle.
- Bonsoir Draco.
- Bonsoir princesse. Je t'ai cherché à Hogsmeade, mais je n'ai pas réussi à te trouver.
- Désolée, mais j'étais avec mon père.
- Oh. Tu te souviens de la discussion que nous avons eu hier ? J'étais sérieux.
Suh posa ses couverts et regarda le jeune homme dans les yeux.
- Tu ne me connais même pas.
- J'apprends vite, sourit-il.
- T'es pas mon type.
Draco haussa les épaules.
- Tu préfères les types comme Potter ? Il est chétif, aucun intérêt !
- J'ai jamais dit ça, et puis il y a d'autres filles dans cette école. Pourquoi tu ne vas pas ennuyer l'une d'elles ?
- Parce que j'ai jamais rencontré aussi attirante que toi.
- Tu es tenace.
- C'est ma plus grande qualité.
Draco lui fit un clin d'œil et elle lui sourit.
*** *** *** ***
Harry se retenait pour ne pas se lever, il recommençait. Il tremblait tellement que Ron posa sa main sur son avant-bras.
- Qu'est-ce qui se passe, mon vieux ?
- Rien.
Ron suivit du regard ce que Harry dévisageait. Ron soupira et continua de manger.
- Harry, si tu es si jaloux, pourquoi tu ne lui parles pas ?
- De quoi tu parles ? lui dit-il sèchement.
- C'est pas à moi que tu dois mentir. Je suis là pour t'aider ... En plus, j'ai l'impression que quelqu'un t'observe depuis tout à l'heure.
Harry cligna des yeux et se retourna. Cho bougea instantanément la tête et se mit à converser avec sa voisine.
- Elle me regardait ?
- Elle fait comme toi.
- 'Comprends pas, dit Harry.
- De toute façon, ces temps-ci, tu ne comprends que ce que tu veux. T'es pénible, ouvre les yeux.
- Je te retourne la critique.
Il se tut et dévora sa viande.
*** *** *** ***
Il ne supporta davantage sa solitude et sortit de son domaine. Sa cape noire traînait sur le sol poussiéreux et sa capuche cachait son regard durcit par les années. Il irait juste lui faire une visite, et il le verrait également. Pour la première fois de ses propres yeux et non les siens.
Il sourit, peut-être qu'il allait s'amuser un peu avant. La forêt devint silencieuse à son arrivée. Il chercha une proie mais rien ne le satisfaisait, puis il leva les yeux au ciel ; un rire hystérique se fit entendre.
- La lune est belle ce soir. Quelle aubaine !
Il siffla longuement, et l'oiseau de feu apparu.
- Oui, maître ? dit Suzaku.
- Dis à ma sœur d'éviter de sortir ce soir, je vais faire un feu grandeur nature. Une chasse aux loups-garous.
- Dois-je lui dire autre chose ?
- Ne lui dis pas que je suis là.
Elle s'envola.
L'homme en noir se mit à rire et leva les mains vers la lune. Il dit alors des mots inconnus et bruts. Des hurlements retentirent par delà la forêts. Des centaines de loups coururent vers lui et s'arrêtèrent, montrant férocement leurs dents.
- Je veux me dégourdir les jambes, si je croise l'un d'entre vous sur ma route, il mourra. Je vous laisse dix secondes.
Ils partirent tous chacun de leur côté. Le temps écoulé, il partit en courant.
*** *** *** ***
Remus posa ses couverts doucement, et posa sa tête sur ses mains. Quelqu'un l'appelait à sortir, mais il résistait. La lune était haute, il ne voulait pas sortir de risque de croiser un élève.
- Non, qu'est-ce qui se passe ?
Il entendit une voix l'appeler puis il jeta un oeil vers la fenêtre. La lune le toucha de sa douce lumière et le transforma.
Sous sa forme de loup, il défonça en un bond la porte qui le maintenait loin des humains. Il courut vers l'extérieur, effrayant au passage de nombreux élèves et se retrouva dans le parc.
- Remus !!!
Suh était à la porte avec Sirius.
- Comment ça se fait qu'il se soit transformé ?!
- J'en sais rien, au moins il n'y a pas d'élèves à l'extérieur, dit Sirius.
Suh regarda la lune et vit son phoenix arriver.
- Suzaku ?
- Maîtresse, maître Raziel m'a dit qu'il ne fallait pas que tu sortes ce soir.
- Hein ? Pourquoi ça ?
- Chasse aux loups-garous, il m'a dit.
Suh et Sirius se regardèrent et sortirent en vitesse à la recherche de leur ami.
- Sirius, change-toi en chien, sinon il risque de t'attaquer !
- Et toi ?
- T'en fais pas, il est là-bas !! Remus !!!
Sirius changea d'apparence et bondit sur son ami pour l'immobiliser mais fut projeté à plusieurs mètres de lui.
- Sirius, Remus ! N'allez pas dans la Forêt Interdite ! Sirius, empêche-le !
Le loup s'immobilisa, il grognait. Il semblait effrayer par quelque chose, ou quelqu'un.
Des hurlements de loups se faisaient entendre, ils lançaient des cris de détresse. Remus partit dans la forêt.
Sirius reprit sa forme, boitant légèrement.
- Attends, qu'est-ce qui se passe, c'est quoi ces cris ?
- Des loups, ils se font attaqués.
- Des chasseurs ?
- Je ne crois pas ... Ca a attiré Remus. J'ai peur de savoir ce qui s'y passe, on y va ?
Sirius acquiesça et ils entrèrent prudemment dans les bois, baguettes en main.
*** *** *** ***
Il y avait des dizaines de cadavres de loups tout autour de lui, les mains pleines de sang.
- Non pas encore, ce n'est pas suffisant.
Des loups grognèrent et tentèrent de le mordre mais ils furent balayés d'un geste de sa main, les déchiquetant en deux et il en fit exploser d'autres. Ceux qui s'enfuyaient mourraient également sous d'affreuses souffrances.
Il en tremblait d'excitation, comme si le fait de ne pas pouvoir tuer le démangeait. Il riait comme un dément, faisant ricocher son rire dans les alentours silencieux.
Sirius s'arrêta.
- C'est un rire humain ?
- J'ai l'impression ...
- Reste près de moi, on ne sait jamais.
Suh secoua la tête.
Remus était encore debout face au fou, avec quelques uns de son espèce. Il reculait de peur de mourir mais il pouvait pas fuir ; l'homme les regardait avec un sourire.
Il pointa le doigt sur Remus et ...
Fin de chapitre
