Coucou tout le monde. (A propos de ma disparition c'est en bas pour ceux que ça intéresse.)

Je suis vraiment surprise quand je pense qu'après tout ce que j'ai écrit il y a plusieurs semaines, je découvre uniquement maintenant que Lomchamps n'existe pas dans l'anime ! Le tome 6 de Reborn a quasiment été entièrement censuré. Donc quand j'évoquais Naito ou Reboko, ceux qui n'ont pas lu ne savent pas qui se sont. En plus de supprimer la scène entre Yamamoto et Tsuna au tome 1, elle enlève la majorité du tome 6. La censure n'a qu'à bien se tenir !

Sur cela je vous souhaite une bonne lecture !

Un nouveau tour commençait, le deuxième d'une sûrement, longue liste.

Tsuna n'espérait plus rien, il le savait que ça allait être affreux. Il avait fallu que Reborn intervienne pour calmer ses gardiens. Il avait vu le regard que son tuteur lui avait lancé. Exprimant je cite « Tu ne sais toujours pas calmer tes gardiens Tsunaze, il va te falloir une autre séance d'entraînement ».

Un frisson traversa son corps, autant de peur que de gêne. Mukuro à sa gauche n'arrêtait pas de lui lancer certains coups d'oeil. Il ne savait pas ce qu'ils signifiaient et ne voulaient d'ailleurs pas le savoir.

Gokudera qui avait quitté le casque auditif ne faisait que crier pour menacer l'illusionniste en face de lui. Ce dernier ne faisait que l'ignorer. Il aboyait plus qu'il mordait, disait-il.

Bianchi appuyé sur le plan de travail de la cuisine ouverte ajusta sa mèche de cheveux, puis, prit Reborn dans ses bras, et donna le dès à Tsuna.

L'objet de son malheur.

Il prit une grande inspiration et se mit à les secouer dans la paume de sa main.

- Reborn je me sens pas bien, je ne pourrais-. Avant la fin de sa phrase une balle fila.

- Tsunaze.

- HIII ! Je-! C'est bon j'ai compris !

Il mit ses mains devant lui et les secoua frénétiquement en cherchant à plaider sa cause. Il regarda son pion sur la case « Chance » qui ne lui avait apporté que du malheur. Cela faisait un certain temps qu'il avait arrêté de croire en sa bonne étoile. Si puisse elle-même exister. Après tous les combats qu'il avait enduré, et le fait que plus de la moitié de ses connaissances avaient tentés de le tuer. Il regarda du coin de l'œil Mukuro à sa droite brièvement. Il sursauta au clin de qu'il reçut en réponse.

Il se concentra sur les dés dans ses mains, et croisa les doigts pour ne pas faire un un. La case « Amour » brillait de rouge irradiant et de paillettes aveuglantes. Il n'en voulait pas lui de ces paillettes dans sa vie.

Son hyper intuition lui faisait comprendre qu'il ne fallait pas qu'il lâche le dès. Cependant les yeux fixants abyssaux de son tuteur le rappelaient. Il laissa les dés s'échapper de sa prise et rencontrer la table en bois, sur laquelle était posé le plateau.

- Tsuna a fait un 6, il tombe sur la case « Amour », et se mari à Mukuro.

Bianchi se redressa immédiatement prise d'une soudaine fougue. Elle déposa délicatement Reborn sur la table et pris les mains de Tsuna dans les siennes, l'observant d'un regard passionné. Tsuna chercha à fuir mais elle ne accorda pas cette chance. Elle resserra sa prise, puis le pris dans ses bars avant de le féliciter, et de déclarer avoir trouver son partenaire en amour.

- J'entends déjà Mama pleurer de joie, les sons de cloches en fond. Un ultime baiser pour sceller votre alliance, jusqu'à ce que la mort vous sépare. Ah... l'amour. Tsuna tu comprends enfin ce que j'avais vécu avec Reborn, mais toi tu as la chance d'y aller jusqu'au bout et de ne pas avoir ton ex quoi vient tout te gâcher.

Elle sera hargneusement son poing en pensant à Roméo. Lambo allonger sur un coussin à coté frissonna légèrement, toujours dans les vapes. Elle se redressa et se redirigea, songeant à faire du Poison cooking mais fut très vite stoppée par Reborn.

- Kufufufu. Tsuna, après notre combat à Kokuyo, je pensais que tu étais effrayer à ma simple vue, mais en fait tu m'aimais. Tu ne savais juste pas comment me déclarer ton amour tout ce temps.

Il ricana et claqua des doigts pour créer une surface en face de lui, qui bloquait autant la vue, que les cris du gardien de la tempête, aboyant dans tous les sens depuis le résultat.

- Tu frissonnais d'excitation à ma vue, de même que toutes tes fuites, elles avaient pour but que je ne remarque pas tes joues rougies par les frénétiques battements de ton cœur.

Le jeune garçon frissonna de dégout quand Mukuro commença à s'approcher de lui, et que l'une de ses mains gantés retomba près de son entre-jambe.

- Tsuna, n'oublie pas que tu as fait un 6.

Reborn intervint et Tsuna voulu pleurer de joie car grâce à lui, l'illusionniste à ses côtés s'éloigna et se plaça à une distance respectable de lui.

- Tu dois rejouer. Le bébé baissa son chapeau et ricana.

Tsuna voulut immédiatement le maudire, autant que le 6 était un chiffre maudit. Instrument de malchance après l'exemple de Ryohei, il le testait lui aussi. De toute manière, quand Reborn allait mourir, il allait rejoindre Roméo. Il était sûr de cela. À cette pensée, son cœur fût quelques peu apaiser, et il repris le dés. Il ferma les yeux et le lança. Quelques exclamations se firent entendre. Le rire de Yamamoto aussi, en face de lui, avait une tonalité particulière.

- Eh bien Herbivore. De jour en jour tu me surprends.

À cette phrase d'Hibari qui cachait pourtant si bien ses émotions habituellement. Il sût qu'il était fini.

Il ouvrit ses yeux et eu le bonheur de voir un 4. Lorsqu'il leva les yeux vers le plateau pour compter. Il comprit. La case, "Enfant" était entièrement rouge, un cœur surplombait l'inscription. Il regarda immédiatement Bianchi, ça ne pouvait être qu'elle. Encore elle. Toujours elle. A quelle moment avait-elle pensée que ce pouvait être une bonne idée ? Toutefois il ne voulait même pas savoir. Cela mettrait juste en péril sa santé mentale, déjà gravement endommagé à cause des fous qui l'entouraient depuis des années.

Des bras l'attrapèrent immédiatement après. Il se retrouva assit sur des jambes et contre un torse chaud.

- Oya oya mon chère Tsunayoshi, il fallait me dire plus tôt que tu m'appréciait tant. Aussitôt, après un mariage tu m'offres des enfants. Cherches-tu à suivre l'exemple de ta mère, sauf qu'au lieu de les adopter tu les fais toi-même ?

Il se rapprocha de son oreille et lui chuchota quelques mots qui firent rougir le lycéen.

- Sale tête d'ananas ! Relâche immédiatement le Dixième du nom !

- Toujours en train de se mêler de ce qui ne le concerne pas. Il ne t'agace pas mon petit Tsunayoshi. Il passa sa main ganté sur sa mâchoire délicatement et en fit le contour. Nous avons passé l'étape des suffixes honorifiques non ?

- Salaud ! Ne vous inquiétez pas Dixième je vais l'exploser pour vous !

Tsuna avait perdu conscience entre temps. Il faut dire que se retrouver marier le surprenait. Ce qui le surprenait encore plus était la personne. Il revint à lui quand il sentit un baiser dans son coup.

- HIIIII ! Mu-Mukuro qu'est-ce que tu fais ?! Lâche-moi ! Il se mit à repousser l'illusionniste qui ne faisait que le rapprocher de lui. Gokudera-kun range tes bombes s'il te plaît !

- Mais voyons Tsunayoshi chérie. Un frisson le parcouru quand il entendit le surnom.

- Ne m'appelle plus jamais comme ça.

- Oui d'accord…

Quoi ? Il avait si vite accepté ?

- Ma chérie.

Il s'en doutait. Il tira sur l'épi en haut de sa tête pour faire mal à Mukuro et repartir s'assoir sur sa chaise. Néanmoins Mukuro lui sourit uniquement. Ses mains descendirent sur ses hanches et les agrippèrent résolument. Il remonta une main sur ses reins et les caressèrent doucement. Gokudera était difficilement retenu par Yamamoto.

Il fallait qu'il se sorte vite de cette situation -qu'il quitte ces genoux-, de plus, Hibari commençait à s'énerver.

- Herbivores.

Il ramena le calme par sa simple jonction.

- Alouette ton comportement est inapproprié.

- Oya oya ma chère, une veine. Serais-tu jalouse du manque d'attention à ton égard. Deux veines. J'ai toujours su que les filles dans ton genres aimaient bien se faire remarquer mais n'osaient le dire. Trois veines, explosion proche. Et qui ne saisirait tarder. Je comprends pourquoi depuis ce fameux tour sur l'île des Simon tu t'entends si bien avec l'Alouette, vous vous êtes découverts des atomes crochus.

Il baissa la tête et sourit à Tsuna.

- Tu as toujours été timide sur tes sentiments à mon encontre, et c'était aussi le cas de Hibarette.

Le dernier mot roula sur sa langue. Il le prononça de manière suave pour le déranger plus possible, en plus du sous-entendu. Semblable au compte à rebours d'I-Pin. Hibari explosa. Pour la deuxième fois. Tsuna qui se trouvait alors toujours sur les genoux de Mukuro commença à réellement s'affoler. Un jour ceux qui était appelés comme ses gardiens allaient le tuer. Il se le disait souvent, mais à présent il en était sûr.

Une bataille allait encore émerger. Le plus extrême de la salle semblait être ailleurs et rien ne pourrait le détourner de son observation lacunaire.

Tsuna se détourna des deux fauteurs de troubles en chef pour calmer son bras droit. Il ne fallait pas qu'il utilise ses dynamites déjà sorties. Le rire de Yamamoto en fond le désespérait.

Un coup de feu résonna dans l'air suivi par une brève odeur de poudre. Le canon encore fumant, Reborn leur intima de s'assoir et confia les dés à Gokudera.

- Jouez.

Hibari dévisagea le bébé quelques instants avant de revenir à sa place initiale. Il toisa les individus autour de la table de même que le sportif mélancolique.

Le gardien de la tempête se saisit les dés puis les lança les oreilles toujours sifflantes.

Il lança les dés et obtenu un 3, « Amour ».

- Ah. Gokudera sort avec Mukuro. Il est censé être marié, il trompe donc Yamamoto de même que Mukuro trompe Tsuna.

Gokudera tapa du poing sur la table quand entendit les commentaires de Reborn.

- Comment ça je suis marié ?! Et avec cet idiot de baseballer ! Normalement il faut l'accord des deux parties c'est un marriage forcé ! Et puis…

Il s'interrompît quelques secondes quand il comprit qu'il était l'objectal du malheur de son boss. Il se mit à imaginer des scénarios fictifs mettant en scène Tsuna et Mukuro. Des soirées durant lesquelles Tsuna devait attendre son mari désespérément et pleurer le soir devant un dîner froid. Se coucher seul dans le lit conjugal. Trouver un parfum inconnu sur les chemises de celui-ci. Le sentiment de trahison.

Il se leva et se courba face contre terre, les mains sous son front et le corps épousant le sol.

- JE SUIS DÉSOLÉ DIXIÈME ! S'exclama-t-il.

Tsuna se retourna et regarda son ami au sol. Il transpira un peu quand il vit aussi impliqué.

- Voyons Gokudera ce n'est qu'un jeu.

- NON DIXIÈME ! JE NE MÉRITE PLUS D'ÊTRE VOTRE BRAS DROIT ! JE VAIS M'OUVRIR LE VENTRE !

Il se releva déterminé et prit un couteau dans les tiroirs de la cuisine.

- Attends !

Tsuna savait que ces couteaux étaient aiguisés, très aiguisés. Nana ne pouvait pas perdre de temps lors de la découpe d'aliments alors qu'elle cuisinait pour un régiment entier. Il se leva précipitamment et empêcha Gokudera de s'étriper vivant en attrapant aussi le couteau.

Yamamoto s'empara des dés lors de l'agitation générale. Il les lança un grand sourire aux lèvres ignorant Hibari qui le fixait dangereusement.

4, la case à la tête de mort. Son pion en forme de chien, à l'image de son chien Jiro de sa boîte-arme Vongola, avança et s'arrêta à la case mystérieuse.

Yamamoto ne rigola pas et regarda Reborn suspicieusement. Ce fût Bianchi qui le lui expliqua.

- C'est la case « Accident ». Il y en 4 en tout sur tout le plateau, autant que les chances.

Tsuna trop occupé à ce que son ami ne s'éventre ne commenta pas, Reborn soupira doucement. Ses oreilles se reposaient enfin. Il songea à se faire un expresso avant le troisième tour. Il avait déjà la bouche sèche à force de se moq- commenter les différentes actions de la dixième génération Vongola. Il caressa Léon, qui était descendu sur sa main, de manière attentionné. Ce dernier étira sa queue en tire-bouchon, puis remonta sur son épaule.

- Elle varie en fonction du métier.

Bianchi clôtura son explication et Reborn pris la suite.

- Yamamoto écope d'un violent accident sur les autoroutes avec sa voiture de sport. Il dépassait la limite autorisée et fonça malheureusement sous les roues d'un camion. L'excès de vitesse lui aura valu d'être hospitalisé dans un état critique. Il est à présent dans un état végétatif. L'on ne sait quand il va se réveiller. De plus, sa femme, Gokudera, l'abandonne. La malédiction des sportifs je pense.

- Hn, fit Hibari un léger rictus au lèvres.

Il lui arrivait donc d'être jaloux. De ressentir d'autres émotions que la colère. Tsuna fusilla du regard son gardien de la tempête quand il ramena une nouvelle fois le couteau à lui.

- Vas t'assoir Gokudera. Tout de suite.

Il lui pointa sa chaise.

- Ryohei est mort. On passe son tour. Mukuro c'est à toi.

- Eh bien kufufufu. Je me dois de vous montrer l'exemple.

Il lança les dés et obtint un 2, « Travail ». Il fronça légèrement les sourcils et regarda Reborn.

- Cette case est spéciale. Bianchi prit les dés et les redonna à l'illusionniste.

- Tu dois lancer les dés deux fois de plus. Si tu fais un 6 tu es animateur de cirque et de rue, et toi-même à la rue. Tandis que de 1 à 5, tu as un emploi stable.

Mukuro lança une nouvelle fois les dés et eu un 4.

- Emploi stable. En fonction de ton amoureux tu obtiens un emploi.

- Et si on en a pas ?

- Ne m'interromps pas Tsunaze. Si il est blond tu es PDG, brun tu es écrivain. Étant donné que Tsuna est est châtain. Tu es président.

- C'est du grand n'importe quoi !

Bianchi saisit Reborn et l'embrassa entre ses bras, le regard rêveur.

- C'est la force de l'amour Tsuna.

C'était sûr que seul Bianchi avait pu être à l'origine d'une telle règle.

- Allons allons Tsuna réjouis-toi tu es première dame. Au tour d'Hibari-cchi kufufufu.

Le préfet saisit le dé en même temps que Lambo se réveilla sur le canapé derrière.

Il lança, et sa descente aux enfers se poursuivit.

- 6, « Diarrhée ». Commenta Reborn, un rictus étirant ses lèvres. Hibarichou est coincée aux toilettes, effet : un tour.

Lui aussi commença à attribuer des surnoms à Hibari, il ne cachait même plus son amusement de la situation. De Hibari-cchi, à Hibarette et maintenant Hibarichou, ce dernier -ou plutôt cette dernière- devra trouver comment gérer ses nerfs avant la fin de la partie, sous peine d'aller voir Fon dès la fin de la partie. Non, ça ne servirait à rien, ça l'énerverait encore plus pensa Tsuna.

- Guahahaha t'es trop nul. Tu peux même pas-

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'Hibari lui asséna de violent coups de tonfas. Il revint s'assoir comme si de rien était après avoir rossé l'enfant de primaire. Si c'était la solution qu'il avait trouvé, qu'il en soit ainsi.

Fin du 2e tour

Mots de l'auteur :

Bonjour/Bonsoir, j'ai disparu durant assez longtemps, et j'espère pouvoir dire que je suis définitivement de retour. J'aimerais d'abords remercier toutes les personnes qui ont décidée de suivre/aimer cette histoire que j'ai pourtant si vite abandonné. Maintenant le cœur du sujet.

Le scénario de cette histoire a été entièrement rédigé dès le premier jour, je dois dire que ce qui me bloquait c'est ma paresse et surtout ma faible estime de soi. J'ai eu quelques problèmes dans ma vie personnelle, je trouvais ce chapitre nul, et pas assez intéressant comparé au premier. J'étais très déçue de moi. C'est ce qui m'avait bloqué dans mon écriture. Je n'avais plus vraiment confiance, si bien que je n'ai plus cesser que de lire, abandonnant les personnes qui souhaitait une suite de cette histoire. C'est vraiment dommage quand j'y pense. J'ai uniquement récemment recommencer à écrire, donc je doute que mes écris soient de bonne qualité, mais je voulais vraiment partagé avec vous tous cette histoire, et toutes mes autres histoires, autant dans mes brouillons que celles déjà publiées. J'ai repris courage en publiant plusieurs threads, qui furent étonnement très appréciés, et en relisant mes brouillons. Et cela m'a grandement touché. Je ne peux pas tout abandonner ainsi.

Je vais donc finir cette histoire, essayer de faire de même pour Somnus Mortus, puis, si je dois publier de nouvelles histoires ici, je vais m'appliquer à d'abord les finir et les écrire entièrement au brouillon avant de les publier. Merci pour le temps que vous m'avez accorder.