Salut à mes chers lecteurs. (lectrices?)

Bon, je n'ai eu que 2 reveiws mais je continue... Mais vraiment, cela m'encouragerait pour la suite si vous reviewez. Même un petit "J'ai lu" suffirait. Soyez généreux! Un review ne vous coûte rien et ne prend que quelques seconde de votre temps! Donc, je vous le demande à genoux... lisez et reviewez, SVP.

Les réponses aux Reviews sont à la fin.

CHAPITRE 2 ou comment les choses vont de plus en plus mal pour Harry.

- Votre attention s'il vous plait, dit le professeur Macgonagall en tapant sur son verre avec le dos de sa cuillère. Le professeur Umbridge aimerait vous dire quelques mots.

Tous les élèves levèrent les yeux vers la grande table des professeurs. Harry, assis seul à l'extrémité de la table de Gryffondor fit comme s'il n'entendait pas. Le professeur Umbridge se leva et s'adressa à la salle de sa voix de fillette.

- Après avoir longuement discuté avec le professeur Macgonagall, j'ai décidé de procéder à quelques changements dans le corps enseignant de Poudlard.

Il y eut des murmures dans la salle et les yeux de Dumbledore se levèrent de son assiette pour fixer tour à tour Umbridge et Macgonagall d'un air incrédule. Il ouvrit la bouche, mais la referma aussitôt, conscient de son impuissance face au pouvoir du ministère. Sans prêter attention aux bavardages, Umbridge continua :

- Le professeur Macgonagall a accepté avec générosité – elle lança un regard plein d'amour au professeur de métamorphose qui se trouvait à côté d'elle – de me céder ses fonctions de directrice adjointe. Je ne pourrai plus, par conséquent, vous enseigner la défense contre les forces du mal.

Il y eut un soupir de soulagement dans l'auditoire. Dumbledore restait assis, toujours aussi tendu.

- J'ai donc l'honneur de vous présenter votre nouveau professeur de défense contre les forces du mal.

Elle pointa du doigt un coin de la table et l'assistance, médusé, comprit que les choses ne faisaient qu'empirer. Mais la réaction la plus violente fut celle de Rogue qui se leva de se chaise, se dirigea tout droit vers Dumbledore et beugla dans son sonotone.

- Sybille Trelawney ! Mais enfin, monsieur le directeur, vous ne pouvez pas permettre cela, elle ne lirait pas l'avenir à travers une fenêtre ouverte. C'est une incompétente ! Vous savez que je brigue ce poste depuis que j'enseigne ici ! Faites quelque chose ! Plus vite que ça ! Pourquoi vous ne bougez pas, espèce de VIEUX MACHIN !

L'assistance retint son souffle. Jamais auparavant on n'avait vu Rogue dans cet état de fureur. Il gesticulait comme une poupée désarticulée et allait de l'un à l'autre pour leur faire entendre raison.

- Comment avez-vous pu accepter une telle chose, Minerva ? C'est honteux ! Je, je ...

Et hors de lui, il finit par quitter la salle au pas de course. Et pour une fois, les élèves semblaient d'accord avec lui. Même Harry éprouvait de la pitié pour son professeur de potion qu'il détestait. Cependant, son sourire moqueur n'avait pas quitté les lèvres d'Umbridge qui semblait plus heureuse que jamais. Elle s'agitait toute seule et Harry aurait pu jurer avoir vu sous la table la main de Macgonagall se caresser l'entrejambe. Le pauvre Dumbledore qui venait de se faire traiter de vieux machin tentait de régler son sonotone car il croyait avoir mal entendu les mots de Rogue. Trelawney affichait un sourire convaincu et triomphait en chuchotant à ses voisins de table qu'elle avait prédit depuis des années qu'elle finirait par obtenir ce poste. Mais le professeur Umbridge, imperturbable, reprit son discours.

- Et ce n'est pas tout. En accord avec le ministre de la magie Mr Fudge, j'ai fait voter un nouveau décret qui entre en application dès aujourd'hui. Des rumeurs circulent dans toute l'Angleterre sur cette école. Et ces rumeurs sont particulièrement insultantes pour le ministère. Il serait en effet question de relations coupables entre certains élèves.

Quelques rires s'élevèrent dans la salle. Harry se sentit rougir au souvenir des mots que lui avait adressé le jeune Colin au sortir de la cabane de Hagrid. Encore une fois il aurait juré que les yeux d'Umbridge l'avaient regardé. Il prit soin de contempler le fond de rosbeef dans son assiette mais ne détourna pas pour autant son attention des paroles d'Umbridge.

- C'est pourquoi j'ai pris la mesure suivante : tout élève pris en flagrant délit d'onanisme, de fellation, de fornication ou d'autres actes immoraux sera renvoyé sans préavis. Pour être certaine que cette mesure soit bien appliquée, les pouvoirs des préfets seront élargis. Ils seront autorisés à contrôler tout élève présentant une attitude suspecte et à le traquer jusque dans les douches ou dans les toilettes s'il le faut. Des points seront en outre attribués à ceux qui contribueront à confondre ces horribles individus.

A ces mots, Ron et Hermione devinrent tout rouges et quittèrent immédiatement la salle, visiblement révoltés, sans se retourner au « 50 points de moins pour Gryffondor ! » que venait de beugler Umbridge à leur encontre. En revanche, Draco semblait se délecter de cette mesure et Harry remarqua qu'une bosse déformait bizarrement l'entrejambe de son pantalon.

- Bien ! A présent vous pouvez rejoindre vos salles communes, dit le professeur Umbridge très fière d'elle.

La salle à manger se vida lentement. Harry se retourna une dernière fois avant de sortir mais le professeur Dumbledore ne lui adressa pas le moindre regard.

- Hey Harry!

Harry ne rêvait pas. C'était bien la voix de Ron qui l'appelait. Il se retourna, s'attendant à quelque coup bas de la part de son (ancien) ami, mais celui-ci lui sourit avec bienveillance.

- Ecoute Ron, je suis désolé pour hier, je ne voulais pas...

- Oublie ça Harry, j'ai été bête de te faire la gueule. Et puis de toute façon, on est tous dans la même galère maintenant , avec Trelawney comme prof de défense. En plus il n'y aura sans doute plus de match entre Gryffondor et Serpentard alors...

Harry sentit son ventre se nouer en songeant à l'approche du match qu'il devrait disputer contre Serdaigle très bientôt. Mais il était trop tôt pour y penser. Pour l'heure, il n'était plus seul.

- Alors tu viens te coucher ? En tout bien tout honneur, bien sûr, dit Harry à Ron avec un sourire.

- Vas-y je te rejoins. Je dois d'abord inspecter les toilettes et les douches, répondit Ron en rosissant légèrement

- Mais je croyais que...

- Si je peux faire gagner quelques points à Gryffondor... Et puis ça rattraperait un peu le gouffre dans lequel tu nous a plongé avec tes conneries d'hier...

- C'est bon ça va j'ai compris ! l'interrompit Harry qui se sentit extrêmement blessé. Va ou tu veux, moi je vais me coucher.

Il gagna sa chambre ou tout le monde dormait déjà. Il s'allongea sur son lit et s'assoupit légèrement. Environ une demi-heure plus tard il entendit Ron rentrer. Il l'entendit se déshabiller, s'allonger. Puis il entendit les ressorts du lit de son ami couiner d'un mouvement régulier. Il n'eut pas de mal à identifier la cause de ce remue-ménage. A peine 30 secondes plus tard, Ron gémissait bruyamment. Harry put voir l'ombre de Ron se lever, fouiller dans un sac, en sortir un paquet de mouchoir et s'en essuyer le ventre et la poitrine. Harry se demanda ce qu'il avait bien pu se passer pendant cette demi-heure d'assoupissement puis, perdu dans des fantasmes bizarres, il s'endormit.

Le lendemain matin, en arrivant dans la salle à manger, Harry vit que la place qu'occupaient habituellement Seamus et Dean étaient vides. Il en demanda la raison à Neville.

- Ils se sont fait prendre ce matin par Malfoy dans les toilettes. D'après ce que j'ai compris, ils se retrouvaient tous les matins très tôt dans les toilettes du rez-de-chaussée pour y faire des choses (Neville rougit en disant le mot « choses »). Mais ce matin, Malfoy les a suivis et il est allé prévenir Umbridge qui les a pris sur le fait. Ils doivent déjà être chez eux à l'heure qu'il est.

Harry se retourna et vit horrifié que Macgonagall était en train de féliciter cet abruti de Draco. Elle, qui était la directrice de Gryffondor et qui n'était pas plus blanche de Dean (ahahaha) ou Seamus se permettait de féliciter une balance de Serpentard. Ecoeuré, il replongea le nez dans ses œufs au bacon sans écouter Hermione qui lui racontait comment elle avait surpris deux elfes de maison en train de s'enculer et pourquoi elle n'en avait pas référé à Macgonagall ou Umbridge.

Le premier cours de la matinée était un cours de défense contre les forces du mal et il avait lieu dans la même salle surchauffée que celle qui servait aux cours de divination. Harry prit place sur un pouf à côté de Ron.

- Très bien les enfants, dit le professeur Trelawney de sa voix éthérée. Je suis ravie de faire mon premier cours de défense contre les forces du mal avec votre classe. J'ai toujours aimé les Gryffondor. Moi même dans ma jeunesse...

Et elle passa le premier quart d'heure du cours à leur raconter qu'elle avait découvert son don assise sur des toilettes ou comment elle avait forcé le choixpeau à lui laisser choisir sa maison. Parvati Patil et Lavande Brown l'écoutaient avec des yeux pleins d'admiration.

- Bien ! dit-elle enfin. Maintenant nous allons étudier comment vous prémunir du Mal avec un grand M. Qui peut me dire ce qu'est ce mal. Oui Miss Granger ?

- Il s'agit de Celui dont on ne doit pas prononcer le nom, plus connu sous le sobriquet de Vous savez qui.

- Pas du tout, n'importe quoi ! Je suis très mécontente de vous Miss Granger. Vous ne valez pas mieux en défense qu'en divination, je vois. 20 points de moins pour Gryffondor, ça vous apprendra à dire n'importe quoi, dit-elle précipitamment sans plus s'occuper de Hermione qui venait de fondre en larmes. Eh bien puisque personne ne connaît la réponse je vais vous la dire. Il s'agit ...

Tous les élèves se penchèrent en avant, avide d'apprendre ce qui pouvait être pire que Voldemort lui-même.

- Du VICE ! hurla Trelawney, ce qui fit sursauter tout le monde. Certains d'entre vous le connaissent déjà, d'autres moins, mais selon les nouvelles directives du professeur Umbridge, je dois vous apprendre à le combattre. Qui peut me dire comment le vice peut se manifester ? Dommage que messieurs Finnigan et Thomas ne soient plus là ; ils auraient pu nous en apprendre beaucoup. Oui, Mr Weasley ?

- Le vice, ça peut être les mauvaises pensées, les actes immoraux.

- Mais développez, je vous en prie, Mr Weasley.

Ron hésita un petit moment puis finit par lâcher le mot :

- Le SEXE. La masturbation, l'acte sexuel, tout ça quoi...

- Très bien Mr Weasley. J'avais prédit que vous sauriez tout ça. Vous faites perdre 20 points à votre maison pour avoir fait partager la connaissance que vous avez de ces choses dont on ne doit pas parler.

- Mais ? C'est vous qui...

- Bon et maintenant, passons à l'objet véritable du cours, l'interrompit Trelawney. Comment s'en prémunir ? Mr Potter, veuillez vous avancer au milieu de l'estrade je vous prie.

Harry se leva timidement en se demandant ce qui allait lui arrivait, mais après tout, ce n'était jamais qu'un cours, et Trelawney était une femme bienveillante.

- Déshabillez-vous, Potter !

- Hein ! Quoi ! Non mais ça va p...

- Faites ce que je vous dis ! cria t'elle dans une voix rauque qui lui était inhabituelle, ou bien vous serez exclu sur le champ.

- Je peux me plaindre à la direction. Vous n'avez pas le droit !

- La direction est au courant Potter ! Alors veuillez vous déshabiller sur le champ, sinon...

Harry pensa à son oncle et à sa tante, et se résolut à obéir. Devant lui s'agitaient une vingtaine de visages médusés, certains scandalisés, d'autres dégoûtés, d'autres encore curieux, voire excités. Il ôta sa cape, son chapeau, sa robe de sorcier et se retrouva bien vite en caleçon. Rouge de honte, il tenta de cacher de sa main la marque jaune pâle qui s'étendait sur le devant d'un caleçon sensé être blanc de blanc.

- Retirez tout Potter ! Comment faire mon cours si vous restez ainsi ? gueula Trelawney.

D'un geste rapide, Harry retira son caleçon, tentant tant bien que mal de cacher sa virilité au reste de la classe.

- Parfait ! J'avais prédit que vous obtempéreriez. Passons à la phase suivante.

Elle ouvrit une armoire qui se trouvait au fond de la classe et en sortit l'éclair de feu de Harry.

- Hé, mon eclair de f...

- Silence jeune avorton !

Elle le frappa pour le faire taire. La classe était on ne peut plus silencieuse.

- Et maintenant Potter, je vais vous frapper à plusieurs reprises avec le manche de votre balai. Prouvez nous donc que vous n'êtes pas un pervers sexuel. Otez vos mains de votre sexe. Si vous n'avez pas d'érection pendant que je vous frappe, alors vous serez sorti victorieux de ce cours. Commençons.

Harry résista mais les premiers coups l'obligèrent à ôter sa main de dessus son pénis. Les coups s'enchaînèrent toujours plus forts et Trelawney devint hystérique.

- Oh oui comme ça ! Tu le sens ton balai petit enculé, tu le sens ?

Au bout d'un quart d'heure, les coups cessèrent de pleuvoir. Le test était négatif, l'érection absente. Trelawney était en nage et se trémoussait en gémissant. Certains élèves se caressaient l'entrejambe pendant que Harry, en sang, regagnait sa place après avoir ramassé ses vêtements. Jamais il n'avait subi pire humiliation. Il la lui ferait payer un jour. Il se rhabilla en hâte au moment où la cloche annonçait le cours suivant. En sortant de la salle au milieu des quolibets, il croisa Macgonagall et Umbridge qu'il vit s'enfermer dans une salle avec Trelawney.

- Les putes ! pensa Harry, C'est l'hôpital qui se fout de la charité.

- Ne t'inquiète pas Harry, on ira voir Dumbledore après le cours de potion. Ca ne peut plus durer, lui dirent en choeur Hermione et Ron.

Ils se dirigèrent vers les cachots où les attendaient Rogue et les Serpentard. Le professeur de potion plus furieux que jamais, était en train de réparer la porte de la salle qu'il avait cassée en la claquant. Quand Harry passa devant lui, il lui lança un regard étrange.

- Qui vous a fait ces marques, Potter, lui demanda t-il ?

- Le professeur Trelawney, répondit Harry.

- Elle avait sans doute une bonne raison, hein Potter, cria Malfoy du fond de la classe.

- 50 points de moins pour Serpentard, dit Rogue sans autres commentaires. Commençons le cours.

Malfoy parut d'abord époustouflé, puis haineux. Il fit un bras d'honneur à Harry puis à Rogue et plongea le nez dans son chaudron.

Ce fut un cours de potion comme jamais Harry n'en avait vécu. Rogue ne lui fit aucune remarque désobligeante. Il lui mit même un A à la fin du cours.

- Je vous suggère d'aller voir le professeur Dumbledore pour cela, dit Rogue à Harry en désignant ses blessures. C'est inadmissible. Vous savez où est l'entrée de son bureau. Le mot de passe est Banana Split.

C'est ainsi que Harry, Ron et Hermione se rendirent au bureau de Dumbledore. Il donnèrent le mot de passe à la statue, grimpèrent l'escalier qui se trouvait derrière et s'apprêtèrent à frapper à l'unique porte qui faisait encore obstacle entre eux et le directeur de Poudlard.

- Tiens, fit remarquer Harry, Fumseck n'est pas dans sa cage.

Ils frappèrent mais personne ne répondit. Ils rentrèrent. Le bureau semblait vide. Des parchemins s'étalaient ça et là et tous les portraits étaient sortis de leur cadre. Sur le bureau, Harry remarqua un globe de cristal qui faisait office de presse-papier.

- Tiens, une pensine, dit Harry

- Regardons dedans, suggéra Ron.

- Non, c'est mal, renchérit Hermione.

Mais trop tard, Harry et Ron s'étaient déjà penchés dessus et Hermione n'eut d'autres choix que de les imiter.

Ils se retrouvèrent instantanément plongés dans ce même bureau, mais le matériel semblait plus beau, plus neuf, et les portraits étaient réapparus dans leur cadre. Ils se retournèrent et virent un vieil homme assis derrière le bureau.

- Dumbledore ! cria Ron

Et c'était bien lui mais avec une trentaine d'années en moins, quoique la différence fût difficilement appréciable pour un vieux croûton comme lui. Quelqu'un frappa à la porte. Les trois amis se retournèrent à nouveau pour voir entrer deux personnes, l'une revêtue d'une robe noire à capuchon dont on ne voyait pas le visage, l'autre un jeune garçon d'une dizaine d'année, qui ressemblait fort à Draco Malfoy.

- Ah je vous attendais, asseyez-vous donc, dit Dumbledore en faisant apparaître deux fauteuils de l'autre côté de son bureau.

- Nous n'avons pas le temps, Dumbledore, venons en au fait je vous prie.

Harry tressaillit quand il crut reconnaître cette voix.

- Vous avez raison Tom. Alors combien je vous dois ?

- Ce sera gratuit pour cette fois. Mais vous pourriez me rendre un petit service, dit Voldemort.

- Bien sûr ! Que voulez vous que je fasse.

- J'ai eu connaissance d'une prophétie. Dans une dizaine d'années naîtra un enfant qui causera ma perte. Débrouillez vous pour qu'il vive, qu'il apprenne tout ce qu'il doit savoir dans cette école et livrez le moi lorsqu'il aura atteint sa seizième année.

- Très bien Tom. C'est très facile, répondit Dumbledore. Maintenant, je vous prie de nous excuser mais j'aimerais goûter à ma nouvelle marchandise si vous le permettez.

- Très bien ! Mais n'oubliez pas notre marché Dumbledore.

- N'ayez crainte Tom, je n'oublierai pas.

Voldemort sortit et Dumbledore se tourna vers le jeune garçon qui paraissait terrorisé.

- Allez Lucius, viens faire joujou avec papy Albus.

Harry, Hermione et Ron ne pouvaient croire ce qu'ils voyaient. Dumbledore était en train de se déshabiller face à un pauvre gamin médusé qui se révélait être le père de leur pire ennemi. Et tout cela orchestré par Voldemort !

Au moment où Dumbledore commençait à déshabiller le gamin, tous trois se sentirent aspirés en arrière et se retrouvèrent de nouveau dans le présent. Quelques portraits étaient revenus, qui les toisaient, étonnés. Les trois amis se précipitèrent vers la porte, l'ouvrirent rapidement mais stoppèrent net leur course. Quelqu'un était là, derrière la porte, qui les attendait.

à suivre...

Bon, si vous avez aimé reviewez moi, et même si vous n'avez pas aimé, dites-le! car vraiment, cela m'encouragerai par la suite. Même un petit "J'ai lu" suffirait. Soyez généreux! Un review ne vous coûte rien et ne prend que quelques seconde de votre temps! Donc, je vous le demande à genoux... Si je n'ai pas de reviews, j'arrête.

Ikuko Merci, ca me fait plaisir que ça te plaise.

Elava: Merci pour tes conseils. Et je suis content que ça te plaise. J'espère que ce chapitre t'a plus aussi.

Bon+

Snivellus