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pour vos reviews! je suis
hyper content! Les réponses sont à la fin!
Chapitre 3 ou comment Harry devient lui-même un pervers.
- Professeur Rogue ? s'écria Harry. Mais Qu'est-ce que vous faites là ?
- Ce serait plutôt à moi de vous demander cela, répondit Rogue, mais quoi qu'il en soit, je vous demanderai de me suivre sans poser de questions.
- Mais c'est vous qui…
- Silence ! interrompit Rogue qui semblait très courroucé. Taisez-vous et contentez-vous de me suivre.
Les trois amis suivirent donc leur professeur de potion à travers un dédale de couloir jusqu'à parvenir à la salle principale, qui, à leur grande surprise, était déjà remplie de tous les élèves et de tous les professeurs de Poudlard. Enfin presque tous. Car Dumbledore semblait absent et sur son trône ciselé d'or siégeait le professeur Umbridge qui ne cessait de rire à l'écoute de ce que le professeur Macgonagall lui disait à l'oreille. Harry, Ron et Hermione s'assirent à la table de Gryffondor tandis que Rogue prenait place dans son siège habituel à côté du professeur Sinistra. Peu à peu le silence s'abattit sur la grande salle et, au bout de quelques minutes, les seuls sons audibles étaient les rires à moitié étouffés du professeur Umbridge. Rogue s'éclaircit bruyamment la gorge, interrompant la conversation des deux femmes et s'attirant le regard courroucé de Trelawney qui était assise à deux places de lui. Il soutint son regard, la forçant à baisser les yeux.
- Heu oui..., bredouilla le professeur Umbridge. Si je vous ai réuni ici, c'est pour vous faire une annonce de la plus haute importance. Votre directeur, enfin je devrais dire ancien directeur – sur ce le professeur Macgonagall pouffa de rire – n'est plus autorisé à enseigner ici,... Mais laissez moi finir ! Votre directeur ... s'est allié avec le seigneur des ténèbres. Nous en avons eu la preuve irréfutable. Mr Potter, Mr Weasley, Miss Granger? Venez par ici je vous prie.
Harry tressaillit en entendant son nom. Il se leva et se dirigea vers la grande table suivi de près par ses deux amis. Il sentait le regard de toutes l'assemblée peser sur lui et, en obliquant légèrement sa tête vers la droite, il put voir le jeune frère de Colin lui faire un clin d'œil auquel il n'eut pas la force de répondre. Une fois arrivé face à la table, le professeur Umbridge lui dit :
- Allez-y Mr Potter, tournez vous face à vos camarades et dites leur ce que vous avez vu dans la pensine du directeur, enfin de l'ex-directeur.
Cette fois-ci le professeur Macgonagall hurla littéralement de rire, accompagnée par les gloussements de Trelawney . Flitwick, énervé, leur jeta un regard et mit la main dans sa poche à la recherche de sa baguette. Rogue, qui assistait à la scène et qui paraissait tout aussi courroucé, lui fit un signe de la tête pour l'en dissuader. Renfrogné, Flitwick reposa ses mains sur la table.
- Eh bien Mr Potter, nous attendons... reprit Umbridge
- Euh c'est à dire... je suis pas trop sûr que... enfin…
- Le professeur Dumbledore fait du trafic d'enfants ! s'écria Hermione sans se soucier des coups de pieds que lui donnait Ron et du regard contrarié de Harry.
- Mais ferme ta grande gueule Hermione putain ! cria Harry
- Vous voyez ! triompha Umbridge. Votre cher directeur ! Mais réjouissez vous car vous aurez désormais une directrice en la personne de ... MOI !
Elle se réjouissait clairement à la vue de tous ces visages éberlués qui semblaient tour à tour interroger Hermione, Harry et les autres professeurs. Le professeur Chourave à présent serrait les poings
- C'est FAUX enfin ! hurla t-elle. C'est un coup monté ! Ne croyez pas cette vieille chouette.
- Ma pauvre ! répondit Umbridge sur un ton mi-glacial mi-amusé, vous n'y connaissez rien. Après tout vous n'êtes QUE professeur de botanique.
C'en était trop ! Le professeur Chourave sortit sa baguette mais avant qu'elle n'ait eu le temps de la brandir, un crépitement résonna dans la grande salle précédé d'un éclat de voix.
- EXPELLIARMUS !
La baguette de Chourave sauta de sa main et vint s'écraser contre le mur du fond. Rogue abaissa sa propre baguette avec un soupir de soulagement. Il venait de sauver la carrière de Chourave et il le savait.
- Bon, tous au dortoir ! rugit Umbridge, furieuse de s'être ainsi laissée surprendre.
Les élèves se déversaient bruyamment dans la salle commune de Gryffondor. Harry, sourd aux demandes de détails de ses camarades s'acharnait sur Hermione.
- Mais t'es vraiment trop conne ma pauvre fille ! Tu t'es jamais dit que c'était effectivement un coup monté ? Tu t'es pas demandée comment Umbridge pouvait être au courant de ce que l'on avait vu dans la pensine ?
- Je suis désolée, Harry, bredouilla Hermione, mais j'étais tellement dégoûtée.
- Oh, ta gueule ! Tu m'énerves.
- Calme toi, Harry, dit Ron en le prenant par l'épaule.
- Toi, sale con, va te faire foutre, vous êtes que deux gros connards.
Et ce disant, Harry prit le poignet de Ron sur son épaule et le retourna violemment. Sans prêter plus attention au hurlement de son (ex) ami et à l'angle bizarre que formait son poignet avec son avant-bras, il se mit en tête d'aller voir Rogue. Il se surprit lui même de penser à quelque chose d'aussi saugrenu mais il était résolu. Il sortit de la salle commune et se dirigea vers le bureau de son ennemi juré. Il frappa, attendit que Rogue lui ouvrît et pénétra dans le bureau lorsque Rogue l'y invita. Il n'avait jamais vu son professeur de potion ainsi. Il était presque amical.
- Alors Potter, qu'est-ce qui vous amène ?
- Où est Dumbledore, demanda Harry sans se soucier de la question de son professeur.
- A Azkaban, j'imagine. Ces garces avaient tout préparé… Et vu que Fudge n'attendait que cela pour mettre l'une de ses taupes à la tête de cette école... Mais rassurez-vous. Il ne tardera pas à s'échapper. Peut-être est-il déjà chez votre parrain
- Sirius ? s'écria Harry.
- Oui, Sirius.
Harry vit des flammes dans les yeux de Rogue lorsqu'il prononça le nom.
- Mais ne restez pas là Potter. Venez vous rafraîchir, proposa Rogue.
Il frappa de sa baguette sur l'un des livres qui garnissaient sa bibliothèque et cette dernière s'écarta pour laisser place à une large ouverture dans le mur. Rogue s'y engouffra en invitant Harry à le suivre. Ils arrivèrent dans une pièce large ou il n'y avait pour tout mobilier qu'un lit et une table de chevet.
- Est-ce votre chambre, professeur ? demanda Harry.
- Oh pas seulement la mienne, lui répondit Rogue. A vrai dire, Hagrid y vient souvent accompagné des deux frères Crivey. J'ignore ce qu'ils y font mais depuis que ce décret est passé, il fait bon d'avoir un endroit que ni élèves ni professeurs ne connaissent, n'est-ce pas?
Il affichait désormais un sourire franc.
- Certainement professeur, bredouilla Harry, heu, écoutez, je crois qu'il vaut mieux que je...
- Mais non, restez Potter, je me sens si seul.
- Mais vous savez très bien que c'est interdit professeur, dit Harry espérant trouver là une excuse imparable.
- La loi ne concerne que les élèves. Et puis, aucune loi ne nous interdit de... prendre un verre.
A ces mots, Harry se sentit curieusement déçu.
- Un verre ? Ah, euh, ouais d'accord, balbutia-t-il.
- A moins que vous ne préfériez passer tout de suite au plat de résistance, Potter.
Et brusquement Rogue empoigna l'entrejambe de Harry et se mit à la frotter vigoureusement à travers sa robe. Puis sans plus de préliminaires, il l'embrassa à pleine bouche. Enfin après une étreinte de deux minutes, il le repoussa violemment.
- Mais enfin, professeur, demanda Harry, interloqué.
- Je voulais juste m'assurer que vous embrassiez aussi mal que votre père, Potter. Et je vois que c'est le cas. Maintenant sortez !
Harry, profondément malheureux, ne se le fit pas dire deux fois et c'est en larmes qu'il traversa les couloirs, bien décidé à aller demander quelques explications à Hagrid. Il arriva à sa cabane sans croiser personne et il en fut profondément soulagé. Il frappa à la porte et entra sans attendre qu'on lui ouvre. A l'intérieur, Hagrid était en train d'alimenter le feu.
- Harry, mais qu'est-ce que tu fais là ? Hermione te cherche partout. Il paraît que tu as cassé le poignet de Ron. Laisse moi te dire...
- Ca va, ça va. C'était un accident. A toi de me dire ce que tu fais avec les frères Crivey.
- Ce que, QUOI ?
- Rogue a vendu la mèche. Tu peux tout me dire.
- Mais je ne fais rien de mal enfin, marmonna-t-il d'une voix presque inaudible. Je, je, ... je leur donne des cours particuliers, voilà !
- Ah oui et de quoi ?
- De défense contre les forces du mal ! C'est le professeur Umbridge qui m'a montré comment procéder, déclara Hagrid avec fierté. Elle dit que je me débrouille presque aussi bien que le professeur Trelawney. Charmante dame cette Umbridge. Et puis avec ce qu'on a appris sur Dumbledore. Tu te rends compte ? Séquestrer des enfants.
- Tu peux parler fils de pute, gueula Harry en quittant la cabane, plus dégoûté que jamais.
Puis soudain, il eut une idée. Pourquoi ne pas jouer le même jeu que tous ceux là après tout ? Il avait besoin de chair fraîche, il allait se servir des nouveaux programmes pour s'en procurer. Tranquillement, en méditant sur ses projets, certain que la porte de sa chambre serait de nouveau close par magie, il gagna la volière et s'y allongea. Il hésitait encore à mettre ses projets à exécution lorsque Hedwige, visiblement mécontente de se sentir délaissée l'acheva en lâchant une fiente malodorante sur l'un des verres de ses lunettes. C'en était trop ! Puisque c'était ainsi, il laisserait libre cours à sa fantaisie, même s'il devait de faire renvoyer pour cela.
Le lendemain, après un petit déjeuner sommaire et solitaire, Harry se rendit à son cours de métamorphose. Ron le toisait d'un air méfiant et il lui semblait qu'Hermione faisait tout pour l'éviter. En entrant dans la salle de métamorphose, il dut supporter le sourire cruel de Macgonagall qu'il n'avait jamais vu aussi négligée. Elle était en pantoufle, portait des bigoudis dans ses cheveux et sa robe était tâchée de sang ainsi que d'autres substances dont Harry préférait ignorer l'origine.
- Bonjour les enfants ! salua le professeur Macgonagall
De nombreux élèves bondirent sur leur siège. Jamais auparavant le professeur Macgonagall ne les avait appelé « les enfants ». C'était comme si elle avait assimilé les expressions et les tics du professeur Trelawney. Effrayant !
- Aujourd'hui, nous allons apprendre à changer un vulgaire balai en éclair de feu.
Elle remarqua vite l'air incrédule de la majorité des élèves et ne fit donc pas attendre son explication.
- En effet je me suis mise d'accord avec le professeur Umbridge pour associer le cours que vous suivez avec ma chère collègue Sybille Trelawney, au mien. Ainsi nous expérimenterons les éclairs de feu sur certains d'entre vous, dit-elle en fixant Harry de ses yeux goguenards. Mettez-vous par deux et faites comme moi.
Les élèves la regardèrent avec attention changer une vieille étoile filante en éclair de feu comme s'il se fut agi d'un exercice extrêmement facile et se groupèrent par deux. Harry fut forcé de se grouper avec Neville qui révéla une aptitude étonnante à changer un balai en toute sorte de chose sauf en éclair de feu. Harry se retrouva tour à tour face à une baguette de pain, un vieux micro des année vingt, une flûte chinoise qui semblait taillée dans un os et enfin, à sa grande stupeur, un énorme godemiché de 30 centimètres de long que le professeur Macgonagall se hâta de faire disparaître sous les plis de sa robe de chambre avant que tout autre élève ait pu voir de quoi il s'agissait. Bien entendu Hermione avait réussi à faire apparaître un éclair de feu dès le premier essai, ce qui réjouit (fit jouir) fortement Macgonagall.
- Ah bravo Miss Granger, s'écria t'elle, 20 points, que dis-je 50 points de plus pour Gryffondor. Grâce à vous nous allons pouvoir expérimenter ce balai sur quelqu'un, et puisque votre partenaire est Ron Weasley, c'est sur lui que vous allez l'essayer.
- Et que dois-je faire, professeur ? demanda timidement Hermione.
- Mais enfin, Miss Granger ; rappelez-vous votre cours de défense contre les forces du mal. Vous allez faire à Mr Weasley ce que le professeur Trelawney a fait à Mr Potter.
Dès cet instant, tous les élèves présents purent voir la sueur perler au front de Harry, de Ron et de Hermione. Ron était devenu tout pâle et tous crurent qu'il allait s'évanouir.
- Je ne vais pas devoir me déshabiller au moins ? bredouilla Ron.
- Oh que si ! répondit Macgonagall avec un grand sourire. Et entièrement je vous prie. Voyons s'il reste des pervers à Poudlard.
- Mais je refuse de le frapper ! cria Hermione qui se répandait en larmes.
- En ce cas, je crains qu'il ne faille vous renvoyer, ma pauvre petite, dit Macgonagall avec un sourire compatissant. A moins que l'on ne trouve quelqu'un d'autre pour vous remplacer. Des volontaires ?
Dans un premier temps, tous se turent. Harry était certain que si Draco avait assisté à ce cours il aurait immédiatement sauté sur l'occasion. Après un long silence, un doigt se leva timidement.
- Oui ! Mr Londubat, excellente idée ! Voyons de quoi vous êtes capable, se réjouit Macgonagall.
Neville prit l'éclair de feu des mains de Hermione, qui contemplait la scène, tétanisée. Pendant ce temps, Macgonagall s'était mise à arracher les habits de Ron avec frénésie. Celui-ci, le poignet en écharpe, paraissait paralysé, incapable de faire un geste. Une fois Ron dénudé, Macgonagall ordonna à Neville de commencer d'un signe de tête. Tout alla très vite. A peine le balai eut-il effleuré Ron que celui-ci se flanqua d'une érection monumentale. Au comble de la joie, Macgonagall ordonna à Neville de ne pas s'arrêter de frapper et sortit de la pièce. Elle revint quelques minutes plus tard accompagnée d'Umbridge et de Trelawney qui sautillaient gaiement à travers la salle.
- Oh le sale petit pervers ! cria Umbridge en voyant Ron. Vite vite professeur Trelawney, allez me chercher un peu de veritaserum dans mon bureau. Rogue m'en a laissé hier pour interroger Messieurs Thomas et Finnigan. On va voir ce que ce petit salaud a dans la tête.
Pendant ce temps Neville continuait de frapper. Le professeur Umbridge prenait discrètement des photos avec un appareil qu'elle venait de sortir des plis de sa robe. Peu après, Trelawney revint avec un flacon du précieux liquide. Ce fut le moment que choisit Ron pour éjaculer si violemment que l'impeccable coiffure de Parvati Patil se retrouva toute souillée.
- Allons ne pleurez pas petite idiote, lui dit Umbridge avec excitation. C'est le prix à payer pour confondre un petit pervers comme celui-ci.
Elle prit un peu de veritaserum et fit boire de force l'échantillon à Ron qui pleurait à chaudes larmes. Harry se sentait profondément désolé pour son ami en songeant qu'il s'en était fallu de peu qu'il ne fût à sa place. Ron but, ses yeux se fermèrent et il sombra dans une sorte de léthargie.
- Alors Mr Weasley, dites-nous donc quels actes illégaux vous avez commis ces deux derniers jours, interrogea Umbridge.
- J'ai commis l'acte de chair, répondit Ron d'une voix éthérée.
- Ah ah , triompha Umbridge en donnant un coup de coude complice à Macgonagall, et racontez nous ça.
- C'était avant-hier soir. Je faisais une ultime inspection dans les toilettes de la salle commune de Gryffondor avant d'aller me coucher. Je passais devant les urinoirs lorsque j'ai entendu quelque chose derrière une porte. J'ignorais de quoi il s'agissait. Je me suis approché et j'ai frappé. Un rire étouffé m'a répondu. J'ai demandé d'ouvrir mais une voix m'a répondu que je devais d'abord jurer de ne rien dire de ce que je verrais ou ferais. J'ai obtempéré. La porte s'est ouverte. Les deux frères Crivey étaient à l'intérieur. On a fait tout ce qu'il est possible de faire à trois, les photos qu'a prises Colin l'attesteront. Ensuite je suis rentré dans ma chambre ou je me suis fini parce que ces salauds refusaient d'avaler.
Il s'arrêta. Tout le monde était suspendu à ses lèvres mais personne n'avait un regard aussi fou que celui du professeur Umbridge.
- Ah c'est comme ça hein, c'est comme ça ? Tu oses désobéir, petite raclure de chiotte. Tu vas voir !
Alors elle fit surgir un fouet d'on ne sait ou mais avant qu'elle ne put l'abattre sur la chair tendre de son élève, quelqu'un avait retenu sa main.
à suivre...
Reviewez moi s'il vous plaît! Cela me motive plus que tout au monde!
Ikuko Merci! Ban, voilà la suite!
Myley Merci d'aimer. Oui, c'est rigolo
mais ça va empirer, je ne te dis pas comment... lol
Nono: Bonne idée d'un Harry Sérial Killer mais
bon, je pense que Harry restera Harry. Même s'il est perturbé lol. Content que ça te plaise.
Lullule C'est clair! Albus est vraiment sans gène. Content que ça te plaise! lol.
Cho Merci! content que ca te plaise!
Sandrine: Wow! Un long review! Merci! et désolé pour Trelawney... Sinon, moi aussi j'ai adoré une de tes fics avec le sanglier. Lol, c'était trop marrant.
Elava: MDR. Content que ça te plaise. Et pour répondre à ta question, je pense que j'écris des truc aussi con parce que je suis un gars et que j'ai l'esprit un peu tordu... lol.
Alician lol. Harry et Lucius...? je verrai ce que je peux faire avec ce couple parce que j'ai déjà écrit jusqu'au 7ème chapitre... donc voila. Ce sera plus tard, si j'intègre Lucius dans cette fic.
Katia990: Merci. Et comme je l'ai dit plus haut, je crois toutes ces idées sont tordues parce que je suis un gars... lol.
Bon, encore merci à toutes et +
Snivellus.
