Voila, le chapitre suivant! J'ai décidé de mettre les réponses aux reviews avant les chapitres parce que c'est mieux... donc, voilà vos réponses:

Ikuko Voilà la suite!

Lululle Merci pour tes reviews! Content que ca te fasse rire: volà la suite!

Little Horn: Lol... bah, tu seras servie comme une reine surtout vers la fin de cette fic. Mais pour l'instant, voila le chapitre 5!

Nono: Haha- Ton mystérieux En fait cette fic est assez compliquée (hum) mais à la fin, on comprend tout... donc, faudra attendre les explications au chapitre 7 ou 8 (je sais plus)

Ankou Content de te faire rire à mort lol. Voilà la suite!

MyleyBonne idée mais c'est pas un rêve, c'est bien la réalité! De toutes façon, j'ai déjà fini d'écrire la fic... lol.

Sandrine: Bah, pour Lucius, il apparaîtra plus tard dans la fic. Sinon, c'est Ron qui a trahi Harry en recrachant le sperme dans le tiroir où il y avait le tube à faire analyser... C'est ça qu'il fallait comprendre.

Aliciandésolé de t'annoncer que ton ange n'a pas été épargné lol. Il apparaîtra plus tard dans la fic...

Gaeriel Lol, je plains ton clavier. Pour Cho, tu sais, elle n'est qu'un jouet donc, il n'y avait pas d'amour entre Cho et Rogue (je crois).

Et maintenant, bonne lecture à toutes!

CHAPITRE 5 ou comment Harry découvre le véritable ordre du phénix.

- Vous me décevez beaucoup, Severus, déclara Dumbledore sur un ton très calme. Je ne pensais pas que vous finiriez par me trahir au profit de cette Umbridge. Ce n'est rien d'autre qu'un jouet entre les mains de Fudge qui, lui-même, n'est que la marionnette de Voldemort.

Tout le monde tressaillit en entendant le mot tant redouté.

- Mais comment, comment avez-vous... bredouilla Macgonagall.

- Azkaban n'a plus aucun moyen de retenir ses prisonniers. Les détraqueurs s'en sont allés, le ministère ne verse plus aucune subvention aux autres gardiens. Les murs tombent en ruine, un vrai gruyère, dit Dumbledore sur un ton carrément amusé. Mais vous Minerva, vous...

Macgonagall recula de plusieurs pas. Les yeux de Dumbledore brillaient d'une intelligence malveillante tandis qu'il brandissait sa baguette. Trelawney hurla :

- Vous devrez d'abord me passer sur le corps, vieux fou !

- Sans problème, Sybille. Avada Kedavra !

Une lumière verte s'échappa du bout de sa baguette, traversa la pièce et frappa le professeur de divination en pleine poitrine. Elle chancela, puis tomba lourdement, morte.

- Mais enfin, vous êtes fou ! hurla Macgonagall qui s'était précipitée sur le corps sans vie de Trelawney et qui lui couvrait le visage de baisers.

- Réveille-toi Sybille, je t'en prie, je t'en prie.

S'ensuivit la scène la plus grotesque qu'Harry n'ait jamais vu.

- Pousse-toi, Minerva, cria Umbridge le visage inondé de larmes. Je vais la réveiller. Accio éclair de feu !

Le balai de Harry ne tarda pas à lui atterrir dans la main sorti d'on ne sait où. Dumbledore contemplait la scène d'un air perplexe.

- Il n'existe rien qui puisse lui rendre la vie, Dolores, dit-il. Il serait temps de faire son deuil. Elle a choisi le mauvais côté. Elle en paye les conséquences. Je vous conseille de méditer cela si vous ne voulez pas finir comme elle.

- La ferme, vieux gâteux, s'écria-t-elle avec rage.

Elle se mit à frapper avec une formidable frénésie chaque partie du corps inanimé de Trelawney, qui rebondissait sous la violence des coups.

- Tu vas te réveiller, bon dieu ! Réveille-toi !

Et elle frappait de plus belle. Macgonagall la secondait en lui donnant des coups sur le visage avec le godemiché qu'elle avait supprimé à Neville. Dumbledore secouait la tête, l'air désespéré.

- Allez viens, Harry, finit-il par dire. Il est temps de partir d'ici.

Il prit la main du jeune homme, se dirigea vers la cheminée, puis il jeta un dernier regard derrière lui et déclara :

- On a fini de jouer désormais. Vous avez choisi le mauvais camp. La prochaine fois que l'on se verra, je n'aurai aucune pitié. Je n'hésiterai pas à vous tuer comme cette pauvre Sybille.

Puis il s'engouffra dans la cheminée en entraînant Harry, marmonna quelques mots et tout deux disparurent dans un éclair de lumière dorée.

Ils atterrirent dans un endroit que Harry ne connaissait pas mais qui lui sembla tout de suite plus accueillant que la vieille maison de Sirius dans laquelle il avait vécu avant d'entamer son année à Poudlard.

- Voici, Harry, le nouveau siège de l'Ordre du Phénix, dit fièrement Dumbledore.

- Mais, demanda Harry, pourquoi ne pas être resté chez Sirius ? Pourquoi avoir déménagé ?

- Voldemort connaît l'emplacement de l'ancien quartier général, déclara sombrement Dumbledore. Les Weasley, tout comme les professeurs Rogue et Macgonagall nous ont trahis. Mais rassure-toi, il n'y a nul endroit dans toute l'Angleterre où l'on est plus en sécurité que celui-ci.

- Mais où on est exactement ? demanda Harry en regardant tout autour de lui.

- Je te présente, dit solennellement Dumbledore, Buckhingam Palace, la demeure de la reine d'Angleterre.

Harry ouvrit des yeux tout ronds et scruta le visage de Dumbledore, tentant d'y déceler une pointe d'hilarité, mais ce dernier restait impassible.

- Mais...

- Je vais tout te raconter, Harry, déclara Dumbledore. En sortant d'Azkaban, je ne savais où aller. Tous les Aurors étaient à ma poursuite. Jamais je ne me serais cru à ce point détesté dans le monde des sorciers. Heureusement la reine Elisabeth II est l'une de mes amies de longue date. Pour tout te dire, nous avons failli nous marier mais elle m'a préféré le prince Philippe à la dernière minute. La garce ! Enfin bon, je l'ai appelée d'une cabine et elle a accepté de m'héberger. J'ai dû inventer toutes sortes d'âneries pour qu'elle accepte également les membres de l'ordre qui nous restent fidèles : Sirius, Rémus, Flitwick, Chourave et Tonks. C'est sans doute grâce à mes nobles origines qu'elle a accepté de me rendre ce service, car vois-tu, je possède le titre de Lord.

Harry restait ébahi. D'une voix mal assurée, il demanda.

- Je verrai la reine ?

- Bien sûr, répondit joyeusement Dumbledore. Elisabeth nous a tous conviés à la petite réception qu'elle donne ce soir pour « fêter » l'anniversaire de la mort de Lady Diana. Elle m'a même demandé de faire un discours. Que j'ai hâte d'être à ce soir !

Harry était effrayé par l'attitude complètement irresponsable de Dumbledore.

- Mais vous vous rendez compte, professeur ? Et Voldemort, qu'en faites-vous ?

- Il est temps de prendre un peu de bon temps, Harry. Je veux que tu t'amuses ce soir. Et qui sait ? Peut-être te trouveras-tu une riche héritière, plaisanta Dumbledore.

- Professeur, j'ai une question qui me tracasse, dit Harry brusquement sans apprécier la boutade. Dans la pensine qui était dans votre bureau...

- Mais enfin, Harry, c'était un coup monté, dit Dumbledore en rougissant. Tu ne vas tout de même pas croire que...

- Non non pas du tout, l'interrompit Harry. Mais il était question d'une prophétie. Dites-moi, professeur, êtes-vous au courant d'une prophétie qui me concernerait ?

Le visage de Dumbledore se fit plus sombre.

- Oui, effectivement Harry. Il a été dit qu'un jour un gnome unijambiste dansant à la pleine lune t'enroulerait dans du jambon et te ferait cuire dans les flammes d'un crématorium. J'ignore ce que cela veut dire mais je crois que c'est très mauvais signe.

Harry dévisageait le vieillard, visiblement très effrayé. Mais il vit très bientôt le léger rictus sur les lèvres de Dumbledore se muer en un gigantesque éclat de rire. Harry songea que si le père Noël existait, c'est sans doute ainsi qu'il rirait.

- HA HA HA HA HA HA HA ! hurla Dumbledore. Tu aurais du voir ta tête Harry. Excuse-moi mais je n'ai pas pu m'en empêcher. Mais non ! Ne te fais pas de souci. Il n'y a pas de prophétie. C'était du bluff. Allez suis-moi, on va se préparer pour ce soir.

- Sale beauf ! grommela Harry, tandis que Dumbledore arpentait le couloir en lui criant de le suivre.

- Alors Severus, quelles sont les nouvelles ? demanda la voix caverneuse de Voldemort.

- Dumbledore s'est échappé, maître. Mais je sais où il se cache. J'ai un informateur au sein même de l'Ordre du Phénix et un moldu qui me sera très utile pour le capturer. Dumbledore est si naïf ! Il ne sait pas détecter les Mangemorts.

- Alors où sont-ils ? hurla Voldemort.

- Ils sont à Buckhingam Palace. La reine est, paraît-il, une ancienne conquête de Dumbledore.

- Bien ! Débrouille-toi pour que le repas de ce soir soit son dernier. Et ramène-moi Potter vivant, compris ! s'écria Voldemort.

- Oui, maître, j'ai très bien compris.

Il régnait un grand désordre dans les appartements que la reine avait cédés à l'Ordre, car chacun se préparait pour la grande soirée. Sirius s'était rasé et s'était lavé les cheveux. Rémus était impeccable dans son smoking Yves Saint Laurent prêté par le duc d'Edimbourg. Tonks s'était colorée les cheveux en blond et arborait une robe se soirée magnifique.

« Elle ressemble presque à Lady Diana, » pensa Harry qui trouvait cette tenue du plus mauvais goût.

Le professeur Flitwick ressemblait à un pion d'échec avec son petit costume cintré et ses boutons de manchette qui représentaient des sabres. Chourave était tirée à quatre épingles. Elle portait une robe cent pour cent coton, qu'elle venait d'acheter chez le Marks et Spencer du coin. C'était assez désagréable à l'œil car on pouvait voir à travers, mais nul ne se risqua à faire un commentaire. Dumbledore semblait porter un pyjama et une robe de chambre, « comme d'habitude », songea Harry, mais la toile était de meilleure qualité et les broderies cousues d'or. Quant à Harry, il était habillé comme Rémus et Sirius, à la mode moldue avec un smoking noir et des mocassins cirés à l'excès.

- Tout le monde est prêt ? demanda Dumbledore. Alors on peut y aller.

Tous le suivirent. Ils traversèrent de nombreux couloirs et de nombreuses salles. Les gens se retournaient sur l'accoutrement étrange de Dumbledore mais celui-ci n'y prêta pas attention. Ils finirent par arriver dans la salle de réception. Jamais Harry n'avait vu pareille splendeur : lustres en cristal, plateaux de caviar, coupes de champagne, rien ne manquait à l'idée qu'il se faisait du luxe. Des portraits de feue lady Di était accrochés un peu partout. Déjà Dumbledore avait pris une coupe de champagne et discutait avec de vieux messieurs qui se donnaient l'air important. Sirius et Rémus s'étaient précipités sur le buffet et dévoraient tout ce qu'ils trouvaient, sous le regard dégoûté de trois dames fort bien vêtues. Sirius leur tira une langue sur laquelle les queues de crevettes se mêlaient au foie gras fondu. Elle firent une moue absolument dégoûtée et tournèrent les talons en levant le nez au plafond. Tonks était rouge de honte mais une jeune femme très bien de sa personne et à l'air solennel vint l'aborder.

- J'aime beaucoup votre robe, Mademoiselle... ? dit l'inconnue.

- Tonks. Et à qui ai-je l'honneur ?

- Mme Parker Bowles mais appelez moi Camilla, je vous en prie.

- Mme Parker Bowles ! s'écria Tonks. Oh mon dieu ! Mais je suis l'une de vos plus ferventes admiratrices. J'ai lu tous vos faits et geste avec le Prince de Galles dans le Sun et je dois dire que...

Pendant qu'elle continuait à jacasser comme une pie, Harry s'ennuyait ferme. Il ne voyait autour de lui que des visages extrêmement antipathiques. Il remarqua que la reine venait de faire son entrée accompagnée de la famille royale. Déjà, une foule de lèche-culs se pressait à leur suite. Il y avait Elisabeth, son mari Philippe, son fils Charles et ...

- Mais c'est Ron ! s'écria Harry, en voyant l'un des deux jeunes hommes qui accompagnaient la famille royale.

- Mais non ! rectifia Flitwick qui se trouvait à coté. Il s'agit de Harry, le fils cadet de Charles et de Lady Diana.

- Mais n'importe quoi, s'emporta Chourave. Ne l'écoute pas Harry ! Tout le monde sait bien que son père n'est pas Charles, mais l'un des écuyers de Diana.

Harry préféra s'écarter de ses deux professeurs lorsqu'il les vit prêts à se sauter à la gorge, et se rapprocha de la table réservée à la famille royale. Il se mit sur la pointe des pieds pour tenter de discerner la reine au-dessus de toutes les têtes qui s'agglutinaient autour d'elle, quand une voix inconnue l'interpella.

- Salut ! Comment tu t'appelles ?

Harry se retourna et vit le garçon qui lui était apparu comme la copie conforme de Ron juste auparavant.

- Je crois que je porte le même nom que toi, Harry, c'est bien ça ? dit Harry.

- Oui c'est ça, ravi de faire ta connaissance. Je suis content de voir qu'il y a d'autres jeunes de mon âge à cette soirée. Je m'ennuie tellement d'habitude. Il faut dire que William n'est pas très causant. Et puis en ce moment, il est tout le temps fourré chez Britney Spears alors...

Mais une voix vint interrompre cette charmante conversation.

- HARRY ?

- oui ? dirent en se retournant les deux Harry.

- Harry, dieu merci tu es là mon biquet.

- Arrêtez de m'appeler comme ça, grand-mère, ça me gêne, répondit Harry qui était devenu tout rouge.

- Tu pourrais me présenter à ton ami, au moins... dit la reine d'Angleterre.

- Grand-Mère, voici Harry. Harry, voici la reine Elisabeth II d'Angleterre, répondit Harry.

- Cesse d'être aussi pompeux, dit-elle en tapotant la tête de son petit-fils. Tu fais partie des hôtes d'Albus, c'est ça, demanda t-elle à Harry.

- Oui, votre majesté.

- Alors sois le bienvenu. Considère-toi comme chez toi ici. Ah Albus me fait signe. N'en parlez surtout pas à Philippe. Il serait fou de rage. Amusez-vous bien les enfants.

Et ils la regardèrent s'éloigner dans un couloir sombre avec Dumbledore.

- On va dans ma chambre ? Ca craint ici.

- D'accord.

Les deux Harry quittèrent la salle en douce et traversèrent le palais jusqu'à arriver dans une pièce qui parut immense à Harry.

- Voilà ma chambre. Elle te plaît ?

- Tu m'étonnes ! répondit Harry qui considérait effectivement la chambre avec étonnement. Celle-ci était deux fois plus grande que la grande salle de Poudlard !

- Fais comme chez toi, Harry, je vais nous chercher de quoi nous distraire.

Il s'éloigna, fouilla dans un tiroir, en retira un paquet sombre et revint s'asseoir à côté de Harry.

- Voilà, tu fumes avec moi ? dit-il en sortant un sachet de cannabis du paquet.

- Ok, répondit Harry.

L'autre Harry roula deux joints et en tendit un à son nouvel ami. Ils fumèrent en silence, les yeux plongés dans le vide. Mais au bout de cinq minutes, Harry (Potter) sentit une douleur lancinante sur sa tempe droite.

- J'ai, j'ai mal à la tête, marmonna t'il en s'affaissant.

- C'est normal, répondit l'autre. J'ai rajouté quelques petites substances prohibées dans ton joint. Dans une minute, tu dormiras profondément.

Harry tenta de se lever mais ses genoux ne le portaient plus. Il tomba, face au sol. Il crut entendre un rire, ainsi que la voix de Tonks. Enfin, il perdit connaissance.

Lorsqu'il se réveilla, il avait très mal à la tête. Il était dans une petite pièce sombre sans fenêtres ni portes. Il y avait seulement une cheminée à l'angle de la pièce. Il tenta de se lever mais dut se rasseoir aussitôt. Il venait de remarquer qu'il avait aussi terriblement mal aux fesses. Il mit la main dans son pantalon, toucha son anus et sentit un liquide collant et déjà à moitié séché. Il ôta la main de son pantalon, sentit ses doigts. Il n'y avait pas de doute, c'était bien du sperme qui maculait son derrière. Il s'était laissé piéger et en plus, il s'était fait violer. Par un autre Harry qui plus est ! Il se demandait que faire quand il entendit une déflagration et dut fermer les yeux pour ne pas être ébloui par la lumière qui filtrait à travers la cheminée. Lorsqu'il ouvrit les yeux, Tonks se trouvait en face de lui.

- Vous ! traîtresse ! Salope ! Vous ne méritez pas d'être une Auror ! gueula Harry

- Tais-toi, idiot ! dit-elle avec un sourire. C'est la faute de Dumbledore si tu es dans cette situation. Il n'a jamais compris qui étaient ses ennemis. Il a préféré forniquer la reine que s'occuper de toi. Et puis, quand on l'a ramassé, le vieux était plein comme un œuf. Il doit s'en mordre les doigts à présent.

- Mais et le petit-fils de la reine ? demanda Harry, qui commençait à trembler.

- Harry ? dit Tonks après avoir éclaté de rire. C'est un jouet entre les mains de Tu sais qui, comme beaucoup de moldus d'ailleurs. Il a été ravi d'accomplir ce travail pour son maître, d'autant plus qu'apparemment tu lui plaisais beaucoup, quoiqu'il m'aie semblé que tu plaisais encore plus à son père.

- Quoi ! cria Harry. Vous voulez dire que c'est le prince Charles qui m'a, qui m'a...

- Violé ? oui ! dit-elle en riant. Mais trêve de plaisanterie ! Il y a beaucoup à faire. Le seigneur ténébreux t'attend ; il est tant de partir. Elle l'empoigna, le tira de la chaise où il était assis, le jeta dans la cheminée, le rejoignit et cria quelque chose d'incompréhensible. Ils disparurent tous les deux dans un horrible vacarme.

à suivre...

Bon, j'espère que ce chapitre vous a plu. Si vous voulez la suite, vous savez ce qu'il vous reste à faire ;-) lol.

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Snivellus.