Salut à toutes, me revoilà avec le 6è chapitre! Merci à tous vos reviews!
Ikuko Lol, voilà la suite!
Nymphadora Snape: Lol, non, je n'ai que ça à faire... et ça dépend, je peux être sadique parfois dans mes fics... (sans blague!). Sinon, pour la reine, elle n'est pas forcément une sorcière pour le simple fait qu'elle "fréquente" Albus. Sinon, pour le comportement de Rogue, tu comprendras au chapitre 7. Mais pour l'instant, il faut lire le chapitre 6... lol.
Myley: Ah, bah, c'était le but du chapitre! Dumbledore? eh bien tu verras dans les chapitres suivants! pour l'instant, faudra lire le chapitre 6. Sinon, pour Harry je pense que c'était clair... il s'est fait violer par Charles... lol.
Nono: lol. Je crois que tu comprendras dans le chapitre 7. J'explique plusieurs choses. Sinon, eh bien, voilà le chapitre 6... lol
Sandrine: Lol. Désolé pour Trelawney mais il fallait bien. Sinon, moi aussi j'apprécie Lucius... et puis Harry se doute de quelque chose? non, jamais! Il faudrait d'abord qu'il ait une cervelle pour douter de quelque chose! Et il n'en a pas donc... Ah et t'en fais pas, je vais pas mettre la vraie prophétie de JKR.
Gaeriel: C'est clair qu'il va regretter d'avoir survécu Harry! lol.
Bon, place au chapitre 6 maintenant!
CHAPITRE 6 ou comment Harry redécouvre Poudlard.
Harry sentit sa tête tourner lorsqu'il reprit ses esprits. Il regarda autour de
lui. Les lieux lui paraissaient familiers comme s'il y avait passé plusieurs
années de sa vie. Il se sentit bête tout d'un coup (pour ceux qui n'ont pas
encore compris, il l'était vraiment). Mais bien sûr ! Il était revenu à Poudlard ! Mais pourquoi Poudlard ?
Et pourquoi, alors qu'il se trouvait dans la grande salle, n'entendait-il rien
d'autre qu'un curieux cliquetis qui semblait se répéter à l'infini quelque part
dans les profondeurs du château ?
- Alors, on a fait bon voyage ? fit entendre une voix derrière lui.
Harry se retourna et vit une femme à la chevelure rose bonbon qui le dévisageait avec un sourire franc.
- Tonks! s'écria Harry. Comment avez-vous pu rejoindre Voldemort ? Et pourquoi vous m'avez ramené à Poudlard ?
- Chaque chose en son temps, répondit-elle. Faisons un petit tour du propriétaire. Tu remarqueras très vite que beaucoup de choses ont changé dans ta chère école.
- Mais, où sont les élèves, et où est Dumbledore ? Et les autres professeurs ?
- Tu verras ça par toi-même, Harry, à moins que certains ne soient déjà morts, dit-elle, moqueuse.
Elle le poussa devant elle en le menaçant de sa baguette. Harry fut forcé d'obéir. Le pauvre garçon tremblait de tous ses membres. Il était à bout de force, épuisé physiquement et nerveusement, et il avait l'impression que ce qu'il allait découvrir dans les minutes à venir n'arrangerait rien à son état. Tout deux sortirent de la grande salle et traversèrent le hall d'entrée sans croiser personne. Et Harry entendait ce cliquetis régulier qui semblait s'intensifier à mesure qu'ils se rapprochaient de la porte qui s'ouvrait sur la descente vers les cachots.
- Après toi, Harry, déclara Tonks sur un ton sirupeux lorsqu'ils furent arrivés devant cette porte.
Harry la poussa et entama une longue descente dans les escaliers vermoulus. Etrange. Plus ils descendaient, plus le son du cliquetis se faisait clair et audible. Ils arrivèrent devant une autre porte. Tonks fit signe à Harry d'ouvrir, ce qu'il fit lentement, car il avait peur de ce qu'il allait voir, non sans raison d'ailleurs.
Il ne fut pas déçu. Le spectacle dont il fut témoin, à la fois étonnant et grotesque, le cloua sur place. Tous les élèves de Poudlard semblaient présents dans cette salle qui n'avait jamais paru aussi grande à Harry.
- Mais qu'est-ce que ça veut dire ? cria Harry ! Vous n'avez pas le droit ! Ce ne sont pas vos esclaves, tout de même !
Tonks paraissait émerveillée par cette scène qui dégoûtait Harry au plus haut point. Les uns à côté des autres, tous les élèves de Poudlard et jusqu'aux frêles premières années, creusaient dans le mûr avec des pioches, tout ruisselants de sueur. Certains, sans doute les récalcitrants, avaient même de lourds boulets de plomb attachés aux chevilles. Harry vit Parvati qui pleurait abondamment, alors qu'elle essayait de se tordre la tête pour jeter un coup d'œil sur son dos, qu'Harry remarqua parsemé de longues stries rouges. Il cherchait à en déterminer la cause mais n'eut pas attendre bien longtemps.
- Allez, un peu de nerfs, bande de fainéasses ! cria Umbridge à l'encontre d'un groupe de premières années qui venaient de poser leur pioche à terre, à bout de force, ou sinon vous allez tâter du fouet... Minerva !
Macgonagall se rapprocha du groupe de premières années, sortit un fouet des plis de sa robe et frappa violemment les pauvres élèves qui se tortillaient en gémissant.
- Vous aimez ça, bande de salauds, vous en voulez encore, hein, hurla t-elle dans une semi-transe.
- Minerva, cria une voix doucereuse que Harry connaissait bien.
Macgonagall baissa son fouet et se retourna.
- Tiens, Severus, qu'y a t-il ?
- Je crois que notre invité est arrivé, répondit Rogue en tendant le doigt.
Tous les élèves se retournèrent vers Harry, de même que Macgonagall et Umbridge qui devinrent rouges d'excitation.
- Ah très bien, très bien, dit Umbridge, nous allons pouvoir... Mais qu'est-ce qu...
Avant qu'elle le professeur n'ait pu esquisser le moindre geste, Parvati Patil s'était précipitée sur Harry, sa pioche à la main.
- Je vais te tuer, enfoiré ! rugit-elle. C'est ta faute si le professeur Trelawney est morte ! Tu vas me le payer !
Plus loin, Lavande Brown lui hurlait des mots d'encouragements.
- Vas-y Parvati ! Nique-lui la gueule à ce connard !
Le professeur Umbridge regardait le tout d'un air amusé mais quelqu'un vint stopper net sa jouissance.
- EXPELLIARMUS !
Un crépitement suivi d'un éclair de lumière vint frapper Parvati sur le bras en lui faisant lâcher prise. Elle poussa un cri et s'effondra, en pleurs.
- Miss Granger ! gueula Umbridge en furie. Pourquoi avez-vous empêché miss Patil de s'amuser un peu ?
- Mais enfin, professeur, bredouilla Hermione, je n'ai fait que sauver la vie d'un élève ; je pensais qu'en tant que préfet, je devais...
- En tant que quoi ? demanda Umbridge en hurlant de rire. Mais enfin, ma pauvre fille, atterrissez ! Le seul élève qui garde un tant soit peu d'autorité dans cette école est Mr Malfoy.
Elle jeta un regard à Draco qui toisait tout le monde d'un air supérieur en faisant claquer son fouet.
- Mais, bredouilla Hermione, vous voulez dire que j'aurais dû laisser Harry se faire tuer ?
- Et pourquoi pas ? rugit Umbridge. Approchez Miss Granger.
Hermione s'avança timidement sous le regard terrorisé de tous les élèves. Umbridge sortit d'on ne sait où l'éclair de feu de Harry et administra à Hermione un coup d'une violence magistrale.
- Ca vous apprendra, petite grue ! dit Umbridge en rangeant l'éclair de feu. Et débrouillez-vous pour que ce sang s'arrête de couler ! Je veux que tout soit impeccable pour l'arrivée du seigneur ténébreux.
Harry sursauta. C'était donc cela ! Ils préparaient les cachots pour en faire une demeure pour Voldemort... Il leva les yeux, l'air pensif. Il se fichait pas mal qu'Hermione se soit faite défigurer pour lui sauver la vie. Il fallait qu'il en sache le plus possible.
- Alors comme ça, Tom va venir ? demanda-t-il.
Umbridge le toisa d'un air indécis, puis sembla comprendre et éclata d'un rire malsain.
- Tom ? Tom ? Mais vous n'avez donc rien compris, Mr Potter ? Tom n'a jamais existé. Ce n'est qu'une farce, une illusion, une élucubration de Dumbledore qui avait trop peur de vous dire la vérité.
- Mais je l'ai vu dans la Chambre des Secrets, s'écria Harry.
- Oui et vous avez aussi vu le phénix de votre directeur. Et un basilic si ma mémoire est bonne ? Mais mon pauvre Potter, vous avez été le jouet d'une cabale habilement orchestrée. Voyez-vous, votre cher Dumbledore est, ou plutôt devrais-je dire était, un maître en illusion.
- Vous voulez dire que Fumseck ...
- N'a jamais existé, triompha Umbridge, pas plus que le basilic d'ailleurs...
Harry se souvint tout d'un coup que Fumseck était absent de sa cage le jour ou il était entré dans la pensine, et comme par hasard, ce jour-là, il n'était pas attendu.
- Mais pourquoi ? cria Harry.
- Il a toujours été trop faible avec ses élèves, répondit Umbridge avec un sourire, surtout avec les plus jeunes...
- Au fait, où est le professeur Dumbledore ? demanda tout à coup Hermione qui avait du mal à parler tout en soutenant sa mâchoire qui semblait prête à tomber. Vous nous aviez promis que vous nous montreriez ce qu'il reste de lui.
Umbridge fit un signe à Macgonagall qui sortit des plis de sa robe (décidément elle devait avoir une robe très volumineuse) une petite urne qu'elle ouvrit. Elle en vida le contenu par terre, qui forma un petit tas de poudre grise.
- Voilà, je le crains, tout ce qu'il reste de votre pauvre directeur, triompha Macgonagall sous le regard ahuri de tous les élèves.
Mais Harry se fichait complètement du sort de Dumbledore. Il voulait connaître la vérité sur Voldemort.
- Mais alors qui est Voldemort ? demanda-t-il ?
Umbridge se retourna et sur son visage se lisait une immense déception, celle de ne pas voir Harry souffrir davantage de la mort de son directeur adoré.
- C'est quelqu'un qui vous est bien plus proche que ce que vous ne le croyez, répliqua-t-elle d'un ton sec. Mais vous verrez ça tout à l'heure. Pour l'heure, creusez !
Elle lui tendit une pioche qu'il fut forcé de prendre. Il rejoignit le groupe de première année qui venait de se faire fouetter et se mit à frapper contre le mur.
- Eh pssst ! Harry, fit une voix familière juste à coté de lui.
C'était le petit professeur Flitwick que Harry n'avait pas remarqué parce qu'il était encore plus petit que les élèves auxquels il était mêlé.
- Professeur Flitwick ! s'écria t-il.
- Chut ! Moins fort, dit Flitwick en regardant anxieusement par-dessus son épaule. Si ces garces nous entendent parler, elles nous fouetteront. Regarde.
Il découvrit légèrement son épaule et Harry vit avec dégoût une plaie profonde qui semblait n'avoir ni début ni fin.
- Au moins, Malfoy s'est éclipsé, c'est le pire de tous, dit faiblement Flitwick.
- Eh vous deux là-bas ! cria une voix que Harry fut ravi d'entendre.
- Professeur Chourave ! s'écria t-il. Vous êtes venue nous sauv...
Mais un claquement sec vint l'interrompre. Il se cambra sous la douleur car le professeur Umbridge venait de lui administrer un soufflet monumental avec son propre éclair de feu.
- Comment osez-vous vous adresser ainsi à un professeur, monsieur Potter ?
- Mais, professeur Chourave... bredouilla Harry qui tardait à comprendre.
- Je suis désolée, mon petit, dit Chourave en souriant carrément à Umbridge et Macgonagall qui n'avaient pas tardé à les rejoindre, mais le professeur Umbridge m'a ouvert les yeux sur des choses nouvelles. Les idiots comme toi ou lui (elle désigna du menton le professeur Flitwick), doivent souffrir pour plaire à notre maître à tous.
- Mais..., commença Harry.
- Silence petit con ! cria Chourave en lui foutant une grosse baffe. Je vais t'apprendre à me respecter, tu vas voir !
En relevant son visage meurtri, Harry vit avec horreur que de longues estafilades parcouraient les bras de son professeur de botanique. Elle aussi s'était donc laissée prendre au jeu de la perversité, mais comment ?
- Ca va, c'est fini ! cria Macgonagall à toute la salle. Vous avez bien travaillé, vous pouvez rentrer dans vos salles communes. Vous redescendrez tous ici-même dans une heure pour accueillir le seigneur ténébreux, notre maître à tous. Celui qui arrivera en retard tâtera de mon fouet.
Elle exhiba fièrement un fouet de cuir hérissé sur toute sa longueur de pointes acérées. Harry remarqua qu'un bout de chair séchait lentement sur certaines d'entre elles. Il remarqua aussi les blessures qui s'étendaient le long du coup d'Umbridge et ravala difficilement sa salive. Chourave admirait le matériel de Macgonagall en se trémoussant gaiement. La salle se vida rapidement et Harry suivit Flitwick vers la salle commune de Gryffondor.
- Suivez-moi Harry, lui chuchota Flitwick, alors qu'ils passaient près d'une porte dérobée.
Harry fit ce qui lui était demandé, ouvrit la porte (Flitwick n'atteignait pas la poignée) et entra. Ce qu'il vit le stupéfia. Draco siégeait au milieu de la salle, nu comme un vers. Ron, nu lui aussi, tenait un fouet du même modèle que celui du professeur Macgonagall. Il avait le bras levé, prêt à frapper, tandis que Draco se masturbait lentement avec les yeux à moitié révulsés.
- Oh pardon ! s'écria Harry en sortant rapidement et en refermant la porte derrière lui.
- Qu'y a t-il Harry ? demanda Flitwick. Pourquoi es-tu ressorti si vite ?
- Rien rien, dit Harry de l'air le plus détaché qu'il put.
Mais il était songeur. Ron et Draco, son pire ennemi... D'accord, Ron l'avait trahi mais quand même...
- Viens ici, dit Flitwick en montrant une porte isolée. Ca paraît vide.
Ils rentrèrent dans ce qui se révéla être leur ancienne salle de métamorphose.
- Pourquoi vous m'emmenez ici, au fait ? demanda Harry.
- J'ai quelque chose à te montrer, répondit Flitwick.
Il avait le dos tourné et s'agitait silencieusement. Harry avança curieusement la tête mais son professeur se retourna tout à coup, la braguette ouverte et le sexe sorti. Il affichait un sourire anxieux qui fit sursauter Harry.
Peu à peu, face à l'expression stupéfaite de Harry, la mine de Flitwick se décomposa pour aboutir à un visage tremblant et extrêmement triste.
- Tu ne veux pas, c'est ça, bredouilla-t-il tristement. Harry crut qu'il allait se mettre à pleurer. Pris de panique, il ne sut que dire.
- Personne ne m'a jamais aimé, commença Flitwick. Je croyais que tu...
Puis il éclata en larmes. Harry, très embarrassé, le prit par les épaules.
- Allons, allons, ce n'est rien... dit-il d'une voix réconfortante.
A peine Harry s'était-il rapproché que Flitwick lui sauta dans les bras.
- C'est trop horrible, gémit-il. Avoir vécu tout ça et me retrouver aujourd'hui comme ça, traité comme un simple élève.
Il s'essuya le visage d'un revers de main et commença, au grand désespoir de Harry à raconter sa vie.
- Ma mère était une femme adorable mais un peu sensible. En fait je ne l'ai jamais connue. Elle m'a jeté dans une poubelle après l'accouchement. J'ai été recueilli par une famille de sorciers que mon aspect physique ne rebutait pas. Eux aussi (il ravala un sanglot), ils ont fini par m'abandonner quand leur premier enfant est né parce qu'à chaque fois qu'il me voyait, il se mettait à hurler. Et puis, c'était très frustrant pour moi de voir qu'en naissant, il me dépassait alors que j'avait déjà huit ans...
Harry, qui ne se sentait nullement concerné, avait du mal à cacher son hilarité. Pourtant, il éprouvait beaucoup de peine en voyant ce petit homme, si gai d'habitude, se répandre en larmes lamentables. Il l'entoura de ses bras et l'embrassa doucement dans le cou. Flitwick cessa de pleurnicher et se jeta sur Harry comme une bête fauve. Harry le déshabilla rapidement.
- Mais c'est tout mou, se plaignit Harry en fouillant dans le slip kangourou de son professeur.
- Oh pardon ! dit Flitwick, tout penaud. J'allais oublier, c'est que je me fais vieux, tu sais...
- Ce n'est pas grave ! dit Harry, indulgent, je m'en contenterai...
- Tu es gentil, répondit Flitiwick en faisant apparaître un vibromasseur.
Ils se sodomisèrent avec frénésie, chacun son tour, et après qu'ils eurent assez joui, Harry se dit :
- Je crois que je suis amoureux...
Un coup de sifflet retentit dans les profondeurs de Poudlard.
- Merde ! s'écria Flitwick. On a cinq minutes de retard, on va se faire fouetter.
Vite, ils descendirent dans les cachots où les attendaient tous les élèves et les professeurs.
- Je ne sais pas ce que vous faisiez, leur dit Macgonagall sur un ton visiblement réjoui ; mais vous allez y avoir droit !
Elle sortit son fouet et avança son bras d'un air menaçant.
- Arrêtez Minerva ! cria Rogue qui semblait sorti de nulle part.
Macgonagall cessa son mouvement et toisa Rogue d'un air étonné.
- Mais enfin Severus ! Ca ne vous gênait pas tout à l'heure.
- Vous avez raison, frappez les ! dit-il, ragaillardi.
Macgonagall levait à nouveau son bras quand Rogue se ravisa.
- Non, arrêtez ! Oh là là je me sens mal.. Excusez-moi je crois que je vais aller prendre une aspirine.
- Mais le seigneur des ténèbres va arriver d'une seconde à l'autre, Severus, dit Umbridge.
- Vous avez raison, Dolores, je vais l'attendre, répondit Rogue en sortant de la salle.
- Mais il est devenu complètement fou, dit Macgonagall qui en avait oublié de frapper Harry et Flitwick.
Umbridge haussa les épaules.
- Ca y est ! Le voilà ! dit Tonks en faisant irruption dans la salle. Oh là là, je suis si excitée !
Les élèves se serrèrent les uns contre les autres sauf Ron et Draco qui se collèrent carrément l'un à l'autre. Umbridge, Macgonagall et Chourave tremblaient d'impatience. On entendit des bruits de pas descendre l'escalier lentement. Voldemort ne semblait pas seul. Et effectivement lorsque la porte s'ouvrit enfin, trois silhouettes apparurent dans la pénombre. Et lorsqu'Harry les reconnut, il n'en crut pas ses yeux et c'est dans un cri quasi inhumain qu'il exprima son étonnement.
- Oncle Vernon !
Alors, l'oncle de Harry est-il Voldemort? lol... suite au prochain chapitre. Et vous savez ce qu'il faut faire pour avoir le chapitre suivant? Non? Eh bien, REVIEWS! (lol)
Bon+
Snivellus.
