CHAPITRE dernier ou comment Harry meurt (enfin).

Harry était de retour à Poudlard. Il avait eu beau se creuser la cervelle (mais en avait-il vraiment une ?), il n'avait pas encore trouvé avec certitude la personne qui l'aimait le plus au monde. Bien sûr, il y avait Flitwick mais celui-ci lui avait allègrement menti pour obtenir ses faveurs. A part son professeur, il ne voyait pas très bien qui pouvait l'aimer à ce point, surtout après ces derniers jours. Même s'il ne se rendait pas vraiment compte à quel point il avait été odieux, il avait bien remarqué que Sirius et Flitwick faisait preuve d'une singulière froideur à son égard. Il était responsable de la mort de Remus et de Lucius tout de même... Mais pour l'heure, tous attendaient le retour de Sirius qui devait leur indiquer l'endroit ou se trouverait Dumbledore le soir-même. Lorsqu'il revint enfin, Sirius avait la tempe sérieusement ouverte.

- J'ai été victime d'un groupe de satanistes un peu excités dans une boutique de disque, expliqua-t-il aux professeurs qui s'agglutinaient autour de lui.

- Vous irez voir Madame Pomfresh tout à l'heure, dit Pétunia. Dites-nous vite ou nous devons nous rendre ce soir, afin que nous puissions nous organiser rapidement.

- Dumbledore sera dans un entrepôt désaffecté de la banlieue de Londres, répondit Sirius. D'après ce que j'ai compris, un concert clandestin de dark metal sera donné.

- Merci beaucoup Sirius, dit Pétunia avec un sourire, et maintenant, va à l'infirmerie.

- Bien maître, répondit Sirius qui partit avec Madame Pomfresh en direction du hall.

Harry remarqua qu'avant de passer la porte qui les faisait disparaître à la vue de tous, Madame Pomfresh massa vigoureusement l'entrejambe de Sirius.

« Putain le salaud », pensa Harry, il s'en fait pas.

- Bien ! dit Pétunia, il est temps d'aller faire des courses. On ne peut pas aller au concert habillés comme ça. Allons profiter des soldes. Tous ceux que je vais nommer nous accompagneront, Harry et moi-même : Minerva, Dolores , Severus, Sirius, Ron, Draco, Filius, Vernon et Dudley. Le professeur Chourave restera ici pour s'occuper des fleurs.

- Hein quoi ! cria Vernon, non mais il n'est pas question que j'aille m'enfermer pendant toute une soirée avec une bande de fous.

- Il s'agit de la destinée du monde Vernon, dit sévèrement Pétunia. Je veux que tu sois là.

Vernon s'éloigna en maugréant. Déjà Sirius, dont la blessure ne semblait absolument pas soignée, et Madame Pomfresh, revenaient dans la salle.

- Vous avez un peu de yaourt autour de la bouche, Madame Pomfresh, fit remarquer Ron naïvement.

- Oh c'est vrai ! s'écria Madame Pomfresh en rougissant et en regardant Sirius d'un air de reproche.

Macgonagall et Chourave éclatèrent de rire. Madame Pomfresh s'essuya d'un revers de main et se lécha minutieusement les doigts tandis que Ron qui avait enfin compris arborait déjà une bosse outrageuse sur le devant de son pantalon.

- Bon ben puisque tout le monde est là, on va y aller, dit Pétunia en tapant dans ses mains.

Tous les gens appelés se rassemblèrent en hâte dans l'ancien bureau d'Umbridge, qui était le seul dont la cheminée était utilisable. Ils s'entassèrent à l'intérieur, Pétunia jeta de la poudre dans l'âtre en criant :

- Allée des embrumes !

Ils furent tous instantanément projetés dans la fameuse allée proscrite du quartier marchand des sorciers. Tous avaient revêtu un capuchon qui leur couvrait le visage. Pétunia ouvrait la marche. Sur son passage, les mages noirs et les harpies se prosternaient avec déférence :

- Seigneur, disaient-ils. Quel grand honneur de vous voir ici.

- Nous cherchons des vêtements de métaleux, dit Pétunia qui se demandait si ce mot existait.

- Fort bien, maître, répondit une vielle harpie. Nous n'en avons pas ici mais je connais une boutique moldue qui vous fera de bons prix.

Elle leur indiqua l'adresse et le petit groupe gagna la rue commerçante désignée, qui se trouvait au centre ville de Londres. Bien entendu, tout le monde se retournait sur leur passage. Les dames âgées se signaient en invoquant Jésus, Marie, Joseph mais Pétunia n'en avait cure. Une fois arrivés à destination, ils rentrèrent dans la boutique.

- Wha, elles déchirent vos fringues, s'écria le vendeur en les voyant entrer.

On ne pouvait pas en dire autant des siennes. Il portait un vieux jean tout déchiré et un tee-shirt aux motifs étranges. Il était tatoué sur tout le corps et ses cheveux étaient aussi gras que ceux de Rogue. Dans la boutique, on trouvait des vêtements tout aussi étranges. Macgonagall et Umbridge s'étaient précipitées au rayon des accessoire sadomasochistes et admiraient en riant le tout dernier modèle de godemiché clouté qui venait de sortir et le fouet en cuir chauffant vendu en kit avec une paire de menottes à décharge électrique.

- Ils nous faudrait des vêtements de ce genre (elle montrait les vêtements du vendeur), dit Pétunia.

- Pour vous tous ! s'écria le vendeur qui avait l'impression que l'affaire de sa vie se présentait. Ouais OK, on va voir ça. Retirez vos capes.

Tous bien sûr avaient prévu des vêtements moldus sous leur robe sauf ce pauvre Ron qui tombait toujours de la dernière pluie. Le pauvre, il était à poil. Lorsqu'il le vit sur le point de pleurer, le vendeur se dépêcha de lui donner un vieux caleçon tout troué, en essayant de cacher son intérêt pour les parties intimes du rouquin. Déjà son sexe dépassait par l'un des trous qu'il avait à la braguette. Mais il se reprit rapidement et fit en sorte de trouver des vêtements qui iraient à tout le monde. Ils se trouvèrent donc bientôt tous affublés de tee-shirts aux inscriptions sataniques, de colliers à pointe, de vieilles bottes des années 70, et de vestes en cuir qui sentaient le moisi. Macgonagall et Umbridge avaient choisi des vêtements moins « classiques ». Ils étaient percés de pointes d'aciers un peu partout et ils étaient pourvu de nombreux passants. Au lieu d'y mettre des ceintures, elles y avaient glissé les fameux fouets chauffants ainsi que d'autres modèles tout aussi destroy.

- Attendez, je vais vous refaire les cheveux aussi, dit le vendeur, ravi.

Il apporta des bombes colorantes et tous ne tardèrent pas à avoir les cheveux tantôt bleus, tantôt rouges.

- Il manque quelque chose, fit il remarquer en les regardant. Ah je sais ! Les piercings !

Personne ne voulut tenter l'expérience sauf bien entendu Umbridge et Macgonagall que les aiguilles du vendeur, rouillées et souillés de sang séchées, ne rebutaient pas. Elles insistèrent même pour se percer elles-mêmes. Macgonagall se perça les tétons en hurlant de jouissance (elle se caressait l'entrejambe sans se soucier de tous les gens qui étaient autour). Umbridge fut plus téméraire puisqu'elle se perça le clitoris sans aucune pudeur. Harry était plutôt dégoûté par le spectacle mais il remarqua que Ron et Draco bandaient comme des taureaux.

Vernon, qui était le seul à posséder de la monnaie moldue, fut forcé de régler pour tous, ce qu'il fit en bougonnant tandis que Pétunia lui caressait les fesses:

- Allez mon gros nounours, disait-elle en riant, ne fais pas ta mauvaise tête...

Lorsqu'ils sortirent, les gens ne les regardaient plus bizarrement, ils les fuyaient carrément. Harry commençait à ressentir la même fureur que dans le métro. Pétunia le sentit et lui serra l'épaule.

- Du calme Harry, dit-elle. Fais comme si tu ne les voyais pas.

Mais le fait d'être vêtu ainsi rapprochait Harry de sa véritable nature et cela ne tarda pas à le plonger dans un état de folie destructrice. Avant que nul n'ait pu l'en empêcher, il sortit sa baguette et lança un sort inconnu mais particulièrement destructeur. Une gigantesque explosion se fit entendre dans un coin très fréquenté de la rue. Lorsque la fumée se dissipa, il ne restait plus que quelques cadavres et des morceaux de corps dispersés un peu partout. Alors Harry perdit les pédales. Il se précipita sur le premier cadavre qu'il put trouver, le retourna et le sodomisa violemment, puis ce fut au tour d'un chien dont il ne restait que la partie postérieure du corps. Enfin, il viola sauvagement une vieille dame, qui n'était pas morte du tout mais qui s'était approchée par curiosité, avant de lui piquer son sac à main et de s'enfuir en hurlant, suivie par les autres sorciers qui ne pouvaient croire ce qu'ils venaient de voir. Même Umbridge paraissait choquée par l'attitude de Harry.

- Mais enfin Harry, ça va pas la tête ? gueula Pétunia après qu'ils eurent couru suffisamment loin.

- Ta gueule salope ! hurla-t-il d'une voix quasi inhumaine. Je fais ce que je veux, je pourrais te péter la rondelle à toi aussi si je voulais, grosse pute, espèce de pouffiasse...

Pétunia lui fila une grosse baffe pour le calmer avant de dire.

- Il faut se dépêcher, il commence à perdre le contrôle de lui-même. S'il n'est pas tué rapidement, c'en est fait de cette planète. Allons-y, plus vite nous serons arrivés dans cet entrepôt, mieux ce sera pour tout le monde.

Ils partirent en tirant Harry par le bras, qui gueulait comme un putois, et lorsqu'ils trouvèrent un endroit ou personne ne pouvait les voir, ils transplanèrent. Ils atterrirent devant l'entrepôt. Il faisait nuit. Un son assourdissant venait de l'intérieur du hangar. Lorsqu'ils entrèrent, ils durent attendre quelques instants que leurs yeux s'accoutument à la fumée et leurs oreilles au bruit. Ils virent tout de suite qu'ils passeraient inaperçus parmi tous ces gens qui étaient habillés exactement comme eux. Sur une scène de fortune, un type essayait de couvrir de sa voix (dont le timbre était quelque part entre le crie d'agonie d'un morse et les grognements d'un ours malade) les guitares qui faisaient n'importe quoi derrière lui. Il était en train de scander un refrain bizarre qui disait « I fuck God deep in the ass », ce qui peut se traduire à peu près pour les non anglophones par, « j'introduis profondément ma grosse mentule dans le sphincter anal de Dieu ».

- Pourquoi est-ce qu'ils se foncent dessus en se frappant ? demanda Rogue en regardant au centre de la salle.

- Je l'ignore, répondit Umbridge, mais ça me plait. Allez viens Minerva, on y va.

Et en sortant leurs fouets, elle se jetèrent dans la fosse où l'on entendit bientôt des cris de jouissance qui se mêlaient au claquement du cuir chauffant. Harry remarqua rapidement que Dumbledore était au centre de la pièce, dans sa grosse pelle de tracteur et qu'à défaut de pouvoir foncer dans les gens avec son corps, il ordonnait à Fudge de le faire avec son engin. Mais tous les gens étaient tellement bourrés qu'ils se fichaient de finir sous les roues d'un tractopelle, pourvu qu'ils s'amusent.

- Bon, Harry, demanda Pétunia, est-ce que tu as trouvé la personne qui t'aime le plus au monde ?

- Non, répondit Harry qui semblait s'être calmé.

- Eh bien il va falloir trouver un moyen Harry, s'écria Sirius avec impatience.

- Je crois que j'ai la solution... dit Pétunia. Tous les garçons présents vont se déshabiller. Harry leur fera des papouilles et celui qui bandera le plus violemment sera celui qui devra tuer Harry.

- Mais c'est complètement débile, s'écria Harry. Et si celui qui doit me tuer était une fille ?

- Ne sois pas stupide, mon Harrychou, répliqua sa tante. Aucune fille normalement constituée ne peut t'aimer, tu es trop invivable pour cela. L'amour doit être uniquement charnel pour que ça marche avec toi. Et il est bien connu que seuls les hommes sont capables d'aimer d'un amour uniquement charnel. Allez, tous à poil !

- Bien maître ! répondirent aussitôt Flitwick et Draco.

- Mais Sirius n'est pas là, protesta Ron...

- Il est aux toilettes, répliqua Pétunia. De toute façon, ce serait vraiment un gros dégueulasse si c'était lui qu'on cherchait. Harry est quand même son filleul.

Ron, Vernon et Dudley finirent aussi par s'exécuter, malgré leur réticence.

Ron avait déjà une érection au moment d'ôter son caleçon mais Harry l'exclut d'office car il savait très bien que la souffrance excitait Ron au plus haut point et que justement, Ron souffrait de la honte qu'il avait d'être ainsi vu nu par tous ces gens. Draco fut exclu aussi parce qu'aussitôt qu'il vit l'érection de Ron, il en eut une aussi. Harry mit également le petit Flitwick hors jeu car il ne lui pardonnait pas de lui avoir menti pour pouvoir coucher avec lui. Restaient Rogue et les Dursley, ainsi que deux inconnus complètement pétés, deux gros beaufs qui avaient fait semblant d'obéir à Pétunia pour pouvoir exhiber leur piercing au bout du gland. Harry les ignora et se tourna vers son oncle Vernon. Il commença par lui caresser son dos tout gras, puis son double menton. Il le lécha délicatement sous les bras et entre les fesses (il put alors remarquer que son oncle ne se lavait pas aussi souvent qu'il le prétendait). Mais rien à faire, son oncle restait désespérément mou. Evidemment il l'avait toujours détesté. Dudley, en revanche, ne resta pas du tout insensible aux caresses de Harry. A peine Harry l'avait-il touché qu'il éjacula violemment. Difficile de juger ! Harry se tourna vers Rogue qui arborait déjà une puissante érection. Harry, en voyant son professeur de potions dans cet état commença lui même à durcir. Et si c'était lui ? Il le prit par la main et l'entraîna dans la fosse. Il voulait être sûr ! Il se fichait pas mal du sort de la planète mais il ne voulait pas mourir pour rien, tout de même. Il se plaça suffisamment loin du tracteur de Dumbledore, ainsi que d'Umbridge et de Macgonagall, qui gueulaient comme des dératés en se masturbant à tour de rôle avec des godes électriques.

Harry enserra Rogue de ses bras et tout deux entamèrent un slow surréaliste au milieu d'une bande d'excités qui se frappaient sur la gueule et sur une musique qui se prêtait davantage à la haine qu'à l'amour. Mais Harry se sentait formidablement bien.

- Professeur, chuchota Harry, je crois que je vous aime.

Mais Rogue n'avait rien entendu. Harry se rendit compte qu'il était vraiment très con de chuchoter dans un endroit aussi bruyant.

- PROFESSEUR , JE VOUS AIME ! gueula Harry aussi fort qu'il put.

Rogue, qui était toujours à poil mais qui n'attirait l'attention de personne, si ce n'est celle de Harry, regarda son élève droit dans les yeux et cria,

- Moi aussi, je vous aime Potter, je vous ai toujours aimé, je vous aime en ce moment plus que jamais.

Harry en était certain désormais. Il avait trouvé la bonne personne, la personne qui allait le tuer. Mais Rogue, loin de lui faire du mal, commençait à le déshabiller, comme ça, dans la fosse. Lorsqu'ils furent tout les deux nus, Rogue retourna Harry et le sodomisa. Harry hurlait sa jouissance tandis que Rogue éjaculait dans ses intestins. Les gars qui étaient à coté d'eux semblaient s'en foutre complètement. Harry haletait. Il n'avait jamais ressenti un tel plaisir.

- Maintenant que j'ai vécu ça professeur, dit-il, je peux mourir en paix, tuez-moi, que tout cela finisse.

Rogue, qui avait obtenu ce qu'il voulait, n'hésita même pas. Il balança un gros coup de poing dans la tête de Harry, qui tomba à terre. Puis il arracha une trique des mains d'un type qui s'excitait à côté de lui et commença à frapper Harry dans les côtes. Le pauvre garçon hurlait tout ce qu'il pouvait et commençait à cracher du sang mais Rogue s'en foutait. Après avoir chopé un poing américain, il matraqua sauvagement la sale gueule de Harry. Au moment où il allait lui porter le coup de grâce, quelqu'un le retint. C'était Sirius.

- Non, Severus, hurla-t-il. Arrête, ce n'est pas à toi de faire ça.

Severus, l'air déçu s'éloigna sans dire un mot comme s'il se doutait qu'il n'était pas la bonne personne mais qu'il rêvait de faire ça depuis toujours.

- Lève-toi Harry, tu as du pain sur la planche, dit Sirius sans l'aider à se remettre sur ses jambes.

Harry était nu, couvert de sang. Du sperme coulait le long de ses cuisses.

- Comment ça j'ai du pain sur la planche ? demanda-t-il faiblement.

- Eh bien ça me paraît évident, répondit Sirius. Tu dois te tuer...

Harry le regarda d'un air perplexe.

- Mais non ! C'est la personne qui m'aime le plus au monde qui doit me tuer.

- Mais justement Harry ! cria Sirius avec un sourire satisfait. Je n'ai jamais vu quelqu'un de plus égoïste et de plus narcissique que toi. Tu es un vrai déchet. Personne ne te supporte. Il est temps que tu paies de ta personne.

Harry avait compris. Il se mit à pleurer lamentablement. Ainsi il avait toujours été seul, tout le monde l'avait toujours détesté. Il regagna en pleurnichant l'endroit ou se trouvaient les autres sorciers.

- Tu as entendu Harry, demanda gaiement Pétunia, je crois que Sirius a trouvé la bonne solution.

Harry, désespéré se tourna vers Ron et Draco.

- On te regrettera pas, espèce d'enculé, dit Ron avec un sourire. Une enflure comme toi, on n'en croise pas tous les jours. Dépêche-toi de te buter qu'on puisse un peu profiter de notre liberté (et ce-disant, il embrassa Draco).

Alors Harry regarda Flitwick avec des yeux de chien battu.

- Non, Harry, dit Flitwick. Je regrette mais tu m'as toujours laissé complètement indifférent. C'était que pour le cul, tu comprends. En fait je suis plutôt content que tu meures, au moins, je pourrai baiser à volonté avec Sirius.

C'était impossible. Est-ce que personne ne le regretterait ? Oui finalement, peut être était-il préférable de mourir. Lentement, il prit sa baguette, la tourna vers son sexe, source de tous ses malheurs et prononça la formule de mort.

FIN ... ?

peut-être pas. lol

Voilà Pour l'instant, je m'arrête pour passer à autre chose mais peut-être que si j'ai suffisamment de reviews et si elles sont suffisamment persuasives, j'envisagerai une suite... (une seconde partie)

Elava: Merci pour ton review. Pour Lucius, je veux bien mais ce sera dans la seconde partie si les lecteurs veulent une suite...

Ikuko voilà le dernier chapitre, j'espère que ça t'a plu!

Lilou Hermione...? lol, c'est vrai la pauvre! Elle souffre beaucoup avec moi! J'espère que ce chapitre t'a plut.

Gaeriel-Jedusor Mais non, je ne suis pas un sataniste! Et malheureusement, Harry est détesté de tout le monde comme tu as pu le constater... lol. Une suite? ;-)

Bon, eh bien+

Snivellus