Voilà une petite fic en * compte sur ses doigts* 7 ou 8 chapitres. Ca m'est
venue comme ca. Alors elle est un peu autobiographique surtout la 1ère.
Dislaimer : les persos de GW ne sont pas à moi mais à Bandai, Sunrise
etc....
La rue
Je me suis retrouvé livré à moi-même dans la rue à l'age de.... je ne me
souviens plus, j'ai toujours été seul, sauf pendant la période où j'étais à
l'Eglise Maxwell, là j'étais heureux, entouré d'amour et de chaleur. Pas
que je ne le sois pas, heureux je veux dire, au contrire ce genre de vie
nous apprend à goûter au bonheur de chaques instants, à profiter de chaque
occasion qui vous est offerte. On apprend à profiter de chaques jours en se
disant que c'est peut-être le dernier.
Je garde une petite dose de confiance en l'être humain, même si elle est
minime, l'homme est tellement décevant, il ne sait donner que pour recevoir
en retour, les gens qui ne le font pas doivent se compter sur les deux
mains.
Mais être dans la rue, m'a également appris à être plus fort et à savoir ce
que je suis, même si parfois je me perds au beau milieu de la vie, en me
disant que j'emprunte une voie sans issue et que personne ne saura m'en
détournée.
Dormir dehors par tout les temps, renforce le corps, et ne pas manger à sa
faim renforce.... l'estomac.
Des fois je me dis que mourir, serait la seule sortie de cette voie sans
issue, mais je n'en ai aps le courage, parce qu'il en faut pour cesser de
respirer mais il en faut bien plus encore pour continuer.
Je me demande si un jour, j'arriverai à me sortir de cette ornière.
On dit qu'on a tous sa moitié d'orange, bon peut-être que la mienne me
redonnera confiance dans la vie et dans l'être humain.
OWARI
Bon ce texte est sombre, mais beaucoup moins que je ne l'appréhendais.
venue comme ca. Alors elle est un peu autobiographique surtout la 1ère.
Dislaimer : les persos de GW ne sont pas à moi mais à Bandai, Sunrise
etc....
La rue
Je me suis retrouvé livré à moi-même dans la rue à l'age de.... je ne me
souviens plus, j'ai toujours été seul, sauf pendant la période où j'étais à
l'Eglise Maxwell, là j'étais heureux, entouré d'amour et de chaleur. Pas
que je ne le sois pas, heureux je veux dire, au contrire ce genre de vie
nous apprend à goûter au bonheur de chaques instants, à profiter de chaque
occasion qui vous est offerte. On apprend à profiter de chaques jours en se
disant que c'est peut-être le dernier.
Je garde une petite dose de confiance en l'être humain, même si elle est
minime, l'homme est tellement décevant, il ne sait donner que pour recevoir
en retour, les gens qui ne le font pas doivent se compter sur les deux
mains.
Mais être dans la rue, m'a également appris à être plus fort et à savoir ce
que je suis, même si parfois je me perds au beau milieu de la vie, en me
disant que j'emprunte une voie sans issue et que personne ne saura m'en
détournée.
Dormir dehors par tout les temps, renforce le corps, et ne pas manger à sa
faim renforce.... l'estomac.
Des fois je me dis que mourir, serait la seule sortie de cette voie sans
issue, mais je n'en ai aps le courage, parce qu'il en faut pour cesser de
respirer mais il en faut bien plus encore pour continuer.
Je me demande si un jour, j'arriverai à me sortir de cette ornière.
On dit qu'on a tous sa moitié d'orange, bon peut-être que la mienne me
redonnera confiance dans la vie et dans l'être humain.
OWARI
Bon ce texte est sombre, mais beaucoup moins que je ne l'appréhendais.
