Hello ! Et bien, et bien, je me demande vraiment si ma fic plait encore !
J'ai presque plu de review du côté de GW et plus du tout de celui de HP ! (snif, snif)
M'enfin bon, je suis gentille alors je vous mets le prochain chapitre, mais ça ne m'encourage pas trop à me dépêcher d'écrire la fin, parce qui reste plus beaucoup de chap et en plus, j'suis en manque d'inspi !
Chapitre 17
Cela faisait près d'une heure déjà que Trowa avait été séparé du reste de son groupe et qu'il marchait aux côtés de la jeune fille.
Tous les deux avaient parcouru le reste du château pour avertir les deux autres groupes qu'ils avaient déjà retrouvé Duo et que celui-ci étaient présentement en sécurité.
Lorsqu'ils retrouvèrent le groupe de Harry, ils partirent ensemble à la recherche du dernier groupe, qu'ils retrouvèrent dans la partie du château consacrée anciennement aux domestiques.
- Où sont les autres ? demanda Dumbledore, soucieux.
- Heero à ramené Duo en sécurité, expliqua Hermione. Et le professeur Rogue, Sirius.
- Sirius ?
Dumbledore fronça les sourcils : Sévérus détestait Sirius, alors pourquoi est-ce qu'il avait décidé de le ramener lui-même, il aurait plutôt pensé que Trowa s'en serait chargé, ou peut-être même Hermione, mais peut-être qu'avec cela, il finirait par faire la paix… peut-être.
- Ben, il était blessé, expliqua Hermione, qui avait cru que c'était la raison pour laquelle il avait dû le ramener qui étonnait Dumbledore.
Le directeur hocha la tête, même si ce n'était pas ce qu'il voulait savoir.
- Donc, il nous faut partir maintenant ? demanda le professeur MacGonagall.
Dumbledore s'apprêtait à répondre par l'affirmative lorsque a jeune élève prit les devants, répondant exactement l'inverse de ce à quoi il s'attendait.
- Non…
- Quoi ? s'exclamèrent les trois sorciers.
Quatre fronça les sourcils, se demandant pour quelle raison la jeune combattante voulait rester encore, mais la réponse lui vint tout naturellement quand au deux autres, ils avaient tous compris.
- Hermione a raison, déclara Wufei. On aura jamais de meilleure occasion.
- Je ne comprend pas… avoua Dumbledore.
- C'est simple. Ce palais contient chambre à coucher, salon, salle avec trône, chambre pour les invités assez grande pour être transformée en dortoir, ainsi que des prisons, énuméra Hermione. C'est l'endroit idéal pour un QG.
- Ce qui veut dire, continua Quatre pour terminer le raisonnement. Que Treize Kushrénada doit résider ici. Ainsi que Voldemort, je pense.
- Et Zechs… ajouta Trowa.
- Si on les élimine tout les trois, ce sera la fin de la guerre, déclara Wufei. Sans ses deux membres dirigeant, l'organisation de Oz va tomber. Et les mangemorts n'auront plus de maître.
- Mais il y aura beaucoup trop d'adversaire pour que l'on puisse les affronter, argumenta Dumbledore.
Il aurait beaucoup aimé pouvoir se débarrasser des trois hommes sur le champs, mais le plan de ses jeunes amis ne tenait pas la route. Il y avait aussi plusieurs Ozzies, bien que bon nombre d'entre eux aient déjà été tué et il y avait aussi beaucoup de mangemorts comment est-ce qu'ils comptaient abattre leurs dirigeant alors qu'ils étaient autour ?
- Je sais que normalement, c'est Heero qui organise les plans, mais j'ai peut-être une idée, tenta Quatre.
- Vas-y, Quat-Chan… l'encouragea Hermione.
Quatre commença alors à expliquer en détail son plan aux autres, qui de temps en temps aidaient pour certaines phases il était assez simple à réaliser et assez astucieux pour fonctionner : il ne restait plus qu'à espérer que tout se passe comme prévu et l'affaire était dans le sac.
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Une vingtaine de minutes plus tard, Quatre et Trowa se trouvaient juste devant la porte qui menait au couloir des cellules de prison, attendant le signal que les autres devraient leur envoyer d'ici peu, pour qu'ils puissent mettre en place la deuxième partie du plan les sorciers se chargeant de la première.
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Hermione avait conduit Wufei, Harry et ses deux professeurs dans une salle réservée aux combats et dans laquelle traînait encore quelques-unes des affaires de son père.
Le père de « Aurore » était, en plus d'être un roi formidable, ce que l'on pouvait appeler un athlète.
Non seulement, il pratiquait la lutte en corps à corps, de ce fait Hermione avait pu apprendre les bribes élémentaires des sports de combat dès son plus jeune âge, mais en plus, il pratiquait aussi d'autre sport et la salle était remplies d'objets en tout genre qui faciliterait bien le combat entre les « gentils » et les « méchants ».
- Tu es sûre que c'est le meilleur endroit, Hermione ? demanda Harry en observant les obstacles tout autour d'eux.
- Oh oui ! En plus, ce sera quand même un avantage d'avoir tout ce bordel autour de nous. Ça peut nous aider à éviter les attaques.
Harry hocha la tête, réfléchissant aux paroles de son amie Wufei s'était éloigné un peu des autres et aiguisait son sabre, espérant ne pas avoir à se servir du revolver qu'il avait à sa ceinture : il avait une revanche à prendre et comptait bien gagner en tout honneur.
Dumbledore et MacGonagall restait, eux à proximité des enfants, attendant les instructions de Hermione qui, sur ce coup-là, était devenue la meneuse du groupe.
- Vous pouvez jeter le sortilège de mobilisation sur Treize, Zechs et Voldemort maintenant qu'on est sûrs qu'ils sont là ?
- Bien sûr, mais vous devrez faire vite. Au mieux, le sortilège agira quinze minutes, au pire huit.
- C'est amplement suffisant…. Il faudra juste que Trowa et Quatre aient eu le temps d'installer le matériel, mais je pense pas qu'ils aient besoin de plus de temps. On agit toujours rapidement lorsque l'on est en mission.
- Alors, c'est bon. Minerva, vous vous joignez à moi pour lancer le sort ?
- Bien sûr, Albus.
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Quatre et Trowa étaient entrés dans les donjons aussi silencieusement qu'un jaguar approchant de sa proie et avaient posés dans tous les recoins du couloir des petits bâtonnets d' « explosifs » et avaient condamnés l'accès à toutes les cellules.
Les bâtonnets d'explosifs n'étaient justement pas, à proprement dit, des explosifs, mais plutôt des « boîtes » creuses, reliées par piles à un systèmes de déclenchement que les deux soldats pourraient actionner lorsque le moment serait venu depuis l'extérieur du « couloir de la souffrance » comme l'avait appelé Hermione et générer ainsi la propagation d'un gaz toxique qui anéantirait sur le champs toutes les personnes qui se trouveraient là-bas et qui, sûrement, se répandrait ensuite dans le reste du château.
Ils étaient ensuite ressortit et s'étaient cachés derrière la lourde pote qu'ils devaient refermer une fois tout le monde entré et, en ce moment, ils attendaient le signal que devait leur envoyer les autres pour qu'ils déclenchent l'alarme des cachots.
- Tu crois que cela va marcher, Trowa ? demanda Quatre.
Le français se retourna pour observer le visage de son ami il était tout aussi soucieux que lui avait indiqué le son de sa voix et il le comprenait : c'était son plan et ils n'avaient pas eu le temps de réfléchir à tout les scénario possible alors, si quelques chose tournait mal, il se sentirait coupable, encore plus que les autres.
- J'en suis sûr… affirma Trowa qui, en présence du petit arabe, arrivait à aligner plus de trois mots à la suite.
- Mais j'ai tellement peur…. Et si quelque chose ne marche pas ? Et si certain des soldats avaient pour ordre de ne pas quitter leur emplacement même en cas d'alerte. Et si le gaz se répand trop vite dans le château et qu'ils n'ont pas le temps de sortir ? Ce sera ma faute, Trowa, ma faute…
Le flot de parole de Quatre cessa brusquement et il dirigea son regard vers le sol pour ne pas que Trowa voit les larmes perler dans ses yeux.
Trowa releva lentement le visage de son ami et remarqua la brillance inhabituelle des deux pierres azur lentement, il approcha son visage du sien et posa ses lèvres sur les siennes le baiser fut doux et chaste alors que Quatre se remettait petit à petit de sa surprise et y répondait.
Tous deux se perdirent dans les sensations qui les traversaient, oubliant totalement l'endroit où ils se trouvaient et la raison pour laquelle ils y étaient, ne revenant à la réalité que lorsque le grésillement du talkie-walkie se mit à résonner à leurs oreilles.
Aussitôt, les deux garçons se séparèrent et continuèrent à se regarder jusqu'à ce que, finalement, Trowa prenne conscience qu'il fallait répondre à l'appel.
- Oui ?
- Trowa, c'est Hermione. Ici, on est prêt… vous l'êtes aussi ?
- Affirmatif.
- Alors, déclenchez l'alarme.
- Bien reçu.
Les deux adolescents coupèrent là leur communication et Trowa fit signe à Quatre qu'il fallait mettre en marche la sirène, reprenant tout son professionnalisme, de même que Quatre qui jeta une lourde pierre trouvée sur le sol contre une des serrures.
La pièce se mit alors à résonner sous le tumulte créé par l'alarme dont chacune des cellules étaient équipées si la serrure s'ouvrait sans être forcée, il ne se passait rien mais lorsqu'elle l'était, il était impossible d'éteindre le gyrophare, à part lorsque quelqu'un de la sécurité le ferait et il était plus que sûre que les Ozzies le ferait, ça faisait vraiment un boucan de tout les diable !
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Dans la salle du trône, Treize Kushrénada et Voldemort étaient installés confortablement dans les deux fauteuils royaux, écoutant plus ou moins Zechs Merquise, le bras droit de Treize, faire un exposer sur la façon dont ils devraient agir lorsque leurs ennemis pénétreraient à l'intérieur du château, ne sachant pas qu'ils y étaient déjà : Comment pouvaient-ils savoir que parmi eux se trouvait la princesse Aurore, seule personne encore en vie à connaître tout les secrets du château… après tout, elle était censée être morte.
Tout à coup, tous leur geste se firent au ralentit, sans même qu'ils le remarquent, ralentissant de plus en plus, jusqu'à ce que tout finisse par s'immobiliser entièrement.
Dans l'immense pièce, le temps s'était figé alors que partout ailleurs, l'animation continuait.
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Dans la salle où se déroulerait bientôt le combat qui déterminerait le sort de la planète, la résistance entendit l'alarme se déclencher et il ne faisait aucun doute que, bientôt, tout les soldats auraient rappliqué de l'autre côté, leur laissant ainsi la possibilité de s'occuper des trois principaux ennemi. Après une dizaine de minutes, la sonnerie mourut enfin et Hermione vérifia auprès de Trowa et Quatre que tout avait bien fonctionné. Les soldats et les mangemorts s'étaient précipité à la poursuite d'un ennemi invisible et ils avaient été enfermé dans les cachots. Avant même qu'ils ne réalisent ce qu'il se passait, ils avaient été aspergés par le gaz mortel.
Trowa et Quatre étaient entrain de regagner la sortie du château et devaient, normalement, se rendre directement au refuge des enfants des rues.
- Bon, déclara Hermione, il ne nous reste plus qu'à attirer les trois derniers vers nous.
- Il faut d'abord que je lance un sortilège sur nous…. Il ne faut pas qu'ils puissent tous nous voir, leur dit Dumbledore.
- Comment ça ? demanda Wufei.
- Ce sera plus simple si chacun de nous peut être invisible aux yeux de certain d'entre eux. Cela nous permettra d'aider les autres s'ils sont en difficulté sans risquer de se faire tuer par leur adversaire. Voldemort ne verra que Harry, Minerva et moi, puisque nous sommes les plus à même de le battre. Zechs Merquise et Treize Kushrénada verront chacun un de vous. Qui voulez-vous que ce soit ?
- Treize !
- Zechs !
Les réponses de Wufei et de Hermione virent simultanément en effet, chacun d'entre eux avait un compte à régler avec les Ozzies et un en particulier : Pour Wufei, il s'agissait du tout premier combat qu'il avait perdu contre Treize et pour Hermione, c'était le combat qu'elle avait commencé un jour avec Zechs et qu'elle n'avait pas pu finir à cause d'une explosion.
- Mais est-ce qu'on verra tout les autres, de notre côté ? demanda Hermione.
- Bien sûr, ce serait trop dangereux si ce n'était pas le cas.
Les enfants hochèrent la tête et Hermione reprit la parole.
- Il faut déclencher l'alarme à présent. Quand ils verront que les autres ne viennent pas, ils viendront eux-même. Encore heureux que l'on puisse transplaner que sur terre…
Puis, joignant le geste à la parole, elle s'empara d'un couteau qu'elle lança en direction du déclencheur d'alarme grâce à son habileté, elle atteignit la cible du premier coup.
Il ne restait maintenant plus qu'à attendre les trois adversaires.
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Dans la salle du trône, le temps reprenait son cours normal et Zechs continuait son exposé lorsque l'alarme se mit à résonner les trois regardèrent alors la caméra qu'ils y avaient reliée (ou plutôt que Zechs avaient reliée) : c'était leurs ennemis.
Sans un mot, les trois sortirent, toute arme dehors et se dirigèrent vers la salle d'où venait le signalement et la bataille put enfin commencer.
Elle fut sans merci, mais il n'y eut que des morts et pas de blesser, le temps n'était pas à la pitié, même pour les « gentils ».
Les forces alliées de Harry, Albus et Minerva eurent raison de Voldemort.
Celui-ci se défendit à vous d'endoloris et d'Avada Kedavra mais jamais les sortilèges n'atteignaient leurs cibles, car ils pouvaient se cacher derrière les obstacles les trois magiciens de Poudlard unirent leur magie pour un dernier sortilège, un ultime sortilège, qui atteignit Voldemort de plein fouet et qui réduisit tout son corps en cendre.
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Treize et Wufei s'engagèrent, eux, dans un combat d'épée, d'une habileté et d'une force sans pareilles.
Tous les deux étaient très doué, on ne pouvait le nier, et il s'avéra que les forces étaient très équitable mais, le jeune combattant chinois, dont la souplesse était plus développée que celle de Treize, fini par avoir le dessus.
Alors que Treize se retrouvait immobilisé à terre, Wufei fit glisser la lame de son arme sur sa gorge, avant de dire quelques mot…
- Ce fut un honneur pour moi de vous avoir comme adversaire, Treize Kushrénada.
… et de lui trancher la gorge d'un coup sec.
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Hermione et Zechs choisirent le corps à corps, eux qui depuis leur plus tendre jeunesse avaient été initiés à cette forme d'art.
Laisser leur corps se mouvoir en revenait presque à accomplir une danse, une danse mortelle et ils se frappaient tous les deux avec une telle violence que les échos résonnait dans toute la salle.
Hermione arrivait à parer presque tout les coups de son adversaire, alors que lui les encaissait tant bien que mal et, bientôt, la violence d'un des coups de la jeune fille envoya Zechs au sol.
Il se cogna la tête contre le pied d'un cheval d'assaut, ce qui lui fit perdre conscience et Hermione se dirigea vers lui puis, sans éprouver aucune pitié pour l'homme sans défense, elle prit sa tête dans ses bras et, d'un coups sec, lui brisa la colonne vertébrale.
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Le combat prit fin et les cinq combattant purent admirer leur œuvre.
Les deux corps sans vie des dirigeant de Oz ainsi que le tas de cendre qui avait autrefois été l'enveloppe charnelle de Lord Voldemort, gisaient sur le sol.
Dumbledore aurait préférer une fin moins tragique mais, malheureusement, il n'avait pas eu le choix et c'était tuer ou être tué, la devise des guerriers.
- Il faut rejoindre les autres à présent, déclara Dumbledore.
- Allez-y, je vous rejoint bientôt, leur dit Hermione.
Les autres la regardèrent bizarrement, mais ne lui demandèrent rien, sachant qu'il devait y avoir pas mal de souvenir pour elle dans le château.
Ils ne voulaient pas l'embêter mais ils n'avaient tout de même pas envie de la laisser seule alors Wufei se désigna d'office pour rester avec sa petite amie.
- Je reste aussi.
Hermione voulut dire quelque chose : qu'il n'avait pas besoin de rester avec elle, mais elle connaissait bien son petit ami et savait qu'il était têtu et que lorsqu'il avait quelque chose dans la tête, il n'en démordait pas alors elle le laissa rester.
Lorsque les trois sorciers eurent quitté la pièce, le jeune chinois se retourna vers son amie.
- Pourquoi est-ce que tu voulais rester ?
- J'ai quelque chose à aller chercher. Quelque chose qui doit être rester là depuis que j'ai quitter le château.
- Où ?
- Dans mon ancienne chambre. Une cachette secrète, viens !
La jeune fille l'entraîna par la main, en courant, dans les couloirs du château jusqu'à ce qu'ils arrivent devant ce qui avait été sa chambre.
Quand ils y pénétrèrent, Hermione put constater que rien avait changer. À part qu'une bonne couche de poussière recouvrait tout.
Hermione se dirigea devant une petite maison de poupée qu'elle enleva, laissant voir un trou béant, dans lequel il devait y avoir quelques objets.
Elle plongea sa main à l'intérieur et en ressortit deux objets : un vieux livre, qui devait être un album photo et dans lequel il y avait plein de souvenir de ses parents et de Duo quand ils étaient petits ainsi qu'un autre objet entouré de tissus qu'elle déballa lentement, révélant une couronne argentée, ornée de jade et de turquoise : la couronne que se devait de porter la princesse de L2.
- Tu reprends la couronne ? demanda Wufei.
- Oui, peut-être qu'un jour prochain, je reprendrais ma place, mais je ne sais pas encore…. C'est compliqué.
- Quoi que tu choisisses, je te jure que je te suivrais…
- Merci Wufei, ça me touche vraiment beaucoup…. Déclara la jeune fille en déposant ses lèvres sur celle du jeune chinois. Je t'aime Wufei…
- Moi aussi, je t'aime, répondit-il en lui rendant son baiser.
Au bout de quelques minutes, ils se séparèrent, à contrecœur, mais ils ne pouvaient tout de même pas rester là éternellement.
- On devrait rentrer, les autres vont finir par s'inquiéter…
- Oui, allons-y…
