« Je crois que je t'aime. « Je crois que je t'aime. C'était ce qu'elle
avait dit. Non. Elle avait juste dit « Je crois que je... .
'Pourquoi suis-je parti ?' songea Neville
Il jeta un coup d'?il a l'horloge du dortoir. Quarte heures cinquante deux. Cela faisait environ trois heures qu'il essayait de dormir. Au début, il avait cru que c'était les cris de Fleur Delacour qui l'avait empêchés de dormir, mais maintenant qu'elle s'était arrêtée depuis plus d'une heure, il savait que cette nuit il ne dormirait pas.
'Comme tant d'autres' murmura sa tête.
'Mais cette fois c'est différent' lui souffla son c?ur.
Non. Non, ce n'était pas différent. Cela ne pouvait pas être différent. Cela ne devait pas être différent...
Et pourtant. Et pourtant.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
« Monsieur Longdubat ! »
« ? »
« Il me semble que votre potion est un peu foncée non ? Elle devait être saumon et non fushia ! »
« Mais... »
« Pas de 'mais' c'est moi le professeur ; c'est moi qui décide : goûtez votre potion Longdubat... »
Neville pris la cuiller que lui tendait le professeur Rogue. Sévérus Rogue. Il le détestait. Il aurait donné n'importe quoi ou presque pour, un jour, avoir le courage de lui répondre autre chose que 'mais je'. Mais neville n'était pas assez courageux, ou trop conscient du danger, il ne savait pas vraiment. Et de toute façon il n'avait pas envie de se torturer l'esprit avec ça parce que de toutes façons ça revenait au même dans ce cas précis. Et puis, il avait une grosse cuiller de potion à avaler. Elle n'était d'ailleurs pas si foncée que ça.
'La potion de rire quelle idée de nous apprendre à faire ça... Comme si ça pouvait nous servir dans la vie !'
Seul dans les couloirs, et mort de rire, Neville allait à l'infirmerie. Sa potion avait marché. Un peu trop bien même. Alors qu'au bout de trente cinq secondes tous les effets devaient être dissipés, ils étaient toujours là après dix minutes. Ce qui avait été une raison suffisante à Rogue pour enlever quinze points à Gryffondor. Au moins, le lot de consolation, il avait été renvoyé du cours pour aller à l'infirmerie.
Neville allait à l'infirmerie. Neville devait aller à l'infirmerie. Neville aurait dû aller à l'infirmerie. Mais ses pieds ne semblaient pas d'accord et l'emmmenaient où bon leur semblait, en loccurence, dans le couloir du troisième étage. Celui où il avait rencontré Gabrielle quelques jours auparavant...
Son rire cessa brusquement. Gabrielle... Il sentit de l'eau sur sa joue. De l'eau salée.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
« Gaby ? Mais tu mécoute ou quoi ? »
« Oui, oui, biensûr que oui. Tu en était à... euh... Ah oui ! Ron la promenade dans le parc cette nuit et tout ce qui en découle. »
Fleur reprit son air satisfait et continua.
« Oui, donc comme je te le disais il y a à peine deux minutes, Ron m'a emmenée faire une promenade dans le parc hier soir. C'était FA-BU-LEUX ! »
Et blablabla et blablabla, Fleur ne cessait ses âneries sur Ron et tout le bazard...
« Oh Gaby si tu savait comme on s'entend bien et gnagnagni et gnagnagna... »
Oui. Fleur s'entendait toujours bien avec tout le monde. Tout le monde aimait bien Fleur. Mais elle, elle se sentait invisible...
Elle avait tout d'abors été contente que son cours de défenses contre les forces du mal saute, mais ensuite, il lui était parvenut clairement qu'elle allait devoir passer son temps libre avec Fleur ou toute seule dans les couloirs. Elle préférait quand même être avec Fleur. Elle n'aimait pas être dans les couloirs. Et surtout, elle n'aimait pas être seule. Être lui rappelait se qu'elle ressentait ; la peur de revoir Dubois, et la tristesse devant ce qui c'était passé avec Neville.
Elle était contente d'être avec Fleur. Même si, à cet instant précis, elle se sentait encore plus seule que si elle avait été dans les couloirs. Elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Ne pas pleurer. Ne pas pleurer devant Fleur.
« Je... Je dois... Y aller ! »
« Quoi ? Hein ? Mais Gaby ! Attends ! Où tu vas ? »
Mais oui personne n'est parfait,
On se cache, pour pleurer,
Ne pas se montrer à genoux ; essouflé,
Mais oui, personne n'est parfait
Axel Bauer. Elle n'aimait pas ce chanteur. Et pourtant cette chanson lui correspondait tellement.
Elle aimait la musique. Moldue et sorcière. Elle ne pouvait pas s'en passer. Elle ne pouvait pas vivre sans. Tout comme Neville. Elle ne pouvait vivre sans lui dire. Lui dire qu'elle l'aimait. De tout son c?ur. De toute son âme. Il fallait qu'elle le voit.
Les larmes coulaient de ses yeux sans plus s'arrêter. Elle espérait que Fleur ne l'avait pas suivit. Elle espérait que personne ne la verrait ainsi. Elle voulait être seule.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
* * * * * * * * * * * * * * *
Neville essuya ses larmes. Si jamais Malfoy ou un de ses idiots de chiens de gardes le voyait, il devrait supporter leurs railleries durant des semaines...
Mais il ne voulait pas penser à malfoy. Il ne voulait SURTOUT pas penser a Malfoy. Il voulait juste penser à Gabrielle. Il voulait juste se rappeller comme il avait été bête de l'abandonner ce soir là. Juste s'inventer un monde où il saurait conquérir son c?ur...
Neville n'entendit pas les pas préssés qui s'avançaient vers lui. Il était trop triste. Beaucoup trop triste.
Il ne vit pas non plus la jeune fille s'approcher de lui. Il était trop triste.
Par contre, il sentit les lèvres de son aimée se poser sur ses lèvres en un chaste baiser.
Mais il n'eu pas le temps de l'en remercier, elle partit en courant. Il l'aimait trop pour la rattrapper.
Il porta la main à son visage et essuya une larme de sa joue. Il n'était plus triste. Il ne serait plus jamais triste.
Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii illlllssssssssssss s'aimeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !! ( nan ? sans blague ?)
Alors ca vous a plus ??????????
Une tite rewiew ? allez. juste une toute 'tite toute toue toue toute toue 'tite. siouplé
Mmmmmmmmiiiiiiiiiiiccccccccccciiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!
ZoR
'Pourquoi suis-je parti ?' songea Neville
Il jeta un coup d'?il a l'horloge du dortoir. Quarte heures cinquante deux. Cela faisait environ trois heures qu'il essayait de dormir. Au début, il avait cru que c'était les cris de Fleur Delacour qui l'avait empêchés de dormir, mais maintenant qu'elle s'était arrêtée depuis plus d'une heure, il savait que cette nuit il ne dormirait pas.
'Comme tant d'autres' murmura sa tête.
'Mais cette fois c'est différent' lui souffla son c?ur.
Non. Non, ce n'était pas différent. Cela ne pouvait pas être différent. Cela ne devait pas être différent...
Et pourtant. Et pourtant.
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« Monsieur Longdubat ! »
« ? »
« Il me semble que votre potion est un peu foncée non ? Elle devait être saumon et non fushia ! »
« Mais... »
« Pas de 'mais' c'est moi le professeur ; c'est moi qui décide : goûtez votre potion Longdubat... »
Neville pris la cuiller que lui tendait le professeur Rogue. Sévérus Rogue. Il le détestait. Il aurait donné n'importe quoi ou presque pour, un jour, avoir le courage de lui répondre autre chose que 'mais je'. Mais neville n'était pas assez courageux, ou trop conscient du danger, il ne savait pas vraiment. Et de toute façon il n'avait pas envie de se torturer l'esprit avec ça parce que de toutes façons ça revenait au même dans ce cas précis. Et puis, il avait une grosse cuiller de potion à avaler. Elle n'était d'ailleurs pas si foncée que ça.
'La potion de rire quelle idée de nous apprendre à faire ça... Comme si ça pouvait nous servir dans la vie !'
Seul dans les couloirs, et mort de rire, Neville allait à l'infirmerie. Sa potion avait marché. Un peu trop bien même. Alors qu'au bout de trente cinq secondes tous les effets devaient être dissipés, ils étaient toujours là après dix minutes. Ce qui avait été une raison suffisante à Rogue pour enlever quinze points à Gryffondor. Au moins, le lot de consolation, il avait été renvoyé du cours pour aller à l'infirmerie.
Neville allait à l'infirmerie. Neville devait aller à l'infirmerie. Neville aurait dû aller à l'infirmerie. Mais ses pieds ne semblaient pas d'accord et l'emmmenaient où bon leur semblait, en loccurence, dans le couloir du troisième étage. Celui où il avait rencontré Gabrielle quelques jours auparavant...
Son rire cessa brusquement. Gabrielle... Il sentit de l'eau sur sa joue. De l'eau salée.
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« Gaby ? Mais tu mécoute ou quoi ? »
« Oui, oui, biensûr que oui. Tu en était à... euh... Ah oui ! Ron la promenade dans le parc cette nuit et tout ce qui en découle. »
Fleur reprit son air satisfait et continua.
« Oui, donc comme je te le disais il y a à peine deux minutes, Ron m'a emmenée faire une promenade dans le parc hier soir. C'était FA-BU-LEUX ! »
Et blablabla et blablabla, Fleur ne cessait ses âneries sur Ron et tout le bazard...
« Oh Gaby si tu savait comme on s'entend bien et gnagnagni et gnagnagna... »
Oui. Fleur s'entendait toujours bien avec tout le monde. Tout le monde aimait bien Fleur. Mais elle, elle se sentait invisible...
Elle avait tout d'abors été contente que son cours de défenses contre les forces du mal saute, mais ensuite, il lui était parvenut clairement qu'elle allait devoir passer son temps libre avec Fleur ou toute seule dans les couloirs. Elle préférait quand même être avec Fleur. Elle n'aimait pas être dans les couloirs. Et surtout, elle n'aimait pas être seule. Être lui rappelait se qu'elle ressentait ; la peur de revoir Dubois, et la tristesse devant ce qui c'était passé avec Neville.
Elle était contente d'être avec Fleur. Même si, à cet instant précis, elle se sentait encore plus seule que si elle avait été dans les couloirs. Elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Ne pas pleurer. Ne pas pleurer devant Fleur.
« Je... Je dois... Y aller ! »
« Quoi ? Hein ? Mais Gaby ! Attends ! Où tu vas ? »
Mais oui personne n'est parfait,
On se cache, pour pleurer,
Ne pas se montrer à genoux ; essouflé,
Mais oui, personne n'est parfait
Axel Bauer. Elle n'aimait pas ce chanteur. Et pourtant cette chanson lui correspondait tellement.
Elle aimait la musique. Moldue et sorcière. Elle ne pouvait pas s'en passer. Elle ne pouvait pas vivre sans. Tout comme Neville. Elle ne pouvait vivre sans lui dire. Lui dire qu'elle l'aimait. De tout son c?ur. De toute son âme. Il fallait qu'elle le voit.
Les larmes coulaient de ses yeux sans plus s'arrêter. Elle espérait que Fleur ne l'avait pas suivit. Elle espérait que personne ne la verrait ainsi. Elle voulait être seule.
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Neville essuya ses larmes. Si jamais Malfoy ou un de ses idiots de chiens de gardes le voyait, il devrait supporter leurs railleries durant des semaines...
Mais il ne voulait pas penser à malfoy. Il ne voulait SURTOUT pas penser a Malfoy. Il voulait juste penser à Gabrielle. Il voulait juste se rappeller comme il avait été bête de l'abandonner ce soir là. Juste s'inventer un monde où il saurait conquérir son c?ur...
Neville n'entendit pas les pas préssés qui s'avançaient vers lui. Il était trop triste. Beaucoup trop triste.
Il ne vit pas non plus la jeune fille s'approcher de lui. Il était trop triste.
Par contre, il sentit les lèvres de son aimée se poser sur ses lèvres en un chaste baiser.
Mais il n'eu pas le temps de l'en remercier, elle partit en courant. Il l'aimait trop pour la rattrapper.
Il porta la main à son visage et essuya une larme de sa joue. Il n'était plus triste. Il ne serait plus jamais triste.
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Mmmmmmmmiiiiiiiiiiiccccccccccciiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!
ZoR