Koukou c'est moi !!!! Ca va ? Surment puisque vous etes là ! bref vala le nouveau chapitre ! il en aura mis du temps à venir !!!!

Disclaimer : blablabla à JK Rowlin et pas à moi blablabla...

Remarque : G regardé sur l'ordi d'une cop's et figurez bvous que JE NE SUIS FAVORITE QUE D UNE SEULE PERSONNE !!!! UNE SEULE PERSONNE !!!! ET MOI CROIYAIS QUE VOUS M AIMIEZ !!!!!!

Bref vala c'etait pour le dire que je suis triste à cause de ca !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Place à la lecture

Lundi. Cela faisait trois jours déjà qu'elle n'avait pas revu Neville. Elle se sentait coupable et malheureuse. Heureusement, elle n'avait pas non plus revu Dubois. Heureusement. Peut-être que si elle n'avait pas embrassé Neville tout aurait été différent. Peut-être que si elle n'avait pas naïvement cru que « Amour » rimait avec « Dubois » tout serait différent. Peut-être que si -.

Gabrielle Delacour se posait des questions. Toujours des questions. Trop de questions. Beaucoup trop. Dès qu'elle pouvait, elle s'imaginait la vie avec des « si. Comme si ca pouvait tout changer...

Dela faisait trois jours qu'elle n'avait pas revu Neville. Tanpis ou tant mieu ? A vrai dire, elle ne savait pas. A cette heure ci elle ne savait plus grand chose.

Manifestement, vu ce que disait le professeur Binns à ce moment, elle aurait du tout connaître de la révolte des Trolls qui avait éclatée quelques siècles auparavant, en bref le genre de trucs qui pasionne tout le monde. Mais, ça non plus, elle ne le savait pas. Et puis, honnêtement, ce qu'avaient fait des monstres des années et des années auparavant, tout le monde s'en tapait royalement.

Elle pensait à Neville. Encore et toujours Neville. Cela n'avait pas vraiment quelque chose d'étonnant. Neville était hors du commun. Pas comme Dubois. A cette pensée, ses yeux s'emplirent des larmes du Regret. Il ne fallait pas pleurer. Pas ici. Pas maintenant. Jamais en public. Elle leva une main hésitante.

« Oui, mademoiselle Delacour ? »

« Excusez-moi de déranger votre cours professeur. »

Simple formule de politesse. Il n'y avait rien à déranger, son cours était le modèle même de l'organisation. Le prof parlait. Les élèves dormaient. Et tout allait pour le mieu dans le meilleur des cours.

« Mais j'ai besoin d'aller aux toilettes, je peux ? »

La réponse du prof, d »ordinaire si endormant, fut tranchante et contrdictoire vis à vis de son caractère. D'aileurs, même quelques élèves semblèrent s'éveiller. Mais ce n'était qu'une minorité d'adolescents au sommeil léger.

« Non, ça attendra. »

' « expliquons-à-un-prof-qu-on-a-besoin-de-pleurer-tiut-son-saoul- dansun-petit-coin-tranquil-et-sans-public-merci-en-trois-lecons. »
Cet ouvrage devrait être publié au plus vite, songea Gabrielle. En attendant la parution du oh! Combien précieu volume qui changerai la vie des elèves, la jeune Vélane dit ce qui lui passa par la tête.

« Mais, monsieur, je. j'ai. un petit problème.. euh. féminin. »

Si la jeune sorcière n'avait pas été si triste à force de penser à Neville, elle aurait probablement éclaté de rire devant la tête du prof à cet instant. Il avait l'air tout particulièrement intelligent. Bouche grande ouverte. Air effaré profondement ancré dans le visage, bref, un spectacle unique. Binns était tellement coincé ! Mais, les choses étant ce qu'elles étaient, Gabrielle n'avait pas le c?ur à rire.

« Bon. euh. allez-y Mademoiselle mais vite.. »

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Les larmes qui coulaient des yeux azur de la Vélanes ne semblaient pas vouloir s'arrêter.

Une voix froide et aigre derrière elle la fit sursauter.

« Alors ma fille, on a un gros chagrin ? »

Mimi Geignarde. Elle l'avait complètement oubliée. Pourquoi fallait- il qu'elle apparaisse juste à ce moment là. Le seul où elle se laissait aller.

'Pas le seul, pas le seul'

Lui rappela Petite Voix.

Mimi reprit aussitôt la parole, avant même que Gabrielle n'eut le temps de détester Petite Voix.

« Mais dit moi, je te reconnais, tu es la fille »

« Quelle fille ? »

Le c?ur de la sorcière se mit à battre fort. Trop fort. Non. Impossible. Personne ne savait. Personne ne devait savoir. Personne ne pouvait savoir. Personne ne savait. Pas même les fantômes. C'était impossible, elle n'y survivrait pas.

« La fille dont tout le monde parle. La Vélane. »

Mimi avait dit le dernier mot comme une insulte, et, Gabrielle le savait, cela en était une.

Mais la jeune sorcière ravala ses ressentiments une seconde. Comme pour paraître plus forte. Comme toujours. Elle était néanmoins rassurée. La fille dont tout le monde parlait, c'était Fleur. C'était toujours Fleur. Tout le monde parlait toujours de fleur. Tout le monde pensait toujours à elle Tout le monde vivait pour elle.
Pour la première fois de sa vie Gabrielle fut heureuse d'avoir une grande s?ur plus belle, plus intelligente et tellement plus parfaite.

« Non, non, cette fille c'est ma s?ur, et pas moi. »

« Ah bon ! »

Le visage de Mimi avait pris une forme bizarre, mais il vrai que tout le corps de Mimi avait, de toutes, façons une drôle de forme. Et la jeune Vélane n'y prêta pas la moindre attention.

« Mais alors pourquoi pleures-tu ? »

La jeune sorcière avait éte distraite. Distraite mais pas consolée. Elle aurait bien volontiers raconté ses problèmes à une oreilles attentive, mais Mimi était loin d'être une oreille attentive. Mimi avait, bien au contraire, deux oreilles moqueuses. Alors, Gabrielle ravala ses pleurs commetoujours et mentit, comme toujours.

« Je ne pleure pas, j'ai la conjonctivite »

Et Mimi, vexée, comme d'habitude, s'en alla par la cuvette des toilette.

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Miniut ving-cinq. Il était au lit depuis sept heures et demi. Pretextant un mal de crpâne. Or, ce n'était pas tout à fait faux, puisqu'il avait réellement mal à la tête. Seulement ce n'était pas une migraine comme il en avait lorsqu'il était trop stressé. C'était une migraine que le doliprane ne ferai pas passer. Une migraine que causaient ses trop nombreuses pensées à Gabrielle.

Gabrielle. Comme il aurait aimé la serré dans ses bras. La protéger, rien qu'avec son amour, de toute la haine du monde. Et pouvoir, rien qu'en plongeant ses yeux dans le regard torrent azur de gabrielle, deviner tous ses secrets.

Neville avait quelque chose à faire. Il pris une plume, un parchemin, et alla à la volière.

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Elle attendait devant l'arbre. La Vélane. Elle savait qui avait envoyé la lettre. Neville. Pas Dubois. Bien sûr que non. Dubois n'aurais jamais songer à quelque chose d'aussi romantique. Ou alors ?

Non, elle en était sûre, elle ne se trompait pas, Dubois n'était rien de plus qu'un lâche. Un salaud à l'air inoffensif. Mais un salaud quand même !

Et elle vit arriver une silhouette en cape noire. La démarche maladroite, le doute n'était plus posible, c'était bien Néville.

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« Je t'aime.» Murmura-t-il.
« Moi aussi je t'aime. » Lui répondit-elle.

Il la pris par la main et l'embrassa. Elle était si belle. Si innocente. Si pure. Neville avait envie de lui montrer qu'il l'aimait comme un homme et non comme un enfant. Mais il ne voulais pas la brusquer.

Neville n'avait rien vu. Pourtant, quand elle avait commencé à deboutonner sa chemise, il aurait dû se douter de quelque chose, mais rien. Il n'avait rien vu. Il aurait bien le temps de le regretter, après.

Et vala... c'est fini..... pour aujourd'hui !!!! je suis désolé mais pour ce chap je vais pas repondre aux rewiews personnellement je fais juste un gros gros gros gros merci à tout mes rewiewer !!! Et 1000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000... bizoox kissoox à Léacmoa !!!!