Chapitre deux
Vous vous admirez encore cinq minutes devant la glace et vous vous trouvez comme une ressemblance avec Galadriel. Puis rapidement vous descendez les escaliers de votre immeuble et courez jusqu'à l'arrêt de bus qui se trouve juste en face.
Vous retrouvez Oriane et commencez à discuter de tout et de rien lorsque miracle un bus arrive. L'espoir faisant vivre, le bus en question n'était que le 139 et patiemment vous vous remettez à attendre avec Oriane. Une minute. Deux minute. Cinq minutes. Dix minutes. Il est maintenant 7h50 et vous commencez tous à prendre racine. Vous vous apprêtez à appeler votre père à la rescousse quand un vieux truc crachotant et manifestement bon à mettre à la feraille pointe péniblement le bout de son nez en haut de la côte( parce que bien sûr, dans votre ville, les lignes ne prennent que les côtes d'un mètre cinquante de dénivellé maximum). Vous n'êtes que trois, vous deux et une autre connaissance.
Au fur et à mesure le bus arrive à glaner deux trois personnes de plus, le reste de la populace étant montée dans le bus 139 passé juste avant ( celui de 7h45 et pas celui de 7h22)qui est, il faut le dire, un bus simple sans accordéon. A la zone industrielle, en bordure de la ville , celui-ci s'arrête et débarque une tonne de passager qui viennent s'engouffrer dans le 115. Ecrasé contre la vitre, votre esprit philosophique vous amène à vous demander comment 360 millions de personnes ont pu tenir toutes ensemble dans un si petit bus.
Mais les mauvaises choses ayant aussi une fin, vous arrivez à l'arrêt Callot qui permet à tous ceux du lycée de Stanislas de respirer vu que les trois quart du bus sont descendus. Dix minutes de folle course plus tard, pendant lesquelles vous apercevez un hibou noir complètement essouflé,vous voyez pointer votre lycée et le terminus du bus. Le chauffeur qui, il faut le dire, s'ennuyait mortellement, décidé d'appuyer sur le champignon au moment où il tournait dans le virage du terminus. Résultat : vous vous retrouvez les fesses par terre.
Tant bien que mal vous vous redressez et priez Dieu de bien vouloir vous laissez en vie ( « je suis trop jeune pour mourir ! ») lorsque le chauffeur pila net devant le 134 juste devant. Une nouvelle fois déséquilibré, vous tentez de vous rattraper à la barre près du premier valideur de passe. Et vous voila emporté dans un tourbillon de couleur, toujours agrippé à la barre. ( Chapitre 5.
Vous vous admirez encore cinq minutes devant la glace et vous vous trouvez comme une ressemblance avec Galadriel. Puis rapidement vous descendez les escaliers de votre immeuble et courez jusqu'à l'arrêt de bus qui se trouve juste en face.
Vous retrouvez Oriane et commencez à discuter de tout et de rien lorsque miracle un bus arrive. L'espoir faisant vivre, le bus en question n'était que le 139 et patiemment vous vous remettez à attendre avec Oriane. Une minute. Deux minute. Cinq minutes. Dix minutes. Il est maintenant 7h50 et vous commencez tous à prendre racine. Vous vous apprêtez à appeler votre père à la rescousse quand un vieux truc crachotant et manifestement bon à mettre à la feraille pointe péniblement le bout de son nez en haut de la côte( parce que bien sûr, dans votre ville, les lignes ne prennent que les côtes d'un mètre cinquante de dénivellé maximum). Vous n'êtes que trois, vous deux et une autre connaissance.
Au fur et à mesure le bus arrive à glaner deux trois personnes de plus, le reste de la populace étant montée dans le bus 139 passé juste avant ( celui de 7h45 et pas celui de 7h22)qui est, il faut le dire, un bus simple sans accordéon. A la zone industrielle, en bordure de la ville , celui-ci s'arrête et débarque une tonne de passager qui viennent s'engouffrer dans le 115. Ecrasé contre la vitre, votre esprit philosophique vous amène à vous demander comment 360 millions de personnes ont pu tenir toutes ensemble dans un si petit bus.
Mais les mauvaises choses ayant aussi une fin, vous arrivez à l'arrêt Callot qui permet à tous ceux du lycée de Stanislas de respirer vu que les trois quart du bus sont descendus. Dix minutes de folle course plus tard, pendant lesquelles vous apercevez un hibou noir complètement essouflé,vous voyez pointer votre lycée et le terminus du bus. Le chauffeur qui, il faut le dire, s'ennuyait mortellement, décidé d'appuyer sur le champignon au moment où il tournait dans le virage du terminus. Résultat : vous vous retrouvez les fesses par terre.
Tant bien que mal vous vous redressez et priez Dieu de bien vouloir vous laissez en vie ( « je suis trop jeune pour mourir ! ») lorsque le chauffeur pila net devant le 134 juste devant. Une nouvelle fois déséquilibré, vous tentez de vous rattraper à la barre près du premier valideur de passe. Et vous voila emporté dans un tourbillon de couleur, toujours agrippé à la barre. ( Chapitre 5.
