Harry Potter et la légende des Xiennes

Chapitre 1 : Mémoire

. tue l'autre.

Harry se réveilla avec cette éternelle douleur à sa cicatrice. Mais, il s'y était presque habituer. Chaque matin, il se réveillait en sursaut et chaque matin sa cicatrice le brûlait. Une fois de plus, il avait revu la mort de Cédric et bien sûr : Voldemort qui renaissait nuit après nuit dans ses rêves.

Harry s'assit dans son lit. Maintenant, il était inutile d'essayer de se rendormir.

Il chercha à tâtons ses lunettes, puis il regarda le vieux réveil rafistolé posé sur sa table de chevet: minuit. Dans deux jours, à la même heure, il aurait 15 ans. Ça ne le réjouissait pas vraiment. D'ailleurs, il ne riait plus beaucoup depuis la troisième tache, depuis qu'Il était revenu et que Cédric était mort.

Son regard fit machinalement le tour de la pièce, comme si il y cherchait quelque chose qui puisse lui changer les idées. Hedwige, sa chouette, était partie chasser ou peut-être simplement voler un peu. Elle reviendrait probablement juste avant l'aurore. Au pied de son lit, il y avait sa grosse malle contenant son matériel scolaire et son éclair de feu. Son regard revint se posé sur la cage vide d'Hedwige. Elle continuait sa vit elle. Elle chassait, dormait et mangeait sans s'inquiété. Les oiseaux n'avait rien à faire des préoccupations des humains.

- Allez, reprend toi Harry, se murmura t'il pour lui même, pense à autre chose. Tu ne va quant même pas être jaloux d'un oiseau.

Penser à autre chose. C'était facile à dire. Quant on a vu un ami mourir devant ses yeux et le Seigneur des Ténèbres renaître comment pensé à autre chose ? Il avait tué des centaines de gens juste pour le plaisir et maintenant, après 13 ans, il allait recommencer si ce n'était pas déjà fait. Harry n'en savait rien puisque depuis le début des vacances, il était isolé du monde des sorciers.

13 ans. C'est le professeure Trelaway qui aurait fait toute une histoire de ce simple nombre. Harry l'imagina avec ses grosses lunettes et sa multitude de bijoux qui le regardait en disant :

- Mon pauvre, p-a-u-v-r-e garçon. 13 ans vous rendez vous compte de ce que cela signifie ?

Puis elle le regarderait avec ce regard qu'il détestait. Celui qu'elle réservait exclusivement pour lui. Un mélange de pitié et de tristesse.

De tout Poudlard, le professeure Trelaway était la prof que Harry détestait le plus. Le prof étant, bien entendu, Rogue. Si Harry avait du choisir celui qu'il détestait le plus, il aurait probablement arrêté son choix sur Rogue, bien que Trelaway défendait bien sa place.

Il allait se lever pour essayer de trouver une 'distraction' dans ses livres d'écoles quant-il entendit frapper contre la fenêtre. En se retournant il vit une chouette d'un brun banal qui s'était posée sur le rebord de la fenêtre. Harry ne connaissait pas cet oiseau et à voir les regards que le volatile lui lançait, il n'était pas heureux d'être là. Il alla lui ouvrir. Le strigidé entra précipitamment, fit tombé une lettre à ses pieds, puis reparti tout aussi rapidement en poussant un ululement indigné et colérique.

Instinctivement, Harry regarda la porte fermé de sa chambre, surveillant un bruit venant des Dursley, son horrible famille adoptive, prouvant qu'ils s'étaient réveillé, mais rien de vien. Il n'entendit que le ronflement de Dudley et un marmottage venant, à n'en point douté, de l'oncle Vermon.

Rassuré que l'oiseau n'est pas causé une interruption prématuré du sommeil de son oncle Vermon, chose qui lui aurait coûté assurément une journée si ce n'est pas plus dans sa chambre sans mangé ( déjà qu'avec le régime de Dudley il ne mangeait pas beaucoup. En fait, le régime qui ne donnait strictement aucun résultat, s'était légèrement relâché depuis l'année dernière, mais quant même, un demi pamplemousse au-lieux d'un quart, ce n'était pas vraiment une amélioration. ), Harry s'intéressa à la missive apporté par le volatile colérique.

L'enveloppe n'avait rien d'extraordinaire. De couleur parcheminé avec une adresse inscrit à l'encre bleu foncé. Mais, en y regarda bien, Harry se rendit compte que ce n'était pas le bon nom ni les bonnes coordonnées. Mais, il préféra regarder à l'intérieur pour s'en assurer.

Il la décacheta et réalisa qu'il ne connaissait pas l'écriture de l'expéditeur. D'ailleurs, une bonne partie de la lettre était dans un autre alphabet, comme si elle était crypté.

À ma Pandora,

J'ignore si cette lettre te parviendra, car cette chouette n'avait pas l'air très contente que je ' l'emprunte ' à ses propriétaires légitime. Elle donnera probablement la lettre au premier sorcier réveillé qu'elle rencontrera.

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J'espère que tu reviendras

Ton frère

Harry retourna la missive et regarda à nouveaux dans l'enveloppe, il ne savait trop pourquoi. Peut-être dans l'espoir de découvrir le moyen de décrypter le message.

Il n'y avait rien d'écrit à l'endos, pas plus à l'intérieur de l'enveloppe. Une chose était cependant certain: La lettre ne lui était pas destiné. Il voulut redonné l'enveloppe à la chouette avant de se rappelé qu'elle était repartie. Hedwige serait-elle capable de retrouver la véritable propriétaire ? Mais, de toute façon, elle aussi était partie.

Bien qu'il sut qu'il n'aurait pas du, après tout elle ne lui était pas destiné, Harry relut la lettre ( ou du moins, la partit en alphabet conventionnel ). La raison pour laquelle il y avait eu erreur de destinataire était facilement devinable puisque c'était écrit mot pour mot dans la lettre : Le frère avait volé un hibou donc, l'oiseau en colère avait donné la lettre au premier venu pour s'en débarrasser et pouvoir repartir vers son maître légitime.

Il n'aurait su dire pourquoi, la lettre l'intriguait. Apparemment, le frère ne faisait que demander à sa s?ur de revenir. Mais dans ce cas, pourquoi codé le message ? Un jeu ? Un alphabet qu'elle et lui se seraient inventer étant plus jeune ? D'accord, cela était plausible. Mais, si cette missive était si anodine pourquoi voler une chouette ? La poste pour sorcier en laisse à disposition pour à peine 2 mornilles et si le frère avait un problème d'argent il l'aurait facilement réglé. Apparemment volé ne le dérangeait nullement.

Harry avait complètement oublier la douleur qu'il ressentait perpétuellement à sa cicatrice. La curiosité avait prit le dessus. Toutes ces questions dans sa tête. La réflexion est parfois un moyen d'oublier certaines préoccupations, lorsqu'elle ne les ravive pas. La voilà la distraction qu'il cherchait. Absorbé par le lettre, il oubliait Voldemort et Cédric un moment.

- Ha, si seulement Ron ou Hermionne était là, songea-t-il. Ses deux amis et lui avaient résolu bon nombres d'énigmes ensemble.

Ses deux amis. À cette pensée, un léger sourire naquit sur ses lèvres. Dans deux jours, il recevrait des nouvelles d'eux. Comme à chaque années, ils lui enverrait une carte d'anniversaire et peut-être que Ron l'inviterait chez lui. Mais, lorsqu'il y songea, le sourire d'Harry disparu. Il n'y avait quasiment aucune chance qu'il puisse aller chez Ron cet été. Si le professeur Dumbledore l'avait renvoyé chez son oncle et sa tante, c'était assurément pour une bonne raison. Le retour de Voldemort avait et allait décidément bouleversé bien des choses.

Portant, Harry se serait sentit mieux en compagnie de sorcier qu'il aimait; d'amis. Les Dursley. Harry les détestait. Qu'est-ce qu'il n'aurait pas donné pour pouvoir vivre dans une famille comme celle des Weasley. Mais, Voldemort avait détruit sa famille. À cause de cet ignoble sorcier, Harry n'avait ni père, ni mère. Il avait hérité d'une famille de substitution qui se faisait une joie non dissimulé de le persécuté. Tout ça, à cause de Voldemort.

Voldemort, encore et toujours lui.

Harry retourna près de son lit, s'assit et prit sa tête entre ses mains. Voldemort avait tué ses parents, Cédric et des centaines de gens. Des inconnues pour Harry, mais ces gens avaient des familles. Personne ne devrait avoir le droit de vie ou de mort sur un de ses semblables. Pas même les juges et les avocats. Quoique l'on ne puise pas vraiment considérer Voldemort comme un homme. C'était un monstre. Tout revenait toujours à lui. Harry avait réussit à l'oublier quelques minutes, mais maintenant il lui revenait à l'esprit.

- Fiche moi la paix ! pensa-t-il tout haut.

Pourquoi ne pouvait-il pas être comme tout les autres ? Pourquoi est-ce que Voldemort s'en était prit à lui ? Pourquoi Voldemort était né d'ailleurs ? Toutes ces questions sans réponses. À ce moment, Harry sentit une rage sourde bouillir à l'intérieur de son corps. Une rage incontrôlable. C'était comme un animal qui lui dévorait les entrailles. Il avait mal ne pas savoir, de ne pouvoir rien faire. Il en avait marre que sa cicatrice lui brûle le front à chaque minutes de la journée et de la nuit. POURQUOI ??? avait-il envie de crier. Il voulait des réponses. Il voulait pouvoir être comme tout le monde et n'avoir que ses devoirs de vacances en tête.

Les garçons ne pleure pas. De toute façon, à quoi serve les larmes ? Elles n'apaisent pas les maux. Rien ne peu apaiser le mal qui en est responsable d'ailleurs.. Le mal qui vous fait souffrir s'encre au font de vous et y reste. On ne peu pas l'en déloger. Il faut vivre avec. Pourquoi pleurer sur une blessure ? Elle ne guérira pas plus vite parce que l'on à versé quelques larmes pour elle.

Harry avait complètement oublier la lettre mystérieuse. Seul demeurait cette douleur sourde. Il aurait volontiers démoli tout le mobilier qui l'entourait si cela lui avait apporté ne serais que une minute de paix.

La rage. Elle vous donne une force dévastatrice et incontrôlable. Une envie de tout détruire, même si l'évidence même est que cela ne résoudra rien.

De rage, Harry fit une boulette de papier avec la lettre qu'il tenait toujours dans sa main et la lança le plus fort qu'il pu à l'autre bout de sa chambre. Le papier froissé rebondit sur le mur qui lui faisait face et tomba directement dans sa malle resté ouverte. Peu importe, il le ramasserait plus tard.

La missive ne lui appartenait pas. Et alors ? Si le frère voulait donner une lettre urgente à sa s?ur, il n'avait qu'à s'arranger pour que la lettre parvienne au bon destinataire.

Il devait retenir sa rage. Ne pas tout démolir. Lentement, il se coucha en position f?tale et ferma les yeux. Inspirer, expirer.

Sans s'en rendre compte, Harry fini par s'endormir et à nouveau les rêves revinrent.

. Est-ce que quelqu'un t'avais dit que le trophée était un portoloin ? . . Tu crois qu'on devrait sortir les baguettes ? . . Tue l'autre. . Avada Kedavra .

Harry fut prit d'un spasme d'horreur et il se réveilla à nouveau. De la sueur couvrait son front et sa cicatrice était encore plus brûlante qu'elle ne l'avait été depuis le début des vacances. La tête lui tournait et il avait un drôle de goût dans la bouche.

Tranquillement et tout en utilisant sa manche pour essuyer la sueur qui perlait sur son front, Harry se redressa dans son lit puis regarda autour de lui. Il réalisa soudain, même sans ses lunettes qu'il n'était plus chez les Dursley. Il mit ses lunettes pour vérifié.

- Mes lunettes ?!? songea Harry, mais je ne les avait toujours pas retiré quand je me suis endormi.

Apparemment, quelqu'un avait prit soin de les déposer sur la table de chevet près du lit. Il commençait à trouver cela de plus en plus inquiétant. Tranquillement, il sentit la peur le gagner. Où était-il ?

Sans faire de bruit, Harry sortit du lit dans lequel on l'avait mit. À ce moment, il réalisa un autre détail : Il portait une chemise d'hôpital. Des dizaines de questions se bousculait dans sa tête. Où suis-je ? Depuis quand suis-je ici ? Pourquoi mon habillement est différent ? Qui m'a amené ici ? Et des tas d'autres interrogations qui risquait fort d'augmenter le tournis quelque peu dissipé que Harry ressentait toujours.

- Une question à la fois, se dit-il pour lui même et afin de ne pas cédé à la panique qui menaçait de le submerger.

Il révisa ses interrogations et choisi de trouver une réponse à celle qui était sans aucun doute la plus urgente à réglé : Où suis-je ? Doucement, il fit le tour de la pièce. C'était une grande pièce rectangulaire et blanche. La salle contenait peu de meuble. Il y avait, en plus du lit et de la table de nuit, une simple commode. La chambre comportait aussi une large fenêtre qui laissait apparaît le ciel et par laquelle Harry put constater que le soleil était sur le point de se lever.

En continuant son exploration dans la semi-obscurité qu'offrait le soleil levant, Harry s'aperçut que sa ' cellule ' comprenait deux portes. Il s'approcha de celle la plus proche et l'entrebâilla de façon à voir ce qu'il y avait à l'intérieur sans être vu. Sa ruse se révéla cependant inutile, car il n'y avait pas âme qui vive. La pièce adjacente se révéla être une salle de bain. Pas très spacieuse, la salle d'eau était juste assez grande pour contenir un bain, un lavabo au-dessus duquel on avait accroché un miroir ainsi qu'une toilette.

Harry s'approcha de l'évier et tourna la poignée de l'eau froide à son maximum. De l'eau tout ce qu'il y a de plus normal en sortit en l'aspergeant quelque peu. Il passa sa main dans l'eau puis sur son visage afin d'être entièrement réveillé. Il referma le robinet et sortit de la petite pièce.

Harry referma la porte et s'approcha de la seconde ouverture qu'il avait remarqué. Encore une fois, il ne fit qu'entrebaîllé la porte et colla son ?il pour voir. Tout d'abord, la lumière qui émanait de derrière la porte lui obligea à fermer les yeux et à reculer. La salle dans laquelle il se trouvait n'était quasiment pas éclairer et le changement était brutal. Lorsque ses yeux s'habituèrent à la luminosité éblouissante, il discerna un couloir immense et très haut de plafond. Le couloir tout comme sa chambre avait toujours cette couleur obstinément trop blanche. La lumière provenant de plafond éclairait toute la pièce et par la même occasion s'intensifiait au contact des murs et du plancher blanc. Cette fois ci toutefois, l'endroit grouillait de monde ; des gens en robe blanche pour la plus part. Harry trouva donc la réponse à deux de ses questions : Il était dans un hôpital ( probablement sorcier vu l'habillement des gens ) et il était bel et bien habillé en robe de dispensaire.

Une infirmière sembla se dirigea vers la porte de la chambre qu'il occupait. Il referma l'ouverture prestement, puis il se rassit sur son lit et ramena les couvertures jusqu'à sa taille. Au même moment, l'infirmière pénétra dans la pièce.

- Ah ! Monsieur Potter vous êtes réveillé ! dit-elle en lui faisant un sourire amical, vous nous avez fait une belle peur.

Harry ne répondit pas immédiatement. Il dévisagea l'infirmière. Âgé d'approximativement 50 ans, elle avait de longs cheveux gris qui lui allaient jusqu'aux coudes, mais qu'elle avait ramené en queue de cheval et ses yeux étaient d'un brun très foncé. Naturellement, elle portait la robe blanche du personnel médical.

Harry continua à l'observer, s'attendant à ce qu'elle lui donne de plus ample information sur sa venu ici et où il était exactement. Un hôpital ; d'accord, mais lequel ? Comme elle se contentait de sourire en le regardait, il décida de lui poser directement le question.

- Je peux savoir où je me trouve ? dit-il.

- Vous ne vous en rappelez pas ? répondit-elle en s'approchant de lui. Vous êtes à l'hôpital Ste-Mangouste.

Surprit, Harry la dévisagea avec incrédulité, mais lorsqu'il la vit sortir une baguette magique pour rapprocher une chaise, il n'y eu plus de doutes possibles.

- Je suis à Ste-Mangouste !?! L'hôpital pour sorcier ? La question avait franchit ses lèvre avant qu'il ne puise la retenir même s'il se doutait qu'il ne devait pas exister beaucoup d'hôpital pour sorcier appelé Ste- Mangouste.

L'hôpital Ste-Mangouste. C'était là que se trouvait les parents de Néville.

- En effet monsieur Potter, la voix de l'infirmière le fit sortir de ses songes.

Elle s'assit sur la chaise qu'elle avait approché afin de l'ausculté. Elle prit la tête du jeune sorcier entre ses mains et regarda attentivement ses yeux. Harry soutint son regard sans ciller. Après un silence de quelques minutes, l'infirmière recommença à parler.

- Vous êtes arrivé il y a deux jours et vous. Suivez mon doigt des yeux je vous pris. Je disait donc que vous êtes arrivez chez nous en état de choc et que nous avons du vous administrer une potion qui a pour effet secondaire.

- Pourquoi je ne me rappelle de rien ? Harry n'avait pas pu retenir sa question plus longtemps.

- J'y venais monsieur Potter, reprit-elle. Vous étiez dans un état de choc nerveux et vous aviez des lésions internes. Tendez votre bras que je prenne votre pouls. Où en était-je ? ( Harry ouvrit la bouche pour répondre, mais elle répondit elle-même à sa question ) Ah oui ! Vos blessures n'étaient pas à prendre à la légère, c'est pourquoi nous avons du utilisez une potion qui stabilise le métabolisme physique et psychique. Une sorte de tranquillisant pour le corps et l'esprit, expliqua-t-elle devant le froncement de sourcils d'Harry. Toutefois, cette recette comporte un effet secondaire assez désagréable : Des pertes partielles de mémoire.

Devant l'air catastrophé de Harry elle tenta de le calmer en lui disant :

- Mais ne vous inquiété pas, dans 70 % des cas, les gens retrouve la partie de mémoire qu'ils ont perdu.

Harry ne savait pas vraiment si cela le rassurait. 70 % des cas. Cela signifiait qu'il avait 2 chance sur 5 de rester amnésique. Il voulait poser d'autre question à l'infirmière, mais elle était déjà levée et s'approchait de la porte. Avant qu'elle ne la franchisse, elle se retourna vers Harry :

- Je vais immédiatement avoyer un hibou aux professeur Dumbledore pour lui dire que vous vous êtes enfin réveillé, dit-elle, et le médecin Rosse viendra vous voir dans quelques minutes.

- Quoi, mais attendez une min. Harry ne finit pas sa phrase étant donné que l'infirmière avait déjà disparut derrière le porte.

« Fin du chapitre 1 »

Allez, prenez quelques secondes pour un review. Juste pour me dire si vous aimez ou pas.