Harry Potter et la légende des Xiennes

Note de l'auteure : Avant que vous ne lisiez ce chapitre, je tien à remercier les auteurs des 2 reviews que j'ai reçu. Vous m'avez vraiment motivée; d'habitude, j'écrit à peine une page par jour, mais après avoir lu vos reviews, ça ma tellement motivé, que j'ai écrit 3 pages en 1 après- midi. Je tien aussi à dire que ce chapitre est l'un des plus plate ( selon moi ), parce que c'est juste du bla-bla tout le long. Mais bon, il est nécessaire.

Chapitre 2 : Réponses

6:12 du matin.

C'était au moins la dixième fois que Harry regardait l'horloge sur la mur de sa chambre d'hôpital. En fait, par quelques minutes, Harry se demandait si l'infirmière savait vraiment se qu'elle disait. Cela faisait près de trois quarts d'heure qu'elle était partit, et toujours pas de docteur. Harry se redressa légèrement afin de regarder de nouveau l'heure : 6:15 du matin.

Il n'avait pas immédiatement repéré le pendule lors de son exploration étant donné le peu de clarté dont il disposait. Mais depuis que le soleil s'était levé, Harry avait une meilleur vu de la pièce dans lequel il se trouvait. Tous les meubles était blanc comme il l'avait déjà constaté. Mais il n'avait pas remarquer les gravures pratiquer au quatre coin de la salle et qui semblaient dessiner une fresque ainsi que la comtoise qui semblait maintenant l'obséder.

6:17 du matin.

Une idée frappa soudainement Harry. Il avait fouillé du regard toute la chambre, mais pas les meubles. Il s'approcha de la commode avec l'intention de vérifié ce qu'elle contenait, mais c'est cet instant que choisit le médecin Rosse pour faire son apparition.

L'homme ressemblait légèrement à l'oncle Vermon. Excepté qu'il avait une barbe et que les quelques cheveux qui lui restait sur le somment du crâne était d'un blanc coquille d'?uf. Vêtu de l'éternel robe blanche des médicomages, il tenait à la main un dossier médical. Le thérapeute remarqua immédiatement Harry debout entre le lit et la commode. Avant même qu'il ne prononce un mot, Harry était persuadé qu'il n'aimerait pas cet homme, juste par le regard soupçonneux de ce dernier.

- Monsieur Potter, s'exclama le médecin les sourcils froncé et apparemment surprit de le trouver hors de son lit. Que faites vous debout ? Vous cherchez quelque chose ?

Harry ne savait pas vraiment quoi répondre, alors il se contenta de revenir s'asssire sur le lit en marmonnant un 'non'.

La praticien n'insista pas et se contenta de sortir ses instruments en questionnant Harry sur son état de santé.

- Vous avez mal quelque par ? demanda-t-il brusquement, en regardant les yeux de Harry de la même manière que l'avait fait l'infirmière avant lui.

- Seulement un peu à la tête, répondit le jeune sorcier en soutenant son regard.

Puis le spécialiste prit le rythme cardiaque de Harry ainsi que sa température tout en continuant à lui posé des questions portant essentiellement sur « Vous êtes sûr que vous n'avez mal nul par ailleurs ? ».

Mais Harry fini par se lassé et posa lui-même les questions qui lui tenaient à c?ur.

- Docteur Rosse, cela fait combien de temps que je suis ici ?

- Et bien., fit le médecin en consultant le dossier qu'il avait posé sur la table de chevet. Ça doit faire près de deux jours. Vous ne vous en rappelé plus ? À quand remonte votre dernier souvenir ?

- C'était deux jours avant ma fête, répondit Harry, agacé de répondre au question qu'on lui posait sans avoir de réponses claire au siennes. Dans la nuit du 27 au 28 juillet. Quand suis-je arrivé ici ?

- Il y a deux jours.

Alors là, Harry était sur le point de perdre le contrôle de lui même. Il était fatiguer, une migraine était en train de le gagner et pour couronner le tout, un parfait inconnu s'amusait à jouer avec ses nerf. Harry se força tout de même à se calmer. Il inspira longuement avant de se décider à réitérer son interrogation.

- Quel est la date de mon arrivé ici ? Si ce médecin arrivait à détourner sa question, Harry était près à lui décerner un trophée.

Le thérapeute soupira avant de répondre à sa demande :

- Vous êtes arrivé ici le 25 août dernier.

Harry resta figé de stupeur. Il avait perdu près d'un mois de mémoire. Que c'était-il passé ? Harry ne bougea plus le temps que son cerveau assimile cette information. S'il avait été surprit de se retrouver à Ste-Mangouste, ce n'était rien à côté de ce qu'il ressentait en ce moment. Un mois partit en fumée. Qu'est-ce qui c'était passé d'assez grave pour qu'il atterrisse à Ste-Mangouste et qui plus est ; avec un mois de souvenir en moins.

Harry était tellement absorbé dans ses pensé, qu'il n'entendit pas une infirmière venir chercher le médicomage, ce dernier lui dire au revoir et quitter la chambre.

Un mois.

Harry était encore perdu dans ses réflexion quand une jeune infirmière frappa à la porte. Après que Harry le lui est permit, elle entrebâilla afin de pouvoir regarder à l'intérieur, puis elle lui dit gentiment :

- Le professeur Dumbledore est ici monsieur Potter. Il désire vous voir.

Harry fit un signe de tête signifiant qu'elle pouvait le faire entrer.

- Ha ! Harry ! dit Dumbledore dès qu'il fut dans la petite pièce. Il affichait un sourire, mais Harry lut dans ses yeux de l'inquiétude.

- Bonjour professeur Dumbledore.

- Je suis venu dès que j'ai reçu le hibou me disant que tu était réveillé. poursuivit le directeur de Poudlard. Te rappelle tu de ce qui ta conduit ici ?

Un fois de plus, Harry expliqua qu'il ne se rappelait de rien, mais qu'il apprécierai qu'on puisse l'éclairer sur ce point.

Le sourire de Dumbledore se fit moins joviale, puis il prit place sur la chaise de bois que l'infirmière puis le médecin avait utilisé et c'est avec une voix où perçait une légère inquiétude qu'il lui expliqua ce qu'il savait.

- Vois-tu Harry, commença-t-il, nous ne savons pas exactement ce qui t'est arrivé. Mais, je peux te dire ce que je sais : Bien que je trouvait dangereux de te laissé allé chez les Wesleay, tu as fini par me convaincre. J'ai donc installé des mesures de sécurité pour que tu passe la fin de tes vacances chez eux. Le seul problème, c'est que Voldemort ou l'un de ses mangemorts a fini par t'atteindre. Ça, c'est ce dont on est certain. Mais, pour le reste, nous n'avons pas de détailles. Nous t'avons juste retrouvé étendu dans l'herbe et nous t'avons amené ici.

- Qu'est-ce que vous voulez dire par mesures de sécurité ? Et c'est qui nous ? Et comment ça con.

- Calme toi Harry, c'est inutile de me poser une dizaine de question en même temps, le coupa Dumbledore avec un léger sourire en coin. Commence par une et j'y répondrai si je le peux.

. J'y répondrai si je le peux, c'était l'une des choses que Harry détestait particulièrement qu'on lui réponde. Mais, il fit tout de même ce que le directeur de son école lui demandait. Il mit un peu d'ordre dans ses idées pendant que Dumbledore continuait de l'observer patiemment par dessus ses lunettes en demi lune. Ensuite, Harry posa l'une des nombreuses questions qui lui vinrent à l'esprit :

- Vous avez dit qu'on m'avait retrouvé dans l'herbe, je présume que c'était chez les Weslaey ? ( Dumbledore acquiesça ) D'accord, mais qui m'a retrouvé ? Vous avez dit on, c'est les Wesleay ?

- En effet Harry, tu avais disparut depuis quelques heures, alors ils étaient inquiet, répondit le vieux sorcier. Et apparemment leurs inquiétudes étaient fondées, rajouta-t-il dans un murmure.

- Donc, je suis allé chez les Wesleay. Mais, vous avez dit tu as fini par me convaincre, j'en déduit que vous n'étiez par vraiment pour l'idée. Pourquoi ?

- Vois-tu Harry. Dumbledore s'interrompit un moment, ses yeux bleus pétillants pendant que, apparemment, il rassemblait ses idées. Je crois que je vais répondre en même temps à ta prochaine question. Ce n'est pas par hasard que tu es allez chez les Dursley cet été. Lorsque tu avait un ans et que nous avons décidé de te confier à leur garde, nous avons en même temps ajouté des mesures de précaution afin d'assurer ta sécurité en cas de retour de Voldemort ou bien d'éventuel attaque de mangemorts fanatiques. Des mesures de sécurité qui ont été renforcé au début des vacances. Laisse moi finir, ajouta le vieil homme en voyant que Harry ouvrait la bouche pour dire quelque chose. Lorsque tu m'a fait comprendre que le fait de ne pas voir tes amis de tout l'été risquait de te rendre fou, façon de parler, j'ai finalement accepter. Donc, une parti des protection fournit au 4 Priver Drive ont été mises eu Terrier. Malheureusement, il apparaît qu'elle n'ont pas été suffisantes.

Harry garda le silence lorsque son directeur eu fini. Il avait encore quelques questions, mais il devais d'abord digérer les réponses qu'il venait de recevoir. Dumbledore restant patiemment près de lui, Harry réfléchissait, mais la seule idée encore claire qu'il parvint à tirer de son cerveau embrumé par son mal de tête ainsi que par la surdose d'information qu'on venait de lui donner, fut qu'il avait hâte de revoir ses amis.

Harry eu un petit rire nerveux. Son professeur ne s'attendant pas à cela, fut quelque peu surprit, mais c'est avec une lueur de malice dans ses yeux bleus azures qu'il demanda :

- Il y a quelque chose de drôle Harry ?

- Non. Enfin si. Je suis amnésique, à Ste-Mangouste, je viens d'apprendre que j'ai encore failli mourir et la première pensé que j'ai après avoir apprit tous ça, c'est : Quant es-ce que je vais revoir mes amis ! À ce sujet, est-ce que vous savez quant es-ce que je vais pouvoir partir d'ici ?

Dumbledore eut un sourire en écoutant Harry et c'est avec ce même sourire qu'il lui répondit :

- Hé bien d'après l'avis du docteur Rosse, ton corps c'est parfaitement ou presque remit du traumatisme qu'il a subit. Bien sûr, cela ne veut pas dire que tu sortira aujourd'hui, mais bientôt tu pourras revoir tes amis. D'ailleurs, je ne crois pas me tromper en disant que dès qu'ils sauront que tu es de nouveau sur pieds, ils se précipiteront ici pour te voir. De toute façon, j'en ai discuter avec les responsables ici et nous avons fini par nous mettre d'accord : Puisqu'il ne reste que 4 jours avant la rentrer, tu restera ici pour cette durée de temps. Ensuite, le 1 septembre, tu iras prendre le Poudlard Express avec tes amis.

Harry sourit lui aussi.

- Demain, poursuivit le vieux sorcier, probablement que les Wesleay ainsi qu'Hermione viendront te rendre visite. Sniffle aussi a très hâte de te voir. Malheureusement, les chiens ne sont pas permit ici. Mais pour l'instant, je te conseil de te reposer.

Et sur ce, Dumbledore quitta la chambre d'hôpital de Harry. Ce dernier passablement déçus par le fait qu'il lui restait des interrogations non résolus, redevint joyeux en pensant que le lendemain il reverrait très certainement ses meilleurs amis.

En poussant un soupir résigné, le jeune sorcier se recoucha dans le petit lit, cependant il ne s'endormit pas, plonger dans ses réflexion, mais aussi parce qu'il n'avait pas envie de retomber dans les rêves qu'il détestait.

Au bout de quelques heures, Harry en eu assez de faire semblant de dormir et de retourner sans cesse les mêmes questions dans sa tête. Il repensa alors, qu'il n'avait toujours pas vérifié ce que contenait la commode. Le jeune homme se leva brusquement, s'approcha du meuble blanc et l'ouvrit en grand.

Les tiroirs contenaient tous ses vêtements. Harry fut quelque peu surprit, avant de ce dire que c'était normale qu'on est amener ses effets personnels avec lui. Mais alors, où était son matériel scolaire ?

Harry continua de fouillé la salle dans l'espoir de trouver la réponse, mais en vint. Vers midi, un infirmier frappa doucement à la porte, puis entra. Il portait un plateau sur lequel on avait disposé de la nourriture.

C'est seulement à ce moment, que Harry réalisa qu'il n'avait pas déjeuné et que la faim le tenaillait.

Pendant que l'infirmier déposait le plateau sur le lit et que Harry retourna si asseoir, il posa sa question :

- Vous ne sauriez pas où mon matériel scolaire se trouve ?

Le jeune médicomage eu un sourire avant de lui répondre :

- C'est bien la première fois que l'un de mes patient s'inquiète pour l'école alors qu'il vient de passé à deux doigt de mourir ! Mais pour répondre à votre question : Je n'en sais rien, probablement que la famille qui vous a amené les a gardé avec elle, mais je n'en suis pas sûr. Cependant, une jeune femme, mademoiselle Granger si je ne m'abuse, vous a laissé celui-ci. Apparemment, vous n'avez pas terminé votre devoir d'histoire de la magie. Afin bref, elle a dit que lorsque vous vous sentiriez mieux, vous pourriez le terminer.

Tout en parlant, l'infirmier lui montra un grimoire qui avait été déposé sur sa table de chevet.

- Lorsque que vous aurez terminer de manger, laissé le plateau sur votre table de nuit. Je repasserez le chercher plus tard.

Puis Harry se retrouva à nouveau seul. La première chose qu'il fit, fut de dévorer son repas qui se composait d'une soupe, d'une miche de pain, d'une assiette remplit de steak et de petits pois ainsi qu'un grand verre de jus de citrouille. Ce n'était pas le meilleur repas qu'il ait manger dans sa vie, mais la nourriture n'était pas immangeable. De plus, la saveur des aliments avait réussit à faire partir le goût désagréable que Harry avait encore dans la bouche.

Après ce ' festin ', Harry décida de se plonger dans son devoir d'histoire de la magie. Peut-être quant relisant le début qu'il avait écrit, quelques souvenir referaient surface.

Malheureusement, rien ne se produisit. Le jeune sorcier ne se rappelait même pas avoir un jour vu, entendu ou lu quelque chose en rapport avec ce qui était écrit sur le parchemin ( bien sûr, l'attention qu'il portait aux cours du professeur Binns y était peut-être pour quelque chose ).

Harry se motiva donc pour relire le livre qu'Hermione lui avait apporté. Son devoir consistait à décrire l'un des plus grand groupe de sorcier ou sorcière du monde. D'après le marque-page qu'Hermione avait placé dans le grimoire ( il faudrait qu'il pense à la remercier ), il était rendu au chapitre portant sur : Les groupes de sorciers importants, mais peu connus.

Harry trouvait le titre du chapitre un peu bizarre. Normalement, si quelqu'un est important, il est connu.

Harry chassa cette idée de sa tête afin de mieux se concentrer sur ce qu'il s'apprêtait à lire : une biographie ( si on peut appelé cela comme ça étant donné le manque flagrant d'informations ) à propos d'un groupe de 5 sorcière spécialisé dans la métamorphose. Mentalement, il repéra les passages les plus importants :

. nous ne savons que très peu de chose sur cet éminent groupe composée de cinq sorcière spécialisé dans la métamorphose. . proclamé comme les plus puissantes animagis de l'histoire. . de mère en fille.

Bref, c'était un sujet inintéressant à souhait, comme le professeur Binns savait les choisir. De sorte que, dès qu'il eu réussit à se concentrer un temps soit peu sur ce récit ' passionnant ', sont esprit fut à nouveau dévié vers un autre sujet.

Une question qui jusqu'ici était sans réponse parce que la seule personnes à pouvoir l'éclairer était lui-même ( et peut-être Voldemort, mais il ne se voyait vraiment pas aller lui demander ). La réponse était dans sa tête, mais inaccessible : Pourquoi était-il amnésique ? D'accord, à cause da la potion. Mais pourquoi en avait-il eu besoin ? Voldemort l'avait presque tué. Mais, pourquoi ne l'avait-il pas achevé ? Qu'es-ce qui l'en avait empêché ? Qu'es-ce que Voldemort lui avait réellement fait ?

« fin du chapitre 2 »

Allez, une toute petite review. Plus j'ai de review, plus je me dépêche pour écrire !!!