L'ALLIE DU COEUR
Auteur : Shiro Tenshi
Genre : Yaoi - Crossover - Romantique - Lime
Sources : Gundam Wing / Escaflowne
Couples : Heero / Van ; et surprise à la fin
Disclamer : Troisième volet de ma fic « L'allié du c?ur ». J'espère que si le début vous a plu ça continuera dans cette voie. Toujours et à jamais une simple fane de Gundam Wing et d'Escaflowne. Pour toutes les fanes de Trochoux/Pusy-Quat ainsi que celles de Hee-Chan/Duo no Baka, je suis vraiment désolée mais j'ai tout changé, ne m'en voulez pas s'il vous plaît. OOC d'Hee-Chan. Lisez et appréciez je l'espère. Bonne lecture.
Nota : entre // pensées de Heero // ; entre ¤¤¤¤¤ Changement de lieu et/ou de jour et/ou d'heure ¤¤¤¤¤
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CHAPITRE 3 : Le local à balais
Les deux jeunes hommes marchèrent dans les couloirs en direction des dortoirs. Quand ils s'apprêtèrent à passer un angle de couloir, Heero reconnut au loin Duo et Quatre qui venaient dans leur direction.
Heero : - K'so, ils arrivent.
Van : - T'en fais pas et suis moi.
Van prit Heero par la manche de son uniforme et l'entraîna dans un petit local à balais non loin d'où ils étaient.
Van : - Reste là, je monte la garde.
Heero : - Non, viens avec moi, si Duo te voit, il ne te lâchera plus d'une semelle pour savoir comment tu as fait pour me changer.
Van : - D'accord mais on va être serré, j'espère que tu ne crains pas la proximité.
Heero : - Non, ça va aller.
Le local était vraiment minuscule mais ils arrivèrent quand même à y entrer tous les deux. Leur deux corps étaient collés l'un contre l'autre.
// Cette situation est des plus embarrassantes mais pas tellement désagréable en fin de compte. Je sens son souffle chaud dans mon cou, ce qui me donne des frissons sur tout le corps. Le sentir aussi près de moi. J'ai son cou à porter de bouche, j'aimerai l'embrasser, juste savoir quel goût il peut bien avoir mais je ne dois pas, ce ne serait pas bien. J'entends des pas dans le couloir, c'est certainement Duo et Quatre. Je ne me soucis pas d'eux. La seule chose qui m'importe c'est le souffle de Van dans mon cou. Quelle douce chaleur. Oh non ! C'est pas possible ! C'est un cauchemar je vais me réveiller ! Pourquoi est-ce que je me sens réagir aussi fortement au toucher involontaire de l'une de ses cuisses sur mon entre jambe ? J'ai honte. Quelle horreur, si jamais il s'en aperçoit, il va me prendre pour un obsédé et va me laisser tomber vite fait. Je ne veux pas qu'il me laisse seul. Mon dieu ! Il faut que j'arrête de penser à ça. Je ne vais pas bien dans ma tête, voilà que maintenant j'ai l'impression qu'il est dans le même état que moi, ce que je sens sur ma cuisse ne peut être que le fruit de mon imagination ainsi que ses douces lèvres sur mon cou. J'en peux plus. Je deviens fou. Il me faut le goûter. Rien qu'une fois. Juste une seule petite fois après ce sera tout. Je pose délicatement mes lèvres dans son cou et le sens frissonner. Sa peau est si douce, il sent si bon. Je m'éloigne à coutre c?ur de son cou et m'excuse vivement pour la gène occasionnée. Heureusement qu'il me reste encore un peu de raison car si je n'en avais plus, je n'aurais probablement pas pu m'arrêter. Douce et caressante main, pourquoi votre chemin vous a emmené jusqu'à ma joue ? Parfaite, sa main est toute aussi parfaite que son être. Délicatement il fait pivoter ma tête pour que nos visages soient face à face. Ses lèvres s'approchent des miennes comme si elles avaient toujours été destinées. Quant elles se furent unies, un éclair me foudroya mais lorsque sa langue caressa mes lèvres se fut presque l'arrêt cardiaque, j'exagère beaucoup car mon c?ur avait simplement loupé quelques battements. J'entrouvris mes lèvres pour laisser passer sa langue. Sa deuxième main qui s'était installée sur ma hanche, alla sous ma chemise et commença à me caresser le ventre, puis elle monta vers ma poitrine mais malheureusement pour elle et pour moi, comme ma chemise était pas très large, sa main ne put pas atteindre son objectif. Il la retira de dessous et s'apprêtait à en défaire les boutons lorsque la porte du locale s'ouvrit.//
Garçon : - Vous n'aviez rien à faire la ! Si je vous ai dérangé c'est uniquement votre faute, il y a les dortoirs pour ce genre de chose.
Van : - Euh ! Désolé. Viens Heero on va chercher tes affaires si tu veux toujours dormir chez moi.
Heero : - Bien sur que oui.
Les deux jeunes hommes étaient frustrés mais heureux de leurs échanges. Ils ne désiraient qu'une chose : recommencer.
___________________________________________________________________________
¤¤¤¤¤ Salle d'étude ¤¤¤¤¤
Duo : - Ben alors délégué, t'en fais une tête, on dirait que t'as vu un zombie.
Délégué : - J'ai. J'ai vu ton ami.
Duo : - Et c'est pour ça que tu fais cette tête ?
Délégué : - Il était avec Van.
Duo : - Où les as-tu vu ?
Délégué : - Ils étaient. Ils étaient entrain de. De.
Duo : - Eh ! Oh ! Tu m'écoute ? Ils étaient où ? Qu'est-ce qu'ils faisaient ?
Délégué : - Ils s'emb. Ils s'embrassaient.
Duo : - QUOI ?
Quatre : - Que t'arrive-t-il Duo ?
Duo : - Il vient de me dire qu'il a vu Heero, notre ICEBERGMAN, embrassant Van, l'inconnu de ce matin.
Quatre : - Tout à l'heure quand on le cherchait, j'ai essayé de me connecter à lui avec mon empathie mais comme j'avais reçu des ondes de bonheur très intenses je pensais m'être trompé de personne, apparemment non.
Duo : - J'ai tout essayé pour le changer mais j'ai toujours échoué, j'ai même fini par croire qu'il n'avait réellement pas de c?ur.
Délégué : - Il a énormément changé ou alors ce n'était pas lui car quand je les ai surpris, il y avait tellement de désir dans ses yeux ainsi que dans ceux de Van, j'ai même décelé, si je ne me trompe pas, de l'amour. Oui de l'amour, si je ne les avais pas dérangé dans ce petit local à balais au troisième étage du second bâtiment, ils seraient sans aucun doute allés plus loin.
Duo : - Merci pour les renseignements. Viens Quatre, il faut les retrouver.
Quatre : - Attends Duo ! Délégué serais-tu où ils sont maintenant ?
Délégué : - Je leur ai conseillé de faire. Hum. Vous savez quoi dans les dortoirs, alors c'est la bas qu'ils doivent être même si Van n'a pas de chambre.
Duo : - Notre chambre vite ! Merci, à plus tard.
Duo attrapa le bras de Quatre et le tira derrière lui dans sa course effrénée. Ils dévalèrent les escaliers comme des fous, coururent à en perdre haleine dans les couloirs. Ils arrivèrent enfin devant leur chambre, ouvrirent la porte avec fracas et la première chose qu'ils virent en entrant ce fut.
Quatre : - Ses vêtements !?
Duo : - Tout ce qu'il portait aujourd'hui : chemise blanche, pantalon bleu marine avec veste assortie, ceinture, chaussettes et même. Son boxer ?
Quatre : - Les chaussures aussi.
Duo : - Mais qu'est-ce qu'il fout à poil ?
Quatre : - A première vu il n'est pas dans la chambre. Va voir dans la salle de bain.
Duo : - C'est sur que si il était dans la chambre à poil je l'aurai remarqué. Je vais voir.
Quatre : - Attends ! D'après le délégué, il se pourrait qu'Heero ne soit pas seul alors reste discret, pendant ce temps moi je cherche ici d'éventuels indices.
Duo traversa la chambre pour arriver devant la porte de la salle de bain. Ils avaient eut de la chance, le directeur les avait placé dans une chambre confortable avec salle de bain, WC et jolie vue par la fenêtre. Duo posa son oreille sur la porte, comme il n'entendait rien, il l'ouvrit légèrement. Rien. Il l'ouvrit en grand.
Duo : - Il n'est pas la.
Quatre : - J'ai trouvé une lettre. Je te la lis.
« Chers amis, Je suis désolé de vous laisser seuls tous les deux, c'est seulement pour cette nuit, la mission commencera demain. Vous vous êtes certainement aperçu de mon brusque changement ce matin, le soldat parfait s'est volatilisé quand il a rencontré Van. Je ne peux pas l'expliquer, toutes ces émotions sont nouvelles pour moi alors je vous demande de me laisser cette nuit pour y réfléchir et demain vous aurez des explications.
Bonne nuit Heero
Ps : Je compte sur toi Quatre, si tu vois de quoi ou plutôt de qui je parle, ça se voit comme le nez au milieu de la figure alors vas-y, fonce. »
Duo : - J'y crois pas, il est parti à poil.
Quatre : - Mais non il s'est changé avant de partir.
Duo : - Tu peux me passer la lettre ?
Quatre : - Oui bien sur.
Duo : - Humm ! Très intéressant. Tu peux m'expliquer Quatre ?
Quatre : - Quoi donc ?
Duo : - Joue pas l'innocent. De quoi parle Heero ? Qu'est-ce qui ce voit comme le nez au milieu de la figure ?
Quatre arracha la lettre des mains de Duo tout en se mettant à rougir.
Quatre : - Mais c'est rien. Rien du tout.
Duo : - Vas-y crache le morceau.
Quatre : - Non je n'ai pas l'intention de te révéler quoi que se soit sur ma vie amou. Oh non ! Je me suis fait avoir. Oublie ce que je viens de dire.
Le sourire de Duo s'élargi.
Duo : - Amoureuse ? Ta vie amoureuse, alors c'était ça. Quelle honte ! Je me suis aperçu de rien, je ne suis pas digne d'être ton ami. Je ne pourrais même pas t'aider car je ne sais pas qui ça peut être.
Le sourire disparu laissant place à de la tristesse.
Quatre : - Ne te mets pas dans un tel état. Si je te dis que cette personne est très proche de toi, c'est mieux ?
Duo : - Non, c'est pire.
Quatre prit Duo dans ses bras et commença à le bercer.
Quatre : - Pourquoi ?
Duo referma ses bras autour de la taille de Quatre et le serra le plus fort qu'il le pouvait sans lui briser les os.
Duo : - Savoir que la personne qui vous est la plus chère, soit amoureuse d'un de vos proches, n'est pas particulièrement réjouissant.
Quatre : - Oh ! Duo je m'en veux.
Duo s'éloigna de l'étreinte qu'il adorait tant.
Duo : - Non, c'est pas ta faute, j'ai été stupide de te dire un truc pareil.
Duo tenta de sortir de la chambre lorsque deux bras l'enserrèrent par la taille et la douce voix de Quatre lui expliqua que c'était un malentendu.
Quatre : - Excuse moi Duo. Je pensais que tu aurais trouvé qui j'aimais mais je ne voulais pas te mettre dans cet état. Si je t'avais dit dés le début que la personne dont je parlais était en réalité celle avec qui je parlais, tu n'aurais certainement pas le c?ur brisé à cause de moi. Je suis désolé, vraiment désolé. Je t'aime Duo, ne m'en veux pas s'il te plaît ?
Duo : - Non je ne t'en veux pas et ne t'en voudrai jamais, moi aussi je t'aime Quatre, moi aussi.
Duo se retourna pour être en face de Quatre, il fit glisser sa main sur son délicat visage et se perdit dans un magnifique turquoise qui quelque seconde plus tôt avait failli être noyé de larme. Ils rapprochèrent leurs visages puis celèrent leurs lèvres d'un doux baiser. Pour la première fois de leur vie, ils se sentaient réellement bien. Bonheur et plaisir mélangés, dans deux c?urs comblés qui s'étaient crées un amour secret.
A SUIVRE.
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Shiro Tenshi : Et voilà, fin du 3éme chapitres. Ben je vous l'avais dit que Pusy-Quat n'était pas avec Trochoux. Wu-Men était toujours seul alors je l'ai mis avec Trochoux. Le prochain est du pur lemon, alors je vous préviens que si vous n'aimez pas, ben j'en suis désolée. Moi j'aime bien les limes et les lemons alors je voulais essayer. J'espère que ce chapitre vous a plu, si oui et même si non, écrivez moi : ShiroTenshi_du26@yahoo.fr
¤¤¤¤¤ Ciao ¤¤¤¤¤
Auteur : Shiro Tenshi
Genre : Yaoi - Crossover - Romantique - Lime
Sources : Gundam Wing / Escaflowne
Couples : Heero / Van ; et surprise à la fin
Disclamer : Troisième volet de ma fic « L'allié du c?ur ». J'espère que si le début vous a plu ça continuera dans cette voie. Toujours et à jamais une simple fane de Gundam Wing et d'Escaflowne. Pour toutes les fanes de Trochoux/Pusy-Quat ainsi que celles de Hee-Chan/Duo no Baka, je suis vraiment désolée mais j'ai tout changé, ne m'en voulez pas s'il vous plaît. OOC d'Hee-Chan. Lisez et appréciez je l'espère. Bonne lecture.
Nota : entre // pensées de Heero // ; entre ¤¤¤¤¤ Changement de lieu et/ou de jour et/ou d'heure ¤¤¤¤¤
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CHAPITRE 3 : Le local à balais
Les deux jeunes hommes marchèrent dans les couloirs en direction des dortoirs. Quand ils s'apprêtèrent à passer un angle de couloir, Heero reconnut au loin Duo et Quatre qui venaient dans leur direction.
Heero : - K'so, ils arrivent.
Van : - T'en fais pas et suis moi.
Van prit Heero par la manche de son uniforme et l'entraîna dans un petit local à balais non loin d'où ils étaient.
Van : - Reste là, je monte la garde.
Heero : - Non, viens avec moi, si Duo te voit, il ne te lâchera plus d'une semelle pour savoir comment tu as fait pour me changer.
Van : - D'accord mais on va être serré, j'espère que tu ne crains pas la proximité.
Heero : - Non, ça va aller.
Le local était vraiment minuscule mais ils arrivèrent quand même à y entrer tous les deux. Leur deux corps étaient collés l'un contre l'autre.
// Cette situation est des plus embarrassantes mais pas tellement désagréable en fin de compte. Je sens son souffle chaud dans mon cou, ce qui me donne des frissons sur tout le corps. Le sentir aussi près de moi. J'ai son cou à porter de bouche, j'aimerai l'embrasser, juste savoir quel goût il peut bien avoir mais je ne dois pas, ce ne serait pas bien. J'entends des pas dans le couloir, c'est certainement Duo et Quatre. Je ne me soucis pas d'eux. La seule chose qui m'importe c'est le souffle de Van dans mon cou. Quelle douce chaleur. Oh non ! C'est pas possible ! C'est un cauchemar je vais me réveiller ! Pourquoi est-ce que je me sens réagir aussi fortement au toucher involontaire de l'une de ses cuisses sur mon entre jambe ? J'ai honte. Quelle horreur, si jamais il s'en aperçoit, il va me prendre pour un obsédé et va me laisser tomber vite fait. Je ne veux pas qu'il me laisse seul. Mon dieu ! Il faut que j'arrête de penser à ça. Je ne vais pas bien dans ma tête, voilà que maintenant j'ai l'impression qu'il est dans le même état que moi, ce que je sens sur ma cuisse ne peut être que le fruit de mon imagination ainsi que ses douces lèvres sur mon cou. J'en peux plus. Je deviens fou. Il me faut le goûter. Rien qu'une fois. Juste une seule petite fois après ce sera tout. Je pose délicatement mes lèvres dans son cou et le sens frissonner. Sa peau est si douce, il sent si bon. Je m'éloigne à coutre c?ur de son cou et m'excuse vivement pour la gène occasionnée. Heureusement qu'il me reste encore un peu de raison car si je n'en avais plus, je n'aurais probablement pas pu m'arrêter. Douce et caressante main, pourquoi votre chemin vous a emmené jusqu'à ma joue ? Parfaite, sa main est toute aussi parfaite que son être. Délicatement il fait pivoter ma tête pour que nos visages soient face à face. Ses lèvres s'approchent des miennes comme si elles avaient toujours été destinées. Quant elles se furent unies, un éclair me foudroya mais lorsque sa langue caressa mes lèvres se fut presque l'arrêt cardiaque, j'exagère beaucoup car mon c?ur avait simplement loupé quelques battements. J'entrouvris mes lèvres pour laisser passer sa langue. Sa deuxième main qui s'était installée sur ma hanche, alla sous ma chemise et commença à me caresser le ventre, puis elle monta vers ma poitrine mais malheureusement pour elle et pour moi, comme ma chemise était pas très large, sa main ne put pas atteindre son objectif. Il la retira de dessous et s'apprêtait à en défaire les boutons lorsque la porte du locale s'ouvrit.//
Garçon : - Vous n'aviez rien à faire la ! Si je vous ai dérangé c'est uniquement votre faute, il y a les dortoirs pour ce genre de chose.
Van : - Euh ! Désolé. Viens Heero on va chercher tes affaires si tu veux toujours dormir chez moi.
Heero : - Bien sur que oui.
Les deux jeunes hommes étaient frustrés mais heureux de leurs échanges. Ils ne désiraient qu'une chose : recommencer.
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¤¤¤¤¤ Salle d'étude ¤¤¤¤¤
Duo : - Ben alors délégué, t'en fais une tête, on dirait que t'as vu un zombie.
Délégué : - J'ai. J'ai vu ton ami.
Duo : - Et c'est pour ça que tu fais cette tête ?
Délégué : - Il était avec Van.
Duo : - Où les as-tu vu ?
Délégué : - Ils étaient. Ils étaient entrain de. De.
Duo : - Eh ! Oh ! Tu m'écoute ? Ils étaient où ? Qu'est-ce qu'ils faisaient ?
Délégué : - Ils s'emb. Ils s'embrassaient.
Duo : - QUOI ?
Quatre : - Que t'arrive-t-il Duo ?
Duo : - Il vient de me dire qu'il a vu Heero, notre ICEBERGMAN, embrassant Van, l'inconnu de ce matin.
Quatre : - Tout à l'heure quand on le cherchait, j'ai essayé de me connecter à lui avec mon empathie mais comme j'avais reçu des ondes de bonheur très intenses je pensais m'être trompé de personne, apparemment non.
Duo : - J'ai tout essayé pour le changer mais j'ai toujours échoué, j'ai même fini par croire qu'il n'avait réellement pas de c?ur.
Délégué : - Il a énormément changé ou alors ce n'était pas lui car quand je les ai surpris, il y avait tellement de désir dans ses yeux ainsi que dans ceux de Van, j'ai même décelé, si je ne me trompe pas, de l'amour. Oui de l'amour, si je ne les avais pas dérangé dans ce petit local à balais au troisième étage du second bâtiment, ils seraient sans aucun doute allés plus loin.
Duo : - Merci pour les renseignements. Viens Quatre, il faut les retrouver.
Quatre : - Attends Duo ! Délégué serais-tu où ils sont maintenant ?
Délégué : - Je leur ai conseillé de faire. Hum. Vous savez quoi dans les dortoirs, alors c'est la bas qu'ils doivent être même si Van n'a pas de chambre.
Duo : - Notre chambre vite ! Merci, à plus tard.
Duo attrapa le bras de Quatre et le tira derrière lui dans sa course effrénée. Ils dévalèrent les escaliers comme des fous, coururent à en perdre haleine dans les couloirs. Ils arrivèrent enfin devant leur chambre, ouvrirent la porte avec fracas et la première chose qu'ils virent en entrant ce fut.
Quatre : - Ses vêtements !?
Duo : - Tout ce qu'il portait aujourd'hui : chemise blanche, pantalon bleu marine avec veste assortie, ceinture, chaussettes et même. Son boxer ?
Quatre : - Les chaussures aussi.
Duo : - Mais qu'est-ce qu'il fout à poil ?
Quatre : - A première vu il n'est pas dans la chambre. Va voir dans la salle de bain.
Duo : - C'est sur que si il était dans la chambre à poil je l'aurai remarqué. Je vais voir.
Quatre : - Attends ! D'après le délégué, il se pourrait qu'Heero ne soit pas seul alors reste discret, pendant ce temps moi je cherche ici d'éventuels indices.
Duo traversa la chambre pour arriver devant la porte de la salle de bain. Ils avaient eut de la chance, le directeur les avait placé dans une chambre confortable avec salle de bain, WC et jolie vue par la fenêtre. Duo posa son oreille sur la porte, comme il n'entendait rien, il l'ouvrit légèrement. Rien. Il l'ouvrit en grand.
Duo : - Il n'est pas la.
Quatre : - J'ai trouvé une lettre. Je te la lis.
« Chers amis, Je suis désolé de vous laisser seuls tous les deux, c'est seulement pour cette nuit, la mission commencera demain. Vous vous êtes certainement aperçu de mon brusque changement ce matin, le soldat parfait s'est volatilisé quand il a rencontré Van. Je ne peux pas l'expliquer, toutes ces émotions sont nouvelles pour moi alors je vous demande de me laisser cette nuit pour y réfléchir et demain vous aurez des explications.
Bonne nuit Heero
Ps : Je compte sur toi Quatre, si tu vois de quoi ou plutôt de qui je parle, ça se voit comme le nez au milieu de la figure alors vas-y, fonce. »
Duo : - J'y crois pas, il est parti à poil.
Quatre : - Mais non il s'est changé avant de partir.
Duo : - Tu peux me passer la lettre ?
Quatre : - Oui bien sur.
Duo : - Humm ! Très intéressant. Tu peux m'expliquer Quatre ?
Quatre : - Quoi donc ?
Duo : - Joue pas l'innocent. De quoi parle Heero ? Qu'est-ce qui ce voit comme le nez au milieu de la figure ?
Quatre arracha la lettre des mains de Duo tout en se mettant à rougir.
Quatre : - Mais c'est rien. Rien du tout.
Duo : - Vas-y crache le morceau.
Quatre : - Non je n'ai pas l'intention de te révéler quoi que se soit sur ma vie amou. Oh non ! Je me suis fait avoir. Oublie ce que je viens de dire.
Le sourire de Duo s'élargi.
Duo : - Amoureuse ? Ta vie amoureuse, alors c'était ça. Quelle honte ! Je me suis aperçu de rien, je ne suis pas digne d'être ton ami. Je ne pourrais même pas t'aider car je ne sais pas qui ça peut être.
Le sourire disparu laissant place à de la tristesse.
Quatre : - Ne te mets pas dans un tel état. Si je te dis que cette personne est très proche de toi, c'est mieux ?
Duo : - Non, c'est pire.
Quatre prit Duo dans ses bras et commença à le bercer.
Quatre : - Pourquoi ?
Duo referma ses bras autour de la taille de Quatre et le serra le plus fort qu'il le pouvait sans lui briser les os.
Duo : - Savoir que la personne qui vous est la plus chère, soit amoureuse d'un de vos proches, n'est pas particulièrement réjouissant.
Quatre : - Oh ! Duo je m'en veux.
Duo s'éloigna de l'étreinte qu'il adorait tant.
Duo : - Non, c'est pas ta faute, j'ai été stupide de te dire un truc pareil.
Duo tenta de sortir de la chambre lorsque deux bras l'enserrèrent par la taille et la douce voix de Quatre lui expliqua que c'était un malentendu.
Quatre : - Excuse moi Duo. Je pensais que tu aurais trouvé qui j'aimais mais je ne voulais pas te mettre dans cet état. Si je t'avais dit dés le début que la personne dont je parlais était en réalité celle avec qui je parlais, tu n'aurais certainement pas le c?ur brisé à cause de moi. Je suis désolé, vraiment désolé. Je t'aime Duo, ne m'en veux pas s'il te plaît ?
Duo : - Non je ne t'en veux pas et ne t'en voudrai jamais, moi aussi je t'aime Quatre, moi aussi.
Duo se retourna pour être en face de Quatre, il fit glisser sa main sur son délicat visage et se perdit dans un magnifique turquoise qui quelque seconde plus tôt avait failli être noyé de larme. Ils rapprochèrent leurs visages puis celèrent leurs lèvres d'un doux baiser. Pour la première fois de leur vie, ils se sentaient réellement bien. Bonheur et plaisir mélangés, dans deux c?urs comblés qui s'étaient crées un amour secret.
A SUIVRE.
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Shiro Tenshi : Et voilà, fin du 3éme chapitres. Ben je vous l'avais dit que Pusy-Quat n'était pas avec Trochoux. Wu-Men était toujours seul alors je l'ai mis avec Trochoux. Le prochain est du pur lemon, alors je vous préviens que si vous n'aimez pas, ben j'en suis désolée. Moi j'aime bien les limes et les lemons alors je voulais essayer. J'espère que ce chapitre vous a plu, si oui et même si non, écrivez moi : ShiroTenshi_du26@yahoo.fr
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