-- Et c'est quoi toutes ces bêtises qu'ils ont faîtes ? demanda Sakura, curieuse.

-- Oh, répondit Tiffany, je me demande si tu ne préfèrerais pas que Lionel nous les raconte lui-même.

-- Ce serais amusant, dit Sakura.

Tiffany dévisagea alors son amie :

-- Toi, tu as quelque chose qui ne va pas bien, je me trompe ?

-- Non, tu as raison, admit Sakura. Mais comment elle a fait pour s'en rendre compte ? pensa-t-elle. Les cartes ont disparues cette nuit, continua- t-elle.

-- Quoi ? Et il t'en reste ?

Sakura fait "non" de la tête.

-- Même pas une ? La carte du Vent, ou de l'Arbre, ou une autre ? Ce sont des cartes paisibles.

Pour toute réponse, Sakura soupira :

-- Mais Lionel a du en parler à ses amis, il m'a dit qu'ils connaissaient l'existence des cartes.

-- Super, on aura pas à ménager nos paroles devant eux !

-- Tu as raison. On en parlera à la pause avec Lionel et Justin.

-- Entièrement d'accord !

La cloche sonne, tout le monde va à sa place en vitesse, puis le silence se fit lorsque M. Terada entra :

-- Très bien, les enfants, annonça-t-il, à partir d'aujourd'hui, un nouveau professeur va vous enseigner les mathématiques, suite à la démission de M. Tsutsumi.

Il y eut des murmures dans la classe, puis le silence s'installa de nouveau lorsque M. Terada demanda au nouveau prof d'entrer.

Sakura fut très surprise : Katia Moreau, pensa-t-elle. Tous les anciens élèves commencèrent à se parler entre eux ou à chuchoter des commentaires à ceux qui ne connaissaient pas Mlle Moreau.

-- Dis donc, Sakura, c'est assez étrange, chuchota Tiffany, cette nuit, tes cartes disparaissent, et aujourd'hui, Mlle Moreau revient.

-- Tu as raison Tiffany, j'irai lui parler à la pause.

A la pause, toujours dans la salle, devant le bureau du prof :

-- Mlle Moreau, si vous êtes revenue, c'est parce qu'il y a un problème de magie, n'est-ce pas ?

-- En effet, ma petite Sakura, et à voir ta tête, tu sembles au courant de quelque chose.

-- Heu, oui. . . fit-elle, rougissante. Mais pourquoi tout le monde peut lire sur mon visage ? pensa-t-elle. Mes cartes ont disparues cette nuit, avoua-t-elle en baissant la tête.

-- Toutes ? Tu es sûre ?

-- Eh bien . . .

-- On n'a pas eu le temps de vérifier, Mademoiselle, répondit une voix.

Toutes les trois (y a aussi Tiphany) se tournèrent vers la porte, et découvrirent Lionel et Justin.

-- Bonjour Lionel, dirent Melle Moreau et Tiphany.

-- Bonjour Justin, fit Sakura.

-- Ah, donc tu t'appelles Justin ? demanda Melle Moreau. Enchantée, je suis Katia Moreau, la professeur de mathématiques.

-- Et aussi la prêtresse du temple, fit Justin. Lionel m'a déjà tout raconté.

-- Ah, et bien, je vais vous laisser; le fait que Sakura m'aie appris la disparition de ses cartes me suffit amplement.

Puis, elle partit.

-- Ben Lionel, t'avais raison, elle a beau être belle, elle est vraiment bizarre. fit Justin.

-- Ouais, faudrait profiter de la pause, on a des trucs à se dire, dit Lionel.

Ils sont dans un coin, en train de manger.

-- Lionel, dit aussitôt Sakura, c'était quoi ton hypothèse de ce matin ?

Lionel fit soudain une tête d'enterrement, puis lâcha :

-- Ca fait quelques mois que c'est arrivé, mais je ne m'en souviens que maintenant. Un homme. Avec des pouvoirs magiques. Je me baladais, c'était la nuit, et puis plus rien. J'avais du être assommé. Quand je me suis éveillé, je me trouvais dans une drôle de salle. Et l'homme était toujours là. Je ne pouvais pas voir son visage, il était dans l'ombre. Et on aurait dit qu'il murmurait à peine, comme s'il pensait pour communiquer.

-- Et il t'a parlé ? demanda avidement Sakura.

Lionel fit un tout petit signe de tête pour répondre que oui, puis poursuivit son récit :

-- Il m'a parlé, en effet. Il a tout de suite reconnu que je faisais partie de la famille de Clow. C'est d'ailleurs pour ça qu'on m'avait emmené là- bas, même si j'ignore toujours où j'étais. Il avait effectivement parlé des cartes. Il a dit que ce ne serai pas aussi facile que pour les cartes de Clow.

-- Ca veut dire . . . fit Sakura.

-- . . . que ce drôle de bonhomme était au courant de ce qui allait se passer, termina Justin. Et je suis sûr que c'est lui qui a libéré les cartes ! Tu peux pas nous dire autre chose que tu as entendu, Lionel ?

-- Et bien, le reste est plutôt flou, je ne me rappelle pas ce qu'il s'est passé ensuite, j'ai du me rendormir - ou être assommé de nouveau - et je me suis réveillé dans la rue, sur un banc. Ce qu'il y a de bizarre, c'est que je ne m'en rappelle que maintenant. Ce souvenir n'est jamais ressorti auparavant.

Le silence tomba alors sur le petit groupe, dont chacun était plongé dans ses pensées. Puis Sakura prit enfin la parole :

-- A votre avis, pourquoi est-ce que Mlle Moreau est partie subitement ? Et cette phrase "le fait que Sakura m'aie appris la disparition de ses cartes me suffit amplement ", qu'est-ce qu'elle voulait dire ? Vous croyez qu'elle avait un doute, et que maintenant qu'elle sait que mes cartes ont disparues, ça le confirme ?

-- Nous n'en savons rien Sakura, fit Tiffany. Mais nous pourrons lui demander plus d'explications demain.

-- Oui, tu as raison, et c'est la première fois de ma vie qu'il faut que je cours après un prof de maths !

Tous se mirent à rire, ce qui leur fit évidemment beaucoup de bien. Une dizaine de minutes après, le gang arriva et se joignit à eux. Lionel et Justin commencèrent à raconter tous les mauvais coups qu'ils avaient faits ensemble depuis qu'ils se connaissaient, et Sakura, en entendant ça, fut surprise : Lionel, ce garçon toujours sérieux, et dont les sourires étaient rares avait fait tant de bêtises ? Malheureusement, ils durent mettre fin à leur récit, car la cloche sonna, et tous rejoignirent leurs classes respectives.

Sur le chemin du retour, Sakura et Lionel se tenaient la main (bien sûr), et essayaient de penser à autre chose que les cartes.

-- Et donc, fit Lionel pour engager la conversation, tu vas apprendre le chinois ?

-- Oui, répondit-elle, mais toi tu as plus de chance, tu connais déjà le japonais !

-- Et oui, feignit-il (comme un acteur de théâtre), la vie est injuste avec toi, tu vas devoir étudier plus que moi.

-- Mais si tu me sers de prof particulier, je ferais volontiers des heures supplémentaires ! roucoula Sakura. Car étudier rien qu'avec toi, ç'est sûrement le paradis. . .

-- Ah, tu crois ça ? Attends un peu, ma p'tite ! Tu vas être servie ! Je te donnerai plein de punitions, et peut-être aussi des heures de colle !(vous avez compris qu'ils sont dans leurs petits délires amoureux)

-- Des heures de colles, hein, répéta-t-elle. Et en quel honneur ?

-- Pour pouvoir passer du temps libre avec toi, lui murmura-t-il tendrement à l'oreille.

Sakura le regarda dans les yeux en souriant : il était tellement beau, tellement gentil, et si romantique . . . que parfois, elle se demandait vraiment comment elle avait pu être attirée par Mathieu. D'accord, ce dernier était gentil, mais Lionel, c'était Lionel. Il était unique au monde, et elle s'estimait souvent chanceuse d'être avec ce si beau garçon. Et depuis longtemps, elle s'était fait la promesse de tout faire pour ne pas le décevoir. Pour lui montrer qu'elle était digne d'avoir été choisie par lui.

-- Tu n'es pas obligé de me mettre des heures de colle pour ça, sourit- elle, je n'aurais qu'à demander à Kéro de sortir de la chambre. Même pour toute la nuit s'il le faut. . . Ah, on est arrivés !

Ils entrèrent donc dans la maison, saluèrent Dominique qui préparait le dîner, et comme s'il avait compris ce que comptaient faire les deux adolescents, ils leur adressa un petit clin d'oil. Les deux concernés rougirent brutalement, mais lui répondirent avec un petit sourire. Ils montèrent les escaliers en courant, puis Sakura ouvrit la porte de sa chambre, et découvrit Kéro qui dormait. Elle l'emmena très vite dans la chambre de Thomas, puis repartit dans la sienne avec Lionel. A peine les deux amoureux refermèrent la porte, qu'ils s'embrassèrent comme des déchaînés (excusez-moi l'expression), et se laissèrent tomber sur le lit, leurs bouches toujours collées l'une à l'autre (ben oui, pas à celle du voisin !). . . Ils étaient tous deux allongés, s'embrassaient toujours, mais un peu plus calmement. Après un moment (interminable)les deux tourtereaux séparèrent leurs lèvres. Ils se regardaient dans les yeux, avec un petit sourire, et sans dire un mot. Rien n'aurait pu briser cet instant magique. Sakura soupira de bonheur en fermant les yeux, et se blottit encore plus dans les bras de Lionel. (ils ne s'étaient toujours pas lâchés)A son tour, Lionel ferma les yeux. Ils restèrent comme ça pendant une dizaine de minutes, puis on entendit le bruit de la porte d'entrée : -- C'est moi ! lança Thomas d'en-bas.

-- Kéro ! S'exclamèrent les deux amoureux en ouvrant soudain les yeux.

Sakura partit vite à la rencontre de son frère pendant que Lionel allait chercher Kéro(qui est, je le rappelle, dans la chambre du frangin)car Thomas venait de finir de monter les escaliers.

-- Heu, salut Thomas, dit nerveusement Sakura en se mettant devant son frère pour lui barrer le chemin. T'as passé une bonne journée ?

-- Depuis quand ça t'intéresse, petit monstre ? répondit alors Thomas, méfiant.

-- On voulait juste savoir s'il t'était arrivé des bricoles, lança Lionel qui venait de surgir derrière Sakura, car je suis sûr que ça nous aurait fait bien rire !

-- Grrrrrrrrrrr ! Sale morveux ! Je me demande comment je peux laisser ma sour te fréquenter !

-- Je peux te donner la réponse, si tu veux, répliqua Lionel. C'est parce que tu ne peux pas la coller 24h/24, avec ton air de fasciste(on prononce fachiste). Ou même de nazi.

-- Moi, un facho ? se fâcha Thomas. (d'accord la phrase est vraiment cul- cul)

-- Ben ouais, tu l'obliges à faire ci, elle doit pas faire ça, c'est vraiment de la dictature, à ce point-là !

Thomas était vraiment furieux, mais lorsqu'il plongea son regard dans celui du morveux, il comprit que ce dernier ne pensait pas ce qu'il avait dit : il voulait simplement lui clouer le bec. Et il avait réussi. Lionel avait compris qu'il avait été percé à jour. Il adressa donc un sourire mesquin à Thomas. Celui-ci le lui rendit, puis déclara :

-- Un point pour toi . . . morveux !

Sakura était vraiment surprise : que c'était-il passé ? Ils s'étaient regardés, puis souris, et Thomas lui avait accordé la victoire. C'était à n'y rien comprendre !

-- Lionel, dit-elle en rentrant dans sa chambre, qu'est-ce qu'y c'est passé ?

-- Et bien, quand on s'est regardé, ton frère et moi avons eu une sorte de . . . comment dirais-je ? Un peu comme si. . . comme si on avait eu une conversation-très courte-, mais sans paroles.

-- De la télépathie ? demanda avidement Sakura.

-- Non, répondit simplement Lionel, je crois que c'est différent. Mais pourtant, ça ne me semble pas dangereux, c'est assez familier. Mais il m'a percé à jour.

-- Quoi ?

-- Il avait compris que je ne pensais pas un mot de ce que j'ai sortit. Que je voulais juste lui rabattre le caquet.

-- T'es adoraaaaaaaable, lui confia Sakura en l'enlaçant tendrement, tu es vraiment chou de ne penser aucune de tes insultes.

Lionel la regarda avec un sourire, puis lui passa la main dans les cheveux. Il était sûr que Thomas avait des doutes sur les activités de sa sour.

-- A table les enfants ! lança Dominique depuis la cuisine.

Après le dîner, dans la chambre de Sakura:

-- Mmmmmmhhhhh ah ! J'ai super bien dormi, lança joyeusement Kéro en s'étirant. Ouah ! du flan !

Lionel et Sakura étaient remontés avec du flan pour Kéro, et en attendant que le gardien se réveille, ils étaient en train de s'en partager un autre(ils ne pouvaient pas en monter trois sous le nez de Dominique et Thomas).

-- C'est chouette que tu sois réveillé Kéro, dit aussitôt Sakura.

Elle lui explique alors l'étrange comportement de Mlle Moreau, la mésaventure de Lionel, et l'avis de Justin.

-- T'as raison, c'est plutôt bizarre. Et, qu'est-ce que c'est que ça ?

-- Quoi donc ?

-- Ce papier rose sous la photo du morveux !

-- On dirait que c'est. . . fit le principal intéressé. Mais oui, on dirait une carte !

-- Quoi ?

-- Oui, c'est bien ça.

Mais soudain, la carte s'envola et sortit par la fenêtre. Les trois personnes la suivirent aussitôt (par la fenêtre), mais la perdirent de vue. Sakura sortit alors son cellulaire et composa le numéro de Tiffany. Celle- ci arriva quelques minutes plus tard accompagnée de Justin. En quelques secondes, Sakura lui expliqua ce qui venait de se produire.

-- A mon avis, c'était la carte de l'Amour, fit la jeune fille, c'est la seule que j'ai touché dernièrement.

Lionel devint alors très gêné. Il s'en voulait encore d'avoir douté des sentiments de Sakura.

mais tout-à-coup, une jolie femme apparut devant eux. Elle était belle, et sa robe, son visage, ses cheveux, ses yeux, tout était rose. Dans différents tons, certes, mais rose quand même. Elle brillait d'une intense lumière. . . rose ! La seule chose qui n'était pas rose, c'était le cour ailé qu'elle tenait entre ses mains : il était rouge avec des ailes blanches.

Il n'y avait aucun doute : c'était la carte de l'Amour. L'élégante femme leur sourit puis retourna à sa forme de carte. Sakura se précipita pour la ramasser, mais. . .

-- Ce n'est pas une carte de Sakura ! s'exclama-t-elle.

-- Hein ? Quoi ? fit Kéro. Fais voir !

Il prit la carte et la regarda attentivement. Lorsqu'il la mit face à lui, tout le monde puis regarder le dos de la carte : le sceau était assez étrange, il n'était pas rond, comme celui de Clow, mais pointu : il représentait un hexagone (carré à 6 côtés). 3 traits partaient de chaque extrémité.(suivez-moi bien, parce que c'est dur à expliquer). Le trait du milieu se terminait sur l'angle d'en face, et les deux autres, terminaient leur course sur les angles entourant celui sur lequel le trait du milieu avait terminé sa course. (Vous avez suivi ?)Comme cela se faisait à chaque extrémité, tous les traits se croisaient. Les caractères qui ornaient ce drôle de sceau étaient chinois, mais Sakura ne reconnaissait pas les autres. "Ca doit être du Grec ou du Russe" avait dit Lionel.(Je vous aurais volontiers envoyé un dessin, mais j'ai pas de quoi le mettre sur l'ordi)Le sceau était jaune sur un fond violet foncé.

Kéro retourna la carte pour voir le dos, et montra donc aux autres la face. C'était comme les cartes de Clow ou de Sakura, sauf les couleurs, qui donnaient à cette carte un air triste. La jeune femme n'était plus rose, mais grise(comme les cartes de Clow)et le cour aussi, et le fond noir, tandis que le cadre était marron pas beau. en bas, le nom "The Love" était écrit dans une langue qu'ils ne connaissaient pas. En bas, sous le nom de la carte, un nom était écrit au crayon : Jason.

-- Une carte de Jason ? demanda Sakura.

-- Jason, Jason, fit Kéro qui réfléchissait. Ce nom ne m'est pas inconnu, amis pourtant. . . c'est comme un souvenir lointain.

-- On pourra en parler à Mlle Moreau demain, fit Tiffany en enlevant le caméscope de son visage(elle avait filmé la carte).

-- La seule carte qui nous restait n'est même plus une carte de Sakura, souffla Lionel.

-- Lionel ! s'exclama soudain Justin. Ce type qui t'a mis dans les pommes, (assommé, si vous préférez), il t'a parlé des cartes, non ? Si on récapitule : un drôle d'oiseau t'enlève et te cause des cartes et tu ne t'en souviens plus, ensuite ces mêmes cartes disparaissent, ta prof bizarre revient, la seule carte qui reste se fait la malle, et revient sous le nom de quelqu'un d'autre ! Ca commence à faire beaucoup, non ? Et ce Jason, je suis sûr que c'est lui qui t'a buté, y a quelques mois !

-- Du calme Justin, pour l'instant, nous n'en savons rien.

-- Lionel a raison , fit Tiffany, nous ferions mieux de rentrer chez nous.

Tous rentrèrent, et arrivée chez elle, Tiffany demanda à Justin comment cela se faisait qu'il connaisse les cartes de Clow et de Sakura.

-- Ce n'est pas par accident, toute la ville est au courant. Déjà quand elle habitait à Hong Kong, la mère de Clow était connu, alors par la suite, sa descendance fut connue, elle aussi. Les Li sont une famille vraiment chouette, je peux te l'assurer. Lionel, ses 4 s?urs et sa mère ainsi que Stéphanie habitent dans une superbe grande maison, à Hong Kong.

-- Ca fait bizarre de savoir ça, fit Tiffany, quand tu penses que Lionel se contentait d'un appartement, lorsqu'il était ici !

-- Lionel se contente toujours de peu, répondit Justin, mais surtout, ne lui dis pas que je t'ai raconté ça, hein ? Il m'en voudrait après. Il n'aime pas qu'on parle de lui.

-- J'ai pu le constater, en effet, mais c'est normal si on voit bien, il n'a plus de papa, il ne doit pas se confier souvent à ses s?urs ou à sa mère !

-- C'est tout à fait vrai ! J'ai une anecdote là-dessus, mais je te la raconterai demain. Bonne nuit.

-- Bonne nuit.

Tiffany rentra dans sa chambre. Elle se sentait bien avec Justin. Le meilleur ami de Lionel. A croire qu'elle et Justin étaient les anges- gardiens de ce couple. C'était une amitié vraiment formidable. Mais c'est de l'amitié, pensa-t-elle. Oui, c'est de l'amitié. Je le connais depuis à peine 2 jours. C'est de l'amitié, et ça ne va pas plus loin. Elle alla se coucher. Chapitre 3 terminé ! Qu'est-ce que vous en pensez ? Dites-moi tout ! Pareil : claire.curaba@free.fr . Réponse garantie ! (peut-être pas immédiate, j'suis pas une machine non plus !)Et Reviews ! Bises Clairette