Titre : Sangs, premier trimestre.

Auteur : Lychee.

Source : HP I, II, III et IV (pour l'instant).

Disclaimer : à J.K.R.… Mais Plume est à moi. Na.

Genre : il m'arrive d'écrire des passages qui ne me serviront à rien… et vu que ça me saoule profondément de les laisser de côté, et ben valà un pitit chapitre bonus… En attendant le prochain trimestre…

Sangs.

Premier trimestre.

Chapitre bonus !

Histoires...

Voldemort se mit à rire et leva sa baguette.

''Endoloris !'' dit-il.

Le Mangemort se tordit sur le sol en poussant des hurlements.

Voldemort leva à nouveau sa baguette et le Mangemort endolori resta étendu à plat ventre, la respiration saccadée.

''Lève-toi, dit Voldemort d'une voix douce. Lève-toi. Tu demandes mon pardon ? Sache que je ne pardonne pas. Et que je n'oublie pas.''

§§§§§§§

19, 20 ans auparavant :

Des coups, des coups, des coups, encore des coups. Severus frappait sans retenue, tout au plaisir de sentir son corps bouger, agir, souffrir et blesser. Il assena un dernier coup de pied à son adversaire, en plaine face, et le MangeMort s'affala avec un grognement.

Pffou…

Il se redressa lentement, reprenant son souffle, et jeta un coup d'œil sadique aux autres hommes qui patientaient en observant le combat.

- Au suivant ?

Ses ''collègues'' détalèrent à toute vitesse.

Il secoua la tête en souriant légèrement, vérifia négligemment que son adversaire était encore en vie, puis l'abandonna là et retourna vers le Château.

- Moi je veux me battre avec vous !

Plume l'avait rattrapé et trépignait sur place, ses grands yeux brillant d'excitation. Severus s'arrêta et le regarda.

- Physiquement, tu es encore beaucoup trop petit.

L'enfant fit la moue.

- Vous pouvez pas en être sûr, si vous ne vous battez pas contre moi !

- Cela ne m'intéresse pas.

- Quoi ? Vous avez peur ? rigola le gosse.

Severus sourit malgré lui. Ce gamin était excellent. Vraiment.

Il se laissa tomber sur un banc et ôta son T-shirt, essuyant la sueur qui lui dégoulinait sur le visage, puis regarda l'enfant debout devant lui.

- Pourquoi veux-tu te battre ?

Plume s'assit machinalement dans l'herbe, le visage pensif. Un autre de ses traits de caractère étonnant : l'enfant pouvait être très sérieux à propos d'une question apparemment anodine, et délirer complètement sur un sujet sérieux. Ou peut-être avait-il en ordre de priorité différent…

- Je voudrais… être plus fort.

- Que les autres ?

- Non ! En fait… plus fort que… que moi.

Le jeune homme ne l'interrompit pas, attentif.

- Se battre… c'est une manière de se maîtriser, non ?

Severus avait toujours du mal à se rappeler que Plume n'avait que 6 ans.

- C'est exact. Ce n'est pas seulement montrer aux autres que tu es plus fort, c'est aussi prendre des responsabilités envers eux et envers toi-même.

- J'aime pas les responsabilités, marmonna l'enfant. Est-ce que… c'est aussi une manière de se connaître mieux ?

Ce fut au tour du Serpentard de prendre le temps de réfléchir.

- Je suppose. C'est une façon de savoir de quoi tu es capable l'important étant de ne pas laisser ta force te monter à la tête.

- C'est ça qui me fait peur…

Le gosse entoura ses genoux de ses bras.

- Normalement, je ne suis pas très fort… mais parfois…

Il se tut, tremblant légèrement.

/ Du sang…/

- Et tu penses qu'en apprenant à te battre, tu pourrais te maîtriser ?

- Ca servirait à quelque chose, que je reste faible ?

- Non. Probablement pas.

- Alors oui, je veux me battre.

Severus se laissa glisser à terre et lui releva doucement la tête.

- Tu sais, tu as encore le temps d'apprendre. Et tu maîtrises de mieux en mieux tes crises.

Un regard timide.

- Vous croyez ?

- Oui.

Le gosse resta silencieux et arracha quelques brins d'herbe d'un air songeur.

- Pourquoi ça fait ça, parfois ? C'est juste parce que je suis en colère ?

- Il doit y avoir une autre raison, mais il n'y a que ton père qui puisse te le dire.

Nouveau silence. Puis léger sourire.

- Alors, je peux me battre contre vous ?

- T'es trop petit.

- Même pas vrai !

Le gamin lui sauta dessus et commença à le bourrer de coups, tapant de ses petits poings crispés sur un Severus mort de rire. Le jeune homme le saisit dans ses bras et le serra contre lui, se relevant souplement. Plume gigotait dans tous les sens.

- Lâchez-moi !

- Ô que non, je m'en vais de ce pas te jeter dans les douves…

- Nan pas les douves !

Le gosse riait aux éclats, aux anges.

- Plume. Snape.

La voix de Voldemort venait de tomber comme un couperet. Severus reposa vivement l'enfant, tous deux comprenant qu'ils avaient légèrement gaffé.

- Père.

- Maître.

- Mon cher élève, demanda pensivement le Mage Noir à Severus qui renfilait précipitamment son T-shirt, je croyais que tu étais en train de t'entraîner ?

- J'ai fini, Maître.

Voldemort jeta un coup d'œil au MangeMort qui se relevait en titubant un peu plus loin.

- Bien. Plume, ton apprentissage de l'Endoloris avance-t-il ?

- Je le maîtrise, Père.

- Sur des humains ?

- Je… je n'ai essayé que sur des animaux, Père.

L'enfant serrait les poings. Severus savait qu'il adorait les animaux.

- Tiens, essaye donc sur Severus, pour voir… Puisqu'il n'a rien d'autre à faire… ajouta son père avec un sourire hideux.

Silence.

Double punition. Le message était clair : on ne s'amuse pas.

Le petit bonhomme leva les yeux.

- Père, il n'est peut-être pas très prudent de le renvoyer à Poudlard avec les marques d'un Endoloris…

- FAIS-LE !!!

Le gosse sursauta mais ne bougea pas. Voldemort eut un rictus. Comment penser qu'il avait pu être beau, un jour ?

- Tu veux peut-être que je te montre comment on fait ?

Plume secoua la tête frénétiquement, puis se tourna vers le jeune homme qui attendait, impassible, ses yeux noirs inexpressifs. S'il n'hésitait encore qu'un peu, s'il ne faisait qu'appliquer timidement la formule, son père n'hésiterait pas à le faire à sa place, puis à le forcer à l'imiter. Et Lui souffrirait deux fois plus.

L'enfant inspira profondément, et jeta un regard atrocement désolé à son ami. Une lueur de compréhension traversa le regard noir comme les ténèbres.

Plume leva les mains.

- Pas de baguette ?

- Je n'en ai pas besoin, Père, répondit l'enfant d'un ton morne.

Voldemort crispa les lèvres :  lancer l'un des Sortilèges Impardonnables sans baguette était quelque chose dont lui-même (ainsi que la quasi-totalité des sorciers de tous les lieux et de toutes les époques) avait toujours été incapable.

- Endoloris !

Severus tomba par terre en hurlant.

Douleur.

Douleur.

Mal…

- Finite Incantatem !

Voldemort ébouriffa les cheveux de son fils d'un air satisfait, puis l'entraîna vers l'intérieur, abandonnant son serviteur haletant sur la pelouse.

Fin.

*_____*

Gneeeeuuuuuhhhh…

Sev torse-nu… en train d'être torturé...

Mweheheeeeeeh… *bave, bave*

Voldemort, adopte-moi. TOUT DE SUITE !

Désolée de vous imposer mes débilités… Gnyahahaaaaaaah…

VEUX MÊÊÊÊÊME !!!!! SEVERUUUUUUUUUS !!!!

Lychee qui a complètement pété les plombs.

En fait en voilà un autre, pour les fans de Killian:

§§§§§§§§

Neuf ans plus tôt et vingt ans plus tôt:

Ce ne fut qu'une fois dans la chambre qu'ils se calmèrent et échangèrent un regard embarrassé. Puis Plume sourit légèrement.

- Merci. Merci, tous les trois.

Et, à leur grande surprise, il les prit chacun leur tour dans ses bras et les serra rapidement contre lui.

- Tu plaisantes, dit enfin Raven après un silence étonné. Je n'aurais jamais pu me regarder dans un miroir si j'avais laissé Dumbledore… enfin si, j'aurais pu, puisque j'aurais tout oublié… mais voilà, quoi.

Charlie hocha la tête et Killian se contenta de se laisser tomber sur un lit. Plume eut un rire joyeux, puis reprit son sérieux.

- Merci, répéta-t-il. Et… euh… est-ce que ça vous vexe si je vous laisse seuls… pardon… je sais que j'ai vraiment l'air d'un ingrat, fit-il d'un ton piteux, mais en fait… je…

Les autres le regardèrent d'un air surpris. Puis Raven se jeta sur lui tandis que Killian et Charlie essayaient encore de comprendre.

- Ca y est? Ca y est? glapit-il en l'empoignant par le col. Noël! Noël! enchaîna-t-il en bondissant de lit en lit alors que les deux autres lâchaient enfin un grand "Aaaaaah!" entendu. Sois sage! lança-t-il juste avant que Plume ne s'enfuie en rougissant.

Une fois leur ami disparu, les trois zigotos éclatèrent de rire. puis se vautrèrent sur les lits.

- C'est OK pour moi, fit Raven au bout d'un moment. Que Plume soit le fils de Voldemort, je veux dire. Après, ce qu'il fait avec le prof de Potions le regarde, rigola-t-il.

- J'ai failli vomir tripes et boyaux, avoua pensivement Charlie. Et puis… son sourire à ce moment… Tu sais, un moment j'ai souhaité ne l'avoir jamais rencontré. J'ai même souhaité qu'il n'existe pas, ajouta-t-il honteusement.

- Moi aussi, répondit tranquillement Raven. On ne peut pas exiger de nous de l'aimer quand il déchiquète à pleines dents. Mais après, oui. Et c'est faisable.

- Ouais…

Charlie sourit, rassuré. Puis se tourna vers le Serpentard qui restait silencieux.

- En tout cas, tu me l'a coupé, Killy! "Cesse d'être stupide, Plume. Ou orgueilleux." C'était de la belle phrase! Et tout à fait ce qu'il fallait!

Le blond sursauta un peu, tiré de ses pensées.

- Oui, acquiesça-t-il vaguement.

Normal. Après tout, il devait bien ça à Plume.

- Killian! KILLIAN! Ô mon Dieu! Viens là, vite!

Sa mère l'empoigna par l'épaule, et l'entraîna vers un coin du salon, où trônait la grande maie où son père enfournait ses papiers – son père qui en ce moment-même poussait de toutes ses forces contre la porte que des gens, dehors, essayaient violemment d'ouvrir. Elle souleva le lourd battant de bois, le saisit sous les bras et le déposa parmi la paperasse, puis le regarda droit dans les yeux, ses beaux iris bleus à peine visibles autour de ses pupilles dilatées par la peur.

- Killian. Killian. Ecoute-moi. C'est très important. Quoi qu'il se passe, quoi que tu entendes, tu ne bouges pas. D'accord? Tu ne sors pas avant qu'il n'y ait plus aucun bruit. C'est compris? Tu fais comme maman te dis, hein?

Elle se pencha et l'embrassa rapidement, puis s'arracha à ses bras suppliants et referma la maie, alors qu'une grande explosion retentissait en direction de l'entrée. Killian se recroquevilla au fond du meuble, étouffant un sanglot. Il avait peur. Il voulait qu'on lui explique pourquoi des gens hurlaient dans sa maison. Il voulait qu'on lui dise que tout allait bien, que le problème allait être arrangé…

Les cris se rapprochèrent et, tremblant, il bougea légèrement pour mettre ses yeux à la hauteur d'une fente dans le bois. Il vit ses parents, de dos, reculer, reculer face à des silhouettes noires aux visages brillants qui brandissaient leurs baguettes vers eux… Sa mère tomba. Elle ne bougea plus. Il comprit qu'elle ne bougerais plus jamais. Son père poussa un cri et tomba au sol, se convulsant spasmodiquement. L'un des hommes en noir leva sa baguette, prononça quelque chose que Killian ne comprit pas parmi les hurlements de son père, et ce dernier s'immobilisa, gémissant sourdement. Un silence paniquant, un répit avant le pire plana alors. L'homme s'agenouilla près de son père, et Killian, entre ses larmes, aperçut alors pour la première fois une silhouette tout aussi sombre mais plus petite et plus fluette parmi les autres. Elle se tenait un peu en retrait, un rayon de lumière jouant sur son masque argenté.

- Où est la formule? siffla l'homme agenouillé.

Son père se contenta de lui cracher au visage.

- De toutes façons, elle doit être dans la maison, intervint un autre homme d'une voix profonde mais froide.

Le premier se releva, donna un coup de pied au corps gémissant, puis hocha la tête comme si une bonne idée venait de lui traverser l'esprit. Il se tourna vers la petite silhouette.

- C'est une bonne occasion, mon Seigneur, déclara-t-il d'un ton sucré et flatteur. Vous qui n'avez encore jamais essayé le Sortilège de Mort…

La petite silhouette resta immobile, puis secoua la tête.

- Non, déclara-t-elle d'une voix sans aucun doute enfantine, mais bien décidée. Je ne le maîtrise pas encore tout à fait.

- Voyons, il n'y a aucun risque, protesta l'homme d'une voix enjôleuse.

- Il y a des risques, Lucius, et tu le sais très bien, le coupa celui à la voix froide. Laisse-le tranquille et fais-le.

Le premier homme grommela. Puis il y eut un éclair vert. Et son père non plus ne bougea plus.

- Très bien, fit le second qui semblait diriger les opérations. Nous cherchons un dossier contenant une formule importante. Il porte un cachet vert. Dispersez-vous et trouvez-le.

Les silhouettes noires s'éparpillèrent. Il ne resta que la plus petite, explorant le salon avec hésitation, et les deux autres hommes.

- C'est touchant, siffla le premier, cette habitude que tu as de toujours le protéger…

- C'est surprenant, rétorqua froidement l'autre, cette manie que tu as de vouloir à tous prix le faire participer à des missions dangereuses… Je ne sais pas si le Lord serait de très bonne humeur si je lui rapportais certaines choses, ajouta-t-il d'un ton menaçant. Plume! enchaîna-t-il alors que l'autre s'éloignait d'un pas rageur. Je te laisse le salon.

- D'accord! répondit vivement la petite silhouette noire avec un signe de la main.

L'homme sortit à son tour, et l'enfant – car il n'y avait plus de doutes à se faire – continua à farfouiller.

Killian se rassit en tremblant de tout son corps. Les hommes, il les avait aperçus dans le journal de son père. Et celui-ci, en parcourrant l'article, fronçait les sourcils avec tristesse. Pourquoi étaient-ils là? Pourquoi avaient-ils fait ça à ses parents?

Des pas légers parcourraient le salon. Et finalement, ce qui devait arriver arriva: une petite main souleva le couvercle de sa cachette, et un visage apparut dans l'interstice.

L'enfant qui le regardait, et qui avait ôté son masque, devait avoir son âge. De légères mèches châtaines encadraient d'immenses yeux écarquillés. Les deux garçons se dévisagèrent pendant une longue minute, Killian tétanisé, l'autre impassible. Puis l'inconnu sourit doucement et lui fit signe de ne pas faire de bruit, avant de se pencher et de saisir l'un des nombreux dossiers qui encombraient le meuble. Puis, après un dernier coup d'œil plein d'excuses, le couvercle retomba.

Killian expira longuement. Pourquoi? Pourquoi n'avait-il rien dit? Ne lui avait-il offert un peu d'espoir que pour mieux révéler sa cachette ensuite? Ou était-il sincère?

Un bruit de pas se fit entendre.

- Plume, je t'ai déjà dit de ne pas ôter ton masque.

- Je l'ai trouvé, M'sieur! Regardez!

- Où était-il? fut la réponse étonnée.

Killian serra les dents.

- Derrière les livres de la bibliothèque!

Il y eu un silence.

- Très bien, dit enfin l'homme. On peut s'en aller.

- Attendez! intervint une autre voix. Il y a une chambre d'enfant à l'étage. Il est peut-être encore là.

La voix froide lui répondit d'un ton agacé.

- Nous serions tombés dessus. Il doit être chez des amis ou de la famille.

- En plus, il n'y a que deux assiettes! intervint gentiment la voix du garçon.

- Voilà qui règle la question. Plume, remet ton masque. On y va.

Killian ne sortit que dix longues minutes plus tard. La maison était sans dessus dessous. Et au milieu du salon, il y avait ses parents.

Il ne sut pas combien de temps il resta à les regarder, une extraordinaire envie de hurler lui déchirant la gorge. Puis il se força à se détourner et se dirigea mécaniquement vers le pot qui contenait la Poudre de Cheminette. Sa dernière pensée, après avoir prononcé le nom du Ministère de la Magie d'une voix tremblante, fut de se demander où avait bien pu passer le couvert manquant. Car il y avait eu trois assiettes: il le savait bien, c'était lui qui avait mis la table.

Puis il fit un pas en avant, vers ce qui l'attendait.

Killian se retourna et enfouit son visage dans l'oreiller. Plume n'avait pas semblé le reconnaître comme lui l'avait reconnu. Mais il fallait dire qu'il ne ressemblait plus guère au petit garçon terré parmi les feuilles d'impôt et les formules secrètes.

Il soupira. Il ne lui en voulait pas – ne lui en voulait plus, plutôt. Que lui reprocher? D'être né dans la mauvaise famille? A Snape, encore un peu. Même si l'homme avait depuis largement payé.

Mais aux autres Mangemorts, oui.

- Hé, les gars! Regardez ce que j'ai fauché aux cuisines hier!

Raven venait d'extirper de sous son matelas une bouteille de Firewhisky.

- Je propose que nous buvions au dépucelage de notre cher ami, annonça gravement le blondinet.

Killian rafla la bouteille et en avala le quart cul-sec sous le regard médusé des deux autres.

- Qui dit mieux? fit-il ensuite avec un ton de défi.

- Killian… t'es tout rouge.

L'adolescent s'était déjà précipité vers les toilettes.

Voilà…

§§§§§§§§

Bon, pour terminer, un petit arbre généalogique…

à Griffe Percevent, Elfe, et Ophris Nathlanee, Elfe, (décédée lors d'une escarmouche avec la Famille Sombre il y a 60 ans)

à à Peeteepee Percevent (mise à l'écart par son clan, décédée trois ans après la naissance de sa fille), qui a une très courte liaison avec Taralo'th, démon-dragon (disparu; décédé?)

à à à Moira Percevent (élevée par son grand-père maternel, a rencontré une fois son père qui lui a laissé comme "excuse" une chaîne en argent lui appartenant, chaîne que récupérera Plume; décédée en couches), séduite par Tom Jedusor (humain? ouais…) alias Voldemort qui la laisse tomber (lui, toujours vivant, merci)

à à à à Plume Percevent (encore vivant… ; son père l'enlève vers ses deux ans du clan Percevent, et l'élève jusqu'à sa première défaite face à Harry Potter; il retourne ensuite chez son arrière-grand-père, y rencontre sa grande-cousine Louve Percevent, fille de Bruine Percevent, sœur de Peeteepee; va vivre à partir de ses seize ans chez les démons-dragons), accessoirement partage toutes ses emmerdes avec le grand amour de sa vie, j'ai nommé: Severus Snape.

Et là, surprise… Ca continue!

BWAHAHAAAH!!! Vous ne vous y attendiez pas, à celle-là, hein?

à à à à à Salazar Snape (Vous vous demandez comment il arrive, lui, hein? ben vous attendrez la fin…) (vit tranquillement entre ses deux papas, va à Poudlard… normal, quoi, enfin dans la mesure d'avoir une famille pareille) et lui finira avec… nan je vous dis pas passke le couple est même pas encore formé…

Vo-a-là!

On s'amuse comme on peut! ^______^

Si certains veulent d'autres détails, n'importe quoi…

Bye!

Au deuxième trimestre…