Bonjour tout le monde. Suite à l'enthousiasme général ( je sais j'en mets un petit peu ; ) voici le second épisode de Éclair de cuivre.

Les réponses aux reviews sont après l'histoire.

Les personnages et les lieux sont propriétés de JK Rowling.

2- Famille éclatée

La pièce était sombre. Derrière un rideau tiré, quelques maigres rayons de soleil se frayait un chemin. Il regarda autour de lui, tout était relativement bien rangé, comme l'aurait été sa chambre, mais une chose était sur, il n'était là. Il tenta de bouger ses jambes, elles refusèrent d'obéir. Il essaya finalement de s'asseoir avec plus de succès. Ses pensées n'étaient plus clair. Quelle date était-il ? Que faisait-il dans cet endroit étrange ? En aucun cas il n'aurait su le dire. La seule chose dont il était sur, c'est que la personne qui l'avait hébergé venait du monde sorcier. Il y avait sur le mur deux affiches de Quidditch et sa baguette avait été posé sur la petite table à côté de lui. Il se frotta les yeux comme si ce geste ferait partir la noirceur qui l'entourait. Petit à petit, il réussit à déplacer ses jambes, pour les positionner sur le côté du lit. De peine et de misère, il essaya de se lever, mais il tomba par terre, ce faisant il lâcha un cri de douleur. Ses bras étaient trop faible pour lui permettre de remonter sur le lit. Il resta par terre, sentant la brise froide caresser son corps presque nu. Sentant ses forces l'abandonnées, il pleura, recroquevillant son corps en position f?tal, laissant sortir l'impuissance qu'il ressentait en ce moment. Il maugréa quelques mots entre deux sanglots.

« Pas encore pitié... Laissez moi mourir en paix... »
Une semaine s'était écoulée depuis qu'Oliver avait retrouvé Percy dans la rivière. Il avait passé le plus clair de son temps au chevet du malheureux, tentant par tout le moyen possible de le réveiller. Il avait écrit plusieurs hiboux au Weasley, mais jamais il n'avait reçu de réponse. Il se dit donc que la famille devait être en vacances à l'étranger. Il continua tout de même à veiller sur Percy jour et nuit. Il était heureux d'avoir enfin un peu de compagnie, même si ce dernier dormait, il ne se sentait plus seul. De plus le médecin qu'il fit venir lui dit que le malheureux serait sur pied dans moins de deux semaines. Par contre, il ne garantissait en rien l'état du cerveau. En tombant, Percy avait subit un choc violent à la tête et ensuite, son cerveau a été privé d'oxygène. Il s'occupa donc de Percy comme une mère s'occupe de son enfant qui dort. Il le bordait à chaque soir. Il le fit avaler un peu de nourriture même malgré son sommeil. Il donna un bain à son ami, réalisant à quel point il était maigre et pâle. Chaque jour il allait promener son chien laissant Percy dans sa chambre seul pour une trentaine de minute. Ce jour là quand il revint, il entendu le bruit d'une lourde pierre, tombant sur le plancher de l'étage, directement à l'endroit où se situait la pièce de Percy. Il grimpa l'escalier, deux marche à la volée pour finalement atteindre la porte close de la chambre d'ami. Couché par terre, il vit son invité, recroquevillé sur lui-même, sanglotant et murmurant des bouts de phrases incompréhensibles. Tout doucement, il prit le malheureux dans ses bras, tentant de le déposer sur le lit. Il sentit le corps de son ami se raidir à son touché, comme s'il était sur tendu. Les sanglots augmentèrent d'intensité alors que Percy tenta de se déprendre tant bien que mal de l'étreinte d'Oliver. Ayant peu de force, il ne put résister et fut déposer délicatement sur le lit.
« Laissez moi mourir... qui que vous soyez, laissez moi mourir » Pensait Percy. Ses idées étaient mélangé, il voyait des choses qu'il savait irréel, venu de son passé pour le hanté, et des choses vrai. Il ne pouvait par contre pas distinguer les unes des autres. Il les voyait tous, ses tourmenteurs, ceux qui l'avait rendu ainsi. En un an seulement, il avait subit un lavage complet de cerveau. On l'avait traîner dans la bout, battu, peut-être même violer, ses souvenirs étaient trop vague. Il avait subit ce que personne en devrait subir. Ses parents l'avaient renié, ses amis l'avaient abandonné. Il était seul au monde et le serait pour toujours... Jusqu'à sa mort.

Il était tellement absorbé par son désespoir qu'il n'entendit pas l'homme entrer dans la pièce. Il sentit sa présence au moment où ce dernier mit ses mains autour de lui, dans l'optique de le soulever. Une foule de souvenir revinrent le hanter. L'horreur qu'était sa vie le rattrapait toujours, même quand il s'était enfui, même quand il avait rejoint ses parents, même quand il avait sauté par la falaise. Maintenant, il était de nouveau prisonnier. Les murs crasseux des donjons avaient été remplacés pour des murs en bois finement décoré, mais il le savait, il se ferait déposer sur le lit et...

Lorsqu'il sentit le matelas sous son dos, il s'abandonna. Il n'avait plus la force de lutter. D'abord ceux qui l'avaient rendu ainsi, ensuite sa famille et maintenant... Mais qui étais-ce cette fois ? Il n'était même pas sur de vouloir le savoir. Un chose est sur, il ne fit que se laisser aller au désespoir. Une main caressa doucement ses cheveux cuivrés, le faisant presque sursauter par la douceur et la délicatesse du geste.

« Calmes-toi Percy, reste calme, rien ne va t'arriver ici, tu es en sécurité. »

Cette voix... Il la connaissait, mais il n'aurait su dire ce qu'elle lui rappelait, il ne pouvait pas lui associer un visage. La main de cet étranger, qu'il n'avait toujours pas vu se voulait rassurante et non autoritaire. Il ouvrit doucement les yeux et vit le visage inquiet de Oliver qui le fixait.
Oliver ne comprenait rien, tout ce que Percy répétait était des bouts de phrases illogiques. « Pas encore », « Pitié » ou la pire, « Laissez moi mourir ». Le pauvre n'avait donc pas du reconnaître qui était à ses côtés. Il lui caressa doucement les cheveux, lui murmurant des mots doux, des mots apaisants. Il sembla choqué par ce geste. « Mais qu'est-ce qu'ils ont fait avec mon Percy ? Où est le garçon sur de lui et prêt à enlever des points à tout le monde à l'école ? » Pensa-t-il doucement. L'état de son ami était très préoccupant, jamais il n'avait vu un tel niveau de détresse. Même quand son père le battait, il n'avait jamais senti un tel vide que celui qu'il sentait à cet instant en Percy. Le rouquin ouvrit les yeux et le regarda intensément. Il ne pouvait lire dans ce regard énigmatique, car il reflétait trop d'émotion à la fois. La surprise, l'angoisse, la solitude, la sécurité, la peur, le désespoir. Il continua à lui dire des phrases rassurantes, des paroles apaisantes, pour le calmer.
Percy ne savait pas comment réagir. Pour la première fois depuis sa graduation à Poudlard, il revoyait Oliver. Les circonstances n'étaient pas les meilleures et il le savait très bien. Pourquoi était-il à ses côté, que faisait-il à le calmer de la sorte ? L'ancien capitaine de l'équipe de Quidditch de son école continuait d'essayer de le rassurer. Ses mains, qui passaient et repassaient dans ses cheveux, lui laissait une sensation de sécurité. Il se laissa aller et tomba endormi se sentant en sécurité.

Oliver ne savait vraiment pas comment réagir. Il était assied dans sa cuisine, une tasse de thé à la main, et il repassait mentalement les événements qui venaient de se produire. Percy avait du subir quelque chose de particulièrement douloureux pour réagir d'une telle manière. Le médecin avait parlé de séquelles au cerveau, mais il n'avait jamais parlé de ça. Il devait être fort pour Percy, il le savait, mais aurait-il la force moral de le sortir souvent de se genre de crise ? Il décida donc qu'il devait comprendre ce qui était arrivé au rouquin, coûte que coûte. Il irait donc voir les Weasley au petit matin, dès qu'il aurait trouvé quelqu'un pour rester ici le temps de son allé retour.
La journée était des plus ordinaire au terrier. Molly était tranquillement assise à sa chambre, refusant toujours obstinément de sortir. Elle ne pleurait plus car elle n'avait plus de larme à évacuer. Ginny était assise à la table, dégustant son petit déjeuner, tentant d'éviter de regarder son père. Elle savait que si elle le regardait trop longtemps, une mine de dégoût apparaîtrait sur son visage, provoquant une fois de plus la colère de celui-ci. Elle revait du jour où comme Ron et Fred, elle pourrait quitter se cauchemar. Bill était dans sa chambre en train de lire le journal. Lui non plus ne supportait plus l'idée de voir son père. Il était revenu simplement pour sa mère. Il savait qu'elle aurait besoin de son soutient. Finalement il y avait Arthur. Il sortit de sa chambre avec un air triomphant, comme d'habitude. Il avait brûlé les parchemins d'Oliver, refusant d'y répondre. Il passa devant les portes barricadées des chambres de Charlie et de Percy. Il ne les voyait même plus, elles étaient invisibles pour lui. Il arriva dans la cuisine et regarda sa fille quelques secondes. Voyant sa réaction, il soupira. Un jour elle comprendra... Un jour... Le patriarche se prépara un petit déjeuner copieux et il s'assied dignement pour le déguster. Depuis qu'il avait été nommé ministre de la magie, il ne se privait plus pour manger ce qu'il voulait, son salaire étant des plus élevé. Il jetta un coup d'oeil à l'horloge, tout le monde était à la maison, Molly, Ginny, Bill et lui-même. Fred et Ron étaient dans leur propre appartement. Tout était tranquille, il lisait les manchettes de la gazette quand on cogna à la porte d'entrée. Il regarda sa fille et doucement, elle quitta la pièce, préférant obéir à l'ordre silencieux de son père plutôt que d'entendre sa voix. Elle ouvrit et devant elle se tenait un Oliver bien cerné. Elle fut remplie de joie et ensuite d'appréhension. Elle le regarda dans les yeux et lui dit doucement.

-À la cuisine.

Oliver venait à peine d'arriver qu'il sentit la tension dans l'air qui était palpable. La mine d'abord joyeuse et ensuite contrite de Ginny lui confirma cette impression. Il entra doucement et se conforma à la demande de la jeune fille, il se dirigea vers la cuisine. Oliver tomba face à face avec M. Weasley, le ministre de la magie, attablé derrière son journal. Le jeune homme attendit quelques minutes et se racla la gorge pour réclamer l'attention d'arthur. Ce dernier baissa le journal et vit Oliver.

-Que veux-tu ?

-Vous n'avez pas reçu les hiboux que j'ai envoyés ?

-Oui, et j'ai brûlé tous les messages.

Comment avait-il pu détruire tous ses messages ? Son propre fils était en danger et il réagissait comme si c'était un pur inconnu.

Le regard d'Oliver devait être chargé de question car le ministre enchaîna.

-Cela à l'air de te surprendre, tu n'as pas lu le journal il y a quelques mois ?

-J'étais à l'étranger, je n'avais pas accès à la gazette londonienne.

-Bien, avant de me déranger à nouveau, renseigne toi, mon temps est précieux. Tu peux maintenant partir.

Il n'en croyait pas ses oreilles. Où était l'homme joyeux et sympathique qu'il avait connu ? Celui qui voulait tout savoir du monde moldu. Il avait maintenant devant lui, un homme encore plus prétentieux qu'un Malefoy.

-Vous voulez dire que vous ne vous souciez plus du bien être de votre fils. Je parle bien de Percival Weasley, votre troisième fils.

Sans s'en rendre compte, il avait haussé la voix.

-Je n'ai aucun fils qui s'appelle Percival et si j'en ai eu un, il peut bien mourir, ça m'est égal. Il n'est plus le bienvenue dans cette maison et dans cette famille. Plus personne ici ne veut avoir à le voir, vous m'entendez PERSONNE.

Le teint d'Oliver devint blême. Comment un pêre pouvait haïr son fils à un point tel. Même le sien aurait été triste de le savoir mort. Du moins il l'espérait...

Il n'eut pas le temps de répondre qu'une voix féminine s'éleva derrière lui, trop faible pour ressembler à une revendication, mais assez fortes pour livrer son message.

-Une famille, de quelle famille du parles, tu as toi-même démanteler ta famille de tes propres mains.

-Ginny, ne te mêle pas de ça !

-Et pourquoi pas, ça fait un an que je me tais, un an que j'endure tes caprices. Une chance qu'il y a l'école car je serais déjà folle. Poses-toi pas de question à savoir pourquoi maman reste enfermé dans sa chambre et qu'elle ne veut voir que Bill.

-Ginny, tais-toi, je t'avertis, sinon...

-Sinon quoi papa, tu vas me jeter dehors moi aussi ? Et bien tant mieux, j'attends le moment où je pourrai quitter ta maison avec impatience.

Elle se tourna vers Oliver et s'adressa à lui.

-S'il te plait, pourrais-tu me guider jusqu'à mon frère. Je n'ai plus rien à faire ici !

-Si tu quittes cette maison, tu ne remettras plus les pieds ici.

-Alors je vais aller chercher mes affaires, Oliver, tu peux m'attendre dehors s'il te plait, j'en ai pour quelques minutes. Ça ne sera pas long car de toute façon je ne veux pas de ce qu'il a touché.

Ce dernier acquiesça, ne voulant pas prendre part dans le conflit familiale. Il ne connaissait pas tous les détails et ne pouvait offrir un jugement éclairé. En chemin il entendit crier derrière lui.

-TU N'ES PLUS MA FILLE

-TANT MIEUX !

Il ferma la porte et s'assied tranquillement sur l'herbe.

Ginny couru à sa chambre pour rassembler ses affaires. Son père la suivait sur ses talons. Elle prit un sac et rangea tout ses livres pour Poudlard, sa baguette, quelques vêtements. Arthur lui criait après, mais elle ne l'écoutait pas. Elle avait enfin une opportunité de quitter et elle la prendrait. Elle ne voulait pas déranger Oliver, mais elle savait qu'il comprendrait. Elle se dirigea vers la porte, son père lui bloqua le passage.

-Tu ne quitteras pas ma maison, tu m'entends ?

-Essaye de m'en empêcher.

-Sale petite peste, tu es pire que ton frère.

-Toi tu es pire que Lucius Malefoy.

Elle ne vit pas la main partir, mais elle sentit l'impact du point sur son oeil. Elle cria de douleur se protégeant tant bien que mal. L'homme qui lui faisait office de père s'avança pour lui donner un coup de pied quand il fut propulsé dans un coin de la chambre. Une voix sombre et grave s'éleva.

-Tu la touches encore, c'est moi qui te tue.

Bill se tenait sur le pas de la porte, avec un air menaçant. Il escorta Ginny jusqu'à l'entrée et regarda Oliver quelques secondes.

-Je te confis ma soeur et mon frère. J'espère pour toi que tu pourras être digne de ma confiance. Ne communique pas avec moi... Je ne voudrais pas que mon père trouve votre cachette. À partir d'aujourd'hui, tu risques de devenir un criminel, alors cachez-vous bien. Je vais aviser Charlie... Il saura vous trouver.

-Merci de ta confiance Bill... Je tacherai de me montrer à la hauteur...

Il y eu un lourd moment de silence. Ginny prit son grand frère dans ses bras et elle le serra très fort. Elle s'en retourna vers Oliver et ils commencèrent à marcher.

-Dis moi juste Oliver... Avant de partir, comment va-Percy ?

-Il se remet tranquillement de sa tentative de suicide... Et il a des attaque de panique. Comme s'il craignait que quelqu'un l'attaque ou veuille le tuer... Vous savez ce qui lui est arrivé.

Ginny pleurait à chaude larme en entendant la réponse du jeune homme. Bill lui répondit avec une mine triste.

-Ça Oliver, ce sera à Percy de te le dire, si il veut le dire... C'est vraiment des choses qui lui sont très personnelles.

-Je comprend.

Fin du chapitre 2

Une deuxième partie de postée. Plus j'ai de review plus la suivante arrivera vite !! N'oubliez pas d'aller lire « À la recherche du temps perdu » et « Repose en paix Harry Potter » écrite par moi. C'est deux histoires qui se recoupent se passant chacune dans l'univers parallèle de l'autre. De plus, si vous aimez les histoire (slash) Percy et Oliver et que vous lisez bien l'anglais, allez lire la trilogie écrite par A'jes' Blue qui commence par l'histoire Catharsis. C'est à mon avis les meilleurs histoire avec Percy et Oliver. Si vous voulez les lires, elles sont dans mes favorites stories. Bon, maintenant, place au review

Claire : Merci. En espérant que ce chapitre aura su te passionner tout autant que le premier ;) Laisse moi le savoir !

sandra : Je suis content que mon style d'écriture te plaises. Je sais que les personnages, du moins certains, sont plutôt sombre, mais j'espère que tu as tout de même apprécié. J'attends ton commentaire !

Cora : Ça s'inscrit dans la même branche que le premier chapitre. Laisse moi savoir si tu as autant aimé ce chapitre !

Sally : Pour être franc avec toi, je ne sais pas encore ce que ce sera. J'hésite entre plusieurs chose... Pour l'instant c'est peut-être l'option la plus plausible, mais qui sait, l'histoire à une volonté qui est propre hihihi. Pour ce qui est d'Oliver, j'ai choisi de le sortir du Quidditch pour plusieurs raisons. Comme il doit s'occuper de Percy, il doit rester à la maison, donc les nombreuses pratiques l'empêcheraient de le faire. De plus dans toutes les fics avec Oliver il joue au Quidditch professionnel, alors j'ai décidé de varier un peu ; ) Enfin, j'espère que j'ai pu répondre à ta question du moins partiellement. J'espère pouvoir savoir ce que tu as pensé de ce chapitre.

Magical Malfoy : Si tu es rendu ici, c'est que tu as lu la suite. J'espère qu'elle t'a plu. Laisse moi le savoir !

Headmaze : Salut toi ! Comme je l'ai dit à Sally un peu plus haut, je ne sais pas encore. Il y a plusieurs avenue d'ouverte et seul la suite de l'histoire saura nous le dire. Je n'écris pas avec un plan, mais avec l'inspiration. Des fois je me fais des gros schémas de ce que je veux écrire et finalement je les jette car j'ai eu une idée meilleure ; ) Dis moi comment tu as trouvé ce chapitre !

Math : J'ai fait aussi vite et bien que je le pouvais : ) J'espère sincerement que ça t'as plu. Donne moi tes impressions !

Mlle Rogue : Hihihi, sincèrement je crois qu'il y a une majorité ici qui veulent « plus que de l'amitié » : ). Comme je l'ai dit plus haut, je vais voir, mais c'Est l'histoire qui dirige. Je suis comme un capitaine sur un bateau à voile. Je dirige le bateau, mais je vais au les vents me mènent. J'organise l'histoire, mais les idées viennent de mon imagination et de mon intuitivité du moment. En tout cas, laisse moi un commentaire sur comment tu as aimé !