Ça fait un bon bout de temps que je n'ai pas écrit... Désolé à tous, je
n'ai pas beaucoup eu de temps dernièrement. JE ne peux vous garantir non
plus que je vais en avoir plus, mais je promets du moins, d'essayer
d'écrire le plus souvent possible. Alors voici le troisième chapitre de
Éclair de feu . J'espère que ça va vous plaire!! Si vous aimez, laissez moi
le savoir!! ;)
Début du chapitre trois : Retour à la conscience.
La chambre était encore noire, mais cette fois, Percy la reconnaissait. Il y a quelque temps... Une heure... Un jour... Un an... Il n'en était pas sur. Mais la chose dont il était certain c'est qu'Olivier l'avait calmé de sa crise de panique. Que faisait-il chez lui ? Pourquoi l'avait-il réconforté, il n'aurait malheureusement pas su le dire. La seule chose qui était sur, c'est qu'il ne lui voulait pas de mal... Du moins, c'est ce qu'il espérait. Il tenta de s'asseoir et une petite alarme, pas plus forte qu'une clochette, retentit ailleurs dans la maison. Il entendit des pas monter l'escalier et se diriger vers sa chambre. La porte s'ouvrit et il s'attendit à voir le visage d'Olivier lui sourire.
Malheureusement, ce n'est pas lui qui entra. Une petite femme un peu rondelette lui fit un sourire des plus amicale. Elle avait avec elle un plateau avec un bol de liquide fumant et un grand verre de jus orange.
« Heureuse de voir que vous vous êtes enfin réveillé, j'avais peur de passer l'après-midi seule avec Balthazar, le chien d'Olivier. Je vous ai fait une soupe, j'espère que vous l'apprécierez. En passant, je m'appelle Elodie, mais tous m'appellent elo. »
Percy tenta de dire un mot, mais rien ne sortit. Sa bouche était trop sèche. Il pointa le vers de jus et pris une grosse gorgée qu'il recracha presque aussitôt.
« Vous devez y aller avec de petite gorgée à la fois. » Elle leva le verre et laissa coulé qu'une petite quantité de jus sur sa langue qui s'empressa de l'avaler. Elle fit ainsi avec tout le verre jusqu'à ce qu'il soit vide. Sa gorge était encore sèche, mais c'était moins pire.
« Voila ! Vous pouvez parler maintenant ? »
« ... Encore... Jus... »
« Vous avez encore soif, laissez moi le remplir. » Elle pointa sa baguette sur le verre à moitié vide et il se remplit à nouveau. « Tenez mon cher, buvez, ça va vous redonner des forces. »
Elle tenait le récipient près de sa bouche de sorte qu'il puisse boire petit à petit.
« Vous savez que vous avez fait rudement peur à Olivier mon jeune ami. Quand il est venu me trouver pour que je vous examine, je ne l'ai jamais vu aussi paniqué. Il doit rudement s'en faire pour vous, même si je ne l'ai jamais entendu mentionné votre nom... Enfin, il a toujours été très discret sur sa vie. Ça fait un an qu'il travaille avec nous et personne ne connaît rien de lui, c'est dingue non ? Vous ne trouvez pas ? »
Il finit à nouveau son verre de jus et fit un grand sourire à sa bienfaitrice.
« Merci beaucoup... Vous êtes... Trop... Gentille »
« Mais non voyons, ça me fait plaisir. De plus, Olivier se faisait un sang d'encre pour vous, alors comme il est tellement sympathique, ça me fait plaisir de l'aider. »
Il prit une cuillère et la remplit de soupe.
« Je n'ai... Pas... Très faim... »
« Vous savez, j'ai mis des médicaments dans cette soupe. Vous devez la prendre si vous voulez être sur pied le plus tôt possible. Vous savez...»
Son air devint plus incertain, plus sombre.
« Qu'est-ce... Qu'il... Y a...? »
« Je n'ai pas tout dit à Olivier... Enfin, sur vous, je n'ai pas tout dit... Je lui ai simplement dit que vous vous étiez cogné sur la tête... Je n'ai pas parler du reste »
Elle fixait intensément le plancher. Percy sentit la panique l'envahir. Une nouvelle vague de peur, de terreur, pointait pour le submerger. Il voyait, il se rappelait certain évènement. Une larme coula sur sa joue. Il prit une grande respiration. Il devait résister, ne pas succomber, rester fort. Pour lui, pour Olivier. Il leva la main et essuya la larme qui coulait le long de sa joue.
« Merci... J'apprécie... Votre geste... »
Elle lui sourit avec beaucoup de sollicitude.
« Je suis sure que tout ira bien pour vous et que l'avenir sera plus rose! Bon, je vais aller faire un brin de lecture, vous serez capable de manger votre soupe ? »
« S'il vous plait... Restez lire ici... »
Elle le regarda comme une mère regarde son enfant qui fait un cauchemar.
« Promis, je reste ici »
Sur ce, elle prit de sa poche un gros livre et s'assied pour le lire. Percy mangea doucement sa soupe et tomba rapidement endormi après. Après s'être bien assuré qu'il roupillait fermement, Elodie prit sa baguette et lança un sortilège de protection sur le jeune homme à ses côtés.
« Que merlin te protèges mon jeune... Qu'il te protège »
Oliver et Ginny prirent des moyens de transport moldus pour ce rentrer. Son père contrôlant les données du ministère aurait tôt fait de les retracer. Ils prirent le train pour quitter Londres. Un fois rendu à destination, ils optèrent pour un taxi jusqu'à chez Olivier. À leur arrivé, Balthasar jappa et grogna de plaisir de revoir son maître.
« Nous y voici Ginny, c'est mon humble demeure. Il y a trois chambres à l'étage. Je pensais en convertir une en bureau et l'autre en studio, mais je n'ai pas eu le temps, heureusement... »
« Olivier, excuse moi de t'interrompre... Mais est-ce que je pourrais voir mon frère ? »
Il hocha la tête et guida Ginny vers la chambre ou Percy et Élodie c'était assoupi. Il toussota un peu et cette dernière leva la tête.
« Ah ! Enfin tu es de retour. »
« Je t'avais demandé de ne pas le déranger... Il a besoin de repos »
Elle rie un bon coup et ajouta.
« Tu parles, il a besoin de compagnie ce jeune. Je lui ai donné un médicament et il a bu deux grands verres de jus d'orange. Il est très sympathique et il est resté très calme »
Olivier tenta de sourire malgré son inquiétude. Il s'approcha du lit, faisant signe à Ginny d'avancer, un peu. Élodie ce leva et se plaça derrière cette dernière, la couvrant de ses bras. Elle se laissa aller, ayant manqué le contact de sa mère dans les dernières semaines. Olivier se pencha et murmura à l'oreille de Percy, lui caressant doucement les cheveux. Il chuchotait tellement bas que les deux filles ne pouvaient entendre ce qu'il racontait. Ses gestes étaient doux et tendre, se voulant rassurant. Élodie se pencha à l'oreille de Ginny et lui dit tout bas.
« Tu ne trouves pas qu'ils sont beaux ensembles ? »
Elle ne pu qu'acquiescer.
Percy se réveilla doucement au son de la voix d'Olivier. Il ouvrit les yeux et sourit en voyant se dernier.
« Salut Percy, tu vas bien ? »
« Oui... Merci pour tout Olivier... »
Les larmes montaient aux yeux de brunet. Il serra Percy fort dans ses bras en fermant les paupières.
« Ça me fait plaisir de t'avoir ici Percy et je suis heureux que tu sois mieux. »
Il prit une grande respiration pour enlever le trémolo à sa voie.
« J'ai une surprise pour toi. »
Le rouquin leva les yeux et aperçu sa soeur au pas de la porte. Il ne savait pas comment réagir. Était-elle avec ou contre lui ? Elle s'approchait doucement et s'assied sur le lit.
« Salut Percy... Tu sais, tu m'as beaucoup manqué »
Des larmes coulaient de ses jolis yeux verts. Percy les essuya d'une main maladroite. Olivier se leva et se dirigea vers Élodie. Elle l'entraîna à vers la cuisine à l'étage ou elle lui servit un bon bol de pâtes. Il poussa le bol prétextant qu'il n'avait pas faim. Son regard fuyait toujours en direction de l'escalier où se trouvait Percy.
« Mange Olivier. Il va bien, il est en vie, alors ce n'est pas la peine que tu dépérisses. Tu le reverras bien assez tôt ! Allez, fini ce bol et raconte moi ce qui c'est passé. Pour que ça prenne autant de temps. »
Il pris sa fourchette et mangea du bout des lèvres, racontant l'histoire de sa rencontre avec le père Weasley.
« Tu sais Percy, ne crois pas ce que papa a dit. Il est le seul vraiment fâché. Maman s'est enfermer dans sans chambre quand il... Enfin tu vois ce que je veux dire. »
Elle prit une grande respiration. Elle était assied à côté de son frère. Il n'avait toujours pas ouvert la bouche, mais il la regardait d'un air plus soulagé.
« Ron et Fred sont rendu en appartement... Ils n'en pouvaient plus du climat familiale. Bill est revenu pour s'occuper de maman. Il déteste papa presque autant que moi. Comme tu vois, au terrier, les choses ne sont pas rose non plus. »
Percy leva la tête pour la fixer dans les yeux.
« ...George ? »
Elle baissa la tête et respira péniblement. Des larmes coulaient sur le matelas. Elle releva la tête, pleurant.
« George est mort... Il l'a fait exécuter après la chute de tu-sais-qui. Oh Percy ! Si tu savais... »
Tous deux, frère et soeur, sanglotèrent jusqu'à s'endormir.
Plus tard dans la soirée, olivier monta les voir. Il eut un petit pincement de coeur à les voir ainsi, couché un à côté de l'autre, collé.
« Ne t'en fais pas Olivier, tu l'auras bientôt juste à toi »
Il se retourna vers Élodie qui était monté avec lui. Il lui lança un regard d'incompréhension, mais avant qu'il ne puisse ajouter quoique ce soit, elle enchaîna.
« Tu n'es pas très bavard, mais tes yeux parle beaucoup mon cher. Prend soin d'eux, moi je vais dormir chez moi. Je repasserai dans deux jours voir si tout va bien. Juste un conseil mon jeune, prend ton temps. Ne le bouscule pas, il est encore bien fragile »
Et à elle-même elle ajouta « Plus que tu ne pourrais l'imaginer » et sur ce elle disparut.
Oliver alla chercher sa couverture et repris sa place habituelle dans le fauteuil dans le coin de la pièce. Se laissant doucement aller au bras de Morphée, avec à ses pieds, Balthazar qui ronflait doucement.
Fin du chapitre trois.
Donnez moi vos commentaire !! Je les attends avec impatience.
Début du chapitre trois : Retour à la conscience.
La chambre était encore noire, mais cette fois, Percy la reconnaissait. Il y a quelque temps... Une heure... Un jour... Un an... Il n'en était pas sur. Mais la chose dont il était certain c'est qu'Olivier l'avait calmé de sa crise de panique. Que faisait-il chez lui ? Pourquoi l'avait-il réconforté, il n'aurait malheureusement pas su le dire. La seule chose qui était sur, c'est qu'il ne lui voulait pas de mal... Du moins, c'est ce qu'il espérait. Il tenta de s'asseoir et une petite alarme, pas plus forte qu'une clochette, retentit ailleurs dans la maison. Il entendit des pas monter l'escalier et se diriger vers sa chambre. La porte s'ouvrit et il s'attendit à voir le visage d'Olivier lui sourire.
Malheureusement, ce n'est pas lui qui entra. Une petite femme un peu rondelette lui fit un sourire des plus amicale. Elle avait avec elle un plateau avec un bol de liquide fumant et un grand verre de jus orange.
« Heureuse de voir que vous vous êtes enfin réveillé, j'avais peur de passer l'après-midi seule avec Balthazar, le chien d'Olivier. Je vous ai fait une soupe, j'espère que vous l'apprécierez. En passant, je m'appelle Elodie, mais tous m'appellent elo. »
Percy tenta de dire un mot, mais rien ne sortit. Sa bouche était trop sèche. Il pointa le vers de jus et pris une grosse gorgée qu'il recracha presque aussitôt.
« Vous devez y aller avec de petite gorgée à la fois. » Elle leva le verre et laissa coulé qu'une petite quantité de jus sur sa langue qui s'empressa de l'avaler. Elle fit ainsi avec tout le verre jusqu'à ce qu'il soit vide. Sa gorge était encore sèche, mais c'était moins pire.
« Voila ! Vous pouvez parler maintenant ? »
« ... Encore... Jus... »
« Vous avez encore soif, laissez moi le remplir. » Elle pointa sa baguette sur le verre à moitié vide et il se remplit à nouveau. « Tenez mon cher, buvez, ça va vous redonner des forces. »
Elle tenait le récipient près de sa bouche de sorte qu'il puisse boire petit à petit.
« Vous savez que vous avez fait rudement peur à Olivier mon jeune ami. Quand il est venu me trouver pour que je vous examine, je ne l'ai jamais vu aussi paniqué. Il doit rudement s'en faire pour vous, même si je ne l'ai jamais entendu mentionné votre nom... Enfin, il a toujours été très discret sur sa vie. Ça fait un an qu'il travaille avec nous et personne ne connaît rien de lui, c'est dingue non ? Vous ne trouvez pas ? »
Il finit à nouveau son verre de jus et fit un grand sourire à sa bienfaitrice.
« Merci beaucoup... Vous êtes... Trop... Gentille »
« Mais non voyons, ça me fait plaisir. De plus, Olivier se faisait un sang d'encre pour vous, alors comme il est tellement sympathique, ça me fait plaisir de l'aider. »
Il prit une cuillère et la remplit de soupe.
« Je n'ai... Pas... Très faim... »
« Vous savez, j'ai mis des médicaments dans cette soupe. Vous devez la prendre si vous voulez être sur pied le plus tôt possible. Vous savez...»
Son air devint plus incertain, plus sombre.
« Qu'est-ce... Qu'il... Y a...? »
« Je n'ai pas tout dit à Olivier... Enfin, sur vous, je n'ai pas tout dit... Je lui ai simplement dit que vous vous étiez cogné sur la tête... Je n'ai pas parler du reste »
Elle fixait intensément le plancher. Percy sentit la panique l'envahir. Une nouvelle vague de peur, de terreur, pointait pour le submerger. Il voyait, il se rappelait certain évènement. Une larme coula sur sa joue. Il prit une grande respiration. Il devait résister, ne pas succomber, rester fort. Pour lui, pour Olivier. Il leva la main et essuya la larme qui coulait le long de sa joue.
« Merci... J'apprécie... Votre geste... »
Elle lui sourit avec beaucoup de sollicitude.
« Je suis sure que tout ira bien pour vous et que l'avenir sera plus rose! Bon, je vais aller faire un brin de lecture, vous serez capable de manger votre soupe ? »
« S'il vous plait... Restez lire ici... »
Elle le regarda comme une mère regarde son enfant qui fait un cauchemar.
« Promis, je reste ici »
Sur ce, elle prit de sa poche un gros livre et s'assied pour le lire. Percy mangea doucement sa soupe et tomba rapidement endormi après. Après s'être bien assuré qu'il roupillait fermement, Elodie prit sa baguette et lança un sortilège de protection sur le jeune homme à ses côtés.
« Que merlin te protèges mon jeune... Qu'il te protège »
Oliver et Ginny prirent des moyens de transport moldus pour ce rentrer. Son père contrôlant les données du ministère aurait tôt fait de les retracer. Ils prirent le train pour quitter Londres. Un fois rendu à destination, ils optèrent pour un taxi jusqu'à chez Olivier. À leur arrivé, Balthasar jappa et grogna de plaisir de revoir son maître.
« Nous y voici Ginny, c'est mon humble demeure. Il y a trois chambres à l'étage. Je pensais en convertir une en bureau et l'autre en studio, mais je n'ai pas eu le temps, heureusement... »
« Olivier, excuse moi de t'interrompre... Mais est-ce que je pourrais voir mon frère ? »
Il hocha la tête et guida Ginny vers la chambre ou Percy et Élodie c'était assoupi. Il toussota un peu et cette dernière leva la tête.
« Ah ! Enfin tu es de retour. »
« Je t'avais demandé de ne pas le déranger... Il a besoin de repos »
Elle rie un bon coup et ajouta.
« Tu parles, il a besoin de compagnie ce jeune. Je lui ai donné un médicament et il a bu deux grands verres de jus d'orange. Il est très sympathique et il est resté très calme »
Olivier tenta de sourire malgré son inquiétude. Il s'approcha du lit, faisant signe à Ginny d'avancer, un peu. Élodie ce leva et se plaça derrière cette dernière, la couvrant de ses bras. Elle se laissa aller, ayant manqué le contact de sa mère dans les dernières semaines. Olivier se pencha et murmura à l'oreille de Percy, lui caressant doucement les cheveux. Il chuchotait tellement bas que les deux filles ne pouvaient entendre ce qu'il racontait. Ses gestes étaient doux et tendre, se voulant rassurant. Élodie se pencha à l'oreille de Ginny et lui dit tout bas.
« Tu ne trouves pas qu'ils sont beaux ensembles ? »
Elle ne pu qu'acquiescer.
Percy se réveilla doucement au son de la voix d'Olivier. Il ouvrit les yeux et sourit en voyant se dernier.
« Salut Percy, tu vas bien ? »
« Oui... Merci pour tout Olivier... »
Les larmes montaient aux yeux de brunet. Il serra Percy fort dans ses bras en fermant les paupières.
« Ça me fait plaisir de t'avoir ici Percy et je suis heureux que tu sois mieux. »
Il prit une grande respiration pour enlever le trémolo à sa voie.
« J'ai une surprise pour toi. »
Le rouquin leva les yeux et aperçu sa soeur au pas de la porte. Il ne savait pas comment réagir. Était-elle avec ou contre lui ? Elle s'approchait doucement et s'assied sur le lit.
« Salut Percy... Tu sais, tu m'as beaucoup manqué »
Des larmes coulaient de ses jolis yeux verts. Percy les essuya d'une main maladroite. Olivier se leva et se dirigea vers Élodie. Elle l'entraîna à vers la cuisine à l'étage ou elle lui servit un bon bol de pâtes. Il poussa le bol prétextant qu'il n'avait pas faim. Son regard fuyait toujours en direction de l'escalier où se trouvait Percy.
« Mange Olivier. Il va bien, il est en vie, alors ce n'est pas la peine que tu dépérisses. Tu le reverras bien assez tôt ! Allez, fini ce bol et raconte moi ce qui c'est passé. Pour que ça prenne autant de temps. »
Il pris sa fourchette et mangea du bout des lèvres, racontant l'histoire de sa rencontre avec le père Weasley.
« Tu sais Percy, ne crois pas ce que papa a dit. Il est le seul vraiment fâché. Maman s'est enfermer dans sans chambre quand il... Enfin tu vois ce que je veux dire. »
Elle prit une grande respiration. Elle était assied à côté de son frère. Il n'avait toujours pas ouvert la bouche, mais il la regardait d'un air plus soulagé.
« Ron et Fred sont rendu en appartement... Ils n'en pouvaient plus du climat familiale. Bill est revenu pour s'occuper de maman. Il déteste papa presque autant que moi. Comme tu vois, au terrier, les choses ne sont pas rose non plus. »
Percy leva la tête pour la fixer dans les yeux.
« ...George ? »
Elle baissa la tête et respira péniblement. Des larmes coulaient sur le matelas. Elle releva la tête, pleurant.
« George est mort... Il l'a fait exécuter après la chute de tu-sais-qui. Oh Percy ! Si tu savais... »
Tous deux, frère et soeur, sanglotèrent jusqu'à s'endormir.
Plus tard dans la soirée, olivier monta les voir. Il eut un petit pincement de coeur à les voir ainsi, couché un à côté de l'autre, collé.
« Ne t'en fais pas Olivier, tu l'auras bientôt juste à toi »
Il se retourna vers Élodie qui était monté avec lui. Il lui lança un regard d'incompréhension, mais avant qu'il ne puisse ajouter quoique ce soit, elle enchaîna.
« Tu n'es pas très bavard, mais tes yeux parle beaucoup mon cher. Prend soin d'eux, moi je vais dormir chez moi. Je repasserai dans deux jours voir si tout va bien. Juste un conseil mon jeune, prend ton temps. Ne le bouscule pas, il est encore bien fragile »
Et à elle-même elle ajouta « Plus que tu ne pourrais l'imaginer » et sur ce elle disparut.
Oliver alla chercher sa couverture et repris sa place habituelle dans le fauteuil dans le coin de la pièce. Se laissant doucement aller au bras de Morphée, avec à ses pieds, Balthazar qui ronflait doucement.
Fin du chapitre trois.
Donnez moi vos commentaire !! Je les attends avec impatience.
