Je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore les fic ou Harry retourne dans le passé pour voir ses parents alors j'ai décider de me lancer dans l'écriture de ce genre de fic.

Mise en situation : suite à la mort de Cédric, Harry est retourner, malgré lui, dans sa famille de moldu où il à été particulièrement maltraiter, les Dursley ayant été avisé du retour du meurtier Voldemort. Meutri, blessé, épuisé et dépressif, Harry se retrouve à Poudlard. Cependant, un événement étrange lui arrive. Envoyez-moi des reviews, je prend tous les commentaire, bon ou mauvais. Bonne lecture.

Au fait, pour ceux qui n'aime pas un petit Harry tout triste et sage, le premier chapitre ne vous plaira peu-être pas, mais croyez-moi si je dis que ça va changer. Notre cher petit et adorable Harry va devenir plus fort et plus robuste, mais pour l'instant, je m'en tient à ça.

Fuite.

Un poing surgis, l'atteint droit au visage, et il tombe. Depuis bientôt un quart d'heure, Dudley, son détestable cousin, battait Harry sans vergogne jusqu'au sang. Trop faible pour riposter, Harry n'avait eut d'autre choix que de se laisser maltraiter. Au début des vacances, son oncle et sa tante avaient reçu une lettre envoyer par dumbledore, les informant du retour de Voldemort, tout en les mettant en garde car leurs vies étaient peu-être en danger. Furieux, Harry avait été battu et depuis, la famille prenait un plaisir fou à le voir dépérir, à peine nourrit, sale, de sang et de poussière, complètement faible et sans défense.

Un gout amer s'empara de la bouche d'Harry. le sang coulait le long de sa tempe et enduisait ses lèvres mais son cousin ne semblait pas vouloir s'arrêter.. Un coup de pied prodigieux lui coupa la respiration mais Harry retenait toujours les larmes qui menaçait de tomber sur ses joues. Une secousse le fit relever et quelque instant après, la noirceur l'envahit. Avant de sombrer, Harry eut conscience d'être enfermer dans la petite pièce sous l'escalier dans laquelle il avait passer la plus grande partie de son enfance. S'allongeant sur le placher entre sa malle et la cage de sa chouette qui hululait pour remonter le morale à son maître. Harry ferma les yeux, dessider à ne pas pleurer, à ne pas se laisser aller à cette faiblesse, et s'endormit, le corps lourd, endoloris, recouvert d'écchymoses, les yeux rouges, la cicatrice brulante.

Le lendemain matin, harry ouvrit lourdement ses paupières pour rencontrer le sourir vainceur de son oncle.

-Alors mon garçon, tu en a assez eut, ou tu en veux encore ?

Avant qu'il n'ait pu répondre, il fut progeter hors de sa petite pièce sous les hurlement rageur de sa chouette qui voulait tant bien que mal protégé son maître. Dudley donna un coup de pied dans la cage qui s'ouvrit brusquement, progetant son locataire à l'extérieur. L'animal se dirigea furieusement sur l'homme imposant qui avait commencer à ruer de coup, son jeune maître, alonger sur le sol, tantant de se protéger. D'un coup brusque de la main, l'oncle Vernon progeta l'oiseau sur le sol et celle-ci s'envola à nouveau, bien dessider à faire fuir ces agresseur. Malheureusement pour elle, dudley, Malgré sa taille imposante, fut plus rapide et la progetta dans sa cage et ferma la porte. A cette instant, harry fut pris d'une colère immense. Qu'on s'en prenne ;a lui, ça passait toujours, mais qu'on fasse du mal à sa chouette, il n'en était pas question. Dans un ultime effort, harry se redressa mais aussitôt, son cousin le frappa et il s'écroulasur le sol. Les coups pleuvèrent pendant encore cinq bonne minutes puis harry fut de nouveau progeté dans son placard. Malgré sa faiblesse grandissante, harry s'écroula sur la porte et le rua de coup en criant les insultes les plus vulgèrent qu'il ne se rappellait même pas avoir déjà entendu. Dans un mouvement de fureur, il donna un coup de pied dans sa malle et celle-ci s'ouvrit. La baguette d'Harry roula à ses pieds et il la ramassa. Il n'avait pas le droit d'utiliser la magie, mais il en avait assez. On l'avait battu pendant plus de trois semaine, privé de nourritude et surtout, enfermer dans la noirceur sans la possibilité de quitter la maison. Un hululement faible lui fit tourner la tête. Sa chouette était alonger dans sa cage et vu la position anormal de son aille, celle-ci était brisé. Su mieux qu'il pu, il réparra l'aile mal en point et referma sa valise. Puis, la fatigue le gagna et Harry s'écroula sur le sol, réveillant de vieilles blessures. Quelques heures plus tard, harry se réveilla, un vacarme de bruit parvenant de la cuisine. La porte de son placard s'ouvrit et une forme encogouler entra dans la pièce sombre au mur raprocher. -Harry Potter, enfin nous t'avons trouver.

Harry recula tant bien que mal dans un coin reculer du placard et son dos heurta sa valise. D'un simple geste, il attira la cage d'hedwidge vers lui et regarda l'homme encagouler. -Laissez-moi tranquil ! hurla harry en pressant ses doigt sur sa bageutte, dans l'une de ses poches. Le mangemort éclatat de rire mais Harry ne bougea pas. -Allez-vous en ! laissez-moi en paix, laisser moi seul, je ne veux plus voir personne, allez-vous en, tout de suite. La fureur d'Harry était tel qu'il ne l'avait jamais été. Le mangemort rit encore quelque seconde et brandit sa baguette vers le corps meutri et maigre d'Harry. il prononça une formule incompréhensible et une buée blanchâtre entoura harry mais il semblerait que l'effet n'était pas celui escompté car un hurlement de cloère débita sans la maison. Harry se sentit flotter, soulever, transporter et envahi d'une peur infini lui empoigner le c?ur. Il eut l'impression d'être transporter ainsi pendant des heures, des jours, et même des semaines, mais en fait, seulement quelques secondes s'étaient écoulées. Il pouvait toujours sentir le contact de sa valise sur son dos, ou bien encore le fer froid de la cage de sa chouette. Lorsqu'il sentit enfin le contact d'un sol froid, il entendit un cri et une exclamation de surprise mais il n'ouvrit pas les yeux. Le son d'une voix douce et réconfortante le tira de sa tête. -Est-ce que ça va ? qui es-tu ? Harry leva vers elle des yeux verts intenses dans lesquels on lisait souffrance et peur. En un quart de seconde, Harry reconnu le visage inquiet d'une jeune femme au cheveux d'un rouge de feu, des yeux d'émeraude, les traits fins, le regard anxieux. Devant lui, Harry voyait sa mère derrière laquel quatres ombres le regardaient immobile. D'un geste brusque qui les fit tous sursauter, Harry recula, bousculant au passage sa valise qui s'ouvrit dans un énorme fracas ainsi que la cage de sa chouette qui hulula de douleur. Cependant, Harry gardait ses yeux fixé sur les silouhette qui le regardaient perplex. Se réfugiant dans un coin contre le mur, Harry vit une des formes rondelette et petite s'avancer vers la cage qui avait basculé. Aussitôt, Harry reconnu Peter mais n'amorça aucun mouvement pour l'empêcher d'approcher. L'animal hulula fortement mais se laissa prendre avec un délicatesse qui la surpris.

-Je crois qu'il faudrait aller chercher le profeseur Dumbledore, et même madame Pomfresh. Murmura une autre silhouette qu'il reconnu comme celle de Sirius. -J'y vais. Répondit Rémus en quittant la classe au pas de course.

La jeune fille s'approcha d'Harry et tendit la main vers le corps pâle et frêle mais celui-ci se recroquevilla sur lui même, fuyant le contact qui se voulait rassurant. Arrêtant son mouvement, elle le regarda et se tourna vers ses amis. Au même moment, la porte s'ouvrit, laissant passer Rémus, le directeur et l'infirmière. Le vieil homme s'avança aussitôt vers la forme maigre contre la pierre froide et s'accroupi devant lui.

-Allons mon garçon, tu n'as pas à avoir peur, nous ne te voulons aucun mal. Murmura la voix rassurante de Dumbledore.

Harry se mit à trembler mais desserra son étreinte autour de ses genoux. Doucement, le directeur avança une main calme vers le visage d'Harry qui contracta tous ses muscles comme s'il attendait un coup mais la main se posa avec douceur sur sa joue. Le contact était tellement doux que Harry versa une larme et, comme une balle de fusil, se jetta dans les bras de l'homme, d'abors surpris, puis nostalgique. Il referma ses bras autour du corps terrifié et le pressa contre lui mais un grognement de douleur sorti de la gorge du garçon et, aussitôt, défit son étreinte. D'un geste affectueux, il déboutonna les boutons de la chemise trop grande. Losqu'elle glissa sur le sol, Dumbledore eut un regards vers les autres occupants de la pièce. Si la scène avait été touchante, la suite était horrible. Le torse maigre était couvers de bleus, de bosses, de blessures et encore.

Lily poussa un cri d'horreur tandis que les quatres garçons grimaçait. L'infirmière s'avança sans brusquerie pour ne pas l'effrayer. Elle tenta de le soigné mais Harry refusa tout contact avec elle. Dumbledore sorti alors sa baguette et jetta un sort de someil sur Harry qui esseya de lutter mais peine perdu, ses yeux se fermèrent et il sombra dans la noirceur, oubliant momentanément la douleur de son corps.

-Miss Evans, veuillez ramasser les affaires du.blessé, sans les regarder je vous pris. Black, Potter, vous apporterez la valise à l'infirmerie, ainsi que la cage et l'oiseau. Lupin, Pettigrow, allez prévenir McGonnagal que serai en retard pour le repas d'Halloween. Pompom, ammener ce garçon à l'infirmerie.

En silence, chacun s'exécuta aux ordres. En ramassant les chose du''nouveau'', elle ne put s'empêcher de remarquer l'étrangeté de ses objet. Elle ne passa cependant aucun commentaire et referma la malle pour la donner aux garçon qui la portèrent jusqu'à l'infirmerie