Chapitre 2
( en 1995 : Poudlard)
Dumbledore était inquiet. Une attaque mangemort avait été déclarer dans privet drive. Il avait envoyer Sirius et Rogue pour vois ce qui en était, et il attendait toujours leur retour. Soudain, deux coup furent frappé à la porte.
-Entrer. Dit le directeur. Ha, enifn, Sévérus, Sirius, quel sont les nouvelles ?
Sirius baissa les yeux et Rogue eut un geste d'impuissance.
-Il à disparut. Lorsque nous sommes arrivé, les Dursley étaient tous mort, quelque mangemort s'attroupait devant le placard mais il était vide. Nous avons entendu leur conversation. Il semblerait qu'un sort ait mal tourner que que Harry à été transporter ailleur, avec ses valises et sa chouette. Nous ne connaissons pas l'état du garçon à son départ, nous ignorons où il se trouve et coment le trouver.
Dumbledore ferma les yeux. Harry était maintenant hors de sa porter et le jeune homme, bien que courageux, était sans déffence. Une note mélodieuse retentit à son oreille. Fumseck s'était posé sur son épaule et chantait doucement.
-La meilleur solution pour l'instant, c'est d'envoyer Fumseck à sa recherche. Il saura surement le trouver.
-Pourquoi lui ? demanda Sirius au bors de la crise de nerf ? -Nous ignorons tous où se trouve Harry. il peut être n'importe où dans le monde, et dans le temps. Les phénix ont la capacité de voyager dans le temps hors donc, si Harry à reculé, ou avancer, ne serait-ce que de quelque heureus, Fumseck le retrouvera facilement, puisqu'ils sont lier.
-Mais Albus, coupa Rogue, la première règle du voyage dans le temps, c'est de toujours revenir de la même façon dont nous sommes parti, et nous ne savons pas comment Harry serait retourner dans le passer, ou avancer dans le futur. -Je vais écrire à Harry, il saura surement mieux nous éclairer sur ce mystère. Maintenant, Sirius, avertissé Miss granger et le jeune Weasley de la disparition de leur amis, et inviter-les à passer le reste des vacances à Poudlard, pour leur propre sécurité, ainsi que les autre Weasley encore en âge de venir à Poudlard. De votre côté Severus, essayer de découvrir comment harry à pu être transporter, on ne sais où.
Sans un mot, les occupants du bureau principal s'occupèrent de leur tâche. Sirius se dirigea vers la grande salle pour écrire, Sévérus revêtit son habit de Mangemort et Dumbledore sortit une plume et un parchemin.
Cher Harry. Nous avons été averti de ta disparition. Nous sommes dans l'impossibilité, cependant, de te retrouver, vu les possibilité des endroit d'où tu peux être. Hors donc, j'envois Fumseck à ta recherche, sachant pertinement qu'il te trouveras, peu importe l'endroit ou le temps où tu te trouve. Répond moi, je t'en pris, et indique nous du mieux que tu le peux l'endroit où tu es, et nous viendrons le plus tôt possible à ta rencontre.
Albus Dumbledore
Dumbledore plia sa lettre et la tendit à l'oiseau.
-Fumseck, fait tout ce que tu peux pour retrouver Harry, tu sais à quel point il est important de le ramener saint et sauf avant que Voldemort ne le retrouve lui-même.
L'oiseau émit une note mélodieuse, s'empara de la lettre et pris son envol. Bien sûr, retrouver Harry allait être chose difficile, mais Fumseck savait où il devait chercher, dans le passé. Ouvrant une porte temporelle, l'oiseau le traversa et se retrouva exactement 20 ans en arrière.
(retour à Harry)
-Dumbledore, l'état de ce garçon est déplorable, même avec toutes les potion possible, sont rétablissement complet prendra deux, peut-êter trois semaine, tout au plus. -Alors, faites ce que vous pouvez Pompom, mais nous n'allons pas le laisser ainsi. -Messieu le Directeur ? -ho ! c'est vous mr Potter, mr Black, poser la valise ici, et vous pouvez retourner dans votre salle commune, en attendant le banquet.
Les deux garçon obeirent et sortirent de la salle blanche, sans manquer de remarquer l'horreur du visage et du torse, et même du corps, car il avait été débarasser de son pantalon et n'était plus recouvert que par un caleçon. Des bleus le recouvrait en grande parti, la forme de son torse laissait croire qu'il avait plusieurs côte brisé, sa respiration était régulière mais difficile et un drôle de bruit émanait de lui.
-C'est vraiment horrible, ce qu'on lui à fait. Marmona Sirius tout en marchant à côté de son ami de toujours, James -Oui, vraiment Horrible, et j'espère que ceux qui lui ont fait ça ont souffert eux aussi. -Tu as vu, comment il avait peur en voyant Lily ? comment il s'est jetté dans les bras de Dumbledore en pleurant, et pourtant, j'ai l'impression de le connaître. -oui, moi aussi, et tu as vu la couleur de ses yeux ? -Vert, oui, j'ai vu, vert éclatant, comme ceux de Lily. -oui, mais en plus sombre, plus triste, il était affolé. -Je le comprend, il est arrivé dans la salle de classe tout d'un coup, sans savoir où il se trouvait. -Mais tu as vu, sur sa valise, il y avait l'emblême de Poudlard, des robe de sorcier, et il tenait une baguette magique. -Qui sait, on verra demain, on ira le voir à l'infirmerie. -Si Pomfres nous laisse entrer. -Ça n'a jamais été un problème. (retour à Fumseck)
Les vibration d'Harry étaient trop faibles pour qu'il puisse être ici, à cet instant, mais pourtant, il savait que Harry se trouvait dans le passé, 20 ans plus tôt. Il avança donc d'une semaine par une autre porte, moins puisante cette fois. Il se rapprochait d'Harry était plus forte, mais encore trop faible. S'avançant semaine par semaine, Fumseck arriva finalement au jour de l'halloween. Il avait vu les élèves arrivé à Poudlard, la première sortie à Pré-au-lard, mais pas une trace d'Harry, jusqu'à maintenant. Au moment où il allait franchir une nouvelle fois la porte, la sensation d'êter tout près de son but l'arrêta. Harry était arrivé à Poudlard à cet instant. L'animal vola doucement vers le bureau où il avait l'habitude de demerer, sachant sans aucun doute que lui même y était déjà. S'engouffrant par la fenêtre, il fit face à un oiseau de la taille d'un signe, au couleur rouge et or, qui le regardait, apparament peu surpris de son arrivé. Fumseck se posa sur le bureau et attendit. Il devait trouver Harry, mais voulait dabors s'assurer qu'il était bien à la bonne époque.
(retour à Harry)
Dans son sommeil, Harry avait pu voir Fumseck le chercher. Il l'avait désespérément appeler, mais l'oiseau ne l'entendait pas. Ses rêves était troublé de cauchemard, de visions et de douleur. Quand il se réveilla enfin, il senti un contact chaud contre sa main, contact qui se distinguait des autre car il n'amenait ni douleur, ni inconfort, simplement de la chaleur. Il ouvrit difficilement les yeux pour apercevoir une jeune fille qui lui tenait tendrement la main. Cependant, la jeune fille, il ne la connaissait pas, enfin, pas vraiment, puisqu'il ne connaissait pas ses parents. Bougeant légèrement les doigts, il attira l'attention des yeux vert sur lui. Lorsque leur regards se croisèrent, Harry sentit un énorme malaise se propager dans son corps. Cette fille était tellement jolie, une douce harmonie émanait de son faible sourir et ses cheveux flamboyant lui donnait des airs de reine, et même de déesse. La jeune fille lacha soudainement sa main.
-Excuse-moi. Murmura-t-elle.
En échange, Harry eut un sourir douloureux mais heureux, lui donnant le rose au joue.
-Je me présente, Lily Evans. Toi, comment t'appelles-tu ?
Harry ne répondit pas immédiatement. Il ne pouvait pas lui dire qu'il s'appellait Harry Potter, d'ailleur, il ne devait pas parler. Portant son doigr à ses lèvre, il lui fit comprendre qu'il ne voulait et qu'il ne pouvait pas lui dire.
-je vois, tu ne veux pas me le dire. Bien, je respect ce choix, mais tu risque de devoir répondre aux questions du professeur Dumbledore, car il afut le dire que ton arrivé à Poudlard à été, comment dire, assez remarquer. Madame Pomfresh à gérit la plus part de tes blessure, et tu pourras surement te lever d'ici demain, mais elle dit que ton rétablissement prendra plus d'une semaine, aller jusqu'à trois semaines. Tu es arriver hier soir, et nous t'avons transporter à l'infirmerie pour te soigner car tu étais très mal en point, couvert de bleu, mais je crois que je parle trop, je dois t'ennuyer à parler comme ça, mais c'est plus fort que moi.
Harry rit doucement sans faire de bruit et hocha de la tête, comme quoi cela ne le dérangeait pas du tout.
Lily sourit amicalement et se tourna vers le rideau qui les séparaient des autre occupant de la pièce qui avait garder le silence en écoutant parler la jeune fille, attendant sans doute que le garçon réponde.
-Vous pouvez venir les garçon, il s'est réveiller.
Le tissu fut repousser et quatres garçons entrèrent. L'un deux, maigre, les cheveux en bataille, un autre, blond châtain, les yeux cerné mais l'air chaleureux et confiant. Un troisième, grand, costaud, les cheveux d'une longueur démesurer, les yeux rieurs, le sourir séducteur. Le dernier, plus petit, était sans nul doute l'ennemi numéro 2 de Harry. cependant, son attention fut attirer par l'oiseau qui perchait sur le bras du petit garçon. Harry tendit le bras et donna un petit coup sur son poignet pour faire venir la chouette à lui, ce qu'elle fit en hululant joyeusement. Le sourir d'Harry s'étira et il caressa longuement les plumes blanches d'Hedwidge qui s'était alonger sur ses jambes, confortable contre la chaleur du corps de son maître.
-Elle était blessé, mais je l'ai soiné, elle est très intéligente.
Harry inclina la tête en signe de remerciment et se força à sourir au jeune homme rondelet
-Moi, c'est James Potter, lui, c'est. -L'irésistible Sirius Black, briseur de c?ur et ami et complice dans els farce et attrape de mon ami depuis toujrous, james. Harry pouffa légèrement mais serra les deux mains tendu vers lui. -Moi, je m'appelle Rémus Lupin, leur babysitter, si ont veut, et toi, comment t'appelles tu ?
Harry serra la main de Rémus mais ne répondit que par un mouvement la main. Il fit mine d'écrire sur un papier, réclamant une plume et un parchemin. Lily lui en procura en deux temps trois mouvements et il écrivit rapidement quelques mots.
Appellez-moi Harry.
Il leur tendit la papier et James y jetta un bref coup d'?il avant de regarder Harry droit dans les yeux.
-Tu ne peux pas parler ? demanda-t-il.
Harry hocha positivement de la tête mais ne prononça pas un mot. Soudain, une note mélodieuse se fit entendre. Dumbledore entra dans l'infirmerie, un magnifique phénix sur le bras. Harry reconnu fumseck, mais Dumbledore sembla surpris et curieux.
-Il y avait une lettre pour toi.Harry.
l'oiseau s'envola en direction d'Harry qui tendit une nouvelle fois le bras pour permettre à l'oiseau de s'y poser. Sous le regard ébahit des autres, Harry caressa l'animal et pris la lettre qu'il tenait dans sa patte.
Cher Harry. Nous avons été averti de ta disparition. Nous sommes dans l'impossibilité, cependant, de te retrouver, vu les possibilité des endroit d'où tu peux être. Hors donc, j'envois Fumseck à ta recherche, sachant pertinement qu'il te trouveras, peu importe l'endroit ou le temps où tu te trouve. Répond moi, je t'en pris, et indique nous du mieux que tu le peux l'endroit où tu es, et nous viendrons le plus tôt possible à ta rencontre.
Albus Dumbledore
Harry fonça des sourcis. En effet, comment était-il arrivé ici ? il pris la lettre et écrivit au dos.
Cher professeur, J'ignore comment je me suis retrouver ici, mais ce que je sais, c'est que je suis dans le pétrin. En effet, à mes côté se tiennent mon père, ma mère, le professeur Lupin, Pettigrow et une réplique miniature de mon parain. Au fait, comment va-t-il ? j'espère qu'il ne s'inquiete pas trop et qu'il va bien. ici, je ne vous cacherai pas que je ne me sens vraiment pas bien, mais c'est surement plus dut au fait des Dursley. Enfin, passer une bonne journée.
Harry P.
Harry replia la lettre et la redonna à Fumseck.
-C'est une lettre de ton tuteur ? demanda Dumbledore, les sourcils froncé.
Harry fit non de la tête.
-Alors de qui ?
Harry gocha des épaule et frappa son poing sur son c?ur, s'étouffant au passage, faisant comprendre que c'était quelqu'un qu'il aimait.
-Bien, tu permet que je lui écrive un mot ?
Harry fit un oui hésitant et caressa ses cheveux. Puis, il eut alors conscience de quelque chose. Ne lui avait-on pas dit qu'il ressemblait à son père, comme deux goutes d'eau ? étrangement, aucun d'eux ne semblait s'en être apperçu, surement à cause des blessure qu'il avait sur le visage, mais lorsqu'elles se seront effacé.. Harry devait y remédier au plus vite. Sortant de sa rêverie, il regarda Dumbledore écrire une longue lettre pour lui même, mais plus vieux, puis l'attacha avec sa propre lettre. Avec une dernière note, Fumseck s'envola et disparu dans une nouvelle porte.
( en 1995 : Poudlard)
Dumbledore était inquiet. Une attaque mangemort avait été déclarer dans privet drive. Il avait envoyer Sirius et Rogue pour vois ce qui en était, et il attendait toujours leur retour. Soudain, deux coup furent frappé à la porte.
-Entrer. Dit le directeur. Ha, enifn, Sévérus, Sirius, quel sont les nouvelles ?
Sirius baissa les yeux et Rogue eut un geste d'impuissance.
-Il à disparut. Lorsque nous sommes arrivé, les Dursley étaient tous mort, quelque mangemort s'attroupait devant le placard mais il était vide. Nous avons entendu leur conversation. Il semblerait qu'un sort ait mal tourner que que Harry à été transporter ailleur, avec ses valises et sa chouette. Nous ne connaissons pas l'état du garçon à son départ, nous ignorons où il se trouve et coment le trouver.
Dumbledore ferma les yeux. Harry était maintenant hors de sa porter et le jeune homme, bien que courageux, était sans déffence. Une note mélodieuse retentit à son oreille. Fumseck s'était posé sur son épaule et chantait doucement.
-La meilleur solution pour l'instant, c'est d'envoyer Fumseck à sa recherche. Il saura surement le trouver.
-Pourquoi lui ? demanda Sirius au bors de la crise de nerf ? -Nous ignorons tous où se trouve Harry. il peut être n'importe où dans le monde, et dans le temps. Les phénix ont la capacité de voyager dans le temps hors donc, si Harry à reculé, ou avancer, ne serait-ce que de quelque heureus, Fumseck le retrouvera facilement, puisqu'ils sont lier.
-Mais Albus, coupa Rogue, la première règle du voyage dans le temps, c'est de toujours revenir de la même façon dont nous sommes parti, et nous ne savons pas comment Harry serait retourner dans le passer, ou avancer dans le futur. -Je vais écrire à Harry, il saura surement mieux nous éclairer sur ce mystère. Maintenant, Sirius, avertissé Miss granger et le jeune Weasley de la disparition de leur amis, et inviter-les à passer le reste des vacances à Poudlard, pour leur propre sécurité, ainsi que les autre Weasley encore en âge de venir à Poudlard. De votre côté Severus, essayer de découvrir comment harry à pu être transporter, on ne sais où.
Sans un mot, les occupants du bureau principal s'occupèrent de leur tâche. Sirius se dirigea vers la grande salle pour écrire, Sévérus revêtit son habit de Mangemort et Dumbledore sortit une plume et un parchemin.
Cher Harry. Nous avons été averti de ta disparition. Nous sommes dans l'impossibilité, cependant, de te retrouver, vu les possibilité des endroit d'où tu peux être. Hors donc, j'envois Fumseck à ta recherche, sachant pertinement qu'il te trouveras, peu importe l'endroit ou le temps où tu te trouve. Répond moi, je t'en pris, et indique nous du mieux que tu le peux l'endroit où tu es, et nous viendrons le plus tôt possible à ta rencontre.
Albus Dumbledore
Dumbledore plia sa lettre et la tendit à l'oiseau.
-Fumseck, fait tout ce que tu peux pour retrouver Harry, tu sais à quel point il est important de le ramener saint et sauf avant que Voldemort ne le retrouve lui-même.
L'oiseau émit une note mélodieuse, s'empara de la lettre et pris son envol. Bien sûr, retrouver Harry allait être chose difficile, mais Fumseck savait où il devait chercher, dans le passé. Ouvrant une porte temporelle, l'oiseau le traversa et se retrouva exactement 20 ans en arrière.
(retour à Harry)
-Dumbledore, l'état de ce garçon est déplorable, même avec toutes les potion possible, sont rétablissement complet prendra deux, peut-êter trois semaine, tout au plus. -Alors, faites ce que vous pouvez Pompom, mais nous n'allons pas le laisser ainsi. -Messieu le Directeur ? -ho ! c'est vous mr Potter, mr Black, poser la valise ici, et vous pouvez retourner dans votre salle commune, en attendant le banquet.
Les deux garçon obeirent et sortirent de la salle blanche, sans manquer de remarquer l'horreur du visage et du torse, et même du corps, car il avait été débarasser de son pantalon et n'était plus recouvert que par un caleçon. Des bleus le recouvrait en grande parti, la forme de son torse laissait croire qu'il avait plusieurs côte brisé, sa respiration était régulière mais difficile et un drôle de bruit émanait de lui.
-C'est vraiment horrible, ce qu'on lui à fait. Marmona Sirius tout en marchant à côté de son ami de toujours, James -Oui, vraiment Horrible, et j'espère que ceux qui lui ont fait ça ont souffert eux aussi. -Tu as vu, comment il avait peur en voyant Lily ? comment il s'est jetté dans les bras de Dumbledore en pleurant, et pourtant, j'ai l'impression de le connaître. -oui, moi aussi, et tu as vu la couleur de ses yeux ? -Vert, oui, j'ai vu, vert éclatant, comme ceux de Lily. -oui, mais en plus sombre, plus triste, il était affolé. -Je le comprend, il est arrivé dans la salle de classe tout d'un coup, sans savoir où il se trouvait. -Mais tu as vu, sur sa valise, il y avait l'emblême de Poudlard, des robe de sorcier, et il tenait une baguette magique. -Qui sait, on verra demain, on ira le voir à l'infirmerie. -Si Pomfres nous laisse entrer. -Ça n'a jamais été un problème. (retour à Fumseck)
Les vibration d'Harry étaient trop faibles pour qu'il puisse être ici, à cet instant, mais pourtant, il savait que Harry se trouvait dans le passé, 20 ans plus tôt. Il avança donc d'une semaine par une autre porte, moins puisante cette fois. Il se rapprochait d'Harry était plus forte, mais encore trop faible. S'avançant semaine par semaine, Fumseck arriva finalement au jour de l'halloween. Il avait vu les élèves arrivé à Poudlard, la première sortie à Pré-au-lard, mais pas une trace d'Harry, jusqu'à maintenant. Au moment où il allait franchir une nouvelle fois la porte, la sensation d'êter tout près de son but l'arrêta. Harry était arrivé à Poudlard à cet instant. L'animal vola doucement vers le bureau où il avait l'habitude de demerer, sachant sans aucun doute que lui même y était déjà. S'engouffrant par la fenêtre, il fit face à un oiseau de la taille d'un signe, au couleur rouge et or, qui le regardait, apparament peu surpris de son arrivé. Fumseck se posa sur le bureau et attendit. Il devait trouver Harry, mais voulait dabors s'assurer qu'il était bien à la bonne époque.
(retour à Harry)
Dans son sommeil, Harry avait pu voir Fumseck le chercher. Il l'avait désespérément appeler, mais l'oiseau ne l'entendait pas. Ses rêves était troublé de cauchemard, de visions et de douleur. Quand il se réveilla enfin, il senti un contact chaud contre sa main, contact qui se distinguait des autre car il n'amenait ni douleur, ni inconfort, simplement de la chaleur. Il ouvrit difficilement les yeux pour apercevoir une jeune fille qui lui tenait tendrement la main. Cependant, la jeune fille, il ne la connaissait pas, enfin, pas vraiment, puisqu'il ne connaissait pas ses parents. Bougeant légèrement les doigts, il attira l'attention des yeux vert sur lui. Lorsque leur regards se croisèrent, Harry sentit un énorme malaise se propager dans son corps. Cette fille était tellement jolie, une douce harmonie émanait de son faible sourir et ses cheveux flamboyant lui donnait des airs de reine, et même de déesse. La jeune fille lacha soudainement sa main.
-Excuse-moi. Murmura-t-elle.
En échange, Harry eut un sourir douloureux mais heureux, lui donnant le rose au joue.
-Je me présente, Lily Evans. Toi, comment t'appelles-tu ?
Harry ne répondit pas immédiatement. Il ne pouvait pas lui dire qu'il s'appellait Harry Potter, d'ailleur, il ne devait pas parler. Portant son doigr à ses lèvre, il lui fit comprendre qu'il ne voulait et qu'il ne pouvait pas lui dire.
-je vois, tu ne veux pas me le dire. Bien, je respect ce choix, mais tu risque de devoir répondre aux questions du professeur Dumbledore, car il afut le dire que ton arrivé à Poudlard à été, comment dire, assez remarquer. Madame Pomfresh à gérit la plus part de tes blessure, et tu pourras surement te lever d'ici demain, mais elle dit que ton rétablissement prendra plus d'une semaine, aller jusqu'à trois semaines. Tu es arriver hier soir, et nous t'avons transporter à l'infirmerie pour te soigner car tu étais très mal en point, couvert de bleu, mais je crois que je parle trop, je dois t'ennuyer à parler comme ça, mais c'est plus fort que moi.
Harry rit doucement sans faire de bruit et hocha de la tête, comme quoi cela ne le dérangeait pas du tout.
Lily sourit amicalement et se tourna vers le rideau qui les séparaient des autre occupant de la pièce qui avait garder le silence en écoutant parler la jeune fille, attendant sans doute que le garçon réponde.
-Vous pouvez venir les garçon, il s'est réveiller.
Le tissu fut repousser et quatres garçons entrèrent. L'un deux, maigre, les cheveux en bataille, un autre, blond châtain, les yeux cerné mais l'air chaleureux et confiant. Un troisième, grand, costaud, les cheveux d'une longueur démesurer, les yeux rieurs, le sourir séducteur. Le dernier, plus petit, était sans nul doute l'ennemi numéro 2 de Harry. cependant, son attention fut attirer par l'oiseau qui perchait sur le bras du petit garçon. Harry tendit le bras et donna un petit coup sur son poignet pour faire venir la chouette à lui, ce qu'elle fit en hululant joyeusement. Le sourir d'Harry s'étira et il caressa longuement les plumes blanches d'Hedwidge qui s'était alonger sur ses jambes, confortable contre la chaleur du corps de son maître.
-Elle était blessé, mais je l'ai soiné, elle est très intéligente.
Harry inclina la tête en signe de remerciment et se força à sourir au jeune homme rondelet
-Moi, c'est James Potter, lui, c'est. -L'irésistible Sirius Black, briseur de c?ur et ami et complice dans els farce et attrape de mon ami depuis toujrous, james. Harry pouffa légèrement mais serra les deux mains tendu vers lui. -Moi, je m'appelle Rémus Lupin, leur babysitter, si ont veut, et toi, comment t'appelles tu ?
Harry serra la main de Rémus mais ne répondit que par un mouvement la main. Il fit mine d'écrire sur un papier, réclamant une plume et un parchemin. Lily lui en procura en deux temps trois mouvements et il écrivit rapidement quelques mots.
Appellez-moi Harry.
Il leur tendit la papier et James y jetta un bref coup d'?il avant de regarder Harry droit dans les yeux.
-Tu ne peux pas parler ? demanda-t-il.
Harry hocha positivement de la tête mais ne prononça pas un mot. Soudain, une note mélodieuse se fit entendre. Dumbledore entra dans l'infirmerie, un magnifique phénix sur le bras. Harry reconnu fumseck, mais Dumbledore sembla surpris et curieux.
-Il y avait une lettre pour toi.Harry.
l'oiseau s'envola en direction d'Harry qui tendit une nouvelle fois le bras pour permettre à l'oiseau de s'y poser. Sous le regard ébahit des autres, Harry caressa l'animal et pris la lettre qu'il tenait dans sa patte.
Cher Harry. Nous avons été averti de ta disparition. Nous sommes dans l'impossibilité, cependant, de te retrouver, vu les possibilité des endroit d'où tu peux être. Hors donc, j'envois Fumseck à ta recherche, sachant pertinement qu'il te trouveras, peu importe l'endroit ou le temps où tu te trouve. Répond moi, je t'en pris, et indique nous du mieux que tu le peux l'endroit où tu es, et nous viendrons le plus tôt possible à ta rencontre.
Albus Dumbledore
Harry fonça des sourcis. En effet, comment était-il arrivé ici ? il pris la lettre et écrivit au dos.
Cher professeur, J'ignore comment je me suis retrouver ici, mais ce que je sais, c'est que je suis dans le pétrin. En effet, à mes côté se tiennent mon père, ma mère, le professeur Lupin, Pettigrow et une réplique miniature de mon parain. Au fait, comment va-t-il ? j'espère qu'il ne s'inquiete pas trop et qu'il va bien. ici, je ne vous cacherai pas que je ne me sens vraiment pas bien, mais c'est surement plus dut au fait des Dursley. Enfin, passer une bonne journée.
Harry P.
Harry replia la lettre et la redonna à Fumseck.
-C'est une lettre de ton tuteur ? demanda Dumbledore, les sourcils froncé.
Harry fit non de la tête.
-Alors de qui ?
Harry gocha des épaule et frappa son poing sur son c?ur, s'étouffant au passage, faisant comprendre que c'était quelqu'un qu'il aimait.
-Bien, tu permet que je lui écrive un mot ?
Harry fit un oui hésitant et caressa ses cheveux. Puis, il eut alors conscience de quelque chose. Ne lui avait-on pas dit qu'il ressemblait à son père, comme deux goutes d'eau ? étrangement, aucun d'eux ne semblait s'en être apperçu, surement à cause des blessure qu'il avait sur le visage, mais lorsqu'elles se seront effacé.. Harry devait y remédier au plus vite. Sortant de sa rêverie, il regarda Dumbledore écrire une longue lettre pour lui même, mais plus vieux, puis l'attacha avec sa propre lettre. Avec une dernière note, Fumseck s'envola et disparu dans une nouvelle porte.
