Chapitre 4
L'infirmerie était drôlement silencieuse depuis le départ des quatre amis, de Lily et de Dumbledore. Harry avait été assaillit de question auxquelles il répondait par de vague hochement de tête, ou bien parfois en écrivant sur un parchemin lorsque la réponse était plus complex. Cependant, il n'avait rien révélé de ses origines, de son nom, de ses parents où des gens qui l'avaient battu. Les douleurs avait regargnées son corps mais il avait passé au-delà et avait réussis à s'extirpé de son lit assez longtemps pour prendre sa valise. Les maraudeurs était très fouineurs et espiègles, et ils ne se gêneraient pas longtemps pour mettre le nez dans ses affaires. Personnellement, Harry aurait sans doute fait la même chose, mais comme certaine révélation pouvait être dramatique, il vallait mieux intervenir aussitôt. Ouvrant sa valise, il pris une bouteille d'encre, une vieille plume et ses livres. Un à un, il barra le nom Potter et écrivit le premier mot qui lui passa à l'esprit, Morgan. Il ne savait pas pourquoi, mais cela lui semblait une bonne idée. Il ne connaissait personne portant ce nom, et s'il devait suivre les cours ici, il devait avoir un nom complet. Ainsi, sur tous ses livre, vêtement, cape, ou objet quelqu'onque sur lequel était inscrit son nom de famille. Lorsqu'il en arriva à son balai, il se dit que l'éclair de feu n'avait pas encore été inventer, et qu'il pouvait être un problème mais il ne pouvait se résoudre à abandonner son balai, que Sirius lui avait offert. Le balai brillait d'un éclat d'argent et Harry caressa la manche de son précieux bien. il le rengea doucement dans sa valise et pris sa cape d'invisibilité. Une fois de plus, il voulu raturer le nom avant de comprendre qu'il n'y en avait pas. Évidement, si on trouvait un tel objet, il valait mieux ne pas inscrire son nom car cela pouvait être compremettant. A bien y penser, un voyage dans le passé pouvais être amusant, même s'il comportait quelque risque. Un raclement de gorge lui fit tourner la tête et il regarda l'infirmière qui le fixait avec un regard furieux mais protecteur.
-Harry, tu dois rester allonger sur ton lit. Tu es encore trop faible pour faire quoi que ce soit. Demain, si tu es mieux, tu pourras être réparti à leur du dîner mais d'ici là, tu reste dans ton lit.
Harry fut estomaqué. C'était bien la première fois que l'infirmière le tutoyait et aussi, la première fois qu'elle était si douce.
Docilement, Harry retourna dans son lit, prenant au passage un livre avant de refermer la grosse malle, et commençala lecture de son manuel de Quidditch. L'infirmière le regarda, surprise de le voir obéir si paisiblement à sa demande. D'ordinaire, il lui fallait se battre avec ses patients pour qu'ils reste allonger ne serait-ce qu'une minute.
Toute la journée, Harry lut ses livres, écrivit quelque notes, astiqua son balai, et tout ça dans le plus grand des silences. A la fin de la journée, Dumbledore fit irruption pour voir comment se portait son ''protégé''. Celui-ci gérissait à une vitesse fulgurante. Des blessure qui aurait du mettre des mois à disparaître s'effaçaient rapidement, de sorte que le visage d'Harry était beaucoup moins déformé, ses membres beaucoup plus vigoureux et ses gestes moins spasmodiques. Tranquillement, Harry s'occupait même s'il s'ennuiait franchement entre ces quatres murs blancs. Il voulait sortir et se promener dans l'école, vois le parc, le lac, la forêt interdite et ses dangers, il voulait voir autre chose que les draps d'un blanc maussade et anodin. Son ennuis se lisait sur ses traits et ses mouvement était impatient. Il voulait sentir l'air dans ses cheveux. Ses cheveux qui était en bataille comme ceux de son père. Harry devait remédier à se problème de ressemblance. Puis, soudain, la réponse lui parut évidente. Il se concentra fermement sur l'apparence qu'il aimerait avoir. Les cheveux plus long, soyeux, mais noir. Ses yeux, il voulait les garder vert, mais plus sombre, vert impénétrable, comme les mystères d'un océan. Les épaules plus larges, mais à peine, plus grand, mais pas trop, plus musclé, mais encore, de façon minime. Il ne devait pas changer de façon flagrante car s'il changeait trop, les autres s'en apercevraient. Son teint, plus bronzer, les lèvre mieux dessiner et sa cicatrice, disparu, completement dissipé. Cette image était encerer dans sa tête. Il ressemblait toujours à James, de façon indirect, mais ne pouvait ne abdiquer à changer totalement, il devait garder une certaine ressemblance à ce qu'il était présentement. Lorsqu'il ouvrit les yeux, son corps était complètement métamorphosé. L'image qu'il s'était fait, elle était maintenant réel et il était cette représentation, mais en chair. Il s'observa dans le miroir et aprrécia l'image progeter. Il n'avait pas vraiment changer, et ressemblait toujours à son père, mais la différence était moins flagrante. Il observa aussi ses blessures. Son nez avait été cassé, ses yeux noircis par la blessure, ses doigts fins et élancés était recouverts de minces bandages, sa jambe était envellopée d'une grosse attelle, et son bras était douloureux. Cependant, il avait noté une net amélioration dans sa respiration et son torse ne produisait plus aucun sifflement entêtant. Il retoura vers son lit et s'y allongea en songeant à ce que son voyage allait entraîner. Il ne devait divulgré aucune information possible sur le futur des maraudeurs, mais Peter allait poser un problème. Certe, le jeune homme avait l'air sympatique, et il s'en voulut de cette penser, mais il était vrai qu'il avait été gentil, à croire que quelque année peuvent vraiment changer quelqu'un. Il devait faire comme s'il ne le connaissait pas, et découvrir la raison du pourquoi, savoir pourquoi quelqu'un d'aussi.aimable, avait pu changer ainsi. Aussi, il devait faire attention car ici, Voldemort était puissant.Voldemort, le savait-il qu'il était ici ? Si oui, allait-il venir le chercher ? et dans ce cas, rien ne pourrait l'empêcher de le tuer, car Dumbledore, Son Dumbledore n'était plus là pour le protégé.
Son regard parcourut ses affaires éparpillé sur son lit et il apperçu son album photo. Il le prit rapidement entre ses mains, le feuilleta hâtivement et arriva rapidement à la dernière page. La dernière photo était une image de lui, Ron et Hermione à la grande salle, entouré de Fred et George, quelques autre de ses amis. La photo avait été prise par Colin à son inssu mais lorsque Harry l'avait vu, il l'avait beaucoup aimé et le la lui avait demander. Le jeune garçon s'était empressé de la lui offrir et Harry l'avait mise dans son album. Cependant, il ne pouvait garder de telle photo avec lui. Mais ne plus voir ses amis serait un véritable suplice. En conscéquent, il enleva la dernière photo, la déposa sur le lit et referma le livre à regret. Il devait se débarasser de certaine chose qui pourrait être intercepté par la curiosité des maraudeurs mais avait de la difficulté à accepter cette réalité. Lorsque Fumsech revienrait avec une lettre, il lui donnerait toutes les choses qu'il devait faire disparaître. La fatigue commença soudain à gagner son corps. Il balaya brusquement la surface du lit, provoquant un rafut bryant, et s'allongea sur le lit. Le sommeil vint en quelque seconde et c'est ainsi que l'infirmière et le professeur Dumbledore le trouvèrent, confortablement installé sur les draps, un véritable foullis sur le sol. Son visage était paisible, serein et calme. Outre les quelques blessures qui marquait encore son visage, personne n'aurait pu croire qu'il avait été aussi mal traiter tant son expression était douce. Dumbledore s'aprocha de lui, effleura la joue rose et regarda l'infirmière.
-Vous avez raison Pompom, il à grérit bien trop vite pour ce que je m'attendait. Beaucoup trop vite pour être une gérison naturelle. Il a quelque chose chez lui qui m'intrigue, et d'bors son changement physique, et ce rafus autour de lui.
L'homme rammassa un livre et regarda attentivement l'inscription du nom.
-Harry P. Morgan. Murmura le vieux directeur pour lui-même. Etrange, je ne connais personne de ce nom. Et apparement, nous ne devons pas connaître son véritable nom. Vraiment étrange. Il arrive ici, à Poudlard, le soir de l'halloween, completement défait et meutris, couvert de blessure, avec une valise et une chouette, des livre et des robe de Poudlrad. Pourtant, je ne le connais pas. vraiment étrange, trop étrange. Il cache quelque chose.
-Messieu le Directeur ! intervint une jeune vois derrière lui. L'infirmière et l'homme sursautèrent violement avant de se tourner vers la jeune silouhette rousse et timide de la jolie Griffondor.
-Miss Evans, vous n'êtes pas en cours ? -Bien, c'est l'heure du dîner, et je venais juste voir comment allait Harry. -Je vous rassure, il va très bien, même trop bien. -Comment pourrait-il aller trop bien ? -Sa guérison est très rapide. Ce qui devait prendre trois semaine à guérir est déjà cicatrisé. Maintenant, ce sont les blessures psycologiques que l'ont doit refermé, et cela prendra du temps, j'en ai peur. Même pour un adulte robuste et froid, le sort qu'on lui à infligé laisse des séquelles. Nous allons le garder à Poudlard aussi longtemps que nésséssaire. Demain, nous allons le répartir, même si je crois que sa destination est Griffondor. -Bien messieu, merci. -Ne me remercier pas Miss Evans, je n'ai rien fait. -Merci pour êtr là professeur, même si ce n'est pas moi qui est blessé, je sais que vous vous seriez tout aussi inquiéter pour moi. D'ailleur, merci pour les informations. -De rien Lily. Tu devrait regargner la Grande salle, je vais t'y accompagner. Vient.
Sans un mots de plus, le directeur et sa jeune élève sortirent de l'infirmerie alors que Harry remuait à peine dans son sommeil.
***
-Alors, c'est ce soir qu'on le réparti ? demanda un élèves de quatrième année.
L'arrivé de Harry avait fait le tour de l'école en quelques heureures et plusieurs élèves s'était même présenter à l'infirmerie pour le voir mais l'infirmière donnait le passage qu'a un groupe restreint d'élèves, c'est à dire, uniquement Lily qui avait eut la permission de Dumbledore, vu l'insistance muette d'harry pour l'avoir près de lui.
Ce soir même, à l'heure du dîner, Harry serait réparti dans l'une des quatres maison de Poudlard où il serait sans doute bien reçu, peu importe sa destination.
Lily était bien la seule à être au courant de l'état du nouveau et elle était assaillit de question depuis qu'elle leur avait révélé qu'il allait être répartit.
-À quoi ressemble-t-il ? -Est-ce qu'il est beau ? -Comment va-t-il ?
elle était vraiment énervé de voir autant de fille s'énerver pour lui. Les garçon étaitent plus discret, mais ont voyait quand même une certaine curiosité face à cet inconnu.
L'heure du dîner arriva et Lily fut enfin débarasser de ces folle qui l'assaillait depuis plus d'une demi heure.
-Alors Lily, pas trop épuisé ? s'amusa Sirius devant l'expression furieuse et enervée de son amie. -C'est fille sont completement déranger. -Que veux-tu, Harry sucite quand même beaucoup de curiosité, et tu es la seule autorisé à le voir à l'infirmerie. -Si ont ne veut pas arrivé en retard au repas, on ferrait mieux d'y aller. Dit Rémus.
Les quatre maraudeurs et Lily sortirent et suivirent la cohorte qui allait à la grande salle.
Tous prirent place et attendirent que le directeur se lève pour leur annoncer la nouvelle.
-Cher élèves, dit enfin Dumbledore devant la mine impatiente de la salle, comme il est impossible de cacher quelque chose à Poudlrad, vous avez sans doute été mis au courant de l'arrivé quelque peu catastrophique d'un nouvel élèves, Harry Morgan. Mr. Morgan sera réparti ce soir dans l'une des quatres maison de Poudlard. Cependant, peu importe où il ira, je vous demande de l'acceuillir chaleureusement. S'il le veut, il répondra surement à vos question, mais pas ce soir, ni demain. Je ne vous caherai pas qu'il à traverser un moment difficile et qu'il ne s'en ai pas completement remis. Maintenant, nous allons assister à une répartition tardive.
D'un signe de la main, les deux portes s'écartèrent et laissèrent passé Mcgonnagal avec un tabouret et le choixpeau magique. Derrière elle trottinait un élève, le nouveau. Tous purent voir ses yeux vert profond, ses cheveux noir corbeaux, lisse et soyeux, ses épaule large par rapport à ses hanches mince, son teint bronzer mais surtout le bleu sombre qui entourait ses yeux et son nez à peine remis de sa brisure. Une de ses mains était entouré de bandage et il boitait légèrement. Cependant, sa démarche et sa posture n'en était pas moin noble et fier. Il s'avanca derrière le vieille femme et jetta un bref regard autour de lui.
-Il s'en ai drolement bien remis. Murmura James qui obervait la silouhette d'Harry. -Le professeur Dumbledore à dit qu'il guérissait plus vite que prévu. Maintenant, taisez-vous.
Le regard des Maraudeurs se reporta sur Harry qui était présentement devant la talbe des professeur, assis sur le tabouret, le choixpeau sur sa tête.
Tu as connu des moment difficile, tu est avide de faire tes preuves, tu as envie de tout savoir, et tu est très courageux. Loyal, fort, rusé, le choix est difficile, Serpentard te conviendrais beaucoup, mais Griffondor te conduira sur la bonne voie. Serdaigle pourrais t'apprendre ce que tu veux savoir et les élèves de Pouffsoufle t'aiderais à surpasser la haine que tu éprouve pour tes boureau. Ho, mais que vois-je, beaucoup d'aventure, tu déteste tout ce qui rime avec Serpentard, et bien je connais ta maison, c'est : GRIFFONDOR.
L'infirmerie était drôlement silencieuse depuis le départ des quatre amis, de Lily et de Dumbledore. Harry avait été assaillit de question auxquelles il répondait par de vague hochement de tête, ou bien parfois en écrivant sur un parchemin lorsque la réponse était plus complex. Cependant, il n'avait rien révélé de ses origines, de son nom, de ses parents où des gens qui l'avaient battu. Les douleurs avait regargnées son corps mais il avait passé au-delà et avait réussis à s'extirpé de son lit assez longtemps pour prendre sa valise. Les maraudeurs était très fouineurs et espiègles, et ils ne se gêneraient pas longtemps pour mettre le nez dans ses affaires. Personnellement, Harry aurait sans doute fait la même chose, mais comme certaine révélation pouvait être dramatique, il vallait mieux intervenir aussitôt. Ouvrant sa valise, il pris une bouteille d'encre, une vieille plume et ses livres. Un à un, il barra le nom Potter et écrivit le premier mot qui lui passa à l'esprit, Morgan. Il ne savait pas pourquoi, mais cela lui semblait une bonne idée. Il ne connaissait personne portant ce nom, et s'il devait suivre les cours ici, il devait avoir un nom complet. Ainsi, sur tous ses livre, vêtement, cape, ou objet quelqu'onque sur lequel était inscrit son nom de famille. Lorsqu'il en arriva à son balai, il se dit que l'éclair de feu n'avait pas encore été inventer, et qu'il pouvait être un problème mais il ne pouvait se résoudre à abandonner son balai, que Sirius lui avait offert. Le balai brillait d'un éclat d'argent et Harry caressa la manche de son précieux bien. il le rengea doucement dans sa valise et pris sa cape d'invisibilité. Une fois de plus, il voulu raturer le nom avant de comprendre qu'il n'y en avait pas. Évidement, si on trouvait un tel objet, il valait mieux ne pas inscrire son nom car cela pouvait être compremettant. A bien y penser, un voyage dans le passé pouvais être amusant, même s'il comportait quelque risque. Un raclement de gorge lui fit tourner la tête et il regarda l'infirmière qui le fixait avec un regard furieux mais protecteur.
-Harry, tu dois rester allonger sur ton lit. Tu es encore trop faible pour faire quoi que ce soit. Demain, si tu es mieux, tu pourras être réparti à leur du dîner mais d'ici là, tu reste dans ton lit.
Harry fut estomaqué. C'était bien la première fois que l'infirmière le tutoyait et aussi, la première fois qu'elle était si douce.
Docilement, Harry retourna dans son lit, prenant au passage un livre avant de refermer la grosse malle, et commençala lecture de son manuel de Quidditch. L'infirmière le regarda, surprise de le voir obéir si paisiblement à sa demande. D'ordinaire, il lui fallait se battre avec ses patients pour qu'ils reste allonger ne serait-ce qu'une minute.
Toute la journée, Harry lut ses livres, écrivit quelque notes, astiqua son balai, et tout ça dans le plus grand des silences. A la fin de la journée, Dumbledore fit irruption pour voir comment se portait son ''protégé''. Celui-ci gérissait à une vitesse fulgurante. Des blessure qui aurait du mettre des mois à disparaître s'effaçaient rapidement, de sorte que le visage d'Harry était beaucoup moins déformé, ses membres beaucoup plus vigoureux et ses gestes moins spasmodiques. Tranquillement, Harry s'occupait même s'il s'ennuiait franchement entre ces quatres murs blancs. Il voulait sortir et se promener dans l'école, vois le parc, le lac, la forêt interdite et ses dangers, il voulait voir autre chose que les draps d'un blanc maussade et anodin. Son ennuis se lisait sur ses traits et ses mouvement était impatient. Il voulait sentir l'air dans ses cheveux. Ses cheveux qui était en bataille comme ceux de son père. Harry devait remédier à se problème de ressemblance. Puis, soudain, la réponse lui parut évidente. Il se concentra fermement sur l'apparence qu'il aimerait avoir. Les cheveux plus long, soyeux, mais noir. Ses yeux, il voulait les garder vert, mais plus sombre, vert impénétrable, comme les mystères d'un océan. Les épaules plus larges, mais à peine, plus grand, mais pas trop, plus musclé, mais encore, de façon minime. Il ne devait pas changer de façon flagrante car s'il changeait trop, les autres s'en apercevraient. Son teint, plus bronzer, les lèvre mieux dessiner et sa cicatrice, disparu, completement dissipé. Cette image était encerer dans sa tête. Il ressemblait toujours à James, de façon indirect, mais ne pouvait ne abdiquer à changer totalement, il devait garder une certaine ressemblance à ce qu'il était présentement. Lorsqu'il ouvrit les yeux, son corps était complètement métamorphosé. L'image qu'il s'était fait, elle était maintenant réel et il était cette représentation, mais en chair. Il s'observa dans le miroir et aprrécia l'image progeter. Il n'avait pas vraiment changer, et ressemblait toujours à son père, mais la différence était moins flagrante. Il observa aussi ses blessures. Son nez avait été cassé, ses yeux noircis par la blessure, ses doigts fins et élancés était recouverts de minces bandages, sa jambe était envellopée d'une grosse attelle, et son bras était douloureux. Cependant, il avait noté une net amélioration dans sa respiration et son torse ne produisait plus aucun sifflement entêtant. Il retoura vers son lit et s'y allongea en songeant à ce que son voyage allait entraîner. Il ne devait divulgré aucune information possible sur le futur des maraudeurs, mais Peter allait poser un problème. Certe, le jeune homme avait l'air sympatique, et il s'en voulut de cette penser, mais il était vrai qu'il avait été gentil, à croire que quelque année peuvent vraiment changer quelqu'un. Il devait faire comme s'il ne le connaissait pas, et découvrir la raison du pourquoi, savoir pourquoi quelqu'un d'aussi.aimable, avait pu changer ainsi. Aussi, il devait faire attention car ici, Voldemort était puissant.Voldemort, le savait-il qu'il était ici ? Si oui, allait-il venir le chercher ? et dans ce cas, rien ne pourrait l'empêcher de le tuer, car Dumbledore, Son Dumbledore n'était plus là pour le protégé.
Son regard parcourut ses affaires éparpillé sur son lit et il apperçu son album photo. Il le prit rapidement entre ses mains, le feuilleta hâtivement et arriva rapidement à la dernière page. La dernière photo était une image de lui, Ron et Hermione à la grande salle, entouré de Fred et George, quelques autre de ses amis. La photo avait été prise par Colin à son inssu mais lorsque Harry l'avait vu, il l'avait beaucoup aimé et le la lui avait demander. Le jeune garçon s'était empressé de la lui offrir et Harry l'avait mise dans son album. Cependant, il ne pouvait garder de telle photo avec lui. Mais ne plus voir ses amis serait un véritable suplice. En conscéquent, il enleva la dernière photo, la déposa sur le lit et referma le livre à regret. Il devait se débarasser de certaine chose qui pourrait être intercepté par la curiosité des maraudeurs mais avait de la difficulté à accepter cette réalité. Lorsque Fumsech revienrait avec une lettre, il lui donnerait toutes les choses qu'il devait faire disparaître. La fatigue commença soudain à gagner son corps. Il balaya brusquement la surface du lit, provoquant un rafut bryant, et s'allongea sur le lit. Le sommeil vint en quelque seconde et c'est ainsi que l'infirmière et le professeur Dumbledore le trouvèrent, confortablement installé sur les draps, un véritable foullis sur le sol. Son visage était paisible, serein et calme. Outre les quelques blessures qui marquait encore son visage, personne n'aurait pu croire qu'il avait été aussi mal traiter tant son expression était douce. Dumbledore s'aprocha de lui, effleura la joue rose et regarda l'infirmière.
-Vous avez raison Pompom, il à grérit bien trop vite pour ce que je m'attendait. Beaucoup trop vite pour être une gérison naturelle. Il a quelque chose chez lui qui m'intrigue, et d'bors son changement physique, et ce rafus autour de lui.
L'homme rammassa un livre et regarda attentivement l'inscription du nom.
-Harry P. Morgan. Murmura le vieux directeur pour lui-même. Etrange, je ne connais personne de ce nom. Et apparement, nous ne devons pas connaître son véritable nom. Vraiment étrange. Il arrive ici, à Poudlard, le soir de l'halloween, completement défait et meutris, couvert de blessure, avec une valise et une chouette, des livre et des robe de Poudlrad. Pourtant, je ne le connais pas. vraiment étrange, trop étrange. Il cache quelque chose.
-Messieu le Directeur ! intervint une jeune vois derrière lui. L'infirmière et l'homme sursautèrent violement avant de se tourner vers la jeune silouhette rousse et timide de la jolie Griffondor.
-Miss Evans, vous n'êtes pas en cours ? -Bien, c'est l'heure du dîner, et je venais juste voir comment allait Harry. -Je vous rassure, il va très bien, même trop bien. -Comment pourrait-il aller trop bien ? -Sa guérison est très rapide. Ce qui devait prendre trois semaine à guérir est déjà cicatrisé. Maintenant, ce sont les blessures psycologiques que l'ont doit refermé, et cela prendra du temps, j'en ai peur. Même pour un adulte robuste et froid, le sort qu'on lui à infligé laisse des séquelles. Nous allons le garder à Poudlard aussi longtemps que nésséssaire. Demain, nous allons le répartir, même si je crois que sa destination est Griffondor. -Bien messieu, merci. -Ne me remercier pas Miss Evans, je n'ai rien fait. -Merci pour êtr là professeur, même si ce n'est pas moi qui est blessé, je sais que vous vous seriez tout aussi inquiéter pour moi. D'ailleur, merci pour les informations. -De rien Lily. Tu devrait regargner la Grande salle, je vais t'y accompagner. Vient.
Sans un mots de plus, le directeur et sa jeune élève sortirent de l'infirmerie alors que Harry remuait à peine dans son sommeil.
***
-Alors, c'est ce soir qu'on le réparti ? demanda un élèves de quatrième année.
L'arrivé de Harry avait fait le tour de l'école en quelques heureures et plusieurs élèves s'était même présenter à l'infirmerie pour le voir mais l'infirmière donnait le passage qu'a un groupe restreint d'élèves, c'est à dire, uniquement Lily qui avait eut la permission de Dumbledore, vu l'insistance muette d'harry pour l'avoir près de lui.
Ce soir même, à l'heure du dîner, Harry serait réparti dans l'une des quatres maison de Poudlard où il serait sans doute bien reçu, peu importe sa destination.
Lily était bien la seule à être au courant de l'état du nouveau et elle était assaillit de question depuis qu'elle leur avait révélé qu'il allait être répartit.
-À quoi ressemble-t-il ? -Est-ce qu'il est beau ? -Comment va-t-il ?
elle était vraiment énervé de voir autant de fille s'énerver pour lui. Les garçon étaitent plus discret, mais ont voyait quand même une certaine curiosité face à cet inconnu.
L'heure du dîner arriva et Lily fut enfin débarasser de ces folle qui l'assaillait depuis plus d'une demi heure.
-Alors Lily, pas trop épuisé ? s'amusa Sirius devant l'expression furieuse et enervée de son amie. -C'est fille sont completement déranger. -Que veux-tu, Harry sucite quand même beaucoup de curiosité, et tu es la seule autorisé à le voir à l'infirmerie. -Si ont ne veut pas arrivé en retard au repas, on ferrait mieux d'y aller. Dit Rémus.
Les quatre maraudeurs et Lily sortirent et suivirent la cohorte qui allait à la grande salle.
Tous prirent place et attendirent que le directeur se lève pour leur annoncer la nouvelle.
-Cher élèves, dit enfin Dumbledore devant la mine impatiente de la salle, comme il est impossible de cacher quelque chose à Poudlrad, vous avez sans doute été mis au courant de l'arrivé quelque peu catastrophique d'un nouvel élèves, Harry Morgan. Mr. Morgan sera réparti ce soir dans l'une des quatres maison de Poudlard. Cependant, peu importe où il ira, je vous demande de l'acceuillir chaleureusement. S'il le veut, il répondra surement à vos question, mais pas ce soir, ni demain. Je ne vous caherai pas qu'il à traverser un moment difficile et qu'il ne s'en ai pas completement remis. Maintenant, nous allons assister à une répartition tardive.
D'un signe de la main, les deux portes s'écartèrent et laissèrent passé Mcgonnagal avec un tabouret et le choixpeau magique. Derrière elle trottinait un élève, le nouveau. Tous purent voir ses yeux vert profond, ses cheveux noir corbeaux, lisse et soyeux, ses épaule large par rapport à ses hanches mince, son teint bronzer mais surtout le bleu sombre qui entourait ses yeux et son nez à peine remis de sa brisure. Une de ses mains était entouré de bandage et il boitait légèrement. Cependant, sa démarche et sa posture n'en était pas moin noble et fier. Il s'avanca derrière le vieille femme et jetta un bref regard autour de lui.
-Il s'en ai drolement bien remis. Murmura James qui obervait la silouhette d'Harry. -Le professeur Dumbledore à dit qu'il guérissait plus vite que prévu. Maintenant, taisez-vous.
Le regard des Maraudeurs se reporta sur Harry qui était présentement devant la talbe des professeur, assis sur le tabouret, le choixpeau sur sa tête.
Tu as connu des moment difficile, tu est avide de faire tes preuves, tu as envie de tout savoir, et tu est très courageux. Loyal, fort, rusé, le choix est difficile, Serpentard te conviendrais beaucoup, mais Griffondor te conduira sur la bonne voie. Serdaigle pourrais t'apprendre ce que tu veux savoir et les élèves de Pouffsoufle t'aiderais à surpasser la haine que tu éprouve pour tes boureau. Ho, mais que vois-je, beaucoup d'aventure, tu déteste tout ce qui rime avec Serpentard, et bien je connais ta maison, c'est : GRIFFONDOR.
