Chapitre 10
Le week-end passa rapidement. Les Griffondor semblait heureux que James ait trouvé un nouvel attrapeur, d'autant plus aussi doué. De plus, quelques élèves s'étaient proposer pour le poste de gardien et celui-ci avait été choisi le lendemain de la nomination d'Harry. Les Serpentards était étrangement silencieux depuis l'humilliation de Malefoy. De plus, son adversaire, au lieu de le laisser chuter, l'avait brillemet rattraper en plein vol, lui sauvant ainsi la vie.
Le lundi, les cours reprirent avec une quiétude étonnante pour les Griffondor. Le premier cours était celui de Duel, suivis de métamorphose, soins aux créatures magiques, puis enchantement.
Harry aurait droit à une journée infernal, puisque deux de ses cours était avec les Serpentard, à commencer par celui de Duel.
-À vos places. Dit une voix dure au fond de la classe. Harry dut se retourner sur sa chaise pour voir un homme grand, mince, les cehveux d'un blond aussi pâle que sa peau d'une blancheur macabre et effrayante.
Harry fut parcourue d'un frisson et se retourna sur sa chaise pour fixer le tableau, une grimace d'horreur sur le visage. Les Serpentards pouffèrent à l'expression du nouveau et regardèrent leur professeur s'avançé dans l'allée et s'arrêter derrière la chaise d'Harry.
-M. Morgan. C'est presque un plaisir de vous voir assis et rétabli. Murmura Le professeur de façon parfaitement audible. On m'a parler de votre don pour les potion, et pour le Quidditch, mais laisser moivous dire qu'ici, le silence ne vous menera nul part et que vous devrez malgré vous ouvrir la bouche pour apprendre quelque chose. Ici, on ne mélange pas des produits mal odorants, on apprent à devenir un homme, à se battre et à le faire dans les règle de l'art. Je serais curieux de savoir ce que vous avez fait comme ''exploit'' M. Morgan. Moi, j'ai poursuivi plusieurs mangemort, j'ai combattu un loup-garou et bien d'autre.
Harry ne fut pas impressionné par le ton méprisant de son professeur et griffonna sur le parchemin. Une fois de plus, il le tendis à James dont les yeux s'ouvrir grand comme des soucoupes en survolant avant de commencer sa lecture.
« A 11 ans, j'ai affronter un troll des montagne avec mon meilleur ami, j'ai jouer à un jeu d'échec géant, j'ai presque été dévorer par une plante carnivore, j'ai but une potion qui aurait pu être du poison, j'ai attraper une clé volante pour traverser une porte, je me suis trouvé face à face avec Voldemort, et j'ai miraculeusement survécu, à 12 ans, j'ai combattu un Basilic, à 13 ans, j'ai fait fuir une centaine de Détraqueur, à 14 ans, j'ai affronté un Magyar à Pointe, avec mon balai, j'ai plongé dans un lac pour aller chercher un de mes amis et la s?ur d'une de mes ''adversaire'', j'ai traverser un labyrinthe remplis d'obstacle et je me suis battu en duel avec le seigneur des ténèbres. »
La classe était frappée. Harry gardait les yeux fixés sur James qui regardait le parchemin avec étonnement.
-Je n'en crois pas un mot. S'exclama le professeur. C'est impossible.
Harry Haussa des épaules, sans doute pour dire « c'est portant la vérité »
-Bien alors, faites vos preuves. Grimaça son professeur. Vous allez m'affronter et montrer à toute la classe combien vous êtes . . . doué pour cette matière.
Harry se leva et se dirigea vers l'avant de la classe, sur la petite estrade mais Rémus le tira en arrière.
-Fait attention, le professeur Baltomor est particulièrement vicieux quand il déteste quelqu'un, et tu ne semble pas faire partie de ses grâces, alors surveille tes arrières.
Il hocha de la tête mais ne sourit pas, focussant sa concentration sur les sorts qu'il avait apris.
Devant son adversaire, Harry s'inclina, comme on le lui avait montré, se retourna, fit quelque pas et se retourna de nouveau pour faire face à son professeur qui le regardait également.
-Près ?
Harry aquiessa et se parra à recevoir le premier sort.
-Stupéfix ! S'exclama l'homme en tendant sa baguette. Vers Harry qui esquiva facilement le sort.
Puis, une pensé vint le frapper. S'il ne pouvait pas parler, comment ferait- il pour se battre ? Et, cette fois encore, la réponse lui sembla évidente, même s'il n'y avait jamais fait allusion où que ce soit.
Il murmura pour lui-même, perso-insonorisusti.
Il eut alors l'impression que son cou était coupé, comme engourdi. Près à réagir, il évita un nouveau sortilège et pointa la baguette vers son adversaire.
-Impedimenta ! S'écria Harry, sans que personne ne puisse l'entendre.
Son professeur, surpris, reçu le sortillège en plein ventre et ses mouvements furent rallenti, de façon irréelle. Harry annula rapidement le sort et hulra presque aussitôt un nouveau sort.
-Expelliarmus !
Une fois de plus, le professeur Baltimore encaissa le choc. Sa baguette vola dans les mains d'Harry et son corps fut progeté contre le mur derrière lui. En se relevant, l'homme tituba et s'effondra quelques mètres plus loin. Harry lui lança sa baguette, s'inclina poliment et retourna à sa place. Cependant, le professeur ne semblait pas vouloir abandonner si rapidement le combat, malgré son état de demi-conscience.
-Impero. Murmura-t-il.
Harry eut l'impression de perdre le contrôle de son corps. Une vois vint murmurer à son oreille « retourne -toi, et incline-toi devant moi »
La vois se répéta encore quelques fois, mais Harry contra plutôt facilement le sort. Il tourna la tête, regarda L'homme droit dans les yeux, et continua son chemin vers sa place.
Le professeur respira bruyement pendant quelque seconde, avant de s'écrouler, completement inconscient, sur le sol froid de l'estrade.
Toua les élèves regardèrent Harry et sur tous les visages, Serpentard compris, la plus grande surprise était affichée. Même le professeur Rogue n'était pas en mesure de vaincre cet homme.
« Je crois que le cours est terminé. » Dit Sirius avec amusement.
Dans la salle commune, tout était silencieux. Les quelques élèves de Griffondor qui avait quitter le cours plus tôt étaient, pour la plus part, aller faire un tour à l'extérieur.
Harry était confortablement installé dans un fauteil près du feu qui ronflait paisiblement dans la cheminé, un livre ouvert sur les genoux, grasieuseté de Lily pour mieux connaître sa nouvelle école. Les maraudeurs étaient assis non loin derrière lui, en jouant au échec, ou bien disputant une bataille explosive, à laquelle Sirius gagnait toujours.
Harry appuya sa tête contre le dossier du fauteil et ferma paresseusement les yeux. Sa journée l'avait un peu épuiser et en plus, ses yeux encore noirci lui faisait mal à en crever.
-Je crois qu'on est en train de le perdre les gars. Murmura Sirius en jettant un regard vers son protégé.
-T'inquiet Sirius, rétorqua James, il va s'implement s'endormir, il ne va pas tomber raide mort devant nous. Il est simplement épuisé.
En effet, la tête d'Harry retomba doucement sur son épaule et, comme une marionnette, il se laissa glisser et se mit en position plus confortable pour dormir, c'est à dire, un cousin sous le dos, un autre derrière la tête, les jambes sur un acoudoir, la nuque sur l'autre, la tête légèrement inclidé vers le dossier.
-Il à l'air confortable. Dit Peter en s'approchant du visage encore équimausé d'Harry qui semblait déjà bien loin.
-Ce n'est pas la fatigue qui le fait dormir, c'est le livre que Lily lui à prêter qui l'a assomé.
Les quatre adolescents pouffèrent silencieusement et décidèrent d'arrêter leur bavardage pour voir Harry qui commençait à s'agiter dangeureusement dans son sommeil.
-Vous croyez qu'on devrait le réveiller ? S'inquiéta Sirius.
-Attendons un peu, c'est peut-être juste un petit mauvais rêve.
En effet, après quelques minutes, Harry se calma et retomba dans un profond someil. Les cours étant maintenant, terminer, des élèves commençaient à entrer dans la salle commune mais devant le silence peu habituel des maraudeurs, chacun à leur tour firent silence. Entourant Harry de façon protectrice, ils les incitaient tous au silence, par respect pour sa fatigue. Peter raconta, à qui voulait bien l'entendre, le récit de ses exploits de la journée et plus que jamais on faisait silence à proximité du jeune homme qui dormait, le visage bleuit mais paisible et calme.
Cinq minutes plus tard, Mcgonnagal fit irruption dans sa salle commune et la trouva plus que silencieuse. Chacun s'affairrait tranquilement à ses devoirs ou à lire un livre dans les fauteils près du feu.
-Quest-ce que ce passe ici ! S'exclama Mcgonagal.
-SHHH ! Soufflèrent les occupants de la salle en même temps.
Du doigt, ils pointèrent Harry qui avait remué à l'exclamation de la directrice des Griffondor.
Cette dernière s'approcha de lui et le contempla longuement avant de parler tout bas.
-Vous faites des fêtes à réveiller le château au complet, mais vous faites tomber un silence de mort quand un élève dort dans la salle commune.
-On ne voudrait pas le réveiller, il a l'air tellement confortable, regarder.
-C'est vrai qu'il à l'air bien installer, mais personne n'a pensé à aller le porter dans sa chambre ?
-Ben, dit distraitement Peter, non, puisque comme ça, on à toujours un ?il sur lui, vous savez, depuis l'autre soir quand il à commencer à pleurer dans le couloir, on . . . oups.
-Peter. Cracha James.
-Quest-ce que vous avez dit ?
-Rien professeur. Répondit Sirius en califiant Peter d'un coup de pied.
-Vous avez dit qu'il s'était mit à pleurer ?
-Je n'ai rien dit de tel professeur. Répondit Peter en détournant le regard. Il était vraiment un piètre menteur.
-Je vais avertir Dumbledore. Dit finalement Minerva en sortant de la salle.
-PETER ! s'exclamèrent les maraudeurs en se retournant vers lui.
-Je suis désolé, ça m'a échapé.
-La prochaine fois Peter, tiens ta langue s'il te plait. Harry à déjà des problèmes, ne lui en attire pas plus, un homme à son orgeil. Dit Sirius en se levant.
-Qund on parle du loup. Dit Rémus en pointant Harry qui remuait.
Harry ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Le silence était complet dans la salle commune, chose peu commune à sa connaissance. Est-ce que quelqu'un était mort ?
Il essaya de se lever mais la torpeur qui encombrait encore ses membres l'empêche de tenir debout. Harry vascilla sur ses jambes mais se reprit avec l'accoudoir et attendit quelques seconde avant de regarder autour de lui. Tout le monde le regardait, silencieux.
-M. Morgan ! Dit une voix douce à l'entrer de la pièce. Le professeur Dumbledore voudrait vous parler.
Harry, surpris, regarda les maraudeurs. Peter garda les yeux baisser, à contempler ses chaussures. Sirius foudroya Peter et James murmura « on est désolé »
Harry suivi sa professeure et se laissa conduire au bureau circulaire.
Sur les ordres de Mcgonnagal, Harry entra seul dans le bureau et s'assied en face se son directeur.
-Harry, commença Dumbledore, Minerva m'apprend que tu as eu, comment dire, une rechute ?
Harry s'étonna. Une rechute ? Etait-il jamais tombé ? Bien sûr, avec les Dursley, qui l'avait frappé à la mort, mais pourquoi s'en inquiétait-il ? C'était il y a. . . . pas si longtemps que ça finalement.
-Je sais que tu ne veux, ou peux, pas parler, mais j'aimerais que si jamais tu as besoin de quoi que ce soit, tu m'en parle aussitôt.
Harry aquiessa.
-Tu as aussi reçu une lettre.
Dumbledore tendit une lettre à Harry qui la foura dans sa poche, en but de la lire plus tard.
-Tu peux retourner dans ta salle commune Harry, mais n'oubli pas ce que je t'ai dit.
Harry s'inclina respectueusement et sorti du bureau.
A l'extérieur, il ouvrit la lettre, une longue lettre, qui contenait un message de chacun de ses amis.
Cher Harry.
Est-ce que tu vas bien ? Ton état nous inquiète beaucoup tu sais ? Enfin, je ne voudrais pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Aussi, reste sur tes gardes, parce que je soupçonne Voldemort de connaître un moyen de te rejoindre dans le passé, et de te prendre. Je sais que mon moi, plus jeune, veille sur toi, mais ce ne sera sûrement pas assez. Tu dois d'abord veiller sur toi et tes parents. Voldemort pourrait être tenter de changer le passé par la même occasion, chose qu'il est sûrement capable de faire.
Prends soin de toi.
Albus Dumbledore.
Harry !
Comment vas-tu mon grand ? Je me fais un sang d'encre pour toi. Jure-moi que tu vas bien. Ici, on cherche jour et nuit, un moyen de te rammener ici. Voldemort à attaqué le terrier dernièrement, pensant que tu y serais. Je te rassure, les Weasley avaient déjà tous déserté la maison, sous l'ordre de Dumbledore. Tu comptes beaucoup pour moi Harry, alors fait attention. Je sais parfaitement que j'était déjà assez protecteur avec toi étant jeune, parce que ton état m'inquétait beaucoup, et encore aujourd'hui, je n'ai un image que trop précise de ce à quoi tu ressemblais en arrivant à l'école. Fait tout de même attention à toi, parce que Voldemort est très actif depuis ta disparition. Il semblerait que tu sois très important pour lui.
Ton parrain, Sirius.
Salut Harry !
Ici, c'Est le fouillit totale. Hermione s'amuse comme une folle. Il y a des livres partout, qui parle de chose tellement compliquer, elle est aux angea, et je peux bien te le dire, elle est vraiment jolie quand elle sourit comme ça. Prie pour qu'elle ne lise pas ce que j'ai écris. Enfin, on cherche dans tous les bouquins de la bibliothèque pour savoir quelque chose sur toi et la façon de te faire revenir la plus tôt possible.
Fais attention à toi le grand, parce que s'il t'arrivait quelque chose, sirius deviendrait fou (il l'est déjà beaucoup) et nous aussi. Bye
Ton ami, Ron
Bonjour Harry,
J'ai lu ce que Ron à dit plus haut. J'ai bien hate qu'il arrête de m'embêter. Alors oui, je m'amuse beaucoup, même si tu me manque énormément. J'ai apris beaucoup de chose sur les voyages temporels, dans le passé. Très intéressant tout ça. Enfin, j'espère que toi, tu en profite un peu pour reprendre des couleurs et connaître tes futurs parents. Sirius dit qu'en cinquième année, il n'était pas encore en couple, mais qu'il s'aimait beaucoup, un peu comme moi et Ron quoi, tu vois le portrait ?
Sinon, je me suis posé une question. Si tu es parti le 31 juillet, pourquoi es-tu arrivé, 20 ans plus tôt, le 31 octobre. Si jamais je trouve la réponse, je t'en fait part, et si jamais, de ton côté, tu trouve, écris-moi pour me le dire.
Attention à toi, Hermione
Harry sourit. Lorsqu'il arriva devant le tableau de la grsse dame, il bloqua.
-Le mot de passe ! Ho, M. Morgan. Allez, entrez.
Le tableau s'écarta, au grand étonnement d'Harry.
Quand il entra, une foule était attroupée autour d'un point invisible pour le Griffondor. A son approche, les gens s'écartèrent pour le laisser passé.
Au centre du cercle d'élève, Fumseck attendait, plusieurs paquet attaché à une patte.
Harry se précipita sur lui pour le défaire de sa charge et l'oideau alla se poser sur un point plus haut percher, suivi par les yeux curieux.
Harry pris la carte colorée aux couleurs multiples et l'ouvrit avec intérêt.
« JOYEUX ANNIVERSAIRE ! »
Le week-end passa rapidement. Les Griffondor semblait heureux que James ait trouvé un nouvel attrapeur, d'autant plus aussi doué. De plus, quelques élèves s'étaient proposer pour le poste de gardien et celui-ci avait été choisi le lendemain de la nomination d'Harry. Les Serpentards était étrangement silencieux depuis l'humilliation de Malefoy. De plus, son adversaire, au lieu de le laisser chuter, l'avait brillemet rattraper en plein vol, lui sauvant ainsi la vie.
Le lundi, les cours reprirent avec une quiétude étonnante pour les Griffondor. Le premier cours était celui de Duel, suivis de métamorphose, soins aux créatures magiques, puis enchantement.
Harry aurait droit à une journée infernal, puisque deux de ses cours était avec les Serpentard, à commencer par celui de Duel.
-À vos places. Dit une voix dure au fond de la classe. Harry dut se retourner sur sa chaise pour voir un homme grand, mince, les cehveux d'un blond aussi pâle que sa peau d'une blancheur macabre et effrayante.
Harry fut parcourue d'un frisson et se retourna sur sa chaise pour fixer le tableau, une grimace d'horreur sur le visage. Les Serpentards pouffèrent à l'expression du nouveau et regardèrent leur professeur s'avançé dans l'allée et s'arrêter derrière la chaise d'Harry.
-M. Morgan. C'est presque un plaisir de vous voir assis et rétabli. Murmura Le professeur de façon parfaitement audible. On m'a parler de votre don pour les potion, et pour le Quidditch, mais laisser moivous dire qu'ici, le silence ne vous menera nul part et que vous devrez malgré vous ouvrir la bouche pour apprendre quelque chose. Ici, on ne mélange pas des produits mal odorants, on apprent à devenir un homme, à se battre et à le faire dans les règle de l'art. Je serais curieux de savoir ce que vous avez fait comme ''exploit'' M. Morgan. Moi, j'ai poursuivi plusieurs mangemort, j'ai combattu un loup-garou et bien d'autre.
Harry ne fut pas impressionné par le ton méprisant de son professeur et griffonna sur le parchemin. Une fois de plus, il le tendis à James dont les yeux s'ouvrir grand comme des soucoupes en survolant avant de commencer sa lecture.
« A 11 ans, j'ai affronter un troll des montagne avec mon meilleur ami, j'ai jouer à un jeu d'échec géant, j'ai presque été dévorer par une plante carnivore, j'ai but une potion qui aurait pu être du poison, j'ai attraper une clé volante pour traverser une porte, je me suis trouvé face à face avec Voldemort, et j'ai miraculeusement survécu, à 12 ans, j'ai combattu un Basilic, à 13 ans, j'ai fait fuir une centaine de Détraqueur, à 14 ans, j'ai affronté un Magyar à Pointe, avec mon balai, j'ai plongé dans un lac pour aller chercher un de mes amis et la s?ur d'une de mes ''adversaire'', j'ai traverser un labyrinthe remplis d'obstacle et je me suis battu en duel avec le seigneur des ténèbres. »
La classe était frappée. Harry gardait les yeux fixés sur James qui regardait le parchemin avec étonnement.
-Je n'en crois pas un mot. S'exclama le professeur. C'est impossible.
Harry Haussa des épaules, sans doute pour dire « c'est portant la vérité »
-Bien alors, faites vos preuves. Grimaça son professeur. Vous allez m'affronter et montrer à toute la classe combien vous êtes . . . doué pour cette matière.
Harry se leva et se dirigea vers l'avant de la classe, sur la petite estrade mais Rémus le tira en arrière.
-Fait attention, le professeur Baltomor est particulièrement vicieux quand il déteste quelqu'un, et tu ne semble pas faire partie de ses grâces, alors surveille tes arrières.
Il hocha de la tête mais ne sourit pas, focussant sa concentration sur les sorts qu'il avait apris.
Devant son adversaire, Harry s'inclina, comme on le lui avait montré, se retourna, fit quelque pas et se retourna de nouveau pour faire face à son professeur qui le regardait également.
-Près ?
Harry aquiessa et se parra à recevoir le premier sort.
-Stupéfix ! S'exclama l'homme en tendant sa baguette. Vers Harry qui esquiva facilement le sort.
Puis, une pensé vint le frapper. S'il ne pouvait pas parler, comment ferait- il pour se battre ? Et, cette fois encore, la réponse lui sembla évidente, même s'il n'y avait jamais fait allusion où que ce soit.
Il murmura pour lui-même, perso-insonorisusti.
Il eut alors l'impression que son cou était coupé, comme engourdi. Près à réagir, il évita un nouveau sortilège et pointa la baguette vers son adversaire.
-Impedimenta ! S'écria Harry, sans que personne ne puisse l'entendre.
Son professeur, surpris, reçu le sortillège en plein ventre et ses mouvements furent rallenti, de façon irréelle. Harry annula rapidement le sort et hulra presque aussitôt un nouveau sort.
-Expelliarmus !
Une fois de plus, le professeur Baltimore encaissa le choc. Sa baguette vola dans les mains d'Harry et son corps fut progeté contre le mur derrière lui. En se relevant, l'homme tituba et s'effondra quelques mètres plus loin. Harry lui lança sa baguette, s'inclina poliment et retourna à sa place. Cependant, le professeur ne semblait pas vouloir abandonner si rapidement le combat, malgré son état de demi-conscience.
-Impero. Murmura-t-il.
Harry eut l'impression de perdre le contrôle de son corps. Une vois vint murmurer à son oreille « retourne -toi, et incline-toi devant moi »
La vois se répéta encore quelques fois, mais Harry contra plutôt facilement le sort. Il tourna la tête, regarda L'homme droit dans les yeux, et continua son chemin vers sa place.
Le professeur respira bruyement pendant quelque seconde, avant de s'écrouler, completement inconscient, sur le sol froid de l'estrade.
Toua les élèves regardèrent Harry et sur tous les visages, Serpentard compris, la plus grande surprise était affichée. Même le professeur Rogue n'était pas en mesure de vaincre cet homme.
« Je crois que le cours est terminé. » Dit Sirius avec amusement.
Dans la salle commune, tout était silencieux. Les quelques élèves de Griffondor qui avait quitter le cours plus tôt étaient, pour la plus part, aller faire un tour à l'extérieur.
Harry était confortablement installé dans un fauteil près du feu qui ronflait paisiblement dans la cheminé, un livre ouvert sur les genoux, grasieuseté de Lily pour mieux connaître sa nouvelle école. Les maraudeurs étaient assis non loin derrière lui, en jouant au échec, ou bien disputant une bataille explosive, à laquelle Sirius gagnait toujours.
Harry appuya sa tête contre le dossier du fauteil et ferma paresseusement les yeux. Sa journée l'avait un peu épuiser et en plus, ses yeux encore noirci lui faisait mal à en crever.
-Je crois qu'on est en train de le perdre les gars. Murmura Sirius en jettant un regard vers son protégé.
-T'inquiet Sirius, rétorqua James, il va s'implement s'endormir, il ne va pas tomber raide mort devant nous. Il est simplement épuisé.
En effet, la tête d'Harry retomba doucement sur son épaule et, comme une marionnette, il se laissa glisser et se mit en position plus confortable pour dormir, c'est à dire, un cousin sous le dos, un autre derrière la tête, les jambes sur un acoudoir, la nuque sur l'autre, la tête légèrement inclidé vers le dossier.
-Il à l'air confortable. Dit Peter en s'approchant du visage encore équimausé d'Harry qui semblait déjà bien loin.
-Ce n'est pas la fatigue qui le fait dormir, c'est le livre que Lily lui à prêter qui l'a assomé.
Les quatre adolescents pouffèrent silencieusement et décidèrent d'arrêter leur bavardage pour voir Harry qui commençait à s'agiter dangeureusement dans son sommeil.
-Vous croyez qu'on devrait le réveiller ? S'inquiéta Sirius.
-Attendons un peu, c'est peut-être juste un petit mauvais rêve.
En effet, après quelques minutes, Harry se calma et retomba dans un profond someil. Les cours étant maintenant, terminer, des élèves commençaient à entrer dans la salle commune mais devant le silence peu habituel des maraudeurs, chacun à leur tour firent silence. Entourant Harry de façon protectrice, ils les incitaient tous au silence, par respect pour sa fatigue. Peter raconta, à qui voulait bien l'entendre, le récit de ses exploits de la journée et plus que jamais on faisait silence à proximité du jeune homme qui dormait, le visage bleuit mais paisible et calme.
Cinq minutes plus tard, Mcgonnagal fit irruption dans sa salle commune et la trouva plus que silencieuse. Chacun s'affairrait tranquilement à ses devoirs ou à lire un livre dans les fauteils près du feu.
-Quest-ce que ce passe ici ! S'exclama Mcgonagal.
-SHHH ! Soufflèrent les occupants de la salle en même temps.
Du doigt, ils pointèrent Harry qui avait remué à l'exclamation de la directrice des Griffondor.
Cette dernière s'approcha de lui et le contempla longuement avant de parler tout bas.
-Vous faites des fêtes à réveiller le château au complet, mais vous faites tomber un silence de mort quand un élève dort dans la salle commune.
-On ne voudrait pas le réveiller, il a l'air tellement confortable, regarder.
-C'est vrai qu'il à l'air bien installer, mais personne n'a pensé à aller le porter dans sa chambre ?
-Ben, dit distraitement Peter, non, puisque comme ça, on à toujours un ?il sur lui, vous savez, depuis l'autre soir quand il à commencer à pleurer dans le couloir, on . . . oups.
-Peter. Cracha James.
-Quest-ce que vous avez dit ?
-Rien professeur. Répondit Sirius en califiant Peter d'un coup de pied.
-Vous avez dit qu'il s'était mit à pleurer ?
-Je n'ai rien dit de tel professeur. Répondit Peter en détournant le regard. Il était vraiment un piètre menteur.
-Je vais avertir Dumbledore. Dit finalement Minerva en sortant de la salle.
-PETER ! s'exclamèrent les maraudeurs en se retournant vers lui.
-Je suis désolé, ça m'a échapé.
-La prochaine fois Peter, tiens ta langue s'il te plait. Harry à déjà des problèmes, ne lui en attire pas plus, un homme à son orgeil. Dit Sirius en se levant.
-Qund on parle du loup. Dit Rémus en pointant Harry qui remuait.
Harry ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Le silence était complet dans la salle commune, chose peu commune à sa connaissance. Est-ce que quelqu'un était mort ?
Il essaya de se lever mais la torpeur qui encombrait encore ses membres l'empêche de tenir debout. Harry vascilla sur ses jambes mais se reprit avec l'accoudoir et attendit quelques seconde avant de regarder autour de lui. Tout le monde le regardait, silencieux.
-M. Morgan ! Dit une voix douce à l'entrer de la pièce. Le professeur Dumbledore voudrait vous parler.
Harry, surpris, regarda les maraudeurs. Peter garda les yeux baisser, à contempler ses chaussures. Sirius foudroya Peter et James murmura « on est désolé »
Harry suivi sa professeure et se laissa conduire au bureau circulaire.
Sur les ordres de Mcgonnagal, Harry entra seul dans le bureau et s'assied en face se son directeur.
-Harry, commença Dumbledore, Minerva m'apprend que tu as eu, comment dire, une rechute ?
Harry s'étonna. Une rechute ? Etait-il jamais tombé ? Bien sûr, avec les Dursley, qui l'avait frappé à la mort, mais pourquoi s'en inquiétait-il ? C'était il y a. . . . pas si longtemps que ça finalement.
-Je sais que tu ne veux, ou peux, pas parler, mais j'aimerais que si jamais tu as besoin de quoi que ce soit, tu m'en parle aussitôt.
Harry aquiessa.
-Tu as aussi reçu une lettre.
Dumbledore tendit une lettre à Harry qui la foura dans sa poche, en but de la lire plus tard.
-Tu peux retourner dans ta salle commune Harry, mais n'oubli pas ce que je t'ai dit.
Harry s'inclina respectueusement et sorti du bureau.
A l'extérieur, il ouvrit la lettre, une longue lettre, qui contenait un message de chacun de ses amis.
Cher Harry.
Est-ce que tu vas bien ? Ton état nous inquiète beaucoup tu sais ? Enfin, je ne voudrais pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Aussi, reste sur tes gardes, parce que je soupçonne Voldemort de connaître un moyen de te rejoindre dans le passé, et de te prendre. Je sais que mon moi, plus jeune, veille sur toi, mais ce ne sera sûrement pas assez. Tu dois d'abord veiller sur toi et tes parents. Voldemort pourrait être tenter de changer le passé par la même occasion, chose qu'il est sûrement capable de faire.
Prends soin de toi.
Albus Dumbledore.
Harry !
Comment vas-tu mon grand ? Je me fais un sang d'encre pour toi. Jure-moi que tu vas bien. Ici, on cherche jour et nuit, un moyen de te rammener ici. Voldemort à attaqué le terrier dernièrement, pensant que tu y serais. Je te rassure, les Weasley avaient déjà tous déserté la maison, sous l'ordre de Dumbledore. Tu comptes beaucoup pour moi Harry, alors fait attention. Je sais parfaitement que j'était déjà assez protecteur avec toi étant jeune, parce que ton état m'inquétait beaucoup, et encore aujourd'hui, je n'ai un image que trop précise de ce à quoi tu ressemblais en arrivant à l'école. Fait tout de même attention à toi, parce que Voldemort est très actif depuis ta disparition. Il semblerait que tu sois très important pour lui.
Ton parrain, Sirius.
Salut Harry !
Ici, c'Est le fouillit totale. Hermione s'amuse comme une folle. Il y a des livres partout, qui parle de chose tellement compliquer, elle est aux angea, et je peux bien te le dire, elle est vraiment jolie quand elle sourit comme ça. Prie pour qu'elle ne lise pas ce que j'ai écris. Enfin, on cherche dans tous les bouquins de la bibliothèque pour savoir quelque chose sur toi et la façon de te faire revenir la plus tôt possible.
Fais attention à toi le grand, parce que s'il t'arrivait quelque chose, sirius deviendrait fou (il l'est déjà beaucoup) et nous aussi. Bye
Ton ami, Ron
Bonjour Harry,
J'ai lu ce que Ron à dit plus haut. J'ai bien hate qu'il arrête de m'embêter. Alors oui, je m'amuse beaucoup, même si tu me manque énormément. J'ai apris beaucoup de chose sur les voyages temporels, dans le passé. Très intéressant tout ça. Enfin, j'espère que toi, tu en profite un peu pour reprendre des couleurs et connaître tes futurs parents. Sirius dit qu'en cinquième année, il n'était pas encore en couple, mais qu'il s'aimait beaucoup, un peu comme moi et Ron quoi, tu vois le portrait ?
Sinon, je me suis posé une question. Si tu es parti le 31 juillet, pourquoi es-tu arrivé, 20 ans plus tôt, le 31 octobre. Si jamais je trouve la réponse, je t'en fait part, et si jamais, de ton côté, tu trouve, écris-moi pour me le dire.
Attention à toi, Hermione
Harry sourit. Lorsqu'il arriva devant le tableau de la grsse dame, il bloqua.
-Le mot de passe ! Ho, M. Morgan. Allez, entrez.
Le tableau s'écarta, au grand étonnement d'Harry.
Quand il entra, une foule était attroupée autour d'un point invisible pour le Griffondor. A son approche, les gens s'écartèrent pour le laisser passé.
Au centre du cercle d'élève, Fumseck attendait, plusieurs paquet attaché à une patte.
Harry se précipita sur lui pour le défaire de sa charge et l'oideau alla se poser sur un point plus haut percher, suivi par les yeux curieux.
Harry pris la carte colorée aux couleurs multiples et l'ouvrit avec intérêt.
« JOYEUX ANNIVERSAIRE ! »
