Chapitre 2 : Un départ imprévu
Très loin de là, une autre dispute éclata au 4- Privet Drive. Encore une fois, Tante Pétunia avait cuisiner un « repas spécial pour la diète de mon beau Duddley », comme elle disait. Cela n'enchantait pas du tout l'oncle Vernon et encore moins le concerné : Duddley. Harry, lui, s'en fichait complètement. Il venait de recevoir plusieurs gâteaux pour son anniversaire qu'il avait pris soin d'entreposer sous le parquet de sa chambre.
« Je n'ai pas très faim » dit-il pour se sauver du mélange désastreux des oignons, des fèves et des pâtes concocté par Pétunia. « Dans ce cas, monte dans ta chambre » ordonna l'oncle Vernon.
« Comme si j'avais le choix » se dit Harry, en entrant dans sa chambre.
********
Le soir, les Durshley devèrent s'absenter et Harry parvint à les convaincre, en l'occasion de son anniversaire, à le laisser seul à la maison. Ils acceptèrent! C'était la première fois qu'Harry recevait un « cadeau » de leur part!
Il en profita pour faire ses devoirs d'été et répondre aux lettres qu'il avait reçu.
Bonjour Harry!
Joyeux anniversaire! Comment vas-tu? Qu'est-ce que tu compte faire cet été? Moi je pense encore à la proposition de Victor : il m'a invité à passer deux semaines chez lui.
À bientôt, Hermione
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Cher Harry,
Félicitations pour tes 15 ans! Profites-en bien, je t'envoie un petit cadeau. À la prochaine!
Hagrid
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Salut Harry!
Comment ça va? Joyeux anniversaire! Comment se comportent les Moldus avec toi? Ta cicatrice te fait-elle mal?
À bientôt, Ron
P-S : Viendras-tu chez moi cet été?
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Bonjour Harry!
J'espère que tu vas bien. Joyeux anniversaire! Je suis chez Remus Lupin, Buck va très bien. Que feras-tu cet été? Iras-tu chez ton ami Ron? Donne-moi des tes nouvelles.
Sirius
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Harry fit ce qu'il avait à faire, puis alla se reposer un peu au salon. Il remarqua immédiatement qu'un petit feu était allumé dans le foyer. D'habitude, les Durshley fermait leur foyer électrique avant de partir. En regardant de plus près, Harry constata avec horreur que c'était un vrai feu qui venait de prendre dans le cicuit électrique du foyer! Il courut chercher sa baguette magique et des serviettes mouiller (au cas où).
« Nox »
Ça ne marcha pas. Harry réessaya plusieurs fois, mais ces tentatives restèrent toutes innutiles. Puis tout à coup, le feu s'agrandit. Harry enleva le verre et les montures décoratives du foyer pour tenter d'éteindre le feu avec les serviettes mouillées. En vain. Le feu continuait de grandir! Il y avait maintenant un peu de fumée qui s'échappait et Harry ne savait plus quoi faire! Il était sur le point d'appeler les pompiers, lorsque le feu devint vert.
Cela lui rappellait la fois où les Weasley avaient voulu venir chercher Harry avec de la poudre de cheminette. Bien sur, ce ne pouvait pas être eux, car il les avait bien avertis de ne pas recommencer.
La tête d'Arabella Figg, sa gardienne lorsqu'il était jeune, apparue dans le feu.
« Qu'est-ce que.? » bafouilla Harry, énormément étonné. « Bonjour Harry! » « B.Bonjour. Vous. vous êtes une sorcière? » « Hé! oui! » s'exclama-t-elle d'un ton beaucoup plus enjouée que d'habitude. « Avec tout le respect que je vous doit, madame, vous m'avez l'air beaucoup plus. enjouée que toutes les fois où nous nous sommes vus. » « Harry, Harry, Harry, je jouait un rôle! » « Quel rôle? » demanda Harry. « Je devais veiller sur toi pendant ton enfance, jusqu'à ce que tu entres à Poudlard. Nous n'étions pas certains que Voldemort soit complètement diparus et Dumbledore ne voulait pas que tu sois seul avec des Moldus s'il devait revenir pour te tuer. » « Mais alors, pourquoi ne suis-je tout simplement pas venu habiter chez vous? Et quand vous dîtes nous, vous parlez de qui? Et. » « Arrête, calme-toi! » coupa Mrs. Figg. « Selon les testament de tes parents, tu devais absolument aller habiter chez de la parenté vivant près de Londres ou chez Sirius Black. Étant donné qu'il s'est fait arrêté, nous ne pouvions pas t'envoyer à Azkaban avec lui! » rigola Mre. Figg. « Mais nous cherchons encore le moyen de l'innocenter pour que tu puisse quitter ces affreux moldus! » ajouta-t-elle. « Nous qui? » s'impatienta Harry. « L'Ordre du Phénix! » « Les anciens rassemblés par Sirius et Rogue? » « Oui, mais Rogue a dû quitter récemment et ne nous a pas donné de nouvelles. » « Que ferez-vous? » « Nous combatterons, s'Il revient. » « . » « Mais le but de ma présence ici n'est pas seulement pour t'expliquer tout cela. Nous avons besoin de nouveaux membres et tu es un parfait candidat. » « Moi? » s'étonna Harry. « Mais bien sur! Ne fais pas cet air! Tu as bien plus de pouvoir et de force que tout l'Ordre réunit! » « Je. j'aimerais bien, mais comment partir d'ici? » « J'ai envoyé un hibou avec un Portoloin il y a quelques jours. Il devrait arrivé ce soir. Tu sais comment ça marche, n'est-ce pas? » « Oui. » « Parfait, dans ce cas, à ce soir! Ah! J'allais oublier que le départ sera à 20 heures, pour le Portoloin. » « À plus tard! » s'exclama Harry, tout d'un coup beaucoup moins confus et plus heureux, car il venait de tout réaliser, de VRAIMENT le réaliser. Il allait passer l'été avec Sirius et tout l'Ordre du Phénix! La tête de Mrs. Figg diparut.
Harry s'apperçut que le salon était dans un état épouvantable. Il reprit sa baguetter magique et murmura : « Reparo ». Il monta faire ses valises. Effectivement, le soir même, un hibou arriva avec le Portoloin. C'était un vieux journal de 1964. Harry mit le hibou dans la même cage que Hedwidge, à la grande fureur de cette dernière. Il écritvit un mot aux Durshley :
Je suis parti chez mes amis Weasley. Je partirai à Poudlard avec lui.
À l'été prochain, Harry.
Il ne pouvait tout de même pas leur dire qu'il allait rejoindre l'Ordre du Phénix, comprenant son parrain, Sirius Black, que les Durshley voyaient comme un criminel!
Il regarda une dernière fois sa chambre pour s'assurer de ne rien oublier, puis il serra fort le Portoloin. Il attendit quelques minutes, car le départ n'était prévu que pour 20 heures et il était 19:50 heures. Puis, à 20 heures piles, pouf! Il disparut et se retrouva dans un petit salon, où l'attendaient Mrs. Figg, Dumbledore, Sirius, Professeur Lupin et un autre homme - probablement Mondigus Fletcher, comme l'avait mentionné Dumbledore l'année précédente.
« Harry! » « Bonjour. » « Bonsoir! » « Comment te sens-tu? »
Ce soir-là, Harry repassa les évênements de la dernière journée en revue et
s'étonna même de la chance qu'il avait!
Très loin de là, une autre dispute éclata au 4- Privet Drive. Encore une fois, Tante Pétunia avait cuisiner un « repas spécial pour la diète de mon beau Duddley », comme elle disait. Cela n'enchantait pas du tout l'oncle Vernon et encore moins le concerné : Duddley. Harry, lui, s'en fichait complètement. Il venait de recevoir plusieurs gâteaux pour son anniversaire qu'il avait pris soin d'entreposer sous le parquet de sa chambre.
« Je n'ai pas très faim » dit-il pour se sauver du mélange désastreux des oignons, des fèves et des pâtes concocté par Pétunia. « Dans ce cas, monte dans ta chambre » ordonna l'oncle Vernon.
« Comme si j'avais le choix » se dit Harry, en entrant dans sa chambre.
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Le soir, les Durshley devèrent s'absenter et Harry parvint à les convaincre, en l'occasion de son anniversaire, à le laisser seul à la maison. Ils acceptèrent! C'était la première fois qu'Harry recevait un « cadeau » de leur part!
Il en profita pour faire ses devoirs d'été et répondre aux lettres qu'il avait reçu.
Bonjour Harry!
Joyeux anniversaire! Comment vas-tu? Qu'est-ce que tu compte faire cet été? Moi je pense encore à la proposition de Victor : il m'a invité à passer deux semaines chez lui.
À bientôt, Hermione
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Cher Harry,
Félicitations pour tes 15 ans! Profites-en bien, je t'envoie un petit cadeau. À la prochaine!
Hagrid
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Salut Harry!
Comment ça va? Joyeux anniversaire! Comment se comportent les Moldus avec toi? Ta cicatrice te fait-elle mal?
À bientôt, Ron
P-S : Viendras-tu chez moi cet été?
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Bonjour Harry!
J'espère que tu vas bien. Joyeux anniversaire! Je suis chez Remus Lupin, Buck va très bien. Que feras-tu cet été? Iras-tu chez ton ami Ron? Donne-moi des tes nouvelles.
Sirius
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Harry fit ce qu'il avait à faire, puis alla se reposer un peu au salon. Il remarqua immédiatement qu'un petit feu était allumé dans le foyer. D'habitude, les Durshley fermait leur foyer électrique avant de partir. En regardant de plus près, Harry constata avec horreur que c'était un vrai feu qui venait de prendre dans le cicuit électrique du foyer! Il courut chercher sa baguette magique et des serviettes mouiller (au cas où).
« Nox »
Ça ne marcha pas. Harry réessaya plusieurs fois, mais ces tentatives restèrent toutes innutiles. Puis tout à coup, le feu s'agrandit. Harry enleva le verre et les montures décoratives du foyer pour tenter d'éteindre le feu avec les serviettes mouillées. En vain. Le feu continuait de grandir! Il y avait maintenant un peu de fumée qui s'échappait et Harry ne savait plus quoi faire! Il était sur le point d'appeler les pompiers, lorsque le feu devint vert.
Cela lui rappellait la fois où les Weasley avaient voulu venir chercher Harry avec de la poudre de cheminette. Bien sur, ce ne pouvait pas être eux, car il les avait bien avertis de ne pas recommencer.
La tête d'Arabella Figg, sa gardienne lorsqu'il était jeune, apparue dans le feu.
« Qu'est-ce que.? » bafouilla Harry, énormément étonné. « Bonjour Harry! » « B.Bonjour. Vous. vous êtes une sorcière? » « Hé! oui! » s'exclama-t-elle d'un ton beaucoup plus enjouée que d'habitude. « Avec tout le respect que je vous doit, madame, vous m'avez l'air beaucoup plus. enjouée que toutes les fois où nous nous sommes vus. » « Harry, Harry, Harry, je jouait un rôle! » « Quel rôle? » demanda Harry. « Je devais veiller sur toi pendant ton enfance, jusqu'à ce que tu entres à Poudlard. Nous n'étions pas certains que Voldemort soit complètement diparus et Dumbledore ne voulait pas que tu sois seul avec des Moldus s'il devait revenir pour te tuer. » « Mais alors, pourquoi ne suis-je tout simplement pas venu habiter chez vous? Et quand vous dîtes nous, vous parlez de qui? Et. » « Arrête, calme-toi! » coupa Mrs. Figg. « Selon les testament de tes parents, tu devais absolument aller habiter chez de la parenté vivant près de Londres ou chez Sirius Black. Étant donné qu'il s'est fait arrêté, nous ne pouvions pas t'envoyer à Azkaban avec lui! » rigola Mre. Figg. « Mais nous cherchons encore le moyen de l'innocenter pour que tu puisse quitter ces affreux moldus! » ajouta-t-elle. « Nous qui? » s'impatienta Harry. « L'Ordre du Phénix! » « Les anciens rassemblés par Sirius et Rogue? » « Oui, mais Rogue a dû quitter récemment et ne nous a pas donné de nouvelles. » « Que ferez-vous? » « Nous combatterons, s'Il revient. » « . » « Mais le but de ma présence ici n'est pas seulement pour t'expliquer tout cela. Nous avons besoin de nouveaux membres et tu es un parfait candidat. » « Moi? » s'étonna Harry. « Mais bien sur! Ne fais pas cet air! Tu as bien plus de pouvoir et de force que tout l'Ordre réunit! » « Je. j'aimerais bien, mais comment partir d'ici? » « J'ai envoyé un hibou avec un Portoloin il y a quelques jours. Il devrait arrivé ce soir. Tu sais comment ça marche, n'est-ce pas? » « Oui. » « Parfait, dans ce cas, à ce soir! Ah! J'allais oublier que le départ sera à 20 heures, pour le Portoloin. » « À plus tard! » s'exclama Harry, tout d'un coup beaucoup moins confus et plus heureux, car il venait de tout réaliser, de VRAIMENT le réaliser. Il allait passer l'été avec Sirius et tout l'Ordre du Phénix! La tête de Mrs. Figg diparut.
Harry s'apperçut que le salon était dans un état épouvantable. Il reprit sa baguetter magique et murmura : « Reparo ». Il monta faire ses valises. Effectivement, le soir même, un hibou arriva avec le Portoloin. C'était un vieux journal de 1964. Harry mit le hibou dans la même cage que Hedwidge, à la grande fureur de cette dernière. Il écritvit un mot aux Durshley :
Je suis parti chez mes amis Weasley. Je partirai à Poudlard avec lui.
À l'été prochain, Harry.
Il ne pouvait tout de même pas leur dire qu'il allait rejoindre l'Ordre du Phénix, comprenant son parrain, Sirius Black, que les Durshley voyaient comme un criminel!
Il regarda une dernière fois sa chambre pour s'assurer de ne rien oublier, puis il serra fort le Portoloin. Il attendit quelques minutes, car le départ n'était prévu que pour 20 heures et il était 19:50 heures. Puis, à 20 heures piles, pouf! Il disparut et se retrouva dans un petit salon, où l'attendaient Mrs. Figg, Dumbledore, Sirius, Professeur Lupin et un autre homme - probablement Mondigus Fletcher, comme l'avait mentionné Dumbledore l'année précédente.
« Harry! » « Bonjour. » « Bonsoir! » « Comment te sens-tu? »
Ce soir-là, Harry repassa les évênements de la dernière journée en revue et
s'étonna même de la chance qu'il avait!