Titre : A quoi sert de pleurer ?
Auteure : Lazuli (oui oui, c'est moi !)
Couples : Ca n'a pas changé : 3x4 (que c'est original.), 2+1, 5+1 et. 1xR (si si !^^ ;;;;;)
Disclaimer : Pas à moi.. G-boys : ^_____________________^ Lazuli : Mais je m'en sert pendant que personne regarde. G-boys : T_____________________T
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Chapitre 2 - Une invitation rose et violette
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« Vous avez un nouveau message »
Le petit arabe déplaça la souris et double-cliqua sur le voyant clignotant. Une fenêtre s'ouvrit, et Quatre se pencha sur l'écran, où un message violet sur fond rose venait d'apparaître.
« Chers G-boys,
En raison de l'approche du troisième anniversaire de la paix mondiale, je compte donner, en ma résidence, une fête où vous serez les bienvenus.
Réponse souhaitée.
J'espère que vous allez bien,
Réléna »
Le petit blond laissa échapper un cri de surprise, et se pencha davantage sur l'écran, relisant avec délice l'intitulé du message.
« Trowa, Trowa, viens voir ! »
La svelte silhouette du français se dessina dans la porte. Il s'avança, silencieux, et posa ses mains sur les épaules de Quatre :
« Qu'il y a-t-il ?
- Lis ! »
Intrigué par l'excitation de son amant, Trowa se pencha sur l'écran, et lu le message coloré avec un intérêt croissant. Lorsque, à la fin de sa lecture, il croisa le regard de Quatre, il souriait.
« Ce sera formidable de les revoir tous.
- N'est-ce pas ? Cela fait si longtemps. Et je pourrais enfin savoir ce que devient Duo. »
La voix de Quatre s'éteignit. Trowa lui caressa la joue, tendrement. Il savait qu'il se faisait énormément de soucis pour son ami l'américain. Depuis leur séparation, Duo, d'habitude si bavard, n'avait plus donné aucun signe de vie. Quatre avait bombardé sa boîte électronique de messages inquiets et suppliants, en vain. Souvent, au beau milieu de la nuit, il se réveillait en hurlant dans les bras de son amant, et criait, entre deux sanglots : « J'ai vu Duo, Trowa, j'ai vu Duo, il pleure, il a mal, et je ne peux rien faire, je ne peux rien faire ! » Ces cauchemards s'étaient peu à peu apaisés, mais le français savait que l'inquiétude de celui qu'il aimait restait intact. Il se pencha sur lui, et l'embrassa.
« Eh bien ? Qu'est-ce que tu attends pour lui répondre ? Nous partirons demain matin. »
Etouffant un cri d'enthousiasme, le blond cliqua hardiment sur le bouton ANSWER.
« Vous avez un nouveau message »
Wufei releva la tête, intrigué. Cela faisait longtemps que plus personne ne lui écrivait. Depuis qu'il s'était isolé dans cette maison à la campagne, il avait coupé tout contact avec ceux qu'il connaissait. Il vivait là, comme un ermite, ne parlant à personne, passant des heures à faire des exercices pour se maintenir en forme. Rares étaient ceux qui connaissaient son adresse. Il ouvrit le message. Ses couleurs criardes lui sautèrent immédiatement aux yeux, lui donnant par la même occasion l'identité de l'envoyeur. Réléna. Il n'y avait que Réléna pour faire quelque chose d'aussi mauvais goût. Wufei pâlit, et ses doigts se crispèrent sur la souris. Réléna était la femme de Heero. Heero, Heero, Heero. Que se passait- il ? Lui serait-il arrivé malheur ? Il était dans un tel état d'inquiétude qu'il ne put réussir à se concentrer sur le sens du message. Il se leva, alla boire un grand verre d'eau, respira un bon coup, et retourna devant l'écran.
« Chers G-boys,
En raison de l'approche du troisième anniversaire de la paix mondiale, je compte donner, en ma résidence, une fête où vous serez les bienvenus.
Réponse souhaitée.
J'espère que vous allez bien,
Réléna »
Wufei resta immobile, interdit. Une fête ? Pour l'anniversaire de la paix ? Quelle sottise. Pourquoi y irais-t-il ? Il y aurait des rires, des cris, du monde, beaucoup de monde. Il détestait la foule. Et puis, il les reverrait tous, Duo, Quatre, Trowa. Heero. Son c?ur fit un bond. Heero ! Heero serait là, certainement, avec sa. femme. Cela faisait trois ans qu'il ne l'avait pas vu, il avait refusé de venir à leur mariage, et il ne viendrait pas, là non plus, il devait oublier, il avait décidé d'oublier, Duo, Quatre, Trowa, Nataku, Wing, Heero, Réléna, Heero, Heero, tout ça, c'était de l'histoire ancienne, il n'irait pas, non, il n'irait pas, il devait oublier, tout oublier, tout effacer, pourquoi, pourquoi ses souvenirs lui faisaient-ils si mal ?! Il se rendit compte, surpris, qu'il pleurait. Wufei renifla. Il détestait ces démonstrations de sensibilité. Pourquoi penser à Heero le mettait-il toujours dans cet état-là ? Est-ce que. non, c'était impossible, tout bonnement impossible, Heero était un homme. Alors pourquoi. Wufei se releva, brusquement. Il appuya violemment sur l'icône SUPPRIMER, et le message s'effaça de l'écran. Alors il sortit du bureau, et se dirigea vers sa salle d'entraînement. Ce jour-là, il fit ses exercices avec une rage qui ne l'animait que rarement.
« Vous avez trois nouveaux messages »
Duo frotta ses yeux ensommeillés, et rajusta la serviette qui enserrait ses hanches. Il cliqua sur l'icône clignotante, et commença à lire son courrier. Le premier était un message obscène d'un certain Fucky, qu'il effaça sans le lire, d'un haussement d'épaules. Il avait connu ce type six mois auparavant, un grand brun au teint hâlé qui avait insister pour l'engager dans son harem personnel. Duo avait refusé, il ne voulait pas devenir la propriété de quelqu'un, ce qu'il faisait, il voulait pouvoir le faire librement, et avoir un droit de regard sur ces « clients ». D'ailleurs, il n'était pas difficile, il acceptait à peu près tout, la seule clause qu'il avait posé dans son contrat était qu'il refusait tous les asiatiques. Poulette avait cru à une lubie raciste, et l'avait laissé tranquille avec ça. Le second message était d'ailleurs de lui, son proxénète, lui envoyant la liste de ses rendez-vous pour la journée. Dix personnes, dont six habitués, c'était une petite journée. On voyait bien que l'été se finissait, tous les touristes rentraient peu à peu chez eux. Duo rejeta distraitement en arrière une mèche de cheveux mouillés qui tombait sur son visage et ouvrit le troisième message. Aux couleurs flashys de celui-ci, Duo crut d'abord à une blague d'un de ses clients, mais un coup d'?il à la signature le détrompa. Réléna. Elle lui écrivait, à lui ! Depuis qu'ils s'étaient séparés, seul Quatre lui avait écrit, et même lui s'était peu à peu découragé devant le silence obstiné que lui opposait l'américain. Réléna. pourquoi ? Il lut le message, fébrilement.
« Chers G-boys,
En raison de l'approche du troisième anniversaire de la paix mondiale, je compte donner, en ma résidence, une fête où vous serez les bienvenus.
Réponse souhaitée.
J'espère que vous allez bien,
Réléna »
Une. fête ? Il allait. les revoir ? Non. il n'était pas encore prêt, pas maintenant. Il s'était volontairement éloigné de ses anciens camarades dès l'annonce de la paix, non pas pour oublier (il savait que jamais il ne pourrait oublier le beau japonais aux yeux bleus) mais parce qu'il ne voulait pas les voir, Réléna et Heero, filant ensemble le parfait amour. Il s'était réfugié ici, dans cette maison close plus que douteuse, et s'abîmait dans la fornication pour essayer d'atténuer la douleur qui l'oppressait. Ici, il était inconnu de tous, et son passé n'intéressait personne. Et maintenant, maintenant. il allait renouer les liens qu'il avait eu tant de mal à briser ? Il allait les revoir, LE voir, roucoulant dans les bras de sa femme ? Non, il ne devait pas, il ne devrait pas, il aurait mal, encore et encore, il ne fallait pas rouvrir des blessures si mal cicatrisées. Mais tous les raisonnements du monde ne valait rien contre la pensée de le voir, une fois encore, revoir son visage, sa bouche, ses yeux, même si ça lui faisait du mal, même si il lui fallait mourir après.
« Réponse souhaitée ».
En tremblant, Duo dirigea le curseur sur l'icône ANSWER.
Satisfaite, Réléna éteignit l'ordinateur. Trowa, Quatre et Duo seraient là. Elle n'avait pas reçu de réponse de Wufei, mais peut-être celui-ci avait changé d'e-mail. Après tout ils n'avaient eu aucune nouvelle de lui depuis. depuis trois ans. Bah, réunir quatre g-boys sur cinq, ce n'était pas si mal, après tout. Son mari sera si surpris ! La fête aurait lieu dans trois mois. Elle avait beaucoup de choses à faire d'ici là, et elles étaent d'autant plus difficiles à accomplir qu'elle tenait à ce que Heero n'en sache rien avant le jour même. Réléna sourit, pensive, en passant une main sur son ventre rebondie. Pourvu que sa santé ne se dégrade pas trop jusqu'à ce jour-là !
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G-BOYS : .
LAZULI : Et voilà, fin du chapitre 2 ! ^^
HEERO : C'est nul.
DUO : Bien dit !
WUFEI : Et moi, j'y vais pas à cette fête ?
LAZULI : Ne t'inquiète pas, je n'en ai pas fini avec toi Wufinou ! ^_____^
WUFEI : -_-
LAZULI : Ah, au fait, pour l'idée de la « fête » qui réunit les g-boys, je remercie Darkmimi, je crois que je lui ai piqué ça à une de ses fics.
DARKMIMI : . compare pas mes fics aux tiennes.
LAZULI : Désolée. Melle Goldorack ^^
DARKMIMI : T_T
LAZULI : Bon ben. Ja ne !
Auteure : Lazuli (oui oui, c'est moi !)
Couples : Ca n'a pas changé : 3x4 (que c'est original.), 2+1, 5+1 et. 1xR (si si !^^ ;;;;;)
Disclaimer : Pas à moi.. G-boys : ^_____________________^ Lazuli : Mais je m'en sert pendant que personne regarde. G-boys : T_____________________T
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Chapitre 2 - Une invitation rose et violette
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« Vous avez un nouveau message »
Le petit arabe déplaça la souris et double-cliqua sur le voyant clignotant. Une fenêtre s'ouvrit, et Quatre se pencha sur l'écran, où un message violet sur fond rose venait d'apparaître.
« Chers G-boys,
En raison de l'approche du troisième anniversaire de la paix mondiale, je compte donner, en ma résidence, une fête où vous serez les bienvenus.
Réponse souhaitée.
J'espère que vous allez bien,
Réléna »
Le petit blond laissa échapper un cri de surprise, et se pencha davantage sur l'écran, relisant avec délice l'intitulé du message.
« Trowa, Trowa, viens voir ! »
La svelte silhouette du français se dessina dans la porte. Il s'avança, silencieux, et posa ses mains sur les épaules de Quatre :
« Qu'il y a-t-il ?
- Lis ! »
Intrigué par l'excitation de son amant, Trowa se pencha sur l'écran, et lu le message coloré avec un intérêt croissant. Lorsque, à la fin de sa lecture, il croisa le regard de Quatre, il souriait.
« Ce sera formidable de les revoir tous.
- N'est-ce pas ? Cela fait si longtemps. Et je pourrais enfin savoir ce que devient Duo. »
La voix de Quatre s'éteignit. Trowa lui caressa la joue, tendrement. Il savait qu'il se faisait énormément de soucis pour son ami l'américain. Depuis leur séparation, Duo, d'habitude si bavard, n'avait plus donné aucun signe de vie. Quatre avait bombardé sa boîte électronique de messages inquiets et suppliants, en vain. Souvent, au beau milieu de la nuit, il se réveillait en hurlant dans les bras de son amant, et criait, entre deux sanglots : « J'ai vu Duo, Trowa, j'ai vu Duo, il pleure, il a mal, et je ne peux rien faire, je ne peux rien faire ! » Ces cauchemards s'étaient peu à peu apaisés, mais le français savait que l'inquiétude de celui qu'il aimait restait intact. Il se pencha sur lui, et l'embrassa.
« Eh bien ? Qu'est-ce que tu attends pour lui répondre ? Nous partirons demain matin. »
Etouffant un cri d'enthousiasme, le blond cliqua hardiment sur le bouton ANSWER.
« Vous avez un nouveau message »
Wufei releva la tête, intrigué. Cela faisait longtemps que plus personne ne lui écrivait. Depuis qu'il s'était isolé dans cette maison à la campagne, il avait coupé tout contact avec ceux qu'il connaissait. Il vivait là, comme un ermite, ne parlant à personne, passant des heures à faire des exercices pour se maintenir en forme. Rares étaient ceux qui connaissaient son adresse. Il ouvrit le message. Ses couleurs criardes lui sautèrent immédiatement aux yeux, lui donnant par la même occasion l'identité de l'envoyeur. Réléna. Il n'y avait que Réléna pour faire quelque chose d'aussi mauvais goût. Wufei pâlit, et ses doigts se crispèrent sur la souris. Réléna était la femme de Heero. Heero, Heero, Heero. Que se passait- il ? Lui serait-il arrivé malheur ? Il était dans un tel état d'inquiétude qu'il ne put réussir à se concentrer sur le sens du message. Il se leva, alla boire un grand verre d'eau, respira un bon coup, et retourna devant l'écran.
« Chers G-boys,
En raison de l'approche du troisième anniversaire de la paix mondiale, je compte donner, en ma résidence, une fête où vous serez les bienvenus.
Réponse souhaitée.
J'espère que vous allez bien,
Réléna »
Wufei resta immobile, interdit. Une fête ? Pour l'anniversaire de la paix ? Quelle sottise. Pourquoi y irais-t-il ? Il y aurait des rires, des cris, du monde, beaucoup de monde. Il détestait la foule. Et puis, il les reverrait tous, Duo, Quatre, Trowa. Heero. Son c?ur fit un bond. Heero ! Heero serait là, certainement, avec sa. femme. Cela faisait trois ans qu'il ne l'avait pas vu, il avait refusé de venir à leur mariage, et il ne viendrait pas, là non plus, il devait oublier, il avait décidé d'oublier, Duo, Quatre, Trowa, Nataku, Wing, Heero, Réléna, Heero, Heero, tout ça, c'était de l'histoire ancienne, il n'irait pas, non, il n'irait pas, il devait oublier, tout oublier, tout effacer, pourquoi, pourquoi ses souvenirs lui faisaient-ils si mal ?! Il se rendit compte, surpris, qu'il pleurait. Wufei renifla. Il détestait ces démonstrations de sensibilité. Pourquoi penser à Heero le mettait-il toujours dans cet état-là ? Est-ce que. non, c'était impossible, tout bonnement impossible, Heero était un homme. Alors pourquoi. Wufei se releva, brusquement. Il appuya violemment sur l'icône SUPPRIMER, et le message s'effaça de l'écran. Alors il sortit du bureau, et se dirigea vers sa salle d'entraînement. Ce jour-là, il fit ses exercices avec une rage qui ne l'animait que rarement.
« Vous avez trois nouveaux messages »
Duo frotta ses yeux ensommeillés, et rajusta la serviette qui enserrait ses hanches. Il cliqua sur l'icône clignotante, et commença à lire son courrier. Le premier était un message obscène d'un certain Fucky, qu'il effaça sans le lire, d'un haussement d'épaules. Il avait connu ce type six mois auparavant, un grand brun au teint hâlé qui avait insister pour l'engager dans son harem personnel. Duo avait refusé, il ne voulait pas devenir la propriété de quelqu'un, ce qu'il faisait, il voulait pouvoir le faire librement, et avoir un droit de regard sur ces « clients ». D'ailleurs, il n'était pas difficile, il acceptait à peu près tout, la seule clause qu'il avait posé dans son contrat était qu'il refusait tous les asiatiques. Poulette avait cru à une lubie raciste, et l'avait laissé tranquille avec ça. Le second message était d'ailleurs de lui, son proxénète, lui envoyant la liste de ses rendez-vous pour la journée. Dix personnes, dont six habitués, c'était une petite journée. On voyait bien que l'été se finissait, tous les touristes rentraient peu à peu chez eux. Duo rejeta distraitement en arrière une mèche de cheveux mouillés qui tombait sur son visage et ouvrit le troisième message. Aux couleurs flashys de celui-ci, Duo crut d'abord à une blague d'un de ses clients, mais un coup d'?il à la signature le détrompa. Réléna. Elle lui écrivait, à lui ! Depuis qu'ils s'étaient séparés, seul Quatre lui avait écrit, et même lui s'était peu à peu découragé devant le silence obstiné que lui opposait l'américain. Réléna. pourquoi ? Il lut le message, fébrilement.
« Chers G-boys,
En raison de l'approche du troisième anniversaire de la paix mondiale, je compte donner, en ma résidence, une fête où vous serez les bienvenus.
Réponse souhaitée.
J'espère que vous allez bien,
Réléna »
Une. fête ? Il allait. les revoir ? Non. il n'était pas encore prêt, pas maintenant. Il s'était volontairement éloigné de ses anciens camarades dès l'annonce de la paix, non pas pour oublier (il savait que jamais il ne pourrait oublier le beau japonais aux yeux bleus) mais parce qu'il ne voulait pas les voir, Réléna et Heero, filant ensemble le parfait amour. Il s'était réfugié ici, dans cette maison close plus que douteuse, et s'abîmait dans la fornication pour essayer d'atténuer la douleur qui l'oppressait. Ici, il était inconnu de tous, et son passé n'intéressait personne. Et maintenant, maintenant. il allait renouer les liens qu'il avait eu tant de mal à briser ? Il allait les revoir, LE voir, roucoulant dans les bras de sa femme ? Non, il ne devait pas, il ne devrait pas, il aurait mal, encore et encore, il ne fallait pas rouvrir des blessures si mal cicatrisées. Mais tous les raisonnements du monde ne valait rien contre la pensée de le voir, une fois encore, revoir son visage, sa bouche, ses yeux, même si ça lui faisait du mal, même si il lui fallait mourir après.
« Réponse souhaitée ».
En tremblant, Duo dirigea le curseur sur l'icône ANSWER.
Satisfaite, Réléna éteignit l'ordinateur. Trowa, Quatre et Duo seraient là. Elle n'avait pas reçu de réponse de Wufei, mais peut-être celui-ci avait changé d'e-mail. Après tout ils n'avaient eu aucune nouvelle de lui depuis. depuis trois ans. Bah, réunir quatre g-boys sur cinq, ce n'était pas si mal, après tout. Son mari sera si surpris ! La fête aurait lieu dans trois mois. Elle avait beaucoup de choses à faire d'ici là, et elles étaent d'autant plus difficiles à accomplir qu'elle tenait à ce que Heero n'en sache rien avant le jour même. Réléna sourit, pensive, en passant une main sur son ventre rebondie. Pourvu que sa santé ne se dégrade pas trop jusqu'à ce jour-là !
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G-BOYS : .
LAZULI : Et voilà, fin du chapitre 2 ! ^^
HEERO : C'est nul.
DUO : Bien dit !
WUFEI : Et moi, j'y vais pas à cette fête ?
LAZULI : Ne t'inquiète pas, je n'en ai pas fini avec toi Wufinou ! ^_____^
WUFEI : -_-
LAZULI : Ah, au fait, pour l'idée de la « fête » qui réunit les g-boys, je remercie Darkmimi, je crois que je lui ai piqué ça à une de ses fics.
DARKMIMI : . compare pas mes fics aux tiennes.
LAZULI : Désolée. Melle Goldorack ^^
DARKMIMI : T_T
LAZULI : Bon ben. Ja ne !