Honte à moi. Cela faisait longtemps que je lorgnais sur les fautes d'orthographes et les différents problèmes que j'ai pu voir dans cette fic, alors voilà, je corrige enfin.

La rencontre chapitre 1

Je me nomme Ereinion, mais tout le monde me nomme par mon nom de roi Gil - galad. Je suis en effet le roi de Lindon et des Noldor, nous sommes Isílya 12 Cernië yén 1715 du second âge ( équivalent du mercredi 12 juillet de l'année 1715 du second âge ). Mes hommes et moi-même revenions d'un voyage à Imladris la cité que le fils Eärendil, Elrond, a créé quand les forces de Sauron ont dévasté l'armée elfique. Là-bas c'était tenu un grand conseil où il fut décidé d'établir une place forte des elfes à l'est d'Eriador et non en Eregion. Cette place forte sera Imladris comme le conseil l'a décidé. Là les 3 anneaux de pouvoirs sont réapparus. Mon vieil ami Cirdan a pris possession de Narya, l'anneau de feu et j'ai obtenu le plus puissant, Vilya l'anneau de l'air. Dans ce conseil, j'ai eu la joie de revoir ma cousine Galadriel qui porte maintenant Nenya l'anneau de diamant, et son époux Celeborn. Mais de nombreux seigneurs elfes sont tombés durant la guerre, comme Celebrimbor, le dernier descendant de Fëanor. La malédiction de Mandos a été terrible sur cette famille.

Nous chevauchions paisiblement à travers ce pays dévasté par la lutte contre Sauron le seigneur des ténèbres quand nous avons entendu des voix étranges venir d'une petite forêt que nous longions depuis quelques kilomètres. Ces voix s'exprimaient dans une langue qui m'était totalement inconnue. Ce n'était pas de l'elfique, ni de l'adûnaic, et encore moins la langue des nains. Peut-être ces voix appartiennent-elles à des orcs, des gobelins ou encore d'autres créatures maudites de Sauron. De nos jours, même si la guerre est terminée, il vaut mieux être prudent. Ces créatures continuaient à parler comme si elles ne craignaient pas les elfes :

-May, la reine des forêts, toujours entourée de pitis zosiaux et lapinous.

-Ah ! Tu reconnais enfin que je suis une reine.

-La reine des cloches, oui.

-AHAHAH ! Mais moi, au moins, je résonne. Sab ?

-Oui.

-Merci d'être venue avec moi. J'en avais un peu assez de faire la causette avec mon sabre, en plus il n'a pas beaucoup de conversation.

-Tu vas voir, on vas bien s'amuser.

Je me demandais ce que ces créatures viennaient de dire, elles nous avaient peut-être entendus. Il faut faire vite et les éliminer le plus rapidement possible avant qu'elles ne puissent prévenir d'autres créatures et ainsi nous attaquer par surprise. Nous avons donc laissé les chevaux aux abords de la forêt et sommes entrés dans le bois l'arme à la main. Nous nous sommes approchés avec beaucoup de précaution pour ne pas être détecté. Les voix s'élevaient toujours incompréhensibles :

-Sab, et si on allait prendre un bon bain. Sans risquer pour une fois d'être mâtée par les mecs.

-D'ac !

-T'y vas ou j'y vais ?

-Vas-y, je vois bien que tu crèves d'envie d'y aller.

-YESSSSSSSS !

- May, ça va ?

-Oh ouais, tu peux pas savoir ce que ça peux faire du bien de prendre un bon bain avec en plus jacuzzi intégré. Beurk !

-Quoi ?

-Le truc dont m'a aspergé Merry pue vraiment, c'est une véritable infection. J'ai bien fait d'amener un gel douche.

-AHAHAH, ce truc comme tu dis, c'est du parfum. Et ça a quelle odeur ?

-Oh ! C'est un subtile mélange entre les fragrances délicates d'un poisson qui pourris au soleil depuis une semaine et celle d'un orque qui vient de bouffer de l'ail.

Il nous a fallut encore 5 minutes pour arriver à l'origine des voix et nous sommes tombés sur une jeune fille rousse avec de grands yeux vert qui nous regardait comme si elle n'avait jamais vu d'elfe de sa vie. Pourtant c'est stupide, puisque s'en était une, d'après les oreilles. Nous avons entendu un grand bruit d'éclaboussures et une autre voix continuait à s'élever dans cette langue bizarre :

-Sab, qu'est-ce qui t'arrive, tu t'es endormie ou quoi ?

D'un geste, j'ordonnais à la jeune femme de répondre, ce qu'elle fit :

-Non, c'est bon, je réfléchissais.

-Ah parce que ça t'arrive de réfléchir ? Fais gaffe, il ne faudrait pas que les orques nous détectent avec la fumée qui sort de tes oreilles.

-AHAHAH, je suis hilare.

A ce moment, la jeune fille rousse commença à parler en sindarin, avec un léger accent qui ne venait pas de l'Eregion. L'autre répondit :

- Pourquoi tu parles en elfique ?

-Parce que je l'adore. On ne pourrait pas se parler dans cette langue

- D'ac.

Commença entre les deux jeunes filles, car l'autre ne pouvait - être qu'une jeune fille, une conversation très instructive.

- Tu pourrais accélérer, j'en ai marre de t'attendre.

-T'as hâte de te faire massacrer par les orques ma parole. Voilà, donne-moi 5 mn. Pfuuuuu, je ne peux jamais me reposer moi. Y a toujours quelqu'un pour m'empêcher de prendre un bain.

Elles sont des ennemies des orcs, cela est très intéressant. Mais elles ont une drôle de façon de s'exprimer, Je reconnais bien le sindarin, mais il y a des mots de leur langue dans leurs phrases.

-May ?

-Oui.

La seconde jeune fille se nomme May. Mais je ne connais toujours pas le prénom de la première, mais je sens que je vais bientôt le découvrir.

-Que penses-tu des elfes ?

Pourquoi posait-elle cette question ? Je sortis Aeglos et la menaça de ma lame, elle blêmit et se mit à trembler. Puis l'autre répondit à sa question

-Lesquels, Tolkien ou petites fées avec des ailes au dos ?

Mais qu'est ce que cela veut dire ? Quel est ce Tolkien, une région inconnue de la terre du milieu ? Pourtant je connais toutes les régions de l'ouest. Elles venaient peut-être des régions Est et elles étaient peut-être sous les ordres de Sauron. J'enjoignis la rousse à répondre.

-Heu… Tolkien !

-Ah ! Les Noldor, les Teleri et les Vanyar.. Ce sont d'excellents combattants.

L'autre nous connaissait, nous devions en apprendre plus sur elles deux.

-Ah d'accord. Tu les imagines comment ?

-D'après les écrits, ils sont d'une beauté et d'une sagesse surnaturelles.

D'après les écrits ! Mais qu'est-ce que cela veut dire ? Elles n'ont jamais rencontré d'elfes, donc elles ne nous connaissaient que par les livres. Ce terme " surnaturelle " est, d'habitude, utilisé par les hommes moindres. Mais cela est impossible, ce sont des elfes. Peut-être des semi-elfes comme Elrond.

-Et tu crois qu'on rencontrera des elfes ?

-Viens voir, y en a une qui est en train de se baigner !

-C'est vrai ?

Comment ? J'étais prêt à y aller quand j'entendis la réponse de l'autre jeune fille.

-Ben oui, pôvre cloche. Dois-je te rappeler que nous sommes des elfes.

Je faillis éclater de rire, cette jeune femme avait de la répartie, mais ses origines étaient encore mystérieuses, et nous devions donc les traiter comme de possibles ennemies.

-May, t'as bientôt fini ! T'es longue.

- Eh ! Minute papillon, mes cheveux sont très longs et ils sont assez difficiles à laver. Et en plus, ils sont tellement gras qu'on dirait que je les ai lavé avec du saindoux, c'est ignoble.

-May ?

-Pfuuuu, Kwoa !

-C'est vrai ce qu'on dit ?

-Qu'est ce qu'on dit ?

-Que s'il arrive quelque chose à John, c'est toi qui prendrais le contrôle des armées. C'est vrai ?

-Oui. Mais tu ne le dis à personne, d'accord ?

-D'accord, mais tout le monde est déjà au courant, John a craché le morceau.

-Et merde ! Et moi qui voulais passer inaperçu et ben c'est râpé.

Un chef de guerre, c'était une prise de choix, mais si elle est là, les autres ne doivent pas être loin, ils nous surveillent peut-être. C'est sans doute pour cela qu'elles font tant de bruit. Car elles sont protégées. Je donnais l'ordre à mes hommes de rester en alerte au cas où nous serions attaqués et j'envoyais deux de mes meilleurs hommes explorer les environs et voir s'il n'y avait pas d'autres intrus dans les environs. Ils revinrent rapidement en nous disant qu'il n'y avait personne d'autre.

-Wi. May ?

Wi ! Qu'est ce que cela veut dire, un code entre elle. Elle prévient peut-être l'autre de notre présence. Je me rapprochais d'elle et lui ordonnais de changer immédiatement de sujet. Ce qu'elle fit rapidement.

-Quoi encore ?

-Je sais que ça n'a rien à voir, mais tu l'imagines comment ton futur époux ?

Je la regardais interloqué. Je lui avais donné un ordre mais je n'aurais jamais pensé qu'elle prendrait ce sujet, en particulier. Et je ne fus pas le seul surpris, l'autre jeune femme semblait énervé et cette question l'indisposait.

-Elle est stupide ta question ? Comment veux-tu que je le saches ?

-Imagine !

- Bon d'accord, je vais faire un effort d'imagination. Je le vois grand, cheveux bruns et de beaux yeux bleus, ça m'a toujours fait craquer. Et puis qu'il m'accepte telle que je suis, que ce ne soit pas un sale macho qui pense que la place des femmes est devant les fourneaux. Je voudrais qu'il soit aussi doux et attentionné, mais aussi fort et viril. J'ai aucune envie d'épouser un type qui crie comme une fille dès qu'on le touche et qui va se cacher sous les jupes de sa mère.

Je vis certains de mes hommes me regarder du coin de l'œil, car physiquement, je ressemblais à l'homme que cette jeune fille venait de décrire. Mon peuple désespérait que je sois toujours célibataire.

-T'en connais des types pareils ?

-Avec les qualités, ou les défauts ?

-Les défauts !

- Oui, j'en connais un. Un gars sans scrupule qui s'accroche à moi comme une moule à son rocher. Il essaie de me séduire depuis 3 mois, mais rien en lui est séduisant, à part si on aime bien sûr les décolorés sans cervelle. Et c'est justement ce qu'il est, un crétin décérébré.

Une moule à son rocher, j'aime bien cette expression, elle veut bien dire ce qu'elle veut dire. Je commence vraiment à apprécier cette jeune personne.

-Ce que tu peux être mauvaise ?

-Non, je suis réaliste, c'est un abruti.

-Et il a un nom cet abruti ?

-Ouais, Guillaume !

-Gigi la folle ! T'es dragué par Gigi la folle. T'as raison, c'est un abruti. Tu sais qu'il a tenté de se faire Franck ?

Gigi la folle ! Deux soldats commençaient vraiment à avoir du mal à se retenir de rire. Un homme appelé Gigi la folle. Je n'aurais jamais cru entendre ça. Et se faire Franck. Qu'est ce que cela veut dire ? je leur demanderais plus tard.

- Franck, 90-60-90 la même chose pour l'autre jambe. Celui qui n'a pas une once de graisse, que des muscles ? Pourtant, je le croyais avec Damien.

Par tous les Valar réunis, je ne dois pas rire ou nous allons avoir des problèmes.

-Il est toujours avec Damien, mais il a tenté de casser leur couple.

-Oh quel connard, c'est pour cela qui lui manquait 2 dents.

Manquer deux dents. Pourquoi lui manquerait-il deux dents ? J'ai compris il a voulu…… et l'autre n'était pas d'accord et il l'a battu. Voilà pourquoi elles le nomment Gigi la folle. Car il a perdu tout respect à leurs yeux.

-Oui.

-Sab, t'as pris froid ?

Sab, voilà comment se nommait cette jeune femme. Mais c'était vrai que sa voix était un peu enrouée. Je la regardais du coin de l'œil et la vis proche des larmes. Je fronçais des sourcils et la menaçais à nouveau. Elle se reprit très vite et répondit :

-Non, pourquoi ?

-Parce que ta voix est bizarre.

-C'est rien, seulement j'en ai marre de t'attendre. C'est tout.

-Mais bien sûr ! Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.

Hein ? Qu'est ce que cela veut dire ?

-Hein ? ça veux dire quoi ?

-ça veux dire que je ne te crois pas. Je t'explique, tu as déjà vu une marmotte mettre du chocolat dans du papier d'alu toi ?

-Ben non !

-Alors tu comprends maintenant, si quelqu'un te dit qu'il vient de voir une marmotte mettre du chocolat dans du papier, tu le croirais ?

-Non !

-Alors, t'as compris.

Elle n'était pas la seule, cela veux dire qu'elle savait qu'il y a un problème. Elle va peut – être arriver et tenter de nous attaquer. Non, j'entendis de grosses éclaboussures. Elle était en train de jouer dans l'eau comme une enfant. C'est ce qu'elle était peut-être.

-May ?

-Kwoa ! Tu m'énerves à la fin. Qu'est-ce que tu veux ?

A là, elle est énervée. J'en ai assez d'attendre et je vais la ramener vers les autres.

-Qu'est-ce que tu dirais à un elfe ?

-Présentement, je lui demanderais de me passer un serviette, que je puisse sortir de l'eau et me sécher.

Une serviette, je vis sur un sac, une serviette blanche dans un drôle de tissu. Ce n'étais pas de la laine, ni du lin. C'était solide mais doux et fin. C'est étrange. Je pris la serviette et avança doucement vers la rivière. Il n'y avais personne d'autre. Près de moi, je pus voir des vêtements assez étranges sécher sur les buissons. Ils étaient d'une drôle de couleur et terriblement voyant dans une forêt. Ils étaient de plusieurs teintes de gris. En tournant la tête vers la cascade, je vis une silhouette en dessous. Elle était bien petite. Cela devait – être l'éloignement et l'eau qui faisait cela. Je me suis approché jusqu'à être à côté d'elle. Et ce n'était pas un effet de l'eau ou de l'éloignement, c'est une petite fille et pourtant elle avait une voix de jeune femme. C'est étrange. Elle sortit de dessous de la cascade et je lui tendis la serviette. Ses longs cheveux bruns lui tombaient sur les yeux et elle ne me vit pas. Elle devait penser que j'étais son amie, car sinon elle se serait enroulée dans sa serviette. Au lieu de cela, elle se frottait la tête avec et me dit :

-Merci

Je lui répondis doucement :

-De rien.

Mais là elle éclata de rire et me demanda :

-T'as muée, Sab

Et elle partit, toujours se frottant la tête, vers ses habits, en éclatant de rire toute contente de sa blague. Moi-même, j'avais du mal à ne pas faire de même pour ne pas l'effaroucher. Elle était complètement nue, mais ce n'était pas une petite fille, mais bien une jeune femme et bien jolie je dois dire. Elle avait une démarche souple, gracieuse, et rapide. Elle avait un corps svelte et élancé, et je dois dire que ses formes sont assez intéressantes. Son corps était ferme, et sa peau avait l'air d'être douce et velouté comme celle d'une pêche. J'avais de plus en plus envie de caresser ses épaules soyeuses. Je fus surpris en voyant l'état de son dos. Il était marqués par de nombreuses meurtrissures, cicatrices et il y a des plaies encore ouvertes mais qui ne saignaient pas. Mon regard fut attiré par une longue marque qui descendait jusqu'au bas du dos et je ne fus plus intéressé par son dos, mais par d'autres parties de son anatomie. Elle avait des fesses fermes et de belles jambes.

Enfin elle arrêta de se sécher les cheveux pour s'enrouler dans sa serviette. Mais j'avais eu tout le temps de découvrir son corps, maintenant, tout ce que voulais faire, c'était le découvrir avec les mains. Elle se retourna soudainement et devint toute rouge. Elle était adorable et mon sourire s'accentua en même temps que certaines images assez débridées me venaient à l'esprit.

J'avançais vers elle. Et quand je faisais un pas vers elle, elle en faisais un en arrière. Elle s'arrêta quand un tronc l'empêcha de continuer sa fuite. Je m'approchai encore plus d'elle, et je pus sentir son odeur, une odeur douce et délicate mais je ne l'avais jamais senti auparavant. Il y avait une autre odeur, une odeur plus âcre, assez désagréable, celle de la cendre, du feu et du sang. Les odeurs de la guerre. Elle revenait donc d'un combat d'où ces blessures au dos. Elle avait l'air d'être exténué.

Je me baissais légèrement, la pris dans mes bras et je fus surpris par sa légèreté. Je ne sentais presque pas son poids, mais je la sentais tendue et nerveuse. Je la comprenais un peu ,je ne serais pas très heureux si cela m'arrivais. Quand nous sommes arrivés dans la clairière, mes hommes pouffèrent un peu mais se reprirent vite. Mais passon amie Sab. Elle éclata d'un rire bruyant. May lui lança un regard noir. Je donnais l'ordre à un de mes hommes de ramener ses vêtements. Pendant ce temps, je vis la jeune Sab regarder intensément Ellianar un de mes soldats, et je ne fus pas le seul à le remarquer. Une conversation animée commença entre elles :

-Sab, arrête de baver, tu pollues la clairière.

-C'est pas vrai, je ne pollue pas. J'admire les merveilles de dame nature. Rajouta-t-elle. Tu le trouves comment ?

-Qui ?

-L'elfe.

-Lequel ?

-Le blond.

-Ma chère Sabrina, dois - je te remettre en mémoire que 95 pour cent de la population elfique est blonde !

Là je ne pus me retenir et les autres n'ont plus, on éclatait franchement de rire, et quant à Ellianar, il devenait un peu plus rouge, et cela plût encore plus à la jeune Sabrina. Donc Sab n'est que son surnom. Elles reprirent leur discussion dans leur langue qui commençait à me plaire, car c'était une langue assez musicale :

-Le beau blond.

-Tu veux dire celui qui te bave dessus.

-Il ne me bave pas dessus.

-Si, il te bave dessus. Un peu plus, et on le prendrait pour un escargot. Je ne savais pas que tu aimais autant les gastéropodes.

-Attend que tu sois descendue de ton perchoir, tu vas voir ce que tu vas voir.

Perchoir moi ? Je sentais que je allais m'énerver dans pas longtemps. Personne n'avait jamais osé appeler un roi un perchoir. Je crois que May a senti mon énervement, car elle rétorqua :

- Perchoir, perchoir, moi au moins je suis au chaud et je n'ai pas besoin de marcher, puisqu'on le fait à ma place. En un mot ma chère, c'est le pied intégral.

Elle posa doucement sa tête sur mon épaule et s'endormit. Elle ne se réveilla même pas quand nous sommes sortis de la forêt ni quand j'ai grimpé sur mon cheval. Nous sommes allés un peu plus vite et sommes arrivés dans ma cité de Mithlond.

A suivre