Voici la 2e partie de mon Fanfics (un peu mieux réussit aussi.)

«La fille aux cheveux blancs »

Allen l'a regarda. Elle n'avait pas du tout l'air de mentir, mais son histoire était tout à fait impossible. Pourtant, il ne savait pas pourquoi, mais il a croyait ! Ce qui le fit sentir bizarre. « Mais qu'est-ce qui me prennent ! » Marie-Louise elle, se croyait folle. Le fait d'être ici, avec des parfaits inconnus, la rendait nerveuse.

- Je peux te pauser une question, dit Hitomi. Comment ça se fait que tu as les cheveux blancs a ton âge ?

- Il y a deux ans, lorsque je rentrais à la maison en autobus, nous avons dérapé et rentré dans le fossé, les médecins ont dit que j'avais eu si peur que mes cheveux ont virée blanc.

- Et, tu t'en es sortie intact ?

- Oui, je n'ai eu que quelques bleues et le poignet fouler. Je peux te paussé une question à mon tours ? Tu ne viens pas d'ici ? Hein !

- Non, je viens du japon.

- Je me disais aussi. Quand tu en auras fini, est-ce que tu pourrais me montrer la place Hitomi ou je dois dire sa majesté ?

- Tu peux m'appeler Hitomi, tu as quel âge ?

- 18 ans, bientôt 19.

- Oui, et quand auras-tu tes 19 ?

- Le 31 décembre, dans trois mois.

Un peu a l'écart, Allen et Van les regardaient.

- Allen, je peux te parler en priver ?

- Biensûr Van.

Van et Allen sortirent de la pièce et laissèrent Hitomi et Marie-Louise seul.

- Il est bizarre.

- Qui est bizarre Marie-Louise ?

- Personne, je pensais tout haut c'est tout.

Au même moment en hors de la pièce, Van et Allen discutaient de son avenir.

- Allen, j'aimerais que tu deviennes son tuteur. Comme tu t'occupe déjà de Serena, ce sera un peu plus facile.

- Et il aura quelqu'un pour la surveiller lorsque je ne suis pas là.

- De qui parles-tu ?

- De Serena, Gaddes lui tourne autour depuis quelque temps et je n'aime pas ça.

- Selon moi, ce n'est pas une bonne idée, mais c'est toi qui décide.

- Je viendrais la chercher dans deux semaine, le temps de préparer une chambre et lui trouver du linge convenable. Aurevoir Van Fanel.

- Aurevoir Allen Schezar.

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Le soir même

« Cette place est vraiment bizarre, pensa Marie-Louise dans son lit. On dirait un mélange du temps Médiéval avec des monstres du futur. Il ne me manque plus que de voir des dragons, des sirènes et des licornes pour être sûr que je suis folle. Le pire c'est que tout cela me semble familier... »

- Qu'est-ce qu'à peut avoir d'intéressant cette fille ?

Marie-Louise se leva pour aller voir d'où venait la voix. Elle ouvrit la porte des garde-robes, et ce qu'elle vit ne la surpris même pas. Il y avait une sorte de chat-garou en train de fouiller dans son sac à dos.

- Que fais-tu là, dit-elle à moitié endormit. Il n'y a rien qui peut
t'intéresser à moins que tu veuilles faire mon travail de maths où que
tu veuilles mon texte d'art dramatique. Mais, avant dis-moi ton nom et
qui es-tu. Finit-elle avant d'étouffer un bâillement.

- Je ne faisais rien, dit Merle en cachant le sac derrière son dos. Et toi, 1. qui es-tu ? Moi, je suis Merle, la meilleure amie de Lord Van.

- Moi, je suis folle. Bonne nuit.

Marie-Louise referma la porte d'un des garde-robes et retourna se coucher. Elle allait s'endormir lorsqu'elle sentit quelque chose se promener sous les couvertures. Elle les souleva, puis...

- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Tu veux que je fasse un infarctus ou quoi.

- C'est quoi un infarctus ? Demanda Merle en toute ignorance.

- C'est trop compliquer à expliquer. Tu me veux quoi ! Peut-être après tu me ficheras la paix.

- Tu es qui, c'est tout ce que je veux savoir.

Marie-Louise soupira.

- Je suis Marie-Louise Alain, et je viens de la terre. Maintenant, fiche- moi la paix, j'essaie de dormir.

- Non, j'ai encore plein de question à te poser.

Cette nuit là, Marie-Louise ne dormit pas.

Sous l'étonnement de tout le monde, Marie-Louise et Merle devinrent très bonne amie.

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Quelques semaines passèrent avant qu'Allen ne viennent chercher Marie- Louise accompagnée de Serena.

- Marie-Louise ! Allen est arriver, criait Merle a plein poumon. Est-ce que tu as toutes tes affaires ?

- Oui ! Allons-y.

Marie-Louise savait qu'elle allait devoir tout recommencer. Elle devrait savoir qui sont ses gens, rester polie et surtout, ne pas dire de stupidité comme d'habitude.

- Bonjour Hitomi, merci de votre hospitalité et de votre amitié. J'espère vous revoir bientôt.

- Ce fût pour moi un plaisir Marie-Louise. Tu pourras venir quand tu voudras et, lorsqu'il n'y a personne d'important, tu peux me tutoyer.

- J'essayerai de m'en souvenir

« Elle a bien changer depuis qu'elle est arriver. On dirait presque une demoiselle»

- Grouille-toi Merle, on va être en retard. Pis si c'est de ta faute, tu auras affaire à moi.

- Presque.

Lorsque Allen arriva, Marie-Louise passa la main dans ces cheveux rebelles et attendit que le Crusade atterrit.

- Heureux de vous revoir Mademoiselle.

- Enchanter de vous revoir monsieur, dit Marie-Louise en une révérence. J'ai hâte de rencontrer votre soeur. Est-elle là ?

- Oui. Serena, veux-tu sortir une minute ?

- Attend une minute frérot, j'arrive.

Marie-Louise se retint de rire lorsqu'elle entendit ces paroles, mais ne pus se retenir lorsqu'elle vit Serena. On aurait dit, une adolescente tout à fait normal avec son T-shirt et ses pantalons.

- Quoi, qu'est-ce que j'ai fait ?

- Non, dit-elle en se calment, c'est juste que tu ne ressemble pas du tout à une lady, mais à une vrai ado.

- A bon, c'est quoi une ado ?

- Ce serait trop long a expliquer.

- Avez-vous vos bagages, demanda Allen.

- Oui, répondit-elle. Ils sont là.

- Bien. Gaddes, ramasse les toutes suites. Nous partons.

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La nuit était tomber depuis longtemps, mais Marie-Louise ne dormait pas. Elle pensait à tout ce qu'elle avait laisser sur terre : ces amies, sa famille et tout le reste.

« Je me demande comment Chricri doit prendre ça. Maman doit être démoralisée et Philippe doit niaiser dans ma chambre. Si au moins Olly était là ».

A ces pensés, elle se mit à pleurer silencieusement.

- Je devrais sortir, l'air frais me fera du bien. Sniff !

Allen pensa de son côté la même chose. Depuis peu, il était pris d'insomnie. Ils se rencontraient donc par hasard sous un arbre qui avait été planté dans la cours. Gêner de rencontrer quelqu'un en plein milieu de la nuit, Marie-Louise ne parlait pas. Allen lui se demandait ce qu'elle faisait là en pleine nuit en robe de chambre.

- Euh ! ... Allo, dit-elle extrêmement rouge.

- Bonjour, répondit-il. Que faite vous dehors a une heure si tardive ? Vous ne devriez pas dormir ?

- Oui, mais je n'y arrivais pas. Je crois que je vais rentrer, il va pleuvoir.

- Qu'est-ce qui vous le fait...

Avant même qu'Allen n'ai le temps de finir sa phrase, il pleuvait des cordes. Ils rentrèrent à la course a l'intérieur. En le regardant tremper jusqu'aux os, Marie-Louise eue le goût de rire. Elle se tordit les cheveux pour les sécher. Mais, lorsqu'elle vit Allen faire de même, l'envie était irrésistible, mais elle se retint.

- Je vais aller me coucher. Bonne nuit !

- À vous aussi mademoiselle.

Allen ne savait vraiment pas ce qui le prenait. Lorsqu'elle était là, il était moins déprimer et il avait même le goût de rire !

« Cette fille est vraiment bizarre. »

- Allen, je peux vous poser une question ? C'est juste que, demande Marie- Louise rouge de gênes. Est-ce que vous pourriez m'apprendre à combattre comme vous le faite avec Serena ?

- Si vous pouvez soulever une épée. Mais venez demain matin et on verra.

- Merci, répondit Marie-Louise d'une toute petite voix.

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Marie-Louise était dans la salle d'entraînement depuis au moins 5 heures du matin. Elle regardait les épées accrochées au mur lorsqu'elle entendit quelqu'un entrer dans la pièce. Elle se retourna et vit Merle. Elle, de son coté, ne l'avait même pas remarquer. Elle était venue incognito pour être avec Marie-Louise.

- BOO !

- Haaaaaaaaaaa !!!!!

Marie-Louise rit un coup et Merle avait l'air fâché.

- Merle, qu'est-ce que tu fais là ? Tu devais être à Fanelia en ce moment. Est-ce que...

Marie-Louise n'eut pas le temps de finir sa phrase que le cuisiner du fort entra dans la salle avec un couteau à la main.

- Toi la voleuse, je vais te tuer.

Il brandit le couteau mais Marie-Louise fut plus rapide que lui, elle pris l'épée qu'elle avait dans la main et la lui mit sous le nez.

- Toi si tu oses la toucher, t'es sur de recevoir mon pied dans le derrière. Compris ?

- Ou... oui j'ai... com... compr... pris.

- Bien, maintenant, va-t-en.

Il partit sans demander ses restes et Marie-Louise lâcha l'épée.

- Maintenant je crois que je peu plus approcher la cuisine. Hein !

- Oh oui merle, a moins que je ne sois là. Moi je crois que je peux pus avoir un petit snack a minuit.

Allen avait assister à la scène de loin et n'en revenait pas. Elle avait su garder son sang froid et elle n'avait pas trembler. Sa décision était faite. Marie-Louise vit Allen venir, elle était certaine d'avoir des problèmes pour ce qui venait de se passer.

- Euh... je peux tout expliquer.

- Il n'y a rien à expliquer. L'entraînement commence à midi, arrive à l'heure.

- Vraiment ! Super ! En passent, Marie-Louise fit un pas a gauche, Merle est ici.

- Je sais, Van ne voulait pas que vous vous sentiez seul.

- Ah bon ! STP, arrête de tutoyer, je déteste ça. Encore merci

- Aurevoir Mademoiselle.

- Aurevoir Allen.

Marie-Louise sauta de joie et entraîna Merle avec elle.

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Marie-Louise progressait très vite au combat qu'elle participait aussi à l'entraînement de l'équipage. Allen avait repris le goût de vivre et tout allait bien. Quand tout à coup...

- Boss, on a un problème, on a attaqué Asturia !

- Quoi ! Mais c'est impossible.

- Ils disent que ce n'était qu'un avertissement et que ce qui suit et la guerre. Le roi vous demande à ces coté.

- Dites-lui que j'arrive le plutôt possible.

- Compris boss.

Marie-Louise entra avec Serena dans la salle. Depuis qu'elle était ici, elle se sentait mieux, presque comme chez elle. Demain, elle aura ses 19 ans et elle les fêtera à Fanelia. Mais son sourire disparu lorsqu'elle vit le visage tendu d'Allen.

- Est-ce que ça va ?

- Asturia viens d'être attaquer. Nous ne pourrons pas aller à Fanelia, Je dois partir protéger le palais.

- Je comprends, je vais vous aider.

- Non tu n'es pas assez forte, de plus tu dois rester ici avec Serena.

- Quoi ! Comment ça frérot tu ne m'emmène pas avec toi ? Tu me laisse ici avec pour seule défense cette fille.

- Tu sais ce qu'elle te dit la fille, elle te dit que tu peux aller te faire fou...

Marie-Louise n'eut pas le temps de finir sa phrase que Gaddes entra dans la pièce.

- Le Crusade et prêt, nous pouvons décoller.

- Bien, allons-y.

Marie-Louise resta là bouche bée un instant avant de sortir à la course.

- Aurevoir Allen Schezar.

Il ne l'entendit pas. Marie-Louise les regarda partir et rentra à l'intérieur. Lorsqu'elle entendit un bruit sourd derrière elle, il était déjà trop tard. Le château venait d'être attaquer et Serena et elle, capturer comme otages.

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Lorsque Allen revint à son fort, il était déjà trop tard. Il avait été dévasté et il n'y avait aucune traces de Serena et Marie-Louise. Ils retrouvèrent Merle effrayé, cachée dans un coin.

- Que s'est-il passé Merle, demanda Allen.

- Ils ont attaquer lorsque tu es parti. Ils ont pris Marie-Louise et Serena et ils sont partis.

- Par ou ? Où sont-ils partis Merle ?

- Au Nord, ils sont partis au Nord.

Merle se mit à pleurer et Gaddes essaya de la consoler. Allen était fou de rage. Cet ennemi l'avait offenser en enlevant sa s?ur et sa pupille. Ils allaient le payer au centuple.

- Boss, on fait quoi ?

- Nous allons à Asturia en parler au roi. Peut-être sait-il qui sont ces ennemis qui nous attaquent. Toi Gaddes, tu accompagne Merle à Fanelia compris. Tu annonceras la disparition de Marie-Louise au roi Van. Kyo prépare le crusade, nous partons immédiatement.

- Bien Boss.

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Plus tard à Fanelia. Gaddes expliqua ce qui c'était passer à Van et Hitomi.

- Quoi ! Il y a de nouveau ennemi a Gaïa. C'est impossible, qui peut donc en vouloir autant à Asturia ? Dit Van surpris.

- Nous ne le savons pas, Allen est parti voir le roi d'Asturia pour savoir qui pourraient lui en vouloir autant pour ensuite essayer de les sauver.

- Bien, dite à Allen que je ferais tout en mon pouvoir pour l'aider.

- Merci votre majesté.

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NDA : Voici la fin de la 2e partie, bien mieux réussie, plus longue et commence à avoir un sens, mais je débute. Revenez lire la suite (sinon j'pense que je vais pleurer T_T) Pcq tout le moment que je l'écrivais, j'ai perdu bien bien de moment pour étudiez... bah sa fait rien