Voici la 3e partie de mon Fanfics avec un titre bizarre. Lisez et vous
verrez.
«Le retour de Minerva »
Serena était revenue quelques temps après mais elle ne savait pas ce qu'était devenue Marie-Louise, elles étaient toutes les deux dans des cellules séparées mais elle avait entendu parler des retrouvailles d'une princesse. Dryden, le roi d'Asturia, ne savait pas qui pouvait lui en vouloir jusqu'à ce qu'un jour.
Dryden avait convoquer Allen à Pallas, mais il ne savait pas pourquoi. Lorsqu'il entra dans la salle royale, le roi lui racontât cette histoire.
- Il y a longtemps, lorsque l'ancien roi était au pouvoir, un jeune roi déclara la guerre a Asturia. Le roi les vainquirent mais, tua par erreur la jeune reine et l'enfant qu'elle portait en elle. Le roi jurât de se venger et qu'ils reviendraient avec Minerva, le légendaire gameilaf noir. Ce sont eux qui ont attaqué Asturia et enlever votre pupille.
- Comment le savez-vous ?
- Ils m'ont fait savoir qu'ils étaient derrière tout cela. Ils viennent demain avec la demoiselle. Je les ai convoqués pour parler d'une paix prochaine. Je vous demande de bien les accueillir et de ne pas chercher querelle, et c'est un ordre.
- Bien votre altesse, tout serra fait selon votre désir.
- Vous pouvez vous retirer Allen Schezar.
En chemin, Allen recontra Miriana par hasard. Miriana avait bien changer, elle attendait son premier enfant et avait l'air si heureuse.
- Allen, je ne savais pas que tu étais là, sinon je serai venu te voir plutôt.
- Dryden m'avait convoquer ce matin, mais je dois partir à l'instant. Aurevoir majesté.
- Aurevoir Allen.
---------------------------------------------------------------------------- ------------------------------
Quelques jours plus tard, on vit au loin un convoi de bateau volant.
- Oyer, ici le roi de Miranda, nous voulons rencontrer le dénommé Allen Schezar. Ouvrez les portes.
Gaddes couru prévenir Allen que les émissaires étaient arriver.
- Fais les entrer, je les attends dans la grande salle.
- Bien boss.
Quelques secondes plus tard, Allen vit rentrer un Homme au cheveu noir suivit d'une jeune fille voilée d'où échappaient quelques mèches blanches.
- Bienvenue, vous êtes ?
- Le prince de Miranda, Nathan Rini Mirande et voici ma s?ur, Commandant Félicité Mirande.
- Enchantés de vous rencontrer, je suis Allen Schezar, chevalier d'Asturia, a votre service. J'aimerais vous entretenir à propos de ma pupille Marie- Louise qui a été enlevé sous vos ordres.
- Nuls besoins dans parler, elle va très bien, dit-il en passent son bras autour de la jeune femme. Mais vous pouvez le constater par vous-même.
Nathan enleva le voile de la jeune femme. Il tomba sur le sol en dévoilant le visage de Marie-Louise. Elle avait certes peu changer mais, on pouvait lire une gêne dans son regard.
Félicité regardait le sol gêner. Elle ne savait pas comment agir devant Allen.
« Il doit croire que je suis une espionne. Il doit m'en vouloir. »
Allen ne savait pas comment réagir de son côté.
- Que veut dire tout cela, demanda-t-il à Félicité.
- Euh... bien, il parait que j'ai disparue lorsque j'étais enfant, que mon frère a utiliser une machine de Dornkirk pour que je revienne et que je suis une princesse. Mais, est-ce que vous m'en voulez Allen Schezar. Si oui, je m'excuse.
Félicité regardait de nouveau le sol plus rouge que tout à l'heure. Allen ne dit pas un mot a Félicité durant le reste de l'entretien. Nathan installa les tentes a l'extérieur du fort. Ils partirent une heure plus tard a leur campement.
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Le soir même, Serena alla au campement en secret voir Marie-Louise ou Félicité. Elle ne savait plus vraiment comment l'appeler.
- Regarde, on dirait qu'on a de la visite, dit un garde.
- Oui, et de la très jolie. Dit un autre
- Viens donner un bisou beauté, en répliqua un troisième.
Serena était terrifié lorsque quelqu'un arriva.
- Vous la toucher et vous êtes sûr de ne plus pouvoir bouger.
- À oui, qui dit ça ?
- Tu es aveugle ou quoi.
Serena reconnu Marie-Louise. Lorsqu'il se rendirent contre à qui ils parlaient, leur visage changea brusquement.
- Désolé commandant, on ne vous avait pas reconnu à la peine ombre. On promet que ça ne se reproduira pas.
- Vous êtes mieux. Et trois heures de corver d'épluchage pour chacun. Et vous ferez la vaisselle pour avoir répondue à un supérieur. Aller au boulot.
- Bien commandant.
Félicité se retourna pour voir comment allait Serena. Serena se releva et regarda Félicité abasourdit.
- Marie-Louise, c'est toi ?
- Oui, qui espérais-tu voir ? Gaddes ?
- Qu'est-ce qui t'est arriver ?
- Oh ! Rien de spécial. J'ai appris que j'étais une princesse, que je possède la clé de Minerva et que je veux détruire Asturia. Le traintrain habituel quoi. Et que s'est-il passer d'intéressant de ton bord
- Rien du tout. Merle était sûr que tu es morte.
- Donc rien d'important quoi.
- Oui c'est ça. Mais toi, raconte-moi tout.
- Oui mais avant, viens dans ma tente et on parlera après. Plus tard dans la tente
Alors, comment prends-tu le fait d'être une princesse ?
---------------------------------------------------------------------------- ------------------------------
- Mal, tu ne peux rien faire, tout le monde t'obéit au doigt et a l'?il, mon frère veut détruire avec Minerva ou quelque chose du genre, Asturia, c'est moi seul qui peut le faire fonctionner et je m'ennuie à en mourir. Je préférais être dans mon cours de français qu'ici. C'est à peine si j'ai le droit de respirer tellement c'est stupide leur règle. Heureusement que je suis bonne lame.
- Qu'est-ce que tu veux dire «heureusement que je suis bonne lame » ?
- Si je ne l'avais pas été, je crois que mon frère m'aurait enfermé avec tous ses trésors. Mais, il essaie de me faire plaisir pour être sûr que je ne m'enfuis pas.
- Sûrement. Mais, qu'est-ce que c'est Minerva ?
- C'est le légendaire gameilaf noir, on raconte que c'est la partit noir d'Escaflowne puisque leurs pouvoirs sont égaux. Minerva n'apparaissait que pour protéger le peuple. Une fois, il s'est battu contre Escaflowne et le combat et rester inachevé. C'était mon arrière-grand-tante qui le possédait mais elle ne s'est jamais mariée donc, c'est moi son héritière. Mais, je ne crois pas que se soit vraiment moi. J'ai comme un pressentiment que tout le monde se trompe de personne. Pourtant, toutes les preuves concordent, je suis Félicité Mirande. Mais, même si je sais cela, j'ai quand même un doute.
Félicité resta silencieuse un moment. Serena la regarda bizarrement. Puis, un bruit de pas se fit entendre.
- Vite, Serena cache-toi.
Serena se cachât derrière un paravent. Allen apparut derrière l'ouverture qui servait de porte. Félicité fut surprise de le voir là, elle s'attendait à voir apparaître son frère ou l'un de ses soldats mais sûrement pas Allen Schezar.
- Puis-je vous aider Monsieur ?
- Oui, je cherche ma s?ur, Gaddes m'a dit qu'elle projetait de venir vous voir.
- Non, je ne l'ai pas vu mais je vais demander aux gardes s'ils l'ont vu. Cela ne va prendre que quelques secondes. Attendez-moi là.
Félicité sortit laissant Allen seul dans la tente. Elle revint quelques minutes plus tard.
- Un des gardes a vu une forme se déplacer vers la forêt. Si je la vois, je dirais que vous la cherchez. Aurevoir Commandant Schezar.
- Aurevoir Commandant Mirande.
Félicité attendit qu'Allen soit partit pour dire à Serena de sortir de derrière le paravent.
- Tu devrais partir au fort tout de suite, ton frère a l'air vraiment inquiet et je crois que Gaddes va avoir des problèmes.
- Tu as raisons et il va en avoir et un gros aussi. Serena serra dans ses bras Félicité. Tu m'as manqué, je suis contente de t'avoir revue.
- Moi aussi.
- Aurevoir Félie.
- Félie, ça sonne mieux que Félicité en fin de compte. Aurevoir Serena, peut-être a demain.
Félicité sourit et regardât Selena partir.
- Bon, maintenant au boulot, si un jour je reviens sur terre, je ne crois pas que mon prof de math va croire mon excuse pour mon devoir non-fait.
Félicité se rassit devants son bureau et continuât à travailler.
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2 jours plus tard, Allen escorta le prince et sa s?ur jusqu'à Pallas
( Gaddes était resté au fort pour le surveiller.)
- Nous y voilà prince, dit-il. Pallas capital d'Asturia.
- Woaw, que c'est beau, dit Félicité, je n'aurai jamais imaginer que ça serai aussi grand.
Félicité semblait émerveiller devant le paysage sous ses pieds.
- Nous allons bientôt arriver, tu devrais aller te changer Félicité.
- Sûrement, j'y vais à l'instant.
Félicité sortit de la salle, laissant les deux hommes seuls.
- Monsieur Schezar, j'aimerais vous remercier de vous être occuper de ma s?ur et vous préciser qu'avant son enlèvement, elle ne savait rien de son passé.
- Pourquoi me dites-vous cela ?
- Parce que vous allier vous faire de fausse idée sur ma s?ur. Elle a besoins d'amis et me parlait quelque fois de votre s?ur et vous, aussi d'une certaine Merle. Je sais que ses amis lui ont manqué et je ne voulais pas que le fait qu'elle soit votre ennemie brise votre amitié.
Allen fut surpris de voir que le prince faire un discours aussi sensé. Félicité aussi ! Elle avait entendu le discours entre les deux hommes. Plutôt fâché que son frère se mêle de ses affaires, elle était aussi reconnaissante de lui facilité un peu les choses. Elle revint un peu plus tard vêtu d'une robe blanche aux coutures bleues, aux épaules nu, des manchettes aux poignets et un col. Elle avait les cheveux relever en une queue de cheval. Elle était tout à fait resplendissant ! Se dit Allen.
- Est-ce que c'est mieux ? Demanda-t-elle à son frère.
- On dirait un ange, c'est parfait. Quant dites vous messieurs Allen.
- C'est joli.
Félicité était surexcité, on lui avait dit que Pallas était une vraie beauté.
- Nous sommes arriver au palais.
Il descendirent du crusade et partirent rencontrer le roi.
---------------------------------------------------------------------------- ------------------------------
Félicité attendait à l'extérieur de la salle des conseillers ou le roi et son frère discutaient depuis des heures. Même Van Fanel était venu pour la rencontre. Elle était heureuse de revoir Hitomi et Merle. Félicité attendait toujours que son frère la convoque, elle était tout de même son meilleur commandant. Félicité fixait la porte lorsqu'un domestique l'ouvrit. L'assembler était finit.
- Et puis ? Demanda-t-elle à son frère. Que se passe-t-il ?
- Ils vont organiser un combat entre mon meilleur combattant c'est à dire toi et leur meilleur.
- Ce sera qui ?
- Je n'en sais rien.
Nathan raccompagna sa s?ur jusqu'à sa chambre.
- Repose-toi un peu, tu as l'air exténuer.
- Non, je vais bien. Et puis, l'entraînement est dans bien tôt.
- Il est dans deux heures, tu as bien le temps de faire une sieste.
- Je te dis que non.
Nathan savait que sa s?ur dormait mal ces temps-ci.
- Bonne nuit.
- Mais...
Nathan était partit et Félicité alla s'étendre.
« Je me demande qui va être leur champion ? Sûrement un excellent chevalier, baille, je devrais beaucoup me pratiquer... »
Félicité s'endormit sur ses mots et fit un drôle de rêve.
« Où suis-je ? Je dois sûrement rêver. Quel endroit bizarre ! »
L'endroit était vieux et désert. Il y avait des toiles d'araignée partout et des genres de rat se promenaient partout. Félicité avança vers un endroit ou il y avait de la lumière. Un homme se tenait devant une machine, une sorte de sphère avec un anneau.
- Vous ! Dit-elle en reconnaissant l'homme qui lui avait donner son collier. Vous êtes Dornkirk, c'est ça ?
- Et oui, et bientôt grâce à vous, Gaea sera détruit.
- Grâce à moi ? Comment ça ?
Félicité se réveilla en hurlant et sueur de se rêve avec un étrange pressentiment.
« Ce rêve, je l'ai déjà fait, j'ai déjà vu ce décor mais ou ? »
Félicité s'assit sur le bord du lit et réfléchit.
- Commandant, on vous attend pour l'entraînement.
- J'arrive.
Félicité se leva et ramassa son épée. En chemin, et aperçut Allen parler avec quelqu'un, une jeune femme enceinte. Ces yeux étaient imprégnés de mélancolie.
- Bonjour, dit la jeune femme. Vous devez être la princesse Félicité Mirande ? Je suis Miriana, reine d'Asturia.
- Enchanté, dit Félicité dans une révérence.
- Connaissez vous le commandant Mirande ? Sûrement l'un de vos frères mais je pensais que vous n'en aviez qu'un pourtant ce n'est pas Nathan.
- Je suis le Commandant Mirande.
- Oh ! C'est plutôt inhabituel, veuillez m'excuser.
- C'est normal, mais je dois vous quitter, l'entraînement commence bientôt. Aurevoir Majesté, Aurevoir Commandant Schezar.
Félicité partit de se pas plutôt pensive. Allen n'avait dit pas un seul mot et ça l'énervait.
« Il aurait pus au moins dire bonjours, ce gars là est vraiment impoli. Non mais ! .»
Lors de l'entraînement, Félicité défoulait sa frustration dans le combat.
- Le commandant est de mauvais poil, ce n'est pas bon signe.
- Crois-tu que ses... tu sais, quand une femme quelques fois...
- Non, elle a plus l'air contrarier contre quelqu'un, dit un autre.
- Je n'aimerais surtout pas être à sa place.
Ils rirent tous aux éclats.
- Vous autre, dit Félicité. Au travail sinon...
- Oui mon commandant, dirent-ils tous en c?ur.
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Le soir même, Félicité s'allongea sur son lit. À peine eut-elle fermé les yeux qu'elle se mit à rêver. Toujours le même décor, la même odeur de pourrie. Elle avançait vers l'endroit illuminer.
- Je veux savoir, dit-elle sur un ton déterminer. Comment vais-je vous aider à détruire Gaea ?
- Tu le sauras bien assez tôt.
- Puisque vous ne voulez pas me le dire, dites-moi franchement qui je suis.
Dornkirk la regarda étonner.
« Ce doutait-elle ? Non, c'est impossible. »
- Choisissez : ou vous me dites comment vous aller détruire Gaea ou vous me dites qui je suis réellement.
- Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Je ne suis pas Félicité Mirande. Je veux savoir qui je suis, hurla-t- elle.
- Tu as raison, tu n'es pas Félicité mais jamais je ne te dirait qui tu es.
Dornkirk rit d'un rire cynique presque diabolique qui fit trembler la pièce. Félicité se réveilla encore une foi apeurée de ce cauchemar. Elle se mit à pleure comme elle ne l'avait jamais fait. Elle détestait pleurer, c'était un signe de faiblesse qu'elle détestait montrer. Elle se cachait toujours pour pleurer ou allait voir Olly.
- J'en peux pus, sniff, je veux rentrer chez moi mais c'est ou chez moi. Si au moins, resniff, Olly était là.
Félicité regarda la lune et la lune des illusions sans savoir que se seraient l'une des dernières fois.
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NDA : Et oui, c'est déjà la fin de la 3e partie. Elle est bien plus longue que les deux autres (ca pris tellement temps à écrire que j'ai presque plus d'idée) Mais bien meilleurs (là chus pro) revenez lire le restes ! ( y'en reste pus que 2 ou 3 )
«Le retour de Minerva »
Serena était revenue quelques temps après mais elle ne savait pas ce qu'était devenue Marie-Louise, elles étaient toutes les deux dans des cellules séparées mais elle avait entendu parler des retrouvailles d'une princesse. Dryden, le roi d'Asturia, ne savait pas qui pouvait lui en vouloir jusqu'à ce qu'un jour.
Dryden avait convoquer Allen à Pallas, mais il ne savait pas pourquoi. Lorsqu'il entra dans la salle royale, le roi lui racontât cette histoire.
- Il y a longtemps, lorsque l'ancien roi était au pouvoir, un jeune roi déclara la guerre a Asturia. Le roi les vainquirent mais, tua par erreur la jeune reine et l'enfant qu'elle portait en elle. Le roi jurât de se venger et qu'ils reviendraient avec Minerva, le légendaire gameilaf noir. Ce sont eux qui ont attaqué Asturia et enlever votre pupille.
- Comment le savez-vous ?
- Ils m'ont fait savoir qu'ils étaient derrière tout cela. Ils viennent demain avec la demoiselle. Je les ai convoqués pour parler d'une paix prochaine. Je vous demande de bien les accueillir et de ne pas chercher querelle, et c'est un ordre.
- Bien votre altesse, tout serra fait selon votre désir.
- Vous pouvez vous retirer Allen Schezar.
En chemin, Allen recontra Miriana par hasard. Miriana avait bien changer, elle attendait son premier enfant et avait l'air si heureuse.
- Allen, je ne savais pas que tu étais là, sinon je serai venu te voir plutôt.
- Dryden m'avait convoquer ce matin, mais je dois partir à l'instant. Aurevoir majesté.
- Aurevoir Allen.
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Quelques jours plus tard, on vit au loin un convoi de bateau volant.
- Oyer, ici le roi de Miranda, nous voulons rencontrer le dénommé Allen Schezar. Ouvrez les portes.
Gaddes couru prévenir Allen que les émissaires étaient arriver.
- Fais les entrer, je les attends dans la grande salle.
- Bien boss.
Quelques secondes plus tard, Allen vit rentrer un Homme au cheveu noir suivit d'une jeune fille voilée d'où échappaient quelques mèches blanches.
- Bienvenue, vous êtes ?
- Le prince de Miranda, Nathan Rini Mirande et voici ma s?ur, Commandant Félicité Mirande.
- Enchantés de vous rencontrer, je suis Allen Schezar, chevalier d'Asturia, a votre service. J'aimerais vous entretenir à propos de ma pupille Marie- Louise qui a été enlevé sous vos ordres.
- Nuls besoins dans parler, elle va très bien, dit-il en passent son bras autour de la jeune femme. Mais vous pouvez le constater par vous-même.
Nathan enleva le voile de la jeune femme. Il tomba sur le sol en dévoilant le visage de Marie-Louise. Elle avait certes peu changer mais, on pouvait lire une gêne dans son regard.
Félicité regardait le sol gêner. Elle ne savait pas comment agir devant Allen.
« Il doit croire que je suis une espionne. Il doit m'en vouloir. »
Allen ne savait pas comment réagir de son côté.
- Que veut dire tout cela, demanda-t-il à Félicité.
- Euh... bien, il parait que j'ai disparue lorsque j'étais enfant, que mon frère a utiliser une machine de Dornkirk pour que je revienne et que je suis une princesse. Mais, est-ce que vous m'en voulez Allen Schezar. Si oui, je m'excuse.
Félicité regardait de nouveau le sol plus rouge que tout à l'heure. Allen ne dit pas un mot a Félicité durant le reste de l'entretien. Nathan installa les tentes a l'extérieur du fort. Ils partirent une heure plus tard a leur campement.
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Le soir même, Serena alla au campement en secret voir Marie-Louise ou Félicité. Elle ne savait plus vraiment comment l'appeler.
- Regarde, on dirait qu'on a de la visite, dit un garde.
- Oui, et de la très jolie. Dit un autre
- Viens donner un bisou beauté, en répliqua un troisième.
Serena était terrifié lorsque quelqu'un arriva.
- Vous la toucher et vous êtes sûr de ne plus pouvoir bouger.
- À oui, qui dit ça ?
- Tu es aveugle ou quoi.
Serena reconnu Marie-Louise. Lorsqu'il se rendirent contre à qui ils parlaient, leur visage changea brusquement.
- Désolé commandant, on ne vous avait pas reconnu à la peine ombre. On promet que ça ne se reproduira pas.
- Vous êtes mieux. Et trois heures de corver d'épluchage pour chacun. Et vous ferez la vaisselle pour avoir répondue à un supérieur. Aller au boulot.
- Bien commandant.
Félicité se retourna pour voir comment allait Serena. Serena se releva et regarda Félicité abasourdit.
- Marie-Louise, c'est toi ?
- Oui, qui espérais-tu voir ? Gaddes ?
- Qu'est-ce qui t'est arriver ?
- Oh ! Rien de spécial. J'ai appris que j'étais une princesse, que je possède la clé de Minerva et que je veux détruire Asturia. Le traintrain habituel quoi. Et que s'est-il passer d'intéressant de ton bord
- Rien du tout. Merle était sûr que tu es morte.
- Donc rien d'important quoi.
- Oui c'est ça. Mais toi, raconte-moi tout.
- Oui mais avant, viens dans ma tente et on parlera après. Plus tard dans la tente
Alors, comment prends-tu le fait d'être une princesse ?
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- Mal, tu ne peux rien faire, tout le monde t'obéit au doigt et a l'?il, mon frère veut détruire avec Minerva ou quelque chose du genre, Asturia, c'est moi seul qui peut le faire fonctionner et je m'ennuie à en mourir. Je préférais être dans mon cours de français qu'ici. C'est à peine si j'ai le droit de respirer tellement c'est stupide leur règle. Heureusement que je suis bonne lame.
- Qu'est-ce que tu veux dire «heureusement que je suis bonne lame » ?
- Si je ne l'avais pas été, je crois que mon frère m'aurait enfermé avec tous ses trésors. Mais, il essaie de me faire plaisir pour être sûr que je ne m'enfuis pas.
- Sûrement. Mais, qu'est-ce que c'est Minerva ?
- C'est le légendaire gameilaf noir, on raconte que c'est la partit noir d'Escaflowne puisque leurs pouvoirs sont égaux. Minerva n'apparaissait que pour protéger le peuple. Une fois, il s'est battu contre Escaflowne et le combat et rester inachevé. C'était mon arrière-grand-tante qui le possédait mais elle ne s'est jamais mariée donc, c'est moi son héritière. Mais, je ne crois pas que se soit vraiment moi. J'ai comme un pressentiment que tout le monde se trompe de personne. Pourtant, toutes les preuves concordent, je suis Félicité Mirande. Mais, même si je sais cela, j'ai quand même un doute.
Félicité resta silencieuse un moment. Serena la regarda bizarrement. Puis, un bruit de pas se fit entendre.
- Vite, Serena cache-toi.
Serena se cachât derrière un paravent. Allen apparut derrière l'ouverture qui servait de porte. Félicité fut surprise de le voir là, elle s'attendait à voir apparaître son frère ou l'un de ses soldats mais sûrement pas Allen Schezar.
- Puis-je vous aider Monsieur ?
- Oui, je cherche ma s?ur, Gaddes m'a dit qu'elle projetait de venir vous voir.
- Non, je ne l'ai pas vu mais je vais demander aux gardes s'ils l'ont vu. Cela ne va prendre que quelques secondes. Attendez-moi là.
Félicité sortit laissant Allen seul dans la tente. Elle revint quelques minutes plus tard.
- Un des gardes a vu une forme se déplacer vers la forêt. Si je la vois, je dirais que vous la cherchez. Aurevoir Commandant Schezar.
- Aurevoir Commandant Mirande.
Félicité attendit qu'Allen soit partit pour dire à Serena de sortir de derrière le paravent.
- Tu devrais partir au fort tout de suite, ton frère a l'air vraiment inquiet et je crois que Gaddes va avoir des problèmes.
- Tu as raisons et il va en avoir et un gros aussi. Serena serra dans ses bras Félicité. Tu m'as manqué, je suis contente de t'avoir revue.
- Moi aussi.
- Aurevoir Félie.
- Félie, ça sonne mieux que Félicité en fin de compte. Aurevoir Serena, peut-être a demain.
Félicité sourit et regardât Selena partir.
- Bon, maintenant au boulot, si un jour je reviens sur terre, je ne crois pas que mon prof de math va croire mon excuse pour mon devoir non-fait.
Félicité se rassit devants son bureau et continuât à travailler.
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2 jours plus tard, Allen escorta le prince et sa s?ur jusqu'à Pallas
( Gaddes était resté au fort pour le surveiller.)
- Nous y voilà prince, dit-il. Pallas capital d'Asturia.
- Woaw, que c'est beau, dit Félicité, je n'aurai jamais imaginer que ça serai aussi grand.
Félicité semblait émerveiller devant le paysage sous ses pieds.
- Nous allons bientôt arriver, tu devrais aller te changer Félicité.
- Sûrement, j'y vais à l'instant.
Félicité sortit de la salle, laissant les deux hommes seuls.
- Monsieur Schezar, j'aimerais vous remercier de vous être occuper de ma s?ur et vous préciser qu'avant son enlèvement, elle ne savait rien de son passé.
- Pourquoi me dites-vous cela ?
- Parce que vous allier vous faire de fausse idée sur ma s?ur. Elle a besoins d'amis et me parlait quelque fois de votre s?ur et vous, aussi d'une certaine Merle. Je sais que ses amis lui ont manqué et je ne voulais pas que le fait qu'elle soit votre ennemie brise votre amitié.
Allen fut surpris de voir que le prince faire un discours aussi sensé. Félicité aussi ! Elle avait entendu le discours entre les deux hommes. Plutôt fâché que son frère se mêle de ses affaires, elle était aussi reconnaissante de lui facilité un peu les choses. Elle revint un peu plus tard vêtu d'une robe blanche aux coutures bleues, aux épaules nu, des manchettes aux poignets et un col. Elle avait les cheveux relever en une queue de cheval. Elle était tout à fait resplendissant ! Se dit Allen.
- Est-ce que c'est mieux ? Demanda-t-elle à son frère.
- On dirait un ange, c'est parfait. Quant dites vous messieurs Allen.
- C'est joli.
Félicité était surexcité, on lui avait dit que Pallas était une vraie beauté.
- Nous sommes arriver au palais.
Il descendirent du crusade et partirent rencontrer le roi.
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Félicité attendait à l'extérieur de la salle des conseillers ou le roi et son frère discutaient depuis des heures. Même Van Fanel était venu pour la rencontre. Elle était heureuse de revoir Hitomi et Merle. Félicité attendait toujours que son frère la convoque, elle était tout de même son meilleur commandant. Félicité fixait la porte lorsqu'un domestique l'ouvrit. L'assembler était finit.
- Et puis ? Demanda-t-elle à son frère. Que se passe-t-il ?
- Ils vont organiser un combat entre mon meilleur combattant c'est à dire toi et leur meilleur.
- Ce sera qui ?
- Je n'en sais rien.
Nathan raccompagna sa s?ur jusqu'à sa chambre.
- Repose-toi un peu, tu as l'air exténuer.
- Non, je vais bien. Et puis, l'entraînement est dans bien tôt.
- Il est dans deux heures, tu as bien le temps de faire une sieste.
- Je te dis que non.
Nathan savait que sa s?ur dormait mal ces temps-ci.
- Bonne nuit.
- Mais...
Nathan était partit et Félicité alla s'étendre.
« Je me demande qui va être leur champion ? Sûrement un excellent chevalier, baille, je devrais beaucoup me pratiquer... »
Félicité s'endormit sur ses mots et fit un drôle de rêve.
« Où suis-je ? Je dois sûrement rêver. Quel endroit bizarre ! »
L'endroit était vieux et désert. Il y avait des toiles d'araignée partout et des genres de rat se promenaient partout. Félicité avança vers un endroit ou il y avait de la lumière. Un homme se tenait devant une machine, une sorte de sphère avec un anneau.
- Vous ! Dit-elle en reconnaissant l'homme qui lui avait donner son collier. Vous êtes Dornkirk, c'est ça ?
- Et oui, et bientôt grâce à vous, Gaea sera détruit.
- Grâce à moi ? Comment ça ?
Félicité se réveilla en hurlant et sueur de se rêve avec un étrange pressentiment.
« Ce rêve, je l'ai déjà fait, j'ai déjà vu ce décor mais ou ? »
Félicité s'assit sur le bord du lit et réfléchit.
- Commandant, on vous attend pour l'entraînement.
- J'arrive.
Félicité se leva et ramassa son épée. En chemin, et aperçut Allen parler avec quelqu'un, une jeune femme enceinte. Ces yeux étaient imprégnés de mélancolie.
- Bonjour, dit la jeune femme. Vous devez être la princesse Félicité Mirande ? Je suis Miriana, reine d'Asturia.
- Enchanté, dit Félicité dans une révérence.
- Connaissez vous le commandant Mirande ? Sûrement l'un de vos frères mais je pensais que vous n'en aviez qu'un pourtant ce n'est pas Nathan.
- Je suis le Commandant Mirande.
- Oh ! C'est plutôt inhabituel, veuillez m'excuser.
- C'est normal, mais je dois vous quitter, l'entraînement commence bientôt. Aurevoir Majesté, Aurevoir Commandant Schezar.
Félicité partit de se pas plutôt pensive. Allen n'avait dit pas un seul mot et ça l'énervait.
« Il aurait pus au moins dire bonjours, ce gars là est vraiment impoli. Non mais ! .»
Lors de l'entraînement, Félicité défoulait sa frustration dans le combat.
- Le commandant est de mauvais poil, ce n'est pas bon signe.
- Crois-tu que ses... tu sais, quand une femme quelques fois...
- Non, elle a plus l'air contrarier contre quelqu'un, dit un autre.
- Je n'aimerais surtout pas être à sa place.
Ils rirent tous aux éclats.
- Vous autre, dit Félicité. Au travail sinon...
- Oui mon commandant, dirent-ils tous en c?ur.
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Le soir même, Félicité s'allongea sur son lit. À peine eut-elle fermé les yeux qu'elle se mit à rêver. Toujours le même décor, la même odeur de pourrie. Elle avançait vers l'endroit illuminer.
- Je veux savoir, dit-elle sur un ton déterminer. Comment vais-je vous aider à détruire Gaea ?
- Tu le sauras bien assez tôt.
- Puisque vous ne voulez pas me le dire, dites-moi franchement qui je suis.
Dornkirk la regarda étonner.
« Ce doutait-elle ? Non, c'est impossible. »
- Choisissez : ou vous me dites comment vous aller détruire Gaea ou vous me dites qui je suis réellement.
- Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Je ne suis pas Félicité Mirande. Je veux savoir qui je suis, hurla-t- elle.
- Tu as raison, tu n'es pas Félicité mais jamais je ne te dirait qui tu es.
Dornkirk rit d'un rire cynique presque diabolique qui fit trembler la pièce. Félicité se réveilla encore une foi apeurée de ce cauchemar. Elle se mit à pleure comme elle ne l'avait jamais fait. Elle détestait pleurer, c'était un signe de faiblesse qu'elle détestait montrer. Elle se cachait toujours pour pleurer ou allait voir Olly.
- J'en peux pus, sniff, je veux rentrer chez moi mais c'est ou chez moi. Si au moins, resniff, Olly était là.
Félicité regarda la lune et la lune des illusions sans savoir que se seraient l'une des dernières fois.
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NDA : Et oui, c'est déjà la fin de la 3e partie. Elle est bien plus longue que les deux autres (ca pris tellement temps à écrire que j'ai presque plus d'idée) Mais bien meilleurs (là chus pro) revenez lire le restes ! ( y'en reste pus que 2 ou 3 )
