SUSAN

J'attendais devant la salle de réunion depuis un bout de temps et pas de signes de carter. On ne s'était pas vraiment donné RDV à un endroit précis. Je pris mon sac quand je le vis arriver.

CARTER

Bon il venait tout juste de me laisser partir et je savais que Susan devait m'attendre. Je la vis lui fit signe de s'approcher.

- je suis désolé du retard.

- c'est pas grave je n'attends pas depuis si longtemps.

Je savais qu'elle mentait mais dans qu'elle bute je ne le savais pas encore.

SUSAN

On s'assit sur une banquette libre. C'était le premier resto qu'on avait trouvé. Et j'avais très faim, voir des cas d'urgences ne m'avais en aucun cas coupé l'appétit.

- Alors que faisais tu à la Pitier ?

- Un suivi de patient

- Alors que tu ne travailles même pas au County Tu travailles à la Pitier! Tu cherche du travail ?

- Non, qu'es ce que je chercherai comme boulot au service neuro ?

- c'est vrai. Pourquoi Weawer t'ont enlever tes gardes ?

- Parce que je lui ai demandé.

- Tu ne vas pas me dire pourquoi ?

Il secoua la tête, au moins c'était clair.

- On commande ?

Au cour du déjeuné on ne parla ni de la Pitier ni d'Abby. Je remarqua son manque d'appétit, et son impatience, il regardait sa montre toutes les 10 minutes.

- Quand reprend la conférence ?

- Vers 2 heures.

- Tu veux que je te raccompagne ?

- Tu as encore quelque chose a faire à la Piter ?

- Oui.

Il ne me donna pas plus d'information

ABBY

Bientôt 16 h.. je vais bientôt pouvoir partir. Je ne me souviens pas avoir tellement quitter l'hôpital. Je finissais par faire le pansement de madame Frogs. Elle me regarda et dit :

- vous voulez rentrez et profiter de votre famille n'est ce pas ?

- Je vie seule mais cela ne m'empêche pas de vouloir rentrer

La vieille femme me regarda de plus triste pour dire.

- Ho cela est vraiment triste aussi jolie femme que vous toute seule ...

Je finis son pansement et lui fit un sourit avant de quitter la pièce. Je ne savais pas si elle avait remonté ou abaissé mon moral.

CARTER

Je m'appela un taxi, mes examens ne me permettaient pas de rentrer autrement. Je rentra dans le taxi et hésita un peu sur l'adresse. J'étais devant sa porte ne sachant pas si je devais utiliser mes clés ou frapper. Je frappa, mais personne ne venu me répondre. Je savais pas si cela me faisait plaisir de pas me retrouver face à face avec elle surtout que je devais pas avoir une plus belle tête que celle que j'avais la dernière fois. J'ouvris la porte.

- Abby ?

Aucune réponses, je me dirigea vers la chambre là où j'avais lasser affaires, mes bouquins médicaux, mon portable et d'autres choses sans grandes importances.

Mais dans la chambre, mon souffle coupa, elle était endormis dans le lit paisiblement. Il me semblait déjà une éternité depuis la dernière fois que je l'avais vue. Je prit mon portable sur la commode juste a coté de sa tête.

Je n'allais pas la réveiller. Je pris tout ce qui était à moi et le mit dans mon grand sac de sport qui se trouvé toujours a coté de l'armoire, je m'en étais servi pour ramener quelque affaires... et chaque semaine toujours plus... Je ne pense pas qu'un jour je veuille lui dire. Je ne sais pas si c'était pour la protéger ou pour me venger du faite qu'elle croyait que je me droguais et que je lui laissai croire ça et même le dire aux autres si ça lui faisait plaisir, Weawer savait la vérité, pour moi c'était déjà ça.

Et plus j'y réfléchissais plus je me disais qu'elle avait eu peur que je l'avais lu dans ses yeux. Que les symptômes ressemblais en tous points a ce d'un état de manque. Mais cela me faisais mal qu'elle croit de suite ça, qu'elle saute à la conclusion.

Je la regarda une dernière fois avant de partir de la chambre. Posa les clés sur la table et mit un mots.

« Je ne voulais pas te réveiller, j'ai prit des affaires et je te laisse tes clés.

John »

Et repartis sans refaire un bruit.

ABBY

Je me leva complètement naze, j'avais dormi 6h, j'avais de nouveau faim. Je crois qu'il était temps de ne plus me voiler la face. J'alla me rincer le visage dans la salle de bain puis me dirigea vers le calendrier de la cuisine. Bien évidement mes soupçons étaient justes... j'avais presque 3 semaines de retard. Je me retourna et vu le mot.