CARTER.
J'étais le plus bel enfoiré que la Terre n'est jamais portée. Je refusais d'autant plus qu'elle ne me voit comme ça en étant enceinte. Je m'assis et commençai à réfléchir et à me dire que j'allais vivre tout ça seul. Et qu'elle ne devait pas vivre ça toute seule. Elle portait mon fils, dans 5 mois j'allai devenir père. J'avais imaginé ça de nombreuse fois mais ça ne s'était jamais déroulé comme ça dans ma tête.
SUSAN
- Carter t'es où ?
- ici
il était allongé sur le canapé.
- tu ne m'as pas entendu entrer ?
- non je n'ai pas prêté attention.
- alors tu me racontes ?
- je me suis fais le film de notre discution des dizaine de fois sans jamais savoir pourquoi j'avais réagi comme ça. Elle est enceinte. Le seul truc qu'elle me demandait, était de la soutenir. Et moi je n'ai fait que l'enfoncer davantage. J'ai rêvé de cette discution mais celle-ci n'a même pas put frôler mon imagination.
- tu veux me dire que t'as tout foiré
- absolument tout. Rend moi un service Susan.
- quoi ?
- fous moi une claque !
- quoi ???
- c'est tout ce que je mérite.
- vous avez parlé du bébé ?
- oui est de son fabuleux destin aussi.
- carter tu as des chances d'être encore là pour sa naissance. Cà n'est que dans 5 mois.
- et la vie de mon enfant s'arrêtera là ?
- tu lui as dit quoi ?
- que je ne voulais rien savoir et qu'il valait mieux comme ça.
- tu lui a dit que tu souffres ?
- je lui ai dit que j'étais malade.
- je vais lui dire que tu délirais !
- je veux qu'elle sorte, qu'elle trouve quelqu'un d'autre. et s'il fallait que je sois un gros salaud pour qu'elle comprenne ça, j'ai été enchanté de le faire.
- elle va croire que tu te fiches du bébé.
- je l'aime déjà cet enfant, j'aurais voulu être là pour lui mais ça ne sera pas le cas. Je ne serai qu'un boulé pour elle.
- un boulé malade et qui veux finir ses jours sans personne avec une ex qu'il aime toujours et qui le prend pour un enfoiré. Un gosse qui dira que son beau-père est beaucoup mieux que son vrai père vu que lui ne les abandonne pas !
- ça me convient.
Elle s'approcha et me donna une claque.
- tu me la demandais, maintenant tu la mérites.
- c'est tout ce que je demandais.
1 mois plus tard.
SUSAN
J'avais fini, je remplissais les derniers dossiers avant de partir. Abby arriva accompagnée d'un homme séduisant qui semblait apprécier sa compagnie.
- je te laisse ça ma fait plaisir de t'accompagner. Tu finis quand ?
- vers 19h mais c'est pas la peine de venir, je peux rentrer toute seule.
- si j'insiste, je viendrais.
Il se pencha vers elle et lui donna un baiser sur la joue. Je voyais qu'il mourrait d'envie d'en faire beaucoup plus. Il partit. Elle se dirigea vers moi et s'assit sur la chaise la plus proche se servant d'une autre pour y mettre ses pieds.
- c'était qui ?
- Michael mon voisin, nouveau voisin.. Mignon hein ?
- oui pas mal. Tu sors avec lui ?
- tu sais sortir dans mon état, c'est bien dur. Mais si je le voulais, je pense qu'il accepterait. En plus il ne voit aucun inconvénient à ma grossesse. Il adore les gosses.
- il en a ?
- oui un petit garçon de 4 ans.
- tu cherches un petit ami ou un père pour ton fils ?
- je peux faire d'une pierre 2 coups.
- oui tu peux.
- qu'est ce qu'il y a ? je croyais que tu allais me dire que ce n'était pas bien !
- pourquoi ça le serai ?
- c'est Carter le père blabla... Je pensais que serais plus ou moins dans cet état d'esprit.
- je ne me mêlerais pas de ce qui me concerne pas.
- t'as bien raison.
- je doit y aller, bon service abby bye.
-bye.
CARTER
C'était flou. Je me remis en tête que j'étais chez moi, on devait être l'après midi, mais je ne suis pas dans mon lit. où suis-je ? Il faut que j'essaie d'ouvrir mes yeux. Je n'y arrive pas, ma tête tourne. Je vais respirer fort et tout ira mieux.
- Carter ? qu'est ce qui s'est passé ? tu m'entends ?
j'ouvris enfin les yeux, les secousses que m'infligait Susan avaient réussi à me faire, faire ce que j'essayais depuis 30 minutes. J'était sur le sol de ma chambre.
- Susan ?
- que fais-tu par terre, tu es tombé ? t'as eu un malaise ?
- je ne me souviens pas.
- c'est pas grave, viens, je t'aide à te mettre au lit.
Elle m'aida à me relever et m'appuya sur ces épaules. Elle me fit enlever mon tee-shirt mouillé de transpiration et m'en donna un autre moins.
- tu as pris tes médicaments ?
- je n'arrive pas à m'en souvenir.
- je vais les compter pour voir. Reste bien allongé et tout ira mieux.
Elle revint, me toucha le front et me tendit une gélule et un verre d'eau.
SUSAN
Il s'était endormi et avait une fièvre carabinée. Il semblait dormir très mal. Il poussait quelques soupirs et quelques mots. Je regardai ma montre, il était 17 heures. Ça faisait 4 heures que j'était là et que j'essayais de me faire croire que ça allait mieux qu'avant. Mais ça n'était pas la cas. Il respirait mal, et commençait à convulser. Il fallait que je reste calme. Mais je n'avais pas réussi à le faire, je pris le téléphone et appelai les ambulanciers. J'allai le rejoindre, il avait envi de vomir, je le mis sur le coté et c'est ce qu'il fit. J'essayais de le calmer sachant que l'intubation serait la meilleure solution. Les ambulanciers arrivèrent.
- il faut absolument l'intuber, il est fiévreux et a commencé à convulser il y a 5 minutes mais il vient de se calmer.
-ok
ils firent tout ce qu'ils jugèrent bon de faire et décidèrent de le ramener au County.
- il suit un traitement à la Pitié.
- oui mais son état ne permet pas 5 pâtés de maison en plus.
ABBY.
Chuny me tendit les gants, et dit :
- une ambulance arrivent !
-merci !
-tu semblais t'ennuyer et que tu manquais d'action. Alors te voilà servi.
J'allai au parking des ambulances. Je vis Susan descendre de l'ambulance. Pratt me regarda vite fait, et d'un drôle d'air.
- homme de 33 ans, John Carter, crise du à son état neuro. Il est fiévreux, déshydraté. Il a convulsé, il est intubé, constante stable mais inquiétante.
Susan me regarda et secoua la tête.
- c'est pas la peine Abby je vais demander à quelqu'un d'autre de s'en charger.
J'aurai voulu protester mais je n'y arrivais pas. Je restai tétanisée. Je regardai le brancard et je le vis pale et inconscient. On le mit en trauma 1.
- Chuny tu veux venir nous aider.
- bien sûr.
Je restai tout de même. Et je suis restée comme ça près de lui près d'1 heure. Et après tout ce temps qui me parut extrêmement long, il ouvrit les yeux.
- Susan il se réveille.
Elle vint me rejoindre, s'approcha de lui alors que moi je restai en retrait.
- n'essaie pas de parler, on t'a intubé. Je vais te le retirer, alors respire un bon coup.
Et elle le lui retira.
- Ca va ?
il secoua légèrement la tête.
- où je suis ?
il ne m'avait pas remarqué, je décidai de partir avant que ça ne soit le cas.
encore une fois merci à Audrey pour ses encouragements et pour sa correction.
J'étais le plus bel enfoiré que la Terre n'est jamais portée. Je refusais d'autant plus qu'elle ne me voit comme ça en étant enceinte. Je m'assis et commençai à réfléchir et à me dire que j'allais vivre tout ça seul. Et qu'elle ne devait pas vivre ça toute seule. Elle portait mon fils, dans 5 mois j'allai devenir père. J'avais imaginé ça de nombreuse fois mais ça ne s'était jamais déroulé comme ça dans ma tête.
SUSAN
- Carter t'es où ?
- ici
il était allongé sur le canapé.
- tu ne m'as pas entendu entrer ?
- non je n'ai pas prêté attention.
- alors tu me racontes ?
- je me suis fais le film de notre discution des dizaine de fois sans jamais savoir pourquoi j'avais réagi comme ça. Elle est enceinte. Le seul truc qu'elle me demandait, était de la soutenir. Et moi je n'ai fait que l'enfoncer davantage. J'ai rêvé de cette discution mais celle-ci n'a même pas put frôler mon imagination.
- tu veux me dire que t'as tout foiré
- absolument tout. Rend moi un service Susan.
- quoi ?
- fous moi une claque !
- quoi ???
- c'est tout ce que je mérite.
- vous avez parlé du bébé ?
- oui est de son fabuleux destin aussi.
- carter tu as des chances d'être encore là pour sa naissance. Cà n'est que dans 5 mois.
- et la vie de mon enfant s'arrêtera là ?
- tu lui as dit quoi ?
- que je ne voulais rien savoir et qu'il valait mieux comme ça.
- tu lui a dit que tu souffres ?
- je lui ai dit que j'étais malade.
- je vais lui dire que tu délirais !
- je veux qu'elle sorte, qu'elle trouve quelqu'un d'autre. et s'il fallait que je sois un gros salaud pour qu'elle comprenne ça, j'ai été enchanté de le faire.
- elle va croire que tu te fiches du bébé.
- je l'aime déjà cet enfant, j'aurais voulu être là pour lui mais ça ne sera pas le cas. Je ne serai qu'un boulé pour elle.
- un boulé malade et qui veux finir ses jours sans personne avec une ex qu'il aime toujours et qui le prend pour un enfoiré. Un gosse qui dira que son beau-père est beaucoup mieux que son vrai père vu que lui ne les abandonne pas !
- ça me convient.
Elle s'approcha et me donna une claque.
- tu me la demandais, maintenant tu la mérites.
- c'est tout ce que je demandais.
1 mois plus tard.
SUSAN
J'avais fini, je remplissais les derniers dossiers avant de partir. Abby arriva accompagnée d'un homme séduisant qui semblait apprécier sa compagnie.
- je te laisse ça ma fait plaisir de t'accompagner. Tu finis quand ?
- vers 19h mais c'est pas la peine de venir, je peux rentrer toute seule.
- si j'insiste, je viendrais.
Il se pencha vers elle et lui donna un baiser sur la joue. Je voyais qu'il mourrait d'envie d'en faire beaucoup plus. Il partit. Elle se dirigea vers moi et s'assit sur la chaise la plus proche se servant d'une autre pour y mettre ses pieds.
- c'était qui ?
- Michael mon voisin, nouveau voisin.. Mignon hein ?
- oui pas mal. Tu sors avec lui ?
- tu sais sortir dans mon état, c'est bien dur. Mais si je le voulais, je pense qu'il accepterait. En plus il ne voit aucun inconvénient à ma grossesse. Il adore les gosses.
- il en a ?
- oui un petit garçon de 4 ans.
- tu cherches un petit ami ou un père pour ton fils ?
- je peux faire d'une pierre 2 coups.
- oui tu peux.
- qu'est ce qu'il y a ? je croyais que tu allais me dire que ce n'était pas bien !
- pourquoi ça le serai ?
- c'est Carter le père blabla... Je pensais que serais plus ou moins dans cet état d'esprit.
- je ne me mêlerais pas de ce qui me concerne pas.
- t'as bien raison.
- je doit y aller, bon service abby bye.
-bye.
CARTER
C'était flou. Je me remis en tête que j'étais chez moi, on devait être l'après midi, mais je ne suis pas dans mon lit. où suis-je ? Il faut que j'essaie d'ouvrir mes yeux. Je n'y arrive pas, ma tête tourne. Je vais respirer fort et tout ira mieux.
- Carter ? qu'est ce qui s'est passé ? tu m'entends ?
j'ouvris enfin les yeux, les secousses que m'infligait Susan avaient réussi à me faire, faire ce que j'essayais depuis 30 minutes. J'était sur le sol de ma chambre.
- Susan ?
- que fais-tu par terre, tu es tombé ? t'as eu un malaise ?
- je ne me souviens pas.
- c'est pas grave, viens, je t'aide à te mettre au lit.
Elle m'aida à me relever et m'appuya sur ces épaules. Elle me fit enlever mon tee-shirt mouillé de transpiration et m'en donna un autre moins.
- tu as pris tes médicaments ?
- je n'arrive pas à m'en souvenir.
- je vais les compter pour voir. Reste bien allongé et tout ira mieux.
Elle revint, me toucha le front et me tendit une gélule et un verre d'eau.
SUSAN
Il s'était endormi et avait une fièvre carabinée. Il semblait dormir très mal. Il poussait quelques soupirs et quelques mots. Je regardai ma montre, il était 17 heures. Ça faisait 4 heures que j'était là et que j'essayais de me faire croire que ça allait mieux qu'avant. Mais ça n'était pas la cas. Il respirait mal, et commençait à convulser. Il fallait que je reste calme. Mais je n'avais pas réussi à le faire, je pris le téléphone et appelai les ambulanciers. J'allai le rejoindre, il avait envi de vomir, je le mis sur le coté et c'est ce qu'il fit. J'essayais de le calmer sachant que l'intubation serait la meilleure solution. Les ambulanciers arrivèrent.
- il faut absolument l'intuber, il est fiévreux et a commencé à convulser il y a 5 minutes mais il vient de se calmer.
-ok
ils firent tout ce qu'ils jugèrent bon de faire et décidèrent de le ramener au County.
- il suit un traitement à la Pitié.
- oui mais son état ne permet pas 5 pâtés de maison en plus.
ABBY.
Chuny me tendit les gants, et dit :
- une ambulance arrivent !
-merci !
-tu semblais t'ennuyer et que tu manquais d'action. Alors te voilà servi.
J'allai au parking des ambulances. Je vis Susan descendre de l'ambulance. Pratt me regarda vite fait, et d'un drôle d'air.
- homme de 33 ans, John Carter, crise du à son état neuro. Il est fiévreux, déshydraté. Il a convulsé, il est intubé, constante stable mais inquiétante.
Susan me regarda et secoua la tête.
- c'est pas la peine Abby je vais demander à quelqu'un d'autre de s'en charger.
J'aurai voulu protester mais je n'y arrivais pas. Je restai tétanisée. Je regardai le brancard et je le vis pale et inconscient. On le mit en trauma 1.
- Chuny tu veux venir nous aider.
- bien sûr.
Je restai tout de même. Et je suis restée comme ça près de lui près d'1 heure. Et après tout ce temps qui me parut extrêmement long, il ouvrit les yeux.
- Susan il se réveille.
Elle vint me rejoindre, s'approcha de lui alors que moi je restai en retrait.
- n'essaie pas de parler, on t'a intubé. Je vais te le retirer, alors respire un bon coup.
Et elle le lui retira.
- Ca va ?
il secoua légèrement la tête.
- où je suis ?
il ne m'avait pas remarqué, je décidai de partir avant que ça ne soit le cas.
encore une fois merci à Audrey pour ses encouragements et pour sa correction.
