1 semaine plus tard
SUSAN.
Je toquai à la porte, c'est lui qui venu m'ouvrir.
- heu salut, abby est là ?
- oui entrez.
Il me conduit vers elle. Puis retourna dans la cuisine.
-salut.
- Susan comment vas tu ?
- je vais bien et toi ?
- je me sens énorme, je veux qu'il vienne au monde.
- ça ne va plus tarder.
- oui, plus que quelques semaines
- tu es avec lui ?
- non pas vraiment. Il a essayé mais pour l'instant je ne suis pas prête.
Il se conduit comme un ange. Il fait attention à tout, c'est lui qui met la main sur mon ventre quand le bébé donne des coups.
- je n'ai rien contre lui, tu le sais, mais moi je sais que ce n'est pas celui qu'il te faut.
- j'ai juste besoin de quelqu'un qui me soutienne, et m'aide. Pour l'instant il est là et c'est l'essentiel. La semaine prochaine ma mère arrive elle a l'intention de faire tout ce qu'elle pourra pour sa fille et son future petit-fils. Et là j'aurais besoin d'aide.
- je voulais faire une après-midi fille, ça te dit ? j'ai loué un film et j'ai du pop corn. - ça m'a l'air parfait.
Michael entra dans sa chambre lui donna un tasse et dit :
- je dois y aller, tu m'appelle si tu a besoin de moi.
Il se pencha sur elle et lui fit un baiser sur la joue avant de partir.
ABBY
Je pleurais sans pouvoir me contrôler. Susan, quant à elle, me regardait en riant.
- ha abby je ne te savais pas dans ta phase hormonale.
- moi qui la croyais passée.
- alors excuse moi d'avoir loué ce film.
- je te pardonne.
Je me calmai. Et nous restions la sans savoir quoi dire.
- ta mère l'a prit comment ?
- très bien .. Elle est heureuse d'être bientôt grand-mère. Il va être gâté, je le sens.
- tu sais comment tu vas l'appeler ?
-En fait, j'ai dans l'espoir que son père y mette son grain de sel.
-alors il vas s'appeler Carter ?
- S'il le veux bien-sur, je lui en veux d'avoir dit et fait tout ça mais il reste son enfant. De tout façon il ne peut pas s'appeler Lockhart ou Wynshenski, je ne veux pas moi-même le porter alors ! Tu sais il m'a fait un cadeau énorme au début je ne l'ai pas remarqué mais maintenant je ne peux pas te dire à quel point je lui en suis reconnaissante. Mais c'est peut être mes hormones qui parlent.
- tu sais je suis dans une drôle de position je ne comprends pas pourquoi il te fait subir ça alors que vous voulez simplement être ensemble ! mais d'un autre coté je sais qu'il fait ça par amour il ne veut pas que tu le vois malade.
- j'ai vu des tas de personnes malades, et j'ai toujours été là pour les aider.
- mais c'est différent. Abby je ferais tout pour qu'il comprenne que vous pouvez faire quelque chose pour que ça marche. Mais toi tu dois te rendre compte de ce que ça peut être. Il est malade, tu es enceinte..
- cela peut être les paroles d'une femme désepèrée mais je crois que j'ai besoin de lui.
CARTER
- non pourquoi je devrai rompre mes convictions maintenant ? je t'ai dis que je n'avait pas l'intention de faire ça !
- c'est trop tard, elle vient.
- Susan tu n'avais pas le droit de décider à ma place !
- vous allez seulement parler, elle ne va rien te faire tu sais !
- ça je le sais bien !
- tu te sens bien, tu n'as pas d'excuses !
- tu sais quoi, je vais le faire et tu seras responsable des conséquences.
Elle vint dans le salon, me regarda et me sourit.
- bien pas de problème. Je t'en pris ne soit pas.. comme tu l'a été la dernière fois.
- je vais essayer.
Elle quitta mon appartement. Il me fallait être calme et réussir à gérer à mon avantage la situation à venir. Elle toqua à la porte mais n'attendit pas que je lui dise d'entrer pour le faire.
- Salut
- salut, ca va ?
- bien et toi ? dit-elle d'un air soucieuse.
- Je vais bien. Assis-toi.
- ok.
-tu sais je vais être franc je ne voulais pas ce rendez vous. Je me sens mal à l'aise je ne sais pas quoi dire.
- pour être franche, moi je désirais te voir, bien que je ne crois pas que ce soit la meilleure chose.
- je veux bien qu'on se parle mais je ne veux pas de pitié dans ton regard.
- tu n'aura pas de pitié de moi. Bien. Allons-y.
- je t'écoute.
- pourquoi ne pas me l'avoir dit. Même après notre rupture ?
- je n'aurai pas supporté que tu endures ça juste pour ne pas que je sois seul.
C'est la même chose avec ou sans toi !
- alors pourquoi avoir choisis sans moi ?
- je ne le veux pas. C'est tout.
- Je te dérange tant que ça ?
- reste de ton coté et oublie moi.
- non. ..on ne représente rien pour toi ?
- pourquoi ne veux-tu pas accepter ça ! que je te laisse vivre ta vie sans que tu vives la mienne. Si nous n'étions que séparés, tu me laisserais en me traitant de temps en temps de connard et de lâcheur .. Fait pareil !
- continue et c'est ce que je vais faire.
- construit lui une bonne vie, donne lui un vrai père, ai une vie normal !
- je n'en avais pas avant, ça va pas changer parce que tu le souhaites !
je ne la regardais pas dans les yeux, je n'en trouvais pas la force
- ok et je dois dire quoi ? je sais que ce que tu veux c'est simplement un père pour le bébé. Je sais que tu ne souhaites pas revenir à mes cotés et surtout pas maintenant.
- qu'est ce que tu en sais, tu crois que tu me dègoutes ? .que tu ne veuilles plus être avec moi tant pis mais laisse notre fils connaître son père.
- je ne crois pas que ça va être possible. Je t'en prie, laisse moi.
- tu m'aimes encore ?
- je ne veux pas répondre.
- pour moi c'est une réponse.
- les choses ont changé, si c'était différent, je le serais aussi.
- bon .. haaaaa
- qu'est ce qu'il y a ?
- j'ai eu une contraction.
- là ça va ?
- non j'ai mal.
- viens on va aux urgences.
- c'est pas toi qui as dit que tu ne voulais plus rien savoir ?
- arrête tes conneries et viens !
ABBY
Il me prit la main, il ne me laissa pas le choix. Il prit la clé de sa voiture et m'aida à m'y installer. On arriva aux urgences obstétriques.
- ça continue ?
- oui.
Il se présenta comme le docteur Carter, présenta mon état. En demandant qu'on s'occupe de moi en urgence. Il était très inquiet.
- très bien je vais chercher le docteur.
Elle partit et il me regarda en me demandant si ça allait mieux. Je répondis que oui et il fut soulagé.
- Abby qu'avez-vous? expliquez moi !
- j'ai eu quelques contractions mais c'est fini.
- ça peut arriver au dernier trimestre mais on va faire une écho.
Elle regarda vite fait Carter mais ne savait pas qu'il était avec moi.
-Voulez-vous que je contacte quelqu'un ? Peut être l'homme qui vous a accompagné la dernière fois ?
Carter me regarda, il était triste mais ne dit rien puis me dit le plus doucement qu'il puisse « adieu »
Je secouai la tête je n'avais pas imaginé nos au-revoir ainsi. Je n'avais d'ailleurs pas imaginé du tout notre rendez-vous ainsi.
SUSAN.
Je toquai à la porte, c'est lui qui venu m'ouvrir.
- heu salut, abby est là ?
- oui entrez.
Il me conduit vers elle. Puis retourna dans la cuisine.
-salut.
- Susan comment vas tu ?
- je vais bien et toi ?
- je me sens énorme, je veux qu'il vienne au monde.
- ça ne va plus tarder.
- oui, plus que quelques semaines
- tu es avec lui ?
- non pas vraiment. Il a essayé mais pour l'instant je ne suis pas prête.
Il se conduit comme un ange. Il fait attention à tout, c'est lui qui met la main sur mon ventre quand le bébé donne des coups.
- je n'ai rien contre lui, tu le sais, mais moi je sais que ce n'est pas celui qu'il te faut.
- j'ai juste besoin de quelqu'un qui me soutienne, et m'aide. Pour l'instant il est là et c'est l'essentiel. La semaine prochaine ma mère arrive elle a l'intention de faire tout ce qu'elle pourra pour sa fille et son future petit-fils. Et là j'aurais besoin d'aide.
- je voulais faire une après-midi fille, ça te dit ? j'ai loué un film et j'ai du pop corn. - ça m'a l'air parfait.
Michael entra dans sa chambre lui donna un tasse et dit :
- je dois y aller, tu m'appelle si tu a besoin de moi.
Il se pencha sur elle et lui fit un baiser sur la joue avant de partir.
ABBY
Je pleurais sans pouvoir me contrôler. Susan, quant à elle, me regardait en riant.
- ha abby je ne te savais pas dans ta phase hormonale.
- moi qui la croyais passée.
- alors excuse moi d'avoir loué ce film.
- je te pardonne.
Je me calmai. Et nous restions la sans savoir quoi dire.
- ta mère l'a prit comment ?
- très bien .. Elle est heureuse d'être bientôt grand-mère. Il va être gâté, je le sens.
- tu sais comment tu vas l'appeler ?
-En fait, j'ai dans l'espoir que son père y mette son grain de sel.
-alors il vas s'appeler Carter ?
- S'il le veux bien-sur, je lui en veux d'avoir dit et fait tout ça mais il reste son enfant. De tout façon il ne peut pas s'appeler Lockhart ou Wynshenski, je ne veux pas moi-même le porter alors ! Tu sais il m'a fait un cadeau énorme au début je ne l'ai pas remarqué mais maintenant je ne peux pas te dire à quel point je lui en suis reconnaissante. Mais c'est peut être mes hormones qui parlent.
- tu sais je suis dans une drôle de position je ne comprends pas pourquoi il te fait subir ça alors que vous voulez simplement être ensemble ! mais d'un autre coté je sais qu'il fait ça par amour il ne veut pas que tu le vois malade.
- j'ai vu des tas de personnes malades, et j'ai toujours été là pour les aider.
- mais c'est différent. Abby je ferais tout pour qu'il comprenne que vous pouvez faire quelque chose pour que ça marche. Mais toi tu dois te rendre compte de ce que ça peut être. Il est malade, tu es enceinte..
- cela peut être les paroles d'une femme désepèrée mais je crois que j'ai besoin de lui.
CARTER
- non pourquoi je devrai rompre mes convictions maintenant ? je t'ai dis que je n'avait pas l'intention de faire ça !
- c'est trop tard, elle vient.
- Susan tu n'avais pas le droit de décider à ma place !
- vous allez seulement parler, elle ne va rien te faire tu sais !
- ça je le sais bien !
- tu te sens bien, tu n'as pas d'excuses !
- tu sais quoi, je vais le faire et tu seras responsable des conséquences.
Elle vint dans le salon, me regarda et me sourit.
- bien pas de problème. Je t'en pris ne soit pas.. comme tu l'a été la dernière fois.
- je vais essayer.
Elle quitta mon appartement. Il me fallait être calme et réussir à gérer à mon avantage la situation à venir. Elle toqua à la porte mais n'attendit pas que je lui dise d'entrer pour le faire.
- Salut
- salut, ca va ?
- bien et toi ? dit-elle d'un air soucieuse.
- Je vais bien. Assis-toi.
- ok.
-tu sais je vais être franc je ne voulais pas ce rendez vous. Je me sens mal à l'aise je ne sais pas quoi dire.
- pour être franche, moi je désirais te voir, bien que je ne crois pas que ce soit la meilleure chose.
- je veux bien qu'on se parle mais je ne veux pas de pitié dans ton regard.
- tu n'aura pas de pitié de moi. Bien. Allons-y.
- je t'écoute.
- pourquoi ne pas me l'avoir dit. Même après notre rupture ?
- je n'aurai pas supporté que tu endures ça juste pour ne pas que je sois seul.
C'est la même chose avec ou sans toi !
- alors pourquoi avoir choisis sans moi ?
- je ne le veux pas. C'est tout.
- Je te dérange tant que ça ?
- reste de ton coté et oublie moi.
- non. ..on ne représente rien pour toi ?
- pourquoi ne veux-tu pas accepter ça ! que je te laisse vivre ta vie sans que tu vives la mienne. Si nous n'étions que séparés, tu me laisserais en me traitant de temps en temps de connard et de lâcheur .. Fait pareil !
- continue et c'est ce que je vais faire.
- construit lui une bonne vie, donne lui un vrai père, ai une vie normal !
- je n'en avais pas avant, ça va pas changer parce que tu le souhaites !
je ne la regardais pas dans les yeux, je n'en trouvais pas la force
- ok et je dois dire quoi ? je sais que ce que tu veux c'est simplement un père pour le bébé. Je sais que tu ne souhaites pas revenir à mes cotés et surtout pas maintenant.
- qu'est ce que tu en sais, tu crois que tu me dègoutes ? .que tu ne veuilles plus être avec moi tant pis mais laisse notre fils connaître son père.
- je ne crois pas que ça va être possible. Je t'en prie, laisse moi.
- tu m'aimes encore ?
- je ne veux pas répondre.
- pour moi c'est une réponse.
- les choses ont changé, si c'était différent, je le serais aussi.
- bon .. haaaaa
- qu'est ce qu'il y a ?
- j'ai eu une contraction.
- là ça va ?
- non j'ai mal.
- viens on va aux urgences.
- c'est pas toi qui as dit que tu ne voulais plus rien savoir ?
- arrête tes conneries et viens !
ABBY
Il me prit la main, il ne me laissa pas le choix. Il prit la clé de sa voiture et m'aida à m'y installer. On arriva aux urgences obstétriques.
- ça continue ?
- oui.
Il se présenta comme le docteur Carter, présenta mon état. En demandant qu'on s'occupe de moi en urgence. Il était très inquiet.
- très bien je vais chercher le docteur.
Elle partit et il me regarda en me demandant si ça allait mieux. Je répondis que oui et il fut soulagé.
- Abby qu'avez-vous? expliquez moi !
- j'ai eu quelques contractions mais c'est fini.
- ça peut arriver au dernier trimestre mais on va faire une écho.
Elle regarda vite fait Carter mais ne savait pas qu'il était avec moi.
-Voulez-vous que je contacte quelqu'un ? Peut être l'homme qui vous a accompagné la dernière fois ?
Carter me regarda, il était triste mais ne dit rien puis me dit le plus doucement qu'il puisse « adieu »
Je secouai la tête je n'avais pas imaginé nos au-revoir ainsi. Je n'avais d'ailleurs pas imaginé du tout notre rendez-vous ainsi.