CARTER
Je m'assis sur une chaise dans le couloir, la tête dans mes mains. «concentre toi Carter, tu vas bien, tu n'as pas mal au crâne ! » Malgré mes encouragements, j'avais la tête qui tournait, j'étais en pleine crise, et n'avais aucun médicament sur moi. J'allais descendre aux urgences, ils allaient m'aider, en tout cas j'espère que j'arriverais à faire tout ça. Mais je me rendit compte que je n'arrivais même plus à rester assis sur cette chaise. J'entendis soudainement la voix de Susan.
- Carter ? Carter ? trouvez moi un brancare ! Carter tu m'entends ?
Oui je t'entends mais c'est tout ce que je peux faire. Puis d'un coup de je n'entendis plus rien.
SUSAN
- C'est Carter, je l'ai trouvé à l'étage ainsi il a du faire une crise, il n'a eu aucun mouvement. Il est inconscient, faites moi un test toxico je veux savoir s' il a pris ses médicaments.
- il fibrile !
- intube-le maintenant !
- il a signé un refus de réanimation !
- non, non, non il ne m'en a jamais parlé !
- il est là !
et j'avais ce dossier face à moi.
- non pas question ! je vais l'intuber il ne peut pas faire ça !
- Dr. Lewis vous n'avez aucun droit de faire ça !
- Son fils va bientôt naître, d'ici quelques heures ! il ne veut pas ça !
- C'est vous qui voyez !
- C'est moi qui vois !
Je l'intubait, je ne voulais pas que cela finisse ainsi et je suis sûre que lui non plus.
ABBY
Mon bébé était l'être le plus joli de la Terre. Il était enfin là dans mes bras. Ma mère n'arrêtait pas de me complimenter sur mon travail et sur la beauté de son petit-fils. L'infirmière me le prit, me disant qu'elle allait le laver et l'enregistrer.
- c'est quoi le petit nom de ce bout de choux ?
- Samuel, Johnathan, Carter.
- Bien, viens Samuel on y va. Dis à bientôt à maman.
Je le regardai partir, et j'espérais déjà qu'il revienne.
- on va vous ramener dans votre chambre, Abby pour que vous vous reposiez un peu.
Me dit Helen. Je regardai ma mère et lui demandai de trouver John.
SUSAN
J'étais face à lui en trauma. C'était le calme après la tempête. Il était inconscient mais stable. Pratt vint vers moi.
- Vous croyez que c'était la meilleure solution ?
- Que la mort? oui !
- J'ai entendu les nouvelles et vous ?
- Lesquelles ?
- Son fils est né, il y a moins de 30 minutes, tout va bien.
- Bien je vais aller lui annoncer alors.
Je me dirigeai vers Carter, regardai ses constantes et je dis en espérant « ne nous lâche pas maintenant » c'était à la limite de la prière. J'étais devant la porte de la chambre d'Abby. Je cherchais les mots justes, lorsque Maggy vint à ma rencontre.
- Bonjour Susan, vous venez voir Abby ? je vous préviens mon petit-fils n'est pas encore là.
- Je m'en doutais, j'irais le voir un peu plus tard.
- Vous avez vu Carter ?
- Oui il est en bas. Mais il ne pourra pas venir tout de suite.
- ah oui ?
- Il est mal en point il est inconscient en ce moment.
- Que s'est il passé ?
Dit elle affolé.
- je dois le dire à Abby, elle vous le dira peut être.
- Bon je vous laisse seule avec elle.
Je rentrai dans sa chambre et elle ouvra les yeux, je savais qu'elle ne mettrait pas plus que quelques secondes pour comprendre.
Je m'assis sur une chaise dans le couloir, la tête dans mes mains. «concentre toi Carter, tu vas bien, tu n'as pas mal au crâne ! » Malgré mes encouragements, j'avais la tête qui tournait, j'étais en pleine crise, et n'avais aucun médicament sur moi. J'allais descendre aux urgences, ils allaient m'aider, en tout cas j'espère que j'arriverais à faire tout ça. Mais je me rendit compte que je n'arrivais même plus à rester assis sur cette chaise. J'entendis soudainement la voix de Susan.
- Carter ? Carter ? trouvez moi un brancare ! Carter tu m'entends ?
Oui je t'entends mais c'est tout ce que je peux faire. Puis d'un coup de je n'entendis plus rien.
SUSAN
- C'est Carter, je l'ai trouvé à l'étage ainsi il a du faire une crise, il n'a eu aucun mouvement. Il est inconscient, faites moi un test toxico je veux savoir s' il a pris ses médicaments.
- il fibrile !
- intube-le maintenant !
- il a signé un refus de réanimation !
- non, non, non il ne m'en a jamais parlé !
- il est là !
et j'avais ce dossier face à moi.
- non pas question ! je vais l'intuber il ne peut pas faire ça !
- Dr. Lewis vous n'avez aucun droit de faire ça !
- Son fils va bientôt naître, d'ici quelques heures ! il ne veut pas ça !
- C'est vous qui voyez !
- C'est moi qui vois !
Je l'intubait, je ne voulais pas que cela finisse ainsi et je suis sûre que lui non plus.
ABBY
Mon bébé était l'être le plus joli de la Terre. Il était enfin là dans mes bras. Ma mère n'arrêtait pas de me complimenter sur mon travail et sur la beauté de son petit-fils. L'infirmière me le prit, me disant qu'elle allait le laver et l'enregistrer.
- c'est quoi le petit nom de ce bout de choux ?
- Samuel, Johnathan, Carter.
- Bien, viens Samuel on y va. Dis à bientôt à maman.
Je le regardai partir, et j'espérais déjà qu'il revienne.
- on va vous ramener dans votre chambre, Abby pour que vous vous reposiez un peu.
Me dit Helen. Je regardai ma mère et lui demandai de trouver John.
SUSAN
J'étais face à lui en trauma. C'était le calme après la tempête. Il était inconscient mais stable. Pratt vint vers moi.
- Vous croyez que c'était la meilleure solution ?
- Que la mort? oui !
- J'ai entendu les nouvelles et vous ?
- Lesquelles ?
- Son fils est né, il y a moins de 30 minutes, tout va bien.
- Bien je vais aller lui annoncer alors.
Je me dirigeai vers Carter, regardai ses constantes et je dis en espérant « ne nous lâche pas maintenant » c'était à la limite de la prière. J'étais devant la porte de la chambre d'Abby. Je cherchais les mots justes, lorsque Maggy vint à ma rencontre.
- Bonjour Susan, vous venez voir Abby ? je vous préviens mon petit-fils n'est pas encore là.
- Je m'en doutais, j'irais le voir un peu plus tard.
- Vous avez vu Carter ?
- Oui il est en bas. Mais il ne pourra pas venir tout de suite.
- ah oui ?
- Il est mal en point il est inconscient en ce moment.
- Que s'est il passé ?
Dit elle affolé.
- je dois le dire à Abby, elle vous le dira peut être.
- Bon je vous laisse seule avec elle.
Je rentrai dans sa chambre et elle ouvra les yeux, je savais qu'elle ne mettrait pas plus que quelques secondes pour comprendre.
