Salut à tous ! Ceci est ma première fic. Je me suis beaucoup amusée à l'écrire et je remercie d'avance tous ceux qui prendront le temps de lire mon travail.
Cette fic est entièrement dédiée à JessHDH, ma première lectrice.
Je ne la remercierai jamais assez pour ses commentaires enthousiastes et ses encouragements et parfois, aussi, pour ses corrections.
Cette histoire est classée R, cette catégorie se justifie par la suite.
Désolée pour les amateurs, mais ma fic n'est pas un slash.
Disclaimer : les personnages de cette fic ne m'appartiennent pas. Ils sont propriété de notre idole à tous JKR ( Amen !).
Seuls le personnage de Kiara Weasley et l'intrigue de cette histoire sont de moi.
Bonne lecture et si cette fic vous plait, faites-le-moi savoir.
Un grand merci à tous les reviewers.
JessHDH : plus qu'un fan, une précieuse amie.
Anonymoua : moi, un don ? merci. En tout cas, je suis heureuse de te faire rire.
Lunenoire : merci. Je continue plein pot.
Eilema : les chocogrenouilles étaient vraiment trafiquées. Eh oui ! Ron est un fourbe ! lol. Ah ! Le peignoir de Harry a fait couler beaucoup d'encre…
Sans doute, un fantasme inassouvi de mon subconscient…lol
A Tikko1 et Tikko 2 qui se reconnaîtront : la review est obligatoire, c'est le bouton tout en bas à gauche.
CHAPITRE 6
Il se releva et alla tâter ses habits mis à sécher devant la cheminée. Ils étaient tièdes au toucher. Il les dépendit et se rhabilla avec soulagement, heureux d'enfiler un pantalon à sa taille. En glissant les mains dans ses poches, il sentit la pochette qui contenait le talisman.
Puis il alla proposer son aide à sa compagne.
Lorsqu'il entra, il la trouva, baguette à la main, face au lit.
Sur ce dernier, elle avait étalé robes de sorcier, pantalons, pulls, robes, jupes et chaussures. Elle agita sa baguette et la pointa sur ses vêtements en disant «Reducto » ! Le sortilège les rendit tout petit. D'ailleurs, pensa Harry avec amusement, on dirait la garde-robe de cette poupée blonde que les Moldus appellent Barbie.
Il regarda autour de lui, la décoration de la chambre était un étrange mélange d'objet sorcier et moldu. Au mur, il y avait divers posters de chanteurs et acteurs moldus, on les reconnaissait facilement, les images étaient figées.
Ces dernières côtoyaient des photos ensorcelées, des paysages de bord de mer avec un mouvement des vagues perpétuel et d'autres, représentant des montagnes enneigées, les flocons semblaient tomber du ciel sans fin.
Un peu plus loin, Harry remarqua une série de gravures. Parfaitement alignés, les petits tableaux avaient pour unique sujet les dragons. Il y avait là un exemplaire de chaque espèce. Le jeune sorcier en reconnut quelques uns, dont le Magyar qu'il avait affronté lors du Tournoi.
Il tapota distraitement sur la vitre. Furieux d'être ainsi dérangé, le dragon cracha un jet de flammes. Harry sursauta et recula en riant.
En poursuivant sa visite des lieux, il découvrit de nombreux livres et disques moldus. Il y avait même un baladeur et une pile de CDs sur la table de chevet. A ce moment-là, Kiara tendit la main vers le walkman et il vint s'y loger sur son ordre.
Elle glissa le tout dans la malle prévue à cet effet, rajouta ses livres favoris et plusieurs photographies. Curieux, Harry se pencha discrètement. Riant de son manège, elle les lui tendit pour qu'il puisse les examiner de près.
Sur la plupart des images, on y voyait Kiara en compagnie d'un homme très imposant, roux bien sûr quoique tirant sur le gris, avec une barbe qui lui mangeait le visage. Il avait un chaud sourire et regardait sa fille tendrement. Ils échangeaient des clins d'œil et riaient beaucoup. Sur les dernières photos, Harry vit un Perceval plus jeune, en compagnie d'une jeune femme qui semblait être la jumelle de Kiara. Elle tenait un bébé endormi dans ses bras.
- C'est ta mère, n'est-ce pas ?
- Je sais, je suis son clone.
- Cette ressemblance est tout de même assez incroyable ! Même chevelure, même yeux, même silhouette !
- Même fichu caractère ! lui apprit-elle en riant. C'est ce que papa prétend, en tous cas.
- Ouh là ! C'est vrai que tu as un sacré caractère ! Alors, je compatis sincèrement avec ce pauvre Perceval ! T'élever n'a pas dû être une partie de plaisir tous les jours !
Elle lui lança un regard faussement indigné.
- Mon caractère te pose un problème, Potter ?
- Eh bien, faisant semblant de réfléchir à la question, je trouve que tu as la langue trop bien pendue, surtout à mes dépens et que tu devrais être un peu plus docile.
- Plus docile ? Dans tes rêves, mon pauvre Potter ! Tu es en train de m'insulter ! Et on insulte pas une sorcière armée d'une baguette ! Surtout si on a les mains vides ! ajouta-t-elle moqueuse.
Elle leva sa baguette et lança :
- Tarentall… »
- Expelliarmus ! la coupa Harry, il avait sorti sa baguette avec une grande dextérité et jeté son sort avait qu'elle ne termine le sien. Il récupéra la baguette de Kiara dans son autre main.
- Eh ! Comment tu…
- Weasley, tu es une vilaine sorcière, la sermonna-t-il en agitant l'index, tu mérites une petite leçon. Il s'avançait vers elle, menaçant.
Kiara recula en levant ses deux paumes en signe de paix.
- Potter, non ! Potter, non ! Je te préviens…
- Tu me préviens ? Et de quoi s'il te plait ?
- Potter, ne tente rien que tu pourrais regretter !
Là, il éclata franchement de rire.
- Je dois reconnaître que tu as un certain culot. Je te propose de passer aux choses sérieuses.
Il la détailla longuement des pieds à la tête, passant en revue les différents sorts qu'il pourrait lui jeter.
Kiara, réalisant que Harry avait l'air on ne peut plus sérieux, pâlit subitement. Elle regarda de tous côtés, cherchant une échappatoire. N'en voyant aucune, elle tenta de l'amadouer.
- D'accord, Potter, je me rends. Je le reconnais, tu es le plus fort.
Le jeune sorcier sentit l'amulette tiédir dans sa poche.
- Quel changement de cap ! Mais, quelque chose me dit que tu manques de sincérité…Et puis, tu aggraves ton cas. Tu me dois un gage pour ton pari perdu de ce matin, maintenant tu me lances un sort, de quoi déjà ? Ah ! oui ! Le sortilège de « Tarentallegra » ? Non, ça ne va pas ! J'en connais un qui conviendrait mieux à ta situation.
Harry pointa sa baguette vers elle et dit « Jambencoton ! »
Elle s'écroula brutalement par terre, ses jambes refusant de la soutenir.
- Aïe ! Nom d'un gnome à verrues, Potter ! Tu es fou !
Elle lui jeta un regard courroucé, en frottant vigoureusement ses fesses meurtries par la chute. Elle essaya de se relever, mais Harry, hilare, ne voulait pas la laisser s'en sortir à si bon compte.
Comme elle avait l'air de vouloir lui sauter à la gorge s'il levait son sort, il se dit qu'un bon fou rire ne lui ferait pas de mal. Il leva sa baguette et lança : « Rictusempra ! »
Les yeux si bleus de Kiara cessèrent immédiatement de lancer des éclairs, elle se tordait de rire en se tenant les côtes. Harry sentit le fou rire le gagner devant ce spectacle, en vérité, personne ne pouvait résister au sortilège de Chatouillis.
Il finit par annuler son incantation et Kiara reprit péniblement son souffle. Son compagnon s'assit à ses côtés, lorsqu'elle releva la tête, il lui tendit sa baguette, avec un sourire sincère.
- On fait une trêve, Weasley ? demanda-t-il, gentiment.
- Je te hais, Potter, j'espère que tu le sais ! affirma-t-elle férocement.
L'amulette de sincérité faillit brûler le fond de sa poche. En sentant cela, Harry la dévisagea intensément, puis sourit mystérieusement.
- Je crois, en effet, savoir assez précisément, à quel point tu me hais.
- Ah ?… un peu déstabilisée par sa réponse.
Il approcha doucement son visage du sien, et quand leurs nez se touchèrent, il lui murmura :
- J'aime quand tu me cries ta haine, langue de sorcière !
Elle prit l'air entendu de quelqu'un qui se voit confirmer ce qu'il avait toujours soupçonné.
- Je pense que tu n'es pas tout à fait normal, Potter.
Une fraction de seconde avant que leurs lèvres ne se touchent, Harry se dit que, curieusement, le talisman n'avait pas réagi à cette dernière affirmation.
Il l'embrassa doucement et elle lui rendit son baiser tendrement. Harry pensait que c'était une façon très agréable de faire plus ample connaissance.
Les chocogrenouilles avaient failli tout gâcher, le jeune sorcier se dit que définitivement il préférait une approche plus… tranquille.
La façon dont il l'avait embrassée puis caressée devant le feu…A ce souvenir, son sang se mit à courir plus vite dans ses veines et instinctivement, il accentua la pression de ses lèvres et la serra fougueusement contre lui.
Un petit bruit sec contre la fenêtre de la chambre les interrompit brutalement. Ils se séparèrent à regret.
Harry, un peu gêné que le doux baiser qu'il avait soigneusement planifié se soit transformé en étreinte passionnée, se redressa. Kiara, tout en se levant à son tour, lui adressa un sourire apaisant et se dirigea vers l'origine du bruit. Elle ouvrit la fenêtre et une petite chouette blanche et noire entra, un message à la patte. En refermant le battant, Kiara se dit que le temps ne s'était guère amélioré. Elle détacha la lettre, l'ouvrit et la lut à voix haute.
Mes enfants,
Un petit mot pour vous dire que nous quittons l'hôpital Jobarille. Charlie se sent en forme et souhaite regagner sa chambre d'hôtel. Il est logé à l'enseigne Des Nains Aux Pieds Poilus où, paraît-il, la cuisine du chef est reconnue. Nous y logerons également. Nous vous attendons mais soyez prudents, voler par un temps pareil peut s'avérer très dangereux.
Molly Weasley
- Je crois que Molly a raison, il pleut encore et le vent est fort. Et puis, je ne sais pas ce qui se passe, aujourd'hui, Potter, mais ça fait des heures qu'on est là, et on a encore rien fait…Regarde ! Mes malles ne sont pas terminées et je ne te parle même pas de la paperasse de mon père.
Elle soupira de façon convaincante.
- Je me demande vraiment qui m'empêche de faire mon boulot. T'as pas une idée, Potter ?
- Aucune idée. Peut-être que tu manques d'organisation ? proposa-t-il innocemment.
Elle lui jeta un regard indigné qui le fit rire.
- Moi, je pense que si un célèbre sorcier à lunettes dont je tairais le nom ne venait sans cesse me déranger, j'aurai déjà terminé.
- Je ne vois pas du tout de qui tu parles…
- Vraiment ? C'est dommage. Si tu savais qui c'est, tu aurais pu lui dire qu'il embrasse divinement bien mais que là, ce n'est plus le moment. Le mieux serait qu'il envoie un hibou à Molly pour lui expliquer que nous rentrerons seulement demain pour cause de a) temps pourri ou b) sorcier à lunettes envahissant, tu choisiras l'option qui convient. Maintenant, va voir dans l'autre pièce si tu le trouves pour lui transmettre la consigne.
Elle lui fit un petit signe pour lui demander de sortir afin qu'elle termine enfin ses bagages.
Harry partit en riant, la chouette sur son avant-bras, pas même fâché de s'être fait mettre à la porte de manière si expéditive.
Il trouva un parchemin et une plume à la cuisine et se mit en devoir de rédiger une réponse.
A Molly et Arthur Weasley,
Nous avons pris du retard à cause de la pluie. Impossible de tout empaqueter aujourd'hui. Nous rentrons demain dans la journée.
Harry et Kiara
Voilà, c'était simple et concis. Que pouvait-il rajouter, d'ailleurs ? Peut-être un post-scriptum à l'intention de Ron ?
Merci, mon ami, tes chocolats ont fait un carton ! Tu ne perds rien pour attendre !
A l'évocation de cette blague des plus douteuses, il se dit que Ron était tombé sur la tête. Qu'est-ce qu'il lui avait pris ? Il les avait offerts à Kiara, donc il escomptait qu'elle les mangerait sans doute une fois seule. Et après ? Qu'espérait-il de sa cousine ? Qu'elle lui sauterait dessus pour le déniaiser ?
C'était bien le genre de Ron de croire des choses pareilles. Harry secoua la tête pour chasser cette idée.
Mais là où le plan de Ron était presque parfait, c'était que si Kiara lui offrait des chocogrenouilles, ce qui avait été le cas, ils devenaient tous les deux en proie à… des désirs… incontrôlables.
Incontrôlables ? Vraiment ?
Tiens, se dit Harry, la petite voix est de retour. Ca faisait longtemps ! soupira-t-il avec résignation. Cette dernière poursuivit, véhémente :
« Il serait temps de tu ouvres les yeux, mon pauvre vieux ! Assume tes actes ! »
- Mais…
« Pas de mais ! Reconnais que tu as su parfaitement t'arrêter là où tes principes moraux te le demandaient. Tu n'as rien fait que ton éducation réprouve. Si la potion t'a rendu plus entreprenant, c'est que tu es moins timide que tu ne le croyais. »
- Entreprenant, moi ??
- Je ne sais pas à qui tu parles, Potter, mais je suis assez d'accord avec lui. On ne le dirait pas au premier abord mais il y a un adage qui dit: méfie-toi de l'eau qui dort.
Harry rougit fortement, il avait parlé à voix haute sans s'en rendre compte et en plus, Kiara l'avait entendu. Il marmonna une brève réponse :
- Me parlais à moi-même.
- Moi aussi, j'ai une petite voix, je n'aime pas toujours ce qu'elle me dit. Jamais en fait, sur le moment. Mais elle me remet les idées en place parfois. Non ?
Harry sourit franchement.
- Je crois que je vais présenter ma voix à la tienne, Weasley, elles vont très bien s'entendre. Elles ont beaucoup de points communs.
Elle allait ajouter quelque chose puis se dit que ce n'était pas le bon moment. Elle vit qu'il tenait toujours le parchemin.
- Tu as écrit quoi ?
- Que je t'avais battue à une course, que tu me jetais des sorts… énuméra-t-il le plus sérieusement du monde.
Elle lui tira la langue en guise de réponse, puis éclata de rire.
- Si Molly nous avait vu voler, ce matin, elle aurait fait une attaque.
- Tu l'a déjà bien cernée. Une vraie mère poule ! Même pour moi ! Et je pense qu'avec toi, elle prends le même chemin !
Cette dernière remarque l'a laissa songeuse, un voile de tristesse tomba sur son beau regard bleu pailleté d'or. Harry s'approcha et lui posa la main sur le bras, rassurant.
- Molly est très maternelle, comme tu as pu t'en rendre compte, un peu envahissante comme toute mère aimante, mais tu t'y feras vite. Avant de connaître les Weasley, je ne savais même ce que le mot famille signifiait. Je n'ai aucun souvenir de mes parents, quelques photos, tout au plus. Les Moldus qui m'élèvent ne m'aiment pas alors je trouve merveilleux de partager quelques semaines avec Molly et Arthur. Tu verras, tu vas les adorer.
- Tu crois que je m'habituerai à voir tant de monde autour de moi ? Papa me laisse une grande liberté et on s'est fait une petite vie à deux depuis que maman n'est plus là.
- Ton père a essayé de combler le manque avec sa tendresse et son attention.
Harry s'interrompit brusquement, semblant comprendre la portée de son raisonnement.
- C'est pour ça, n'est-ce pas ? Ton père ne t'a pas envoyée dans une école de sorcellerie pour que tu soies près de lui ?
- Je n'y avais pas vraiment réfléchi jusque là, cela semblait tellement naturel qu'il m'enseigne ce qu'il sait. Après la mort de maman, il m'a élevé seul et à l'âge d'entrer au collège de Kjerning, je crois qu'il n'a pu se résoudre à m'y inscrire. Je l'aime profondément, tu sais. J'ai beaucoup appris avec lui, j'espère seulement que j'aurai le niveau à Poudlard.
- Ne t'inquiète pas pour ça. J'ai vu à Poudlard des sorciers très maladroits, (Harry eut une pensée pour Neville), ce qui n'est de loin pas ton cas. Dumbledore saura te conseiller et t'épauler en cas de besoin.
Elle le regarda et demanda d'un ton qu'elle espérait badin :
- Et toi, Potter, tu seras toujours là pour me conseiller et m'épauler ?
Il la dévisagea longuement avant de répondre, puis se décida pour une boutade.
- Si tu as besoin de mes conseils et de mes épaules, je serai là. Les conseils ne sont pas ma tasse de thé mais mes épaules sont à ta disposition.
- Je saurai m'en souvenir, lui assura-t-elle. En parlant de thé, j'ai faim et soif, pas toi, Potter ?
Il avoua qu'il mourait de faim.
- Je nous prépare un casse-croûte et ensuite on attaque le bureau. Pendant ce temps, tu peux envoyer le hibou aux Weasley, ça les rassurera.
Harry attacha le message à la patte de la chouette, ouvrit la fenêtre et la petite chouette s'envola.
- Eh ? Mais tu ne l'as pas lu finalement !
- Je te fais confiance, Potter.
L'après-midi était presque écoulé quand ils terminèrent leurs sandwiches. Kiara débarrassa rapidement la table, en finissant sa tasse de thé. Face à l'obscurité naissance, elle alluma les bougies. Elle se dit qu'il était temps de passer à la paperasserie de son père.
Elle se dirigea donc vers le bureau, baguette magique à la main, Harry sur ses talons.
Le bureau était parfaitement rangé. Les parchemins alignés sur des étagères. Ils lancèrent des « Reducto » un peu partout. La table de travail avait maintenant la taille d'une grosse boîte d'allumettes et les rouleaux de papier ressemblaient à des cure-dents. Elle mit le tout dans une petite mallette. Ils firent de même avec les livres de comptes et autres documents. Kiara prit également les photos magiques sur le mur et quelques effets personnels. Elle jeta un dernier coup d'œil autour d'elle afin de s'assurer qu'elle n'omettait rien. Satisfaite, elle se tourna vers son compagnon.
- Tu vois, Potter, quand il n'y a pas d'interruption ! Vite fait, bien fait !
Elle ne lui laissa pas l'occasion de répondre car elle se dirigeait déjà dans la chambre de Perceval. Là aussi, elle sortit une malle et d'un coup de baguette fit voler les habits qui atterrissaient directement dedans. Elle jeta également un sort à ses livres et autres babioles auxquels son père était particulièrement attachés. Se retrouver au milieu objets familiers faciliterait son long séjour à Ste-Mangouste.
Ça vous a plu ? Alors à mercredi pour la suite !
Falyla
