Salut à tous ! Ceci est ma première fic. Je me suis beaucoup amusée à l'écrire et je remercie d'avance tous ceux qui prendront le temps de lire mon travail.

Cette fic est entièrement dédiée à JessHDH, ma première lectrice.

Je ne la remercierai jamais assez pour ses commentaires enthousiastes et ses encouragements et parfois, aussi, pour ses corrections.

Cette histoire est classée R, cette catégorie se justifie par la suite.

Désolée pour les amateurs, mais ma fic n'est pas un slash.

Disclaimer : les personnages de cette fic ne m'appartiennent pas. Ils sont propriété de notre idole à tous JKR ( Amen !).

Seuls le personnage de  Kiara Weasley et l'intrigue de cette histoire sont de moi.

Bonne lecture et si cette fic vous plait, faites-le-moi savoir.

JessHDH : Merci de me soutenir, mon I.A.V.! J'ai besoin de toi ! Bisous.

Anonymoua : Salut fillette ! Kiara en Potions, c'est plus bas. Kissous.

Célina : Merci. A toi de juger si c'est marrant. Bises.

Ankou :Toi qui aimes la baston, tu vas être servie. C'est qu'elle a du mordant, cette fille-là ! LOL. Bisous

Lunenoire : Ecœurant mais rigolo ?? Quel curieux mélange !! LOL. Bisous.

Elsar : Je n'ai qu'un mot à dire : merci !! Bisous.

Didou : Merci d'adorer ma fic. Les chapitres, c'est deux par semaine, le mercredi et le samedi. Bye. Bises.

Thierry : On s'est expliqué là-dessus, non ? Par contre, j'attends toujours « le qualificatif-que-tu-n'oses-pas-écrire » lol. Ce chapitre devrait t'éclairer ( un peu) sur Kiara.

Melepha : A mon avis, il ne lui propose pas une partie de Scrabble. LOL. Bisous.

Lythanie : resalut ! J'ai reçu ton mail, donc j'attendrai. Merci d'aimer ma fic. Et c'est promis, je ne ridiculiserai pas trop Drago. Enfin, un peu quand même ! LOL. Qui aime bien, châtie bien ! Bisous

Hermione292 : Salut ! Merci pour ta…Comment dirai-je ?…Volumineuse ? review. La suite est là. Pour le reste…Bisous.

CHAPITRE 17

  

Le réveil de Pansy sonna sur le coup des sept heures. Les trois jeunes filles s'extirpèrent péniblement des draps.

Kiara prit le temps d'examiner ce qui lui servirait dorénavant de chambre. Elle était de taille moyenne mais offrait suffisamment de place puisqu'il n'y avait que trois lits. Ces derniers étaient des modèles à baldaquin. Les tentures de velours vert foncé étaient brodées d'un magnifique serpent argenté. Ce même motif était reproduit sur le couvre-lit et sur la délicate marqueterie des tables de chevet.

Tout passant doucement son index sur le reptile de nacre qui ornait la surface du bois, Kiara vérifia que son puffskein dormait toujours dans le tiroir ouvert du petit meuble. Elle y avait placé un vieux pull, la veille au soir, et le petit animal semblait trouver cet endroit tout à fait convenable.

Alors que Pansy et Millicent occupaient la salle de bain, elle s'approcha des fenêtres. Le verre fumé laissait timidement passer le soleil matinal. Elle l'ouvrit en grand et admira la vue.

Le lac scintillait, offrant sa surface lisse au regard. Elle le contempla un long moment puis remarqua, sur la gauche, une grande structure ovale entourée de gradins.

« Voilà donc le fameux stade de Quidditch ! »

Elle sourit en repensant à sa matinée d'entraînement avec Harry. Il avait dit qu'elle était douée au poste de batteuse. Restait à savoir si le responsable de l'équipe de Serpentard serait du même avis.

Elle prit ses habits et se dirigea vers la salle de bain, enfin libre.

Elle enfila rapidement son uniforme et sa robe de sorcier, se brossa les dents et tressa ses longs cheveux.

Elle consulta son planning. La matinée commençait par le cours de Potions, il était donné en commun avec les Gyffondor, ainsi que le suivant, Métamorphose.

Elle mettait ses livres dans son sac quand elle entendit une exclamation de surprise. Elle leva la tête. Pansy désignait du doigt le puffskein endormi.

- Ne t'inquiète pas ! Il est très gentil, dort beaucoup et surtout, il nous débarrassera de toutes les petites bestioles indésirables qui n'ont rien à faire ici.

Ses compagnes de chambre n'y trouvèrent rien à redire.

Elles sortirent, Kiara sur leurs talons.

Les deux sorcières lui montrèrent le chemin pour se rendre à la Grande Salle. Une fois sur place, Kiara les remercia d'un hochement de tête et se dirigea vers les Gryffondor.

Arrivée derrière Harry, elle posa une main sur son épaule et se pencha en déposant un baiser sur sa joue.

- Bonjour Potter !

- Bonjour Weasley ! Bien dormi?

- Comme tu vois, personne ne m'a vidée de mon sang!

Ron et Ginny arrivèrent à ce moment-là.

- Salut Kiara ! Tu viens t'asseoir avec nous ?

- Volontiers, si ça ne dérange personne.

- Bien sûr que non ! Mais, eux, demanda Seamus, un signe de tête en direction des Serpentard, ça ne les dérange pas que tu… fraternises avec l'ennemi ?

- A vrai dire, je ne leur ai pas demandé leur avis. Je viens vers vous si je veux. Que ça leur plaise ou non n'est pas mon problème.

- Tu ne vas pas te faire que des amis…

- Tu sais, Dean, je ne pense pas que l'amitié soit le ciment de la Maison des Serpentard. Ils ont des rapports assez curieux entre eux. Je t'en dirai plus dans quelques jours si, toutefois, je réussis à mettre un mot sur ce qui les lie.

- Petit déjeuner !

Ginny déposa une assiette d'œufs au bacon devant sa cousine. Elle tenait également un plat recouvert de toasts.

- Tu dois prendre des forces, Ron m'a dit que vous aviez Potions !

- Eh ! Ginny ! protesta Harry. Je crois qu'il y a erreur sur la personne ! C'est nous, pauvres Gryffondor, qui devrions prendre des forces ! Cet imbécile de Rogue prend tellement de plaisir à nous enlever des points qu'on aura, probablement, un nombre négatif avant la fin de la matinée ! Et il en distribue à sa Maison même si c'est Goyle qui répond !

Cette remarque souleva l'hilarité générale.

Chacun attaqua son repas avec entrain.

Ron en était à son troisième jus de citrouille quand il demanda :

- Et comment ça se passe avec Malefoy ? Harry m'as dit qu'il vous avait vus ensemble.

- C'est vrai. Et bien, disons que mes rapports avec Malefoy sont…variables. Relativement neutres à un moment, et, l'instant suivant…sanglants, expliqua-t-elle, fataliste.

- Comment peux-tu prétendre avoir des rapports neutres avec Malefoy ? C'est un type parfaitement détestable ! s'écria Neville.

Tous les Gryffondor, qui participaient à la conversation,

approuvèrent.

- Je ne dis pas le contraire, Neville. Il peut se monter totalement méprisable. Mais j'aime bien juger sur pièce et me faire ma propre opinion. Vous vous haïssez mutuellement, depuis cinq ans, pour des tas de raisons différentes. Ces raisons ne me concernent pas. Je ne vais pas le haïr simplement parce que me le demandez. Mais je le maudirai, soyez-en sûrs, s'il me donne la moindre raison de le faire.

Son petit discours les laissa, tous, songeurs.

Puis Hermione décréta qu'il était l'heure de se rendre au cachot.

- Au cachot ? s'étonna Kiara.

Harry eut une grimace éloquente.

- Rogue donne son cours dans une cave du sous-sol.

Sa compagne rit en voyant sa mine.

- Tous les goûts sont dans la nature, Potter !

- C'est marrant ce que tu dis, Kiara, renchérit Ron. J'ai toujours pensé que Rogue n'avait aucun goût, justement !

Après une longue marche dans un dédale de couloirs, ils arrivèrent enfin dans le repère de Rogue.

La plupart des Serpentard étaient déjà installés dans les premiers rangs.

Kiara se tourna vers Harry, ennuyée.

- Si je ne veux pas me mettre à dos tout Serpentard, je crois que je vais aller m'installer avec eux.

- Alors, bonne chance, Weasley. Moi, je ne supporte pas de voir Rogue de si près.

- Allons, allons, Potter. Tu n'es pas charitable.

- On en reparlera.

Harry se dirigea vers le fond de la classe tandis que Kiara s'approcha de Malefoy. Elle lui chuchota à l'oreille :

- Tu te pousses d'une fesse, blondinet ?

- Seulement d'une fesse ? se moqua-t-il en détaillant sa silhouette.

- Tu n'as pas le compas dans l'œil, blondinet ! Manque de pratique, peut-être ? demanda-t-elle, un sourire angélique aux lèvres.

Le professeur entra, d'un pas vif, dans le cachot. Sa robe de sorcier flottant derrière lui. 

- Mademoiselle Weasley, veuillez prendre place ! Mademoiselle Parkinson, voulez-vous écrire les ingrédients de cette potion au tableau ?

Pansy s'approcha, prit une craie et le vieux livre que lui tendait Rogue et inscrivit la liste des produits à employer. Puis elle regagna sa place.

Le professeur désigna le tableau noir d'un grand geste puis croisa les bras en s'enroulant dans sa cape.

- Quelqu'un peut-il me dire de quelle potion il s'agit ?

Comme personne ne répondait, Rogue pinça les lèvres.

- Navrant ! Vraiment navrant !

Kiara regardait autour d'elle, mais personne ne levait la main, pas même Hermione. Elle donna un coup de coude à Malfoy, mais celui-ci haussa les épaules en signe d'ignorance.

Le regard de Rogue s'arrêta sur elle.

- Une idée, Mademoiselle Weasley ?

- Je n'en suis pas sûre. Mais je dirai que c'est la recette approximative de la potion « passe-murailles ».

Le professeur fronça les sourcils et se pencha vers elle.

- Approximative, dites-vous ? Et en quoi, je vous prie ?

Kiara soutint sans sourciller les yeux noirs.

- Il faut 8 gouttes d'extrait de belladone et votre liste n'en indique que 3. De plus, comme cette potion donne vraiment une haleine de loup-garou, j'y ajouterai, également, quinze gouttes d'essence de menthe sauvage.

A cette dernière précision, la classe explosa de rire.

Rogue compara attentivement la liste du tableau avec celle indiquée dans son grimoire.

Il repéra un trou dans le vieux papier jauni, ce dernier chevauchait le 8 qui, maintenant, ressemblait à un 3. L'erreur de Pansy était parfaitement compréhensible.

Le maître des potions corrigea les proportions erronées et se permit un bref sourire.

- Tout à fait exact ! J'accorde 10 points à Serpentard.

Il y eut quelques murmures satisfaits.

- On a de la chance ! C'est Parkinson qui a écrit ça au tableau ! S'il avait choisi un Gryffondor, il nous aurait enlevé des points parce qu'on ne sait pas lire à travers les trous ! grommela Ron assez fort pour être entendu.

Le professeur réclama sèchement le silence.

- Mettez-vous deux par deux, nous allons commencer la préparation de la potion. Elle devra reposer 48 heures, donc vous la testerez dans deux jours. Allez chercher les ingrédients dans la réserve. Et en silence !

Par petits groupes, ils prirent ce qu'il leur fallait et commencèrent. Rogue leur indiquait la marche à suivre au fur et à mesure.

Kiara pilait des racines tandis que Drago broyait des champignons séchés. Il était resté muet comme une tombe.

Elle décida de le provoquer un peu.

- Pas de commentaire, blondinet ?

Il marmonna entre ses dents mais ne leva pas la tête. Kiara rit doucement.

- Est-ce que ça veut dire que tu restes sans voix devant mon incroyable connaissance des potions ?

Cette fois, sa pique eut l'effet escompté, il leva sur elle ses yeux bleu glacier. Il était vexé et ne s'en cachait plus.

- Coup de bol ! répliqua-t-il froidement.

- Oh ! Quelle mauvaise foi ! Je n'en crois pas mes oreilles ! D'ailleurs, avec un nom comme le tien… On ne se refait pas, n'est-ce pas ? Un coup de bol, hein ? Moi, je dirai plutôt : leçon de modestie. Et ça ne te fais pas de mal de temps en temps ! Et un peu de concurrence stimule l'esprit ! Pas vrai, blondinet ?

La sonnerie qui marquait la fin du cours l'empêcha de répliquer.

Comme ils rassemblaient leurs affaires, Rogue s'approcha de Malefoy.

- Je vous rappelle, Malefoy, que la saison de Quidditch débute dans un mois. Ne tardez pas à compléter votre équipe. Plus vite, elle sera formée, plus vite, les entraînements reprendront.

Le jeune sorcier acquiesça et quitta le cachot.

Que le blondinet soit le capitaine de l'équipe des Serpentard n'était pas vraiment une surprise. Mais Kiara doutait sérieusement qu'il retiendrait sa candidature au poste de batteuse, si tant est qu'il était libre. Si c'était le cas, restait à trouver un moyen de le convaincre.

Songeuse, Kiara sortit, à son tour, dans le couloir.

Elle fut aussitôt rejointe par Harry, Hermione et ses cousins. Alors qu'ils allaient tous en cours de Métamorphose, la jeune sorcière s'efforçait de mémoriser cet incroyable labyrinthe. Elle tentait de se repérer aux peintures sur les murs mais les sujets représentés avaient une fâcheuse tendance à disparaître et à se visiter les uns les autres. Si bien qu'on ne les retrouvait jamais au même endroit.

La classe du professeur McGonagall était plus accueillante que le cachot qu'ils venaient de quitter. Assise derrière un imposant bureau, elle les regardait s'installer. La vieille sorcière était connue pour sa rigueur. Elle était sévère mais savait se monter juste.

Ils passèrent l'heure suivante à réviser le programme de l'année précédente. Kiara constata que le niveau requis à Poudlard était particulièrement élevé. Elle grimaçait de dépit quand ses transformations étaient imprécises.

Elle devrait se montrer particulièrement assidue pour rattraper les autres.

Il y eut soudain un franc éclat de rire.

Neville, baguette à la main, regardait, bouche bée, le gâteau au chocolat brusquement apparu devant lui.

McGonagall s'approcha de lui, un sourire, qu'elle s'efforçait de cacher, au coin des lèvres. Elle tenta de paraître exaspérée.

- Monsieur Londubat ! Je vous ai demandé de changer ce marteau en râteau ! Pas en gâteau ! Ne laissez pas votre gourmandise prendre le pas sur votre concentration !

Les rires redoublèrent. Neville prit un air penaud. Il allait réessayer la métamorphose initiale quand sonna la fin du cours.

Il partait quand la vieille sorcière le rappela.

- Monsieur Londubat, n'oubliez pas votre… dessert. Il serait dommage de ne pas en profiter.

Neville la remercia et emporta le gâteau dans la Grande Salle.

Kiara prit son repas avec les Gryffondor. Leur prochain cours débutait à 13 heures 30 alors qu'elle était libre jusqu'à 15 heures. Après leur départ, elle retourna à la table des Serpentard. Elle était presque déserte, seuls Malefoy, Crabbe et Goyle terminaient tranquillement leur assiettes. Elle prit place en face de Drago.

- Qu'est-ce que tu veux, Weasley ? Tes petits copains sont partis, tu te sens seule ?

- Merci de t'inquiéter de ma vie sociale, Malefoy. Ça me touche beaucoup, répliqua-t-elle, ironique. Mais tu connais le proverbe « Mieux vaut être seul que mal accompagné ».

Crabbe et Goyle ricanèrent sans se rendre compte que ça s'appliquait aussi à eux. Le sorcier blond leva les yeux au ciel, atterré par tant de crétinerie.

- En fait, j'ai juste une question : où sont les serres du Professeur Chourave ? On a botanique cet après-midi.

Les yeux bleus de Drago étincelèrent. Il ne pouvait laisser passer une occasion pareille de se retrouver seul avec elle !

- Je t'accompagne ! dit-il, péremptoire.

- Non ! Ce n'est pas ce que je te demande !

- C'est pourtant ce que j'ai décidé ! affirma-t-il.

Ce ton de commandement la fit bondir. Elle se leva brusquement et le regarda farouchement.

- Tu n'as pas à décider pour moi, Malefoy ! Personne ne me dit ce que je dois faire ou pas ! Maintenant vas-tu me dire, oui ou non, où sont ces serres ?!

Le jeune sorcier croisa les bras sur sa poitrine.

- Non !

Elle lui lança un regard noir et quitta la Grande Salle.

Une fois dehors, elle respira un grand coup pour se calmer. Ce p'tit con avait le don de l'agacer prodigieusement. Elle se dirigea vers le parc. Elle croisa un groupe d'étudiants qui lui indiquèrent où le Professeur Chourave entreposait ses plantes.

Elle aurait dû y penser tout de suite. « Pourquoi faire simple quand on peut compliquer ? ».

Elle passa devant les serres et poursuivit sa promenade. La journée était belle. Elle avisa un arbre un peu à l'écart. Elle s'étendit à même le sol en utilisant son sac comme oreiller.

Elle avait une bonne heure devant elle, une petite sieste serait la bienvenue. Elle programma l'alarme de sa montre par précaution et ferma les yeux, savourant le soleil sur sa peau.

Elle somnolait vaguement quand elle sentit une présence à ses côtés. Elle ouvrit un œil puis le referma aussitôt en soupirant bruyamment.

- Le parc est vaste, Malefoy ! Qu'est-ce que tu fiches là ?

- Je t'ai suivie, avoua-t-il, sans ambages.

Cette réponse franche la fit se redresser. Elle haussa les sourcils.

- Pourquoi ?

- Parce que je suis un Malefoy. Les Malefoy font toujours ce qu'ils veulent. Et tu sais ce que je veux, là, maintenant ?

- C'est une devinette ? demanda-t-elle, sarcastique.

Drago ne répondit pas mais fixait intensément les lèvres de Kiara. Elle sentit une vague de chaleur l'envahir. Elle secoua la tête avec véhémence.

- Ne t'emballe pas, Malefoy ! Je te l'ai dit, hier, tu n'es pas mon genre !

- Prouve-le ! dit-il, en se rapprochant.

Kiara le dévisagea comme s'il était soudain devenu fou. Elle le repoussa. 

- Ça suffit, les conneries, Malefoy !

Elle se leva brusquement et empoigna son sac. Il fut plus rapide. Il la plaqua contre le tronc et l'embrassa fougueusement. Elle tenta de résister en restant impassible. Elle gardait les lèvres fermées mais il força la barrière de ses dents et enfonça sa langue dans sa bouche .

Férocement, elle mordit la lèvre de Malefoy jusqu'au sang. Il se recula en criant de douleur.

Elle leva la main et le gifla violemment. Une fraction de seconde plus tard, la marque de ses doigts s'était imprimée sur la joue pâle du jeune homme.

Ils se dévisagèrent un instant sans rien dire. Puis Kiara lui siffla :

- Ça te suffit comme preuves ou tu en veux d'autres ?

Le sorcier ne répondit pas tout de suite. Il essuya le sang qui coulait de sa lèvre. Une lueur moqueuse s'alluma dans ses yeux.

- Tant de violence pour un si petit baiser ! T'aurais peur d'aimer ça, Weasley ?

Ça vous a plu ? Alors à samedi pour la suite !

Falyla