Salut à tous ! Ceci est ma première fic. Je me suis beaucoup amusée à l'écrire et je remercie d'avance tous ceux qui prendront le temps de lire mon travail.

Cette fic est entièrement dédiée à JessHDH, ma première lectrice.

Je ne la remercierai jamais assez pour ses commentaires enthousiastes et ses encouragements et parfois, aussi, pour ses corrections.

Cette histoire est classée R, cette catégorie se justifie par la suite.

Désolée pour les amateurs, mais ma fic n'est pas un slash.

Disclaimer : les personnages de cette fic ne m'appartiennent pas. Ils sont propriété de notre idole à tous JKR ( Amen !).

Seuls l'intrigue et le personnage de Kiara Weasley et maintenant quelques autres sont à moi.

Bonne lecture et si cette fic vous plait, faites-le-moi savoir.

CHAPITRE 40

Les jours suivants passèrent à une vitesse folle. Les professeurs semblaient s'être donné le mot pour accabler leurs élèves de devoirs en tout genre. Aucune matière n'était épargnée.

Chaque fois que Kiara croisait Harry, il venait lui glisser un mot sur l'avancement de leurs recherches.

Il avait mis Hermione sur le coup, ce qui s'avéra une très sage décision. Comme elle terminait toujours ses dissertations et autres essais en avance, qui n'était jamais le cas de Harry, elle avait plus de temps à consacrer au journal.

C'était devenu pour elle un vrai défi.

Jusque-là, elle n'avait essuyé que des échecs mais cela n'entamait en aucune façon sa détermination, au contraire, elle s'en trouvait renforcée.

Elle avait même demandé une autorisation au Professeur McGonagall pour visiter la Réserve de la bibliothèque.

C'était ce à quoi elle allait consacrer sa fin de journée, tandis que Potter et les autres Gryffondor se rendaient à l'entraînement du mardi.

Arrivée dans la Grande Salle, en compagnie de Scott et Will, Kiara avait repéré Hermione qui lui faisait signe. Laissant ses deux co-équipiers derrière elle, elle s'était approchée de la jeune Gryffondor qui l'attendait un peu en retrait.

- Salut Hermione !

- Salut Kiara ! Ah ! Voilà Harry !

En effet, le sorcier les rejoignit quelques instants plus tard.

- Salut les filles !

- Salut beau brun ! Alors comment va ta tête, aujourd'hui ? demanda Kiara.

- Elle se porte comme un charme, la rassura-t-il. Grâce à toi.

Il se tourna vers Hermione.

- Du neuf ?

Elle secoua la tête.

- Je préfère qu'on en parle après le repas. Rendez-vous au deuxième étage, comme d'habitude ?

- Ça marche. Malefoy t'accompagne ? questionna Harry, d'un ton neutre.

- Non, répondit brièvement la jeune fille.

Il s'abstint de faire le moindre commentaire, ce dont elle lui fut reconnaissante.

- A tout à l'heure.

Elle retrouva ses camarades Serpentard qui lui avait gardé une place. Alors qu'elle s'asseyait, elle rencontra le regard froid de Malefoy. Elle le soutint un long moment puis détourna la tête pour répondre à une plaisanterie de Scott.

Deviser gaiement avec le gardien de l'équipe de Quidditch avait le mérite de lui faire oublier pour un moment ce qui la contrariait.

Pendant la semaine qui venait de s'écouler, Kiara et Drago avaient regagné leurs chambres respectives et n'avaient plus partager le vieux sofa du grenier.

Kiara rassembla ses pensées afin d'analyser, pour la énième fois, les évènements qui avaient suivi leur dernière nuit ensemble.

Ils s'étaient endormis paisiblement, l'un contre l'autre, sur le divan inconfortable.

Quelques heures plus tard, Kiara s'était réveillée en sursaut, le cœur battant à tout rompre, des hurlements plein la tête. Sa gorge était si sèche qu'elle parvint juste à croasser « Potter ! ».

Son compagnon avait aussitôt réagi et s'était vivement assis.

- Quoi ?

Elle avait dégluti péniblement et avait répété avec difficulté, en frottant machinalement sa cicatrice.

- C'est Potter !

Elle s'était levée en tremblant, elle n'arrivait pas à chasser l'angoisse que les sons et les impressions de son rêve avaient provoquée.

Malefoy l'avait regardée, incrédule, enfiler son pantalon à la hâte.

- Mais, où tu vas, là ?

Elle s'était tournée vers lui, un peu perdue.

- Harry va avoir un cauchemar, ça va le…Par Merlin, je n'ose pas y penser. C'était si…

Drago n'avait rien compris à ces paroles décousues. Il s'était levé à son tour et planté devant elle.

- Tu as bien dit : Potter va avoir un cauchemar ? Kiara, je ne comprends rien à cette histoire ! Où est-ce que tu vas ? avait-il répété, en haussant le ton.

- Chercher Pomfresh ou Dumbledore, je ne suis pas sûre, avait-elle répondu, sans voir le visage de son compagnon s'assombrir encore plus.

Alors qu'elle attachait ses chaussures, le sorcier blond avait tenté de trouver un sens à tout ça. N'en trouvant aucun, il l'avait questionné froidement :

- Qu'est que ça peut te foutre que SuperPotter cauchemarde ?

Le ton employé l'avait fait froncer les sourcils. Elle l'avait gratifié d'un regard aussi glacé que le sien.

- J'ai pas le temps de t'expliquer maintenant, suis-moi ou reste là mais je cours à l'infirmerie.

Elle avait dévalé l'escalier sans se retourner.

Elle était arrivée, essoufflée, devant la porte de l'infirmerie. Elle avait frappé violemment le battant.

Une Madame Pomfresh somnolente, avait ouvert.

- Mademoiselle Weasley ? Par Merlin, que se passe-t-il?

- C'est Harry ! J'ai senti son cauchemar !

- Oh…Le Directeur m'a parlé de ça. Vous en êtes certaine ?

Kiara avait acquiescé.

- Je vais chercher son remède.

Quelques instants plus tard, elle était revenue avec une fiole remplie d'un liquide vert fluorescent.

Les deux sorcières s'étaient dirigées à pas vifs vers la Tour Gryffondor.

La Grosse Dame qui surveillait l'entrée de la salle commune, dormait.

Madame Pomfresh l'avait réveillée d'une voix autoritaire. Elle avait sursauté violemment et avait pris un air indigné. Elle allait parler quand le tableau s'était ouvert de lui-même.

De l'autre côté, se trouvaient Neville et Ron, passablement affolés.

- Madame Pomfresh ? Nous allions justement…

- C'est Harry ! Ça recommence !

- Je suis là pour ça, Messieurs. Si vous voulez bien nous laisser entrer…

Les deux jeunes sorciers s'étaient aussitôt effacés.

Ron était passé devant en indiquant inutilement le chemin du dortoir.

Alors qu'ils grimpaient la dernière volée de marches qui menaient à la chambre des garçons, Kiara avait perçu les gémissements terrifiés de Harry. Elle s'était précipitée en bousculant Ron.

Voir le jeune sorcier brun se tortiller sur son lit, sa tête, ballottant en tous sens, les mains crispées sur le drap froissé avait été un spectacle effrayant.

Seamus et Dean se tenaient dans un coin de la pièce, n'osant plus bouger.

La jeune fille s'était approchée du lit et s'était assise sur le bord.

Le visage de Harry était exsangue, couverte de sueur froide, sa bouche était tordue par un rictus de douleur.

Elle avait détaché un à un ses doigts du tissu chiffonné et l'avait pris dans ses bras.

Il avait eu un violent spasme, les paupières avaient cligné plusieurs fois. Ses yeux s'étaient ouverts une fraction de seconde avant de se révulser.

Potter s'était affaissé mollement dans ses bras, sa figure tombant sur son épaule, évanoui.

Elle l'avait recouché doucement sous l'œil ébahi de ceux présents dans la chambre.

Madame Pomfresh s'était assise de l'autre côté du lit et avait examiné attentivement le Gryffondor.

Quand elle avait été satisfaite du résultat, elle avait glissé entre ses lèvres pâles le flacon de potion qu'elle avait amené et en avait versé le contenu. Le liquide était épais et lisse et ne nécessitait aucune déglutition.

- Je l'emmène à l'infirmerie, par précaution.

- Je peux vous accompagner ?

- Bien sûr, Kiara.

- Et moi ? demanda Ron, après un instant de silence.

Ron avait été abasourdi. Il assistait, impuissant, aux cauchemars de son meilleur ami, depuis qu'il le connaissait. Jusque là, personne n'avait pu les interrompre, ni même le calmer. Seule, l'infirmière avait trouvé un remède pour le sortir du sommeil comateux qui suivaient ses crises. Mais, il fallait, pour cela, attendre la fin dudit cauchemar. Harry n'en parlait que très rarement, et Ron osait à peine imaginer les atroces images qui traversaient la tête du Survivant, dans ses moments-là, pour le laisser dans cet état plusieurs jours.

- Bien sûr, Ron, vous pouvez venir avec votre cousine.

Il l'avait remerciée d'un signe de tête reconnaissant.

Madame Pomfresh avait fait léviter le corps du sorcier brun et l'avait  dirigé vers la sortie.

Les deux Weasley lui avaient emboîté le pas, en silence.

Après plusieurs minutes, ils avaient atteint l'infirmerie. Madame Pomfresh l'avait confortablement installé dans un lit. Elle s'était tournée vers les jeunes sorciers.

- Il ne devrait pas tarder à se réveiller. Je serai à côté, appelez-moi en cas de besoin.

Dès qu'elle eut quitté la pièce, Ron avait demandé à sa cousine.

- Comment tu as su ? Et qu'est–ce que tu as fait ?

Kiara lui avait adressé un sourire.

- C'est arrivé quand on était à la Tanière. J'ai, comment dire, « entendu » son cauchemar avant qu'il n'arrive. Quand il s'est mis à le subir, c'était vraiment tétanisant, je ne savais pas trop quoi faire, alors…alors je l'ai pris dans mes bras et ça s'est arrêté.

- Tu as « entendu » son cauchemar ? répéta-t-il, incrédule.

- C'est un peu ça. J'en ai parlé avec lui, le lendemain, et il pense que quand il m'a donné son sang, ça nous a, en quelque sorte, liés.

Un gémissement sourd les avait fait se retourner. Grâce à la potion, Harry remontait doucement à la surface.

La jeune fille lui avait pris la main et l'avait appelé.

- Harry ? Harry ? Ron est avec moi, ouvre les yeux!

Ses paupières avaient papillonné avant de s'ouvrir. Le vert de ses yeux avait paru un peu éteint mais lui-même avait semblé tout à fait lucide.

Il avait dévisagé ses amis, un pauvre sourire sur les lèvres.

- Salut ! avait-il dit faiblement.

- Salut Harry ! Comment tu te sens ?

- Nauséeux mais content d'être là. Kiara ? C'est toi qui…

La jeune sorcière l'avait coupé avec un sourire moqueur qui cachait mal son inquiétude.

- La prochaine fois que tu veux m'inviter dans votre dortoir pour faire la fête, trouve un autre prétexte, Potter.

- J'en prends bonne note.

La porte s'était ouverte sur l'infirmière.

- Jeunes gens, je vais vous demander de laisser Harry se reposer, et de regagner vos tours respectives. Voilà un mot si vous croisez Monsieur Rusard, avait-elle ajouté en leur tendant à chacun un morceau de parchemin.

Ron et Kiara s'étaient inclinés de bonne grâce. Elle avait déposé un baiser sur la joue du convalescent et était sortie en compagnie de son cousin.

Elle avait alors regagné sa Maison, après un dernier salut à Ron.

Quand elle était entrée dans la salle commune, elle avait eu la surprise d'y trouver Malefoy qui faisait les cent pas devant la cheminée.

- Drago ? Qu'est-ce que tu fais encore là ?

Il avait interrompu son agaçant va-et-vient et lui avait lancé un regard assassin.

- Figure-toi que je t'attendais, avait-il commencé d'une voix doucereuse. Pour avoir quelques explications sur ton comportement.

- Mon comportement ? Ecoute, je vois bien que tu es contrarié mais…

- Contrarié ? avait-il répété en levant les sourcils. Non. JE SUIS FOU DE RAGE !!

Kiara jeta un coup d'œil inquiet autour d'elle. Il allait finir par réveiller tout le monde.

- On ne peut pas avoir cette conversation demain ?

- NON !

- Bon.

Elle sortit sa baguette et jeta un sort afin d'insonoriser la salle commune.

- Quel est le problème ? avait-elle demandé calmement.

Son air tranquille avait été la goutte d'eau qui avait fait exploser le sorcier blond.

- Le problème est que tu disparais au milieu de la nuit pour aller trouver POTTER !

- Je t'ai dit qu'il faisait des cauchemars.

- Et alors ?? Pauvre petit Survivant qui fait un vilain rêve ! avait-il ajouté, méprisant.

Le sang de la jeune fille n'avait fait qu'un tour, sa colère bouillonnait dans sa tête.

- Je t'interdis de commenter ce que tu ignores, Malefoy !

Il avait eu un rictus mauvais.

- Et je dois accepter que tu ailles le rejoindre aux aurores pour le…soigner ?

- Malefoy, ta jalousie est ridicule et commence à me fatiguer ! Je n'ai ni à me justifier, ni à t'expliquer plus en détails ce qui est arrivé cette nuit. Harry avait besoin de moi, j'y suis allée et je le referai sans hésiter.

- Il claque des doigts et tu accoures ?

- Non…

- Et la prochaine fois, s'il se blesse au Quidditch, tu iras le soigner et le consoler ?! Vous baiserez dans les vestiaires et sous la douche comme…

Il s'était tu brusquement mais le mal était fait.

Kiara avait blêmi en comprenant ce que signifiait les paroles imprudentes du sorcier.

- Tu nous a vus. Tu étais là, avait-elle dit d'une voix blanche.

Puis réalisant tout ce que cela impliquait, elle avait rugi :

- QU'EST-CE QUE TU FOUTAIS DANS CES PUTAINS DE VESTIAIRES, MALEFOY ?! TU ME DEGOUTES !!

Le blond avait semblé se liquéfier sur place. Rien de ce qu'il aurait pu dire ne l'aurait excusé.

- Ne t'approche plus de moi, Malefoy !

Sur ses dernières paroles qui avaient résonné comme une sentence, elle avait tourné les talons et monté rageusement les marches qui menaient à son dortoir.

Durant le reste de la semaine, ils n'avaient échangés que quelques mots, entrecoupés de remarques acerbes et de propos venimeux. La tension était latente et menaçait à tout instant.

L'entraînement du vendredi s'était relativement bien déroulé mais il semblait qu'un climat polaire gravitait autour d'eux dès qu'ils s'adressaient la parole.

Le samedi matin, Rogue les avait renvoyés dans leur Tour, arguant qu'ils n'étaient pas en état de préparer des potions ensemble.

Kiara s'était réfugiée dans ses devoirs pour oublier qu'un jour, elle avait été attirée par cet être égoïste qui s'appelait Drago Malefoy.

- Kiara ? Tu ne manges rien.

Elle sursauta, se tourna vers Scott et baissa les yeux sur son assiette. Cela faisait plus d'une demi-heure qu'elle déplaçait sa nourriture avec sa fourchette sans en avaler une bouchée. Tout était froid. Elle posa son couvert d'un geste las en soupirant. En levant la tête, elle rencontra le regard flamboyant de Drago.

Malefoy, quand à lui, ne décolérait pas. Il s'en voulait tellement qu'il tenait Kiara pour responsable de ce gâchis. Sa logique était parfaite, si elle n'avait pas été trouver Potter, il n'aurait pas été furieux et n'aurait pas laisser échapper qu'il les avait espionnés.

Sans Potter, rien ne serait arrivé. Finalement Potter faisait un bien meilleur coupable !

« Qui crois-tu tromper, Malefoy ? Tu es le seul coupable de cette histoire ! Ta jalousie t'a aveuglé et tu l'as perdue ! »

Cette pensée lui transperça le cœur plus cruellement qu'un poignard.

Tandis qu'il remettait de l'ordre dans sa tête, il vit Kiara se lever et rejoindre Hermione et Harry.

Avant de passer la porte, Harry se retourna une dernière fois. Son regard parcourut la table Serpentard et se posa sur Malefoy.

Leurs yeux se croisèrent un bref instant. Là où Drago ne pensait trouver que du mépris, voire du triomphe de la part de Harry, il n'y découvrit que de la contrariété.

« Qu'est-ce qui peut bien te contrarier, Harry Potter le Magnifique ? »

« Kiara ne veut pas retomber dans tes bras ? »

A ce qu'il en savait, la jeune fille ne sortait avec personne. Si certains n'avaient pas le courage lui proposer un rendez-vous quand il était présent, d'autres s'en fichaient. Seamus Finnigan avait été le premier sur les rangs. Drago se permit un rictus méprisant en pensant au jeune Irlandais. Il s'était fait poliment mais fermement éconduire, comme tous les autres.

Il secoua la tête et regagna la salle commune, seul.

Les deux Gryffondor et la jeune Serpentard avaient pris place sur les pupitres.

Kiara se tourna vers Hermione, qui ne paraissait pas satisfaite du tout. C'était le moins que l'on puisse dire.

Elle tenait le journal d'une main et le tapotait, frustrée, dans son autre paume.

La jeune fille leva un sourcil interrogateur en direction de Harry qui haussa les épaules en signe d'ignorance.

- Alors ? demanda finalement Kiara.

- C'est rageant ! Rien ! Rien ! Rien !

- Oh…

- Ça tu peux le dire : Oh… ! J'ai tout essayé ! Tout lu ! RIEN ! NADA ! Je suis…Je suis…si…si…

Kiara la dévisagea, les yeux ronds, c'était la première fois qu'elle voyait Hermione en colère et cela la laissait pantoise. Elle n'aurait jamais cru que la jeune Gryffondor pouvait perdre son sang-froid.

Elle jeta un coup d'œil perplexe à Harry qui lui rendit son regard.

Apparemment, il n'avait pas eu la primeur de ses résultats.

Finalement, à court de mots pour exprimer sa colère, Hermione se tut.

Kiara sentait qu'elle devait trouver les paroles qui apaiseraient son immense frustration. Aussi les choisit-elle avec soin.

- Hermione, je tenais à te dire à quel point je te suis reconnaissante pour tes efforts et du temps que tu as consacré à cette affaire de famille. Tu en as fait plus que Harry, moi et…Drago réunis. Je ne pourrai jamais assez te remercier des heures que tu m'as accordées. Maintenant si ce foutu journal refuse de parler, je laisse tomber !

Ce discours amena un pâle sourire sur les lèvres de Hermione.

- Kiara a raison. Tu as fait tout ce qui était humainement possible. Même Flitwick n'aurait pas fait mieux !

Les derniers mots de Harry restèrent comme suspendu dans l'air.

- Flitwick ? répétèrent-elles, les deux en même temps.

Les jeunes filles se regardèrent, en souriant jusqu'aux oreilles.

- Flitwick…dit Kiara pour la seconde fois. Voilà une solution à laquelle je n'avais pas songé.

Il fut donc décidé qu'elle irait trouver le petit Professeur de Sorts et Enchantements dès que possible. Il était sans nul doute son ultime recours.

Ça vous a plu ? Alors à samedi pour la suite.

Falyla