Auteur : Lorelei ange faucheur
E-mail : Lorelei_951@hotmail.com ( c'est mon adresse msn pour ceux qui veulent me lier, pas de problème)
Base :gundam wing
Titre : mistic eyes
Genre : UA/ Science fiction , torture psy du nouveau, mutilation YAOI lol je me demande si c'est vraiment utile de le préciser^^
Couple : . Il n'y a donc que sa qui vous intéresse dans une histoire ? . euh le même que ce qui est marqué sur le prologue.
Disclamer : Pour autant que je ne puisse revendiquer les G-boys , Saiki et Tsuyoshi sont à moi . quant à Médusa ^_- .
Note : Je laisse des indices pour l'identité de Médusa, trouver donc qui c'est .
Pour les reviews : merci à :
Carina : J'espere que tu as recu le mail et bonne lecture ^^
mimi : oublie pas de me dire ce que tu penses de Saiki à la fin ^_- ,
Akuma : voilà la suite et je suis désolé pas te faire béta lecté ( koike sa te fait du boulot en moins ) mais je ne suis la qu'aujourd'hui vive les vacances ! ! ,
Kaory : vi le dernier chapitre était court mais j'espere que celui la sera à la mesure de tes espérances^^
Naw : Si tu réfléchi un peu tu vas avoir la réponse à ta question ^_-
Tahiri-chan : . pour ta question médusa est un pseudo d'un personnage déjà existant mais bon j'en reparle dans les notes de fin de chapitre ^^ , merci pour tes encouragements^^
Bonne lecture a toutes !
Chapitre 3 : Une âme torturée, une apparence inerte
Duo pestait dans la cuisine, entre l'arrivée du nouveau et la boite de strychnol il n'avait plus du tout envie de dormir, l'envie ne correspondait malheureusement pas au besoin. Il se resservit pour la troisième fois consécutive une tasse de café, plongeant la tête dans les documents que lui avait fait parvenir le professeur G et qu'il devait justement lui rendre aujourd'hui. Les chiffres compliqués et les noms tout droit sortit des vieilles encyclopédies d'avant colonisation dansaient devant ses yeux ; quelle idée avait il eu de dire que la médecine d'AvC avait encore son utilité en temps actuel! Il se retrouvait à faire une étude pour prouver ses dires ; néanmoins, malgré tout ce que l'on peut dire ou affirmer, le mal de crâne se soigne toujours et encore avec de la pénicilline et pas autre chose ! La pénicilline = avant colonisation. Cette pensée tournait en boucle dans l'esprit du pilote 02 ne lui facilitant pas les recherches.
Duo regarda la pendule de la pièce pour la voir affiché un désespérant 5h du matin, il vida d'un trait ce qui restait dans sa tasse et recommença à travailler. Les minutes filaient sans que le natté ne s'en rende vraiment compte, finalement absorber dans son travail et il réussit à boucler ses travaux assez vite, enchaînant page sur page, pour voir débarquer les deux japonais. Il remit précipitamment les documents dans leur pochette avant de faire un grand sourire.
_ C'était bon ?
Saiki haussa à peine un sourcil avant de s'asseoir sans plus de cérémonie sur la table, Heero mit les bols dans l'invention appelée lave-vaisselle, « avant colonisation » cria l'esprit du natté qui réprima un fou rire. Heero, prenant un siège, se campa devant Duo.
_ Mangeable... Qu'est ce tu caches ?
Duo vit le regard des deux garçons, pas de doute possible, c'était bien à sa pochette qu'ils s'intéressaient. Duo prit un air dégagé et parla d'une voix posée, une pointe désagréable.
_' Absolument rien ' et devant le regard désapprobateur de Heero, 'Et toi que faisais tu avec de la strychnol ?
Un mini sourire narquois fit son apparition sur les lèvres d'Heero, si Duo voulait jouer à ça :
_ Comment se fait il que tu connaisses ce produit ?
_ Comment te l'es tu procuré ?
_ Pourquoi m'as tu traité de menteur ?
_Qui est il ? , Dit Duo en désignant Saiki de la tête.
_ Pourquoi as tu laissé rentrer quelqu'un d'étranger ici ?
Saiki les regardait d'un air circonspect jouer à une version personnelle du ping pong ou à dialogue de sourd comme vous préférez dont, d'ailleurs, il semblait être à présent la balle. La joute verbale des deux adolescents continuait de plus belle.
_ Pourquoi te cherchait il ?
_ Pourquoi ne m'as tu pas appelé pour me prévenir ?
_ D'où est ce que tu le connais ?
Heero soupira fortement et se releva pendant que l'autre japonais murmurait quelque chose comme « mauvais perdant »:
_ Bon et bien si tu veux des informations prend-les toi-même.
Et avant que Duo n'ai pu faire un geste, Heero s'empara du précieux document que le natté tenait dans son embrassement. Duo attrapa le bras d'Heero s'allongeant de tout son long sur la table et de son autre main maintint fermée la pochette.
_ Rends le moi Heero ! Je ne veux pas me battre avec toi.
_ Je ne vois pas ce qu'il peut y avoir de si important dedans... jolie tenue
Duo suivit les orbes cobalt ce qui lui fit baisser les yeux et rougit en voyant qu'une partie de son pantalon n'avait pas suivit le voyage et que son tee-shirt était au trois quart relevé mais ne fit rien et surtout ne lâcha pas pour autant Heero.
_ Heero, s'il te plaît fais-moi confiance.
Un long silence suivit ses mots et le Japonais relâcha finalement sa prise ce qui permit au natté de se relever et aussi de se rhabiller correctement. La confiance de Duo était l'une des seules Bibles de Heero et il savait cela réciproque. Duo releva ses yeux sur Heero et Saiki qui avait été prendre la cafetière sans que personne ne le voie et vidait consciencieusement le récipient en regardant de façon appuyée le tee-shirt de l'Américain ou pour être précis l'endroit où le tee-shirt marquait les hanches du garçon. Duo sortit le sourire shinigami et s'approcha du nouveau avec une tête marqué « attention pervers », il passa ensuite ses bras autour de la taille de Saiki, ses lèvres contre l'oreille de l'autre et dit d'une voix sensuelle :
_ Je te plais ?
Contrairement à un certain chinois du clan Shenlong que nous connaissons tous, le garçon ne dit rien, comme si l'information n'était pas encore monter au cerveau. Duo avait le souffle suspendu attendant une réponse à sa provocation, une odeur le sortit de ses pensées ; elle émanait des cheveux et du corps de Saiki :
_ 'Tu sens bon, tu sens la mer' et respirant profondément, 'l'écume qui se brise sur les rochers.'
Duo s 'éloigna alors du garçon surpris de son manque total de réactions [1] pour voir deux beaux yeux bleu-gris totalement perdu. Décidément le nouveau était étrange mais en même temps très semblable à Heero. L'Américain salua les deux garçons avant de sortir de la pièce, son habituelle natte battant ses hanches. Il n'entendit pas l'unique murmure qui sortit de la bouche de Saiki :
_ Tsuyoshi
**** flash-back****
Allongé sur son lit blanc, Saiki jouait distraitement avec ses cheveux blancs qui lui tombait négligemment sur le visage. Il regarda sa main à travers l'halogène de la pièce où il passait sa vie , il la trouvait étrangement pale , rien à voir avec celle de Heero pour la bonne et simple raison que contrairement au perfect soldier , lui n'avait jamais vu le soleil hormis à travers des vidéos mais les ultra violets ne traversent pas encore les bandes vidéo . Avec son autre main il se saisit du cutter qu'il avait dérobé dans la salle de compta du laboratoire et s'entailla profondément la veine suivant une ligne déjà tracé sur son poignet comme si ce n'était pas la première fois qu'elle était ouverte. Le liquide rouge tachait la lame qui se détachait lentement des nervures du garçon qui ne bougeait pas fasciné par le sang qui coulait paisiblement le long de son bras.
_ J'ai mal , je suis en vie . La base de la vie humaine est la souffrance .
Ces mots étaient sa doctrine depuis l'âge de six ans depuis que le dictionnaire l'avait amené à la lettre D , D comme douleur mais aussi comme Délivrance , l'association avait vite été faite dans son petit être intelligent, la marque sur son bras remontait à la même période . Le liquide carmin continuait inexorablement sa descente pour tacher l'habit blanc de l'adolescent , à vrai dire pour n'importe quelle personne extérieur cela aurait été la panique totale , le sang coulait à flot le vidant lentement sans que Saiki ne réagissent, pourtant il serait bête de croire que le garçon aux cheveux blancs était seul dans la pièce :
_ Tu vas le laisser couler longtemps ?
Saiki se redressa pour faire face à son compagnon de chambre et vit un petit sourire moqueur et légèrement psychopathe sur les lèvres de son vis à vis [2] qui était tranquillement assis sur son propre lit qui faisait face à celui du scarifié.
_ Tsuyoshi., fut la seule réponse accordée par une belle voix traînante plongée dans les yeux noirs de son compagnon.
Le garçon se leva de son lit pour rejoindre le blessé qui ne semblait pas décidé à bouger le moins du monde et s'assit à coté de lui passant une main dans ses cheveux noirs en bataille. Tsuyoshi pris doucement le poignet meurtri et recouvrit de sa main la plaie qui disparut instantanément.
_ Tu n'as pas effacé les marques.
_ Tu n'aurais pas voulu de toute façon.
_ Non.
_ -_- Quel chieur tu fais quand tu t'y met.
_ Qu'est ce que j'ai fait ?
_ Rien justement et c'est le problème.
Tsuyoshi ne laissa pas le temps à l'autre japonais de répondre et plongea sa tête dans les cheveux blancs de Saiki le serrant fort contre son corps rassurant.
_ Tu l'as fais finalement ^_____________________________^, Tsuyoshi est fier de Saiki-koi et espère que sa fera bien péter les câbles de ce puceau de J.
Saiki se contenta d'esquisser l'un de ses rares sourires dans la poitrine de son ami.
_ Tu sens bon.
Saiki ne répondit pas trop étonner de la phrase de Tsuyoshi qui continuait son petit délire.
_ Tu sens la mer et les embruns, les vagues qui s'échouent sur la plage . Je sais que tu n'as jamais vu la mer de ta vie mais si tu savais comme c'est beau et tes cheveux ont la couleur de l'écume , sa me rappelle mon Okinawa natal . Tu es ma bouée et je suis ton port .
Les deux garçons se resserrèrent un peu plus comme pour sceller la déclaration du garçon aux orbes noires . Tsuyoshi reprit la parole :
_Ai shiteru .
_ Nani ?
_ Betsuni . wasureru [3]
**** fin du flash ****
Saiki ressortit de ses souvenirs et se retrouva face à deux yeux cobalt pour le moins... dubitatif.
_ Qu'est ce qu'IL dirait ?
_ Je ne lui demande pas d'être fidèle et lui non plus, il ne disait rien pour Tsuyoshi alors bon.
_ Des fois je me demande pourquoi vous êtes ensemble.
_ Tout simplement qu'il n'est pas jaloux et que c'est un bon coup au lit.
Heero fit l'effort de ne pas paraître étonné devant les propos de son vis à vis.
_ Saiki...
_ Hm ? , lui répondit ce dernier avec de grands yeux innocents.
_ On ne dit pas d'une personne qu'elle est bonne au lit, ce n'est pas correct.
_ On dit quoi alors ?
_ On le dit pas...
Saiki analysa les paroles d'Heero avant de répondre.
_ Pourtant c'est un compliment... Et c'est une analyse intéressante sur la personne ; on est renseigné sur la technique et l'endurance.
_ Ca s'appelle la vie privée. J'avais oublié que tout avait mesure d'étude pour toi... Au moins tu n'as pas essayé les filles.
_ ... Na, m'intéresse pas.
_ C'est déjà ça.
Aussi étrange que puisse paraître le langage plutôt cru du nouvel arrivant et la soudaine loquacité d'Heero, depuis qu'ils se connaissaient Heero avait toujours du apprendre la façon de se conduire normalement à son compagnon qui avait passé sa vie dans les labos de L1 et dans celui d'Ednacity sans sortir une seule fois. Heero admirait néanmoins son compagnon pour une chose, contrairement à lui qui devait supprimer ses émotions, Saiki, lui qui avait été sur-conditionné pour ne pas en ressentir, essayait par tous les moyens de comprendre l'espèce à laquelle il faisait partit. Il fallait rester conscient qu'il possédait un retard phénoménal dans les relations humaines même par rapport à Heero et certaines de ses expériences avaient eu des retombées malheureuses.
****Flash-back **** Dans la serre du laboratoire, une petite forme était repliée sur elle-même. L'enfant aux yeux d'orage avait réussi à attraper une mésange qui voletait négligemment près du sol et la tenait enfermé dans ses mains. Il regardait de ses grands yeux vitreux le volatile sans réaction aux creux de sa poigne. Un long soupir résonna dans la pièce, cela faisait plus de vingt minutes qu'il était resté devant l'animal sans que la bestiole n'ai manifesté la moindre « émotion ». Le garçon se décida à agir, d'un geste lent, il saisit l'une des ailes et en arracha d'un coup sec une plume :
_ Est-ce que tu as mal ?
La voix enfantine se répercuta sur tous les murs de la serre attirant le docteur J qui passait par-là, il se figea devant le spectacle qu'offrait la kokoro no ningyô. L'enfant plissait les narines et ses lèvres formaient une charmante moue boudeuse et ennuyée.
_ Si tu ne réagis pas, c'est pas drôle.
L'oiseau n'avait pas esquissé le moindre mouvement sûrement figé par la peur si tenté qu'un oiseau ressente des émotions mais là était toute l'étude de Saiki ; la douleur était elle réservé seulement aux humains ? Pris dans ses délibérations la poupée du laboratoire n'avait pas remarqué la présence du vieille homme et continua son expérience . L'enfant jeta un ?il à ses poignets et prit sa décision , il prit l'oiseau par les deux ailes et tira violemment séparant le corps du malheureux en trois parties . La pauvre bête se tordait de douleur sur le sol pendant que Saiki riait aux éclats en battant de ses mains ensanglantées devant cet odieux spectacle:
_ j'avais raison , j'avais raison , tout les créatures ressentent la douleur ! ! ! !
Et il continua à rire , à ses pieds un oiseau mourut .
Son visage joyeux disparut quand une main forte vint heurter son visage et le propulser la tête contre un mur . Le docteur J qui n'avait pas réagit, tétanisé par la réaction de sa chose fulminait de rage. Il leva encore sa main sur l'enfant qui ne chercha même pas à se protéger du coup qui tomba aussi violent que le premier . L'homme cybernétisé prépara encore un troisième coup pour le gamin qui , bien qu'il avait la lèvre et l'arcade sourcilière ouvertes n'avait pas la moindre once de vie au fond de ses beaux yeux, mais le retint , c'était inutile sur une créature tel que lui , un coup pour leçon ne lui signifiait rien .
_ J'espère au moins que tu as mal que tu comprenne ce que tu as fait .
Le gamin releva ses yeux vides sur le vieillard passant une langue sur sa lèvre endommagée.
_ Négatif docteur , ma douleur n'est pas comparable puisqu'elle n'est pas mortelle.
L'adulte passa en mode carpe ouvrant refermant sa bouche sans un son puis ressortit de la serre braillant un 'dégénéré' parfaitement audible pour le gosse qui se releva sans la moindre gène et prononça bien fort pour le que le vieux entende la phrase que son ami Tsuyoshi lui avait appris :
_ SALE CON ! ! !
****fin du flash****
Saiki fixait encore la porte où avait disparut l'Américain :
_... hm.
_ Hn ?
_ Tu crois qu'on aurait du dire à Duo que le professeur J venait demain pour nous donner nos missions ?
_ 'Ce n'est pas grave. On le réveillera avec un seau d'eau dans...', Heero jeta un coup à la pendule, ' 3h puisqu'il est 6h15.
_ ... Au fait pourquoi tu étais jaloux tout à l'heure ?
Heero regarda Saiki qui semblait vraiment ne pas comprendre ce qu'il venait de suggérer ce que Heero savait parfaitement faux derrière son air de pas y toucher. Saiki avait beau ne pas 'encore' savoir se comporter parfaitement au milieu de la civilisation, ses analyses étaient toujours justes mais quand on possède 290 de QI [4], il n'y avait pas de quoi applaudir. Heero ne voulait pas répondre à la question et trouva une sortie bien personnelle :
_ Tu veux retourner dans le labo de J ?
Heero manqua de perdre pied quand il vit que le jeune homme réfléchissait vraiment au sarcasme qu'il venait de lui faire et dont la réponse était évidente :
_ ... je présume que je ne veux pas.
_ Un jour, tu me tueras. Dit Heero levant les yeux au ciel.
_ C'est pas le but mais mes batteries sont presque vide puisqu'on parle de ce qui est mortel mais ce n'est pas ce que tu voulais me demander.
_ ... Pourquoi regardais tu ses hanches ?
_ Tu savais qu'il avait une longue cicatrice à ce niveau ?
Heero haussa les épaules :
_ Il a du se blesser en mission.
_ Non c'est beaucoup plus vieux, répondit Saiki en hochant négativement la tête.
Heero ne parut pas s'intéresser à la nouvelle, perfect soldier aux commandes depuis le mot mission et surtout rassuré pour une raison étrange que Saiki ne 'matait' pas son compagnon, une précision lui semblait quand même encore nécessaire :
_ Au fait Saiki, je te rappelle que les cafetières ne se téléportent pas, ce n'est pas courant pour les gens avec lesquels tu vas être à présent alors évite la prochaine fois.
_ '... D'un rat de laboratoire de J on peut tout s'attendre', répliqua le garçon aux cheveux blancs pas le moindre du monde gêné mais qui alla tout de même remettre la cafetière à son emplacement normal par la voix habituelle. 'Et puis Duo ne m'a pas vu.'
_ Hn.
_ Il était trop plongé dans ton regard pour me remarquer.
_ SAIKI ! ! ! ! , répliqua immédiatement la voix de Heero qui montait très haut dans les aiguës.
_ ... C'était purement objectif.
Les deux garçons reprirent le chemin de la chambre du 01 et finirent la nuit à parler.
**** matin 8h30 * cuisine ***
Trowa s'installa avec Wufei et Quatre qui venait d'arriver. Il avait eu du mal a bougé en se réveillant immobilisé par le bandage qui couvrait son poumon abîmé, la médecine de Sally avait tout de fois eue un effet étonnant et il se sentait bien mieux, s'en était presque miraculeux qu'un médecin soit si doué, presque impensable, en tout cas il aurait bien aimé savoir quel produit elle lui avait administré. Trowa remercia Quatre qui l'avait soutenu jusqu'en bas et Wufei pour l'avoir sortit du lit.
Il regardait avec étonnement la personne assise à coté du japonais et qui n'était pour une fois pas le natté mais un autre Japonais qui se présenta sous le nom de Saiki Furusawa puis qui ne parla plus se contentant de les dévisager tour à tour, Trowa ne posa pas de question et nota l'absence de Duo.
Quatre se sentait mal à l'aise face au regard du garçon qui à proprement parler était inexpressif et c'était justement ce point la qui le rendant effrayant, on avait l'impression de faire face à une marionnette, une coquille sans rien à l'intérieur. Un bruit de chaise détourna son attention, Heero s'était levé :
_ Je vais aller réveiller Duo, un seau d'eau sera nécessaire.
_ NON ! ! ! ! ! ! ! !
Tous se tournèrent vers l'origine du cri, c'était Quatre.
_ Duo a passé la journée d'hier à nous soigner et à s'occuper de nous, il peut peut-être se reposer un peu plus ?
Heero vit que Quatre rougissait à moitié en parlant, gêné d'avoir élevé le ton.
_ Non, désolé pour lui mais le professeur J se déplace pour nous donner notre mission.
_ Seulement J ? J'aurais pensé que les autres mads seraient venus aussi... En attendant laisse moi allez réveiller Duo, je ne tiens pas à le voir arriver avec des cheveux trempés.
Wufei parla pour la première fois depuis qu'il était à table.
_ Pourtant c'est marrant.
Quatre souffla exaspérer et prit la direction de l'escalier :
_ Je te signale que tu parles de la personne qui a passé une heure et demi à te réanimer et à qui tu dois d'être sur pied ce matin.
Puis l'Arabe gravit les escaliers la main sur la rampe de bois brun. Il fallait monter au deuxième étage de la maison pour accéder aux chambres, les murs blancs succédaient aux murs blancs comme un paysage monochrome pour finalement aboutir à la porte bleue du second étage.
Là, pour changer des murs blancs, ils étaient de différents bleus chevauchés par des arabesques noires qui représentaient une végétation. Le petit blond s'arrêta devant la troisième porte qui était celle de Duo. Il frappa la porte mais aucune réponse ne lui parvint, ce petit manège recommença quatre fois avec le même résultat, Quatre se résolu donc à ouvrir la porte de la chambre silencieuse, il saisit la poignée et poussa la porte pour la refermer trente secondes plus tard.
_ Bon on recommence et pas de blague.
Quatre ré ouvrit la porte pour trouver le même résultat, il poussa un soupir à fendre l'âme :
_ Quatre lettres : V. I. D.E comme vide, trois mots : Où est Duo ?
A suivre...
note : Je suis malheureusement de vacances forcés et je n'aurais plus de connexion Internet avant fin Août puisque mon portable n'en est pas équipé ( j'ai un portable je vais pas me plaindre ^^'''' je peux toujours avancé dans mes fics) . Mais laissez moi quand même une reviews, ça me sauvera et me redonnera du courage après mon bagne obligatoire ! ! ! !
Ah ! ! Oui ! Si vous voulez savoir qui est IL dont Saiki et Hee-chan parle, il faudra se référer à la fic de Sephy ( sur son site 'fallen Angel') , my sweet love ! ( lisez tous msl elle est trop bien ^^ ... ok j'arrête la pub) , le personnage s'appelle Saki ... Saki/Saiki ...ils sont fais pour être ensemble avec des noms pareils ^^ ( au fait Sephy on se le fait quand notre cross over ?)
Le comportement de Saiki est un thème qui revient souvent dans ce chapitre et je ne suis même pas sur que vous compreniez encore tout à fait le personnage , j'attache beaucoup d'importance aux définitions et aux mots ;
exemple : Quand je met 'encore' entre guillemets dans la phrase « . Saiki avait beau ne pas 'encore' savoir se comporter parfaitement » ce n'est pas un hasard et je base la compréhension de ce personnage la dessus ... en plus des flash backs bien sur ^-^ ... J'avoue ... Sephy m'a dit que mes rapports et mes persos étaient très complexes et que j'avais intérêt à faire des interludes ... T_T J'ai trop la flemmeeeeeuuuuhhhhh.
Pour ce qui est de Médusa ( je pense en particulier à Tahiri-chan ^^) , ce n'est pas un perso original ... Médusa est un nom de code pour une personne déjà existante . Vous voyez qui c'est ^_~ ? ... Pour ceux qui ne voit toujours pas il y a un indice dans le chapitre 1 et un autre dans le 2 ( en tous cas bravo Sephy qui a trouvé même si elle avait les fiches de persos mdr)
[1]^____________________^ Je vous l'ai dit ce mec , c'est deux de tension arfffff ze l 'aime ( presque autant que ton Saki ma sephy-sama^^)
[2] : si si vous voyez de quoi je veux parler, le sourire Shinigami ^______________^
[3]_Ai shiteru ./ Je t'aime
_ Nani ? / quoi ?
_ Betsuni . wasureru / rien . oublie
[4] Niark niark niark , il a un meilleur QI que Einstein ^^ ; ; ; mais faut dire que quand le professeur vous a traficoter l'adn.
E-mail : Lorelei_951@hotmail.com ( c'est mon adresse msn pour ceux qui veulent me lier, pas de problème)
Base :gundam wing
Titre : mistic eyes
Genre : UA/ Science fiction , torture psy du nouveau, mutilation YAOI lol je me demande si c'est vraiment utile de le préciser^^
Couple : . Il n'y a donc que sa qui vous intéresse dans une histoire ? . euh le même que ce qui est marqué sur le prologue.
Disclamer : Pour autant que je ne puisse revendiquer les G-boys , Saiki et Tsuyoshi sont à moi . quant à Médusa ^_- .
Note : Je laisse des indices pour l'identité de Médusa, trouver donc qui c'est .
Pour les reviews : merci à :
Carina : J'espere que tu as recu le mail et bonne lecture ^^
mimi : oublie pas de me dire ce que tu penses de Saiki à la fin ^_- ,
Akuma : voilà la suite et je suis désolé pas te faire béta lecté ( koike sa te fait du boulot en moins ) mais je ne suis la qu'aujourd'hui vive les vacances ! ! ,
Kaory : vi le dernier chapitre était court mais j'espere que celui la sera à la mesure de tes espérances^^
Naw : Si tu réfléchi un peu tu vas avoir la réponse à ta question ^_-
Tahiri-chan : . pour ta question médusa est un pseudo d'un personnage déjà existant mais bon j'en reparle dans les notes de fin de chapitre ^^ , merci pour tes encouragements^^
Bonne lecture a toutes !
Chapitre 3 : Une âme torturée, une apparence inerte
Duo pestait dans la cuisine, entre l'arrivée du nouveau et la boite de strychnol il n'avait plus du tout envie de dormir, l'envie ne correspondait malheureusement pas au besoin. Il se resservit pour la troisième fois consécutive une tasse de café, plongeant la tête dans les documents que lui avait fait parvenir le professeur G et qu'il devait justement lui rendre aujourd'hui. Les chiffres compliqués et les noms tout droit sortit des vieilles encyclopédies d'avant colonisation dansaient devant ses yeux ; quelle idée avait il eu de dire que la médecine d'AvC avait encore son utilité en temps actuel! Il se retrouvait à faire une étude pour prouver ses dires ; néanmoins, malgré tout ce que l'on peut dire ou affirmer, le mal de crâne se soigne toujours et encore avec de la pénicilline et pas autre chose ! La pénicilline = avant colonisation. Cette pensée tournait en boucle dans l'esprit du pilote 02 ne lui facilitant pas les recherches.
Duo regarda la pendule de la pièce pour la voir affiché un désespérant 5h du matin, il vida d'un trait ce qui restait dans sa tasse et recommença à travailler. Les minutes filaient sans que le natté ne s'en rende vraiment compte, finalement absorber dans son travail et il réussit à boucler ses travaux assez vite, enchaînant page sur page, pour voir débarquer les deux japonais. Il remit précipitamment les documents dans leur pochette avant de faire un grand sourire.
_ C'était bon ?
Saiki haussa à peine un sourcil avant de s'asseoir sans plus de cérémonie sur la table, Heero mit les bols dans l'invention appelée lave-vaisselle, « avant colonisation » cria l'esprit du natté qui réprima un fou rire. Heero, prenant un siège, se campa devant Duo.
_ Mangeable... Qu'est ce tu caches ?
Duo vit le regard des deux garçons, pas de doute possible, c'était bien à sa pochette qu'ils s'intéressaient. Duo prit un air dégagé et parla d'une voix posée, une pointe désagréable.
_' Absolument rien ' et devant le regard désapprobateur de Heero, 'Et toi que faisais tu avec de la strychnol ?
Un mini sourire narquois fit son apparition sur les lèvres d'Heero, si Duo voulait jouer à ça :
_ Comment se fait il que tu connaisses ce produit ?
_ Comment te l'es tu procuré ?
_ Pourquoi m'as tu traité de menteur ?
_Qui est il ? , Dit Duo en désignant Saiki de la tête.
_ Pourquoi as tu laissé rentrer quelqu'un d'étranger ici ?
Saiki les regardait d'un air circonspect jouer à une version personnelle du ping pong ou à dialogue de sourd comme vous préférez dont, d'ailleurs, il semblait être à présent la balle. La joute verbale des deux adolescents continuait de plus belle.
_ Pourquoi te cherchait il ?
_ Pourquoi ne m'as tu pas appelé pour me prévenir ?
_ D'où est ce que tu le connais ?
Heero soupira fortement et se releva pendant que l'autre japonais murmurait quelque chose comme « mauvais perdant »:
_ Bon et bien si tu veux des informations prend-les toi-même.
Et avant que Duo n'ai pu faire un geste, Heero s'empara du précieux document que le natté tenait dans son embrassement. Duo attrapa le bras d'Heero s'allongeant de tout son long sur la table et de son autre main maintint fermée la pochette.
_ Rends le moi Heero ! Je ne veux pas me battre avec toi.
_ Je ne vois pas ce qu'il peut y avoir de si important dedans... jolie tenue
Duo suivit les orbes cobalt ce qui lui fit baisser les yeux et rougit en voyant qu'une partie de son pantalon n'avait pas suivit le voyage et que son tee-shirt était au trois quart relevé mais ne fit rien et surtout ne lâcha pas pour autant Heero.
_ Heero, s'il te plaît fais-moi confiance.
Un long silence suivit ses mots et le Japonais relâcha finalement sa prise ce qui permit au natté de se relever et aussi de se rhabiller correctement. La confiance de Duo était l'une des seules Bibles de Heero et il savait cela réciproque. Duo releva ses yeux sur Heero et Saiki qui avait été prendre la cafetière sans que personne ne le voie et vidait consciencieusement le récipient en regardant de façon appuyée le tee-shirt de l'Américain ou pour être précis l'endroit où le tee-shirt marquait les hanches du garçon. Duo sortit le sourire shinigami et s'approcha du nouveau avec une tête marqué « attention pervers », il passa ensuite ses bras autour de la taille de Saiki, ses lèvres contre l'oreille de l'autre et dit d'une voix sensuelle :
_ Je te plais ?
Contrairement à un certain chinois du clan Shenlong que nous connaissons tous, le garçon ne dit rien, comme si l'information n'était pas encore monter au cerveau. Duo avait le souffle suspendu attendant une réponse à sa provocation, une odeur le sortit de ses pensées ; elle émanait des cheveux et du corps de Saiki :
_ 'Tu sens bon, tu sens la mer' et respirant profondément, 'l'écume qui se brise sur les rochers.'
Duo s 'éloigna alors du garçon surpris de son manque total de réactions [1] pour voir deux beaux yeux bleu-gris totalement perdu. Décidément le nouveau était étrange mais en même temps très semblable à Heero. L'Américain salua les deux garçons avant de sortir de la pièce, son habituelle natte battant ses hanches. Il n'entendit pas l'unique murmure qui sortit de la bouche de Saiki :
_ Tsuyoshi
**** flash-back****
Allongé sur son lit blanc, Saiki jouait distraitement avec ses cheveux blancs qui lui tombait négligemment sur le visage. Il regarda sa main à travers l'halogène de la pièce où il passait sa vie , il la trouvait étrangement pale , rien à voir avec celle de Heero pour la bonne et simple raison que contrairement au perfect soldier , lui n'avait jamais vu le soleil hormis à travers des vidéos mais les ultra violets ne traversent pas encore les bandes vidéo . Avec son autre main il se saisit du cutter qu'il avait dérobé dans la salle de compta du laboratoire et s'entailla profondément la veine suivant une ligne déjà tracé sur son poignet comme si ce n'était pas la première fois qu'elle était ouverte. Le liquide rouge tachait la lame qui se détachait lentement des nervures du garçon qui ne bougeait pas fasciné par le sang qui coulait paisiblement le long de son bras.
_ J'ai mal , je suis en vie . La base de la vie humaine est la souffrance .
Ces mots étaient sa doctrine depuis l'âge de six ans depuis que le dictionnaire l'avait amené à la lettre D , D comme douleur mais aussi comme Délivrance , l'association avait vite été faite dans son petit être intelligent, la marque sur son bras remontait à la même période . Le liquide carmin continuait inexorablement sa descente pour tacher l'habit blanc de l'adolescent , à vrai dire pour n'importe quelle personne extérieur cela aurait été la panique totale , le sang coulait à flot le vidant lentement sans que Saiki ne réagissent, pourtant il serait bête de croire que le garçon aux cheveux blancs était seul dans la pièce :
_ Tu vas le laisser couler longtemps ?
Saiki se redressa pour faire face à son compagnon de chambre et vit un petit sourire moqueur et légèrement psychopathe sur les lèvres de son vis à vis [2] qui était tranquillement assis sur son propre lit qui faisait face à celui du scarifié.
_ Tsuyoshi., fut la seule réponse accordée par une belle voix traînante plongée dans les yeux noirs de son compagnon.
Le garçon se leva de son lit pour rejoindre le blessé qui ne semblait pas décidé à bouger le moins du monde et s'assit à coté de lui passant une main dans ses cheveux noirs en bataille. Tsuyoshi pris doucement le poignet meurtri et recouvrit de sa main la plaie qui disparut instantanément.
_ Tu n'as pas effacé les marques.
_ Tu n'aurais pas voulu de toute façon.
_ Non.
_ -_- Quel chieur tu fais quand tu t'y met.
_ Qu'est ce que j'ai fait ?
_ Rien justement et c'est le problème.
Tsuyoshi ne laissa pas le temps à l'autre japonais de répondre et plongea sa tête dans les cheveux blancs de Saiki le serrant fort contre son corps rassurant.
_ Tu l'as fais finalement ^_____________________________^, Tsuyoshi est fier de Saiki-koi et espère que sa fera bien péter les câbles de ce puceau de J.
Saiki se contenta d'esquisser l'un de ses rares sourires dans la poitrine de son ami.
_ Tu sens bon.
Saiki ne répondit pas trop étonner de la phrase de Tsuyoshi qui continuait son petit délire.
_ Tu sens la mer et les embruns, les vagues qui s'échouent sur la plage . Je sais que tu n'as jamais vu la mer de ta vie mais si tu savais comme c'est beau et tes cheveux ont la couleur de l'écume , sa me rappelle mon Okinawa natal . Tu es ma bouée et je suis ton port .
Les deux garçons se resserrèrent un peu plus comme pour sceller la déclaration du garçon aux orbes noires . Tsuyoshi reprit la parole :
_Ai shiteru .
_ Nani ?
_ Betsuni . wasureru [3]
**** fin du flash ****
Saiki ressortit de ses souvenirs et se retrouva face à deux yeux cobalt pour le moins... dubitatif.
_ Qu'est ce qu'IL dirait ?
_ Je ne lui demande pas d'être fidèle et lui non plus, il ne disait rien pour Tsuyoshi alors bon.
_ Des fois je me demande pourquoi vous êtes ensemble.
_ Tout simplement qu'il n'est pas jaloux et que c'est un bon coup au lit.
Heero fit l'effort de ne pas paraître étonné devant les propos de son vis à vis.
_ Saiki...
_ Hm ? , lui répondit ce dernier avec de grands yeux innocents.
_ On ne dit pas d'une personne qu'elle est bonne au lit, ce n'est pas correct.
_ On dit quoi alors ?
_ On le dit pas...
Saiki analysa les paroles d'Heero avant de répondre.
_ Pourtant c'est un compliment... Et c'est une analyse intéressante sur la personne ; on est renseigné sur la technique et l'endurance.
_ Ca s'appelle la vie privée. J'avais oublié que tout avait mesure d'étude pour toi... Au moins tu n'as pas essayé les filles.
_ ... Na, m'intéresse pas.
_ C'est déjà ça.
Aussi étrange que puisse paraître le langage plutôt cru du nouvel arrivant et la soudaine loquacité d'Heero, depuis qu'ils se connaissaient Heero avait toujours du apprendre la façon de se conduire normalement à son compagnon qui avait passé sa vie dans les labos de L1 et dans celui d'Ednacity sans sortir une seule fois. Heero admirait néanmoins son compagnon pour une chose, contrairement à lui qui devait supprimer ses émotions, Saiki, lui qui avait été sur-conditionné pour ne pas en ressentir, essayait par tous les moyens de comprendre l'espèce à laquelle il faisait partit. Il fallait rester conscient qu'il possédait un retard phénoménal dans les relations humaines même par rapport à Heero et certaines de ses expériences avaient eu des retombées malheureuses.
****Flash-back **** Dans la serre du laboratoire, une petite forme était repliée sur elle-même. L'enfant aux yeux d'orage avait réussi à attraper une mésange qui voletait négligemment près du sol et la tenait enfermé dans ses mains. Il regardait de ses grands yeux vitreux le volatile sans réaction aux creux de sa poigne. Un long soupir résonna dans la pièce, cela faisait plus de vingt minutes qu'il était resté devant l'animal sans que la bestiole n'ai manifesté la moindre « émotion ». Le garçon se décida à agir, d'un geste lent, il saisit l'une des ailes et en arracha d'un coup sec une plume :
_ Est-ce que tu as mal ?
La voix enfantine se répercuta sur tous les murs de la serre attirant le docteur J qui passait par-là, il se figea devant le spectacle qu'offrait la kokoro no ningyô. L'enfant plissait les narines et ses lèvres formaient une charmante moue boudeuse et ennuyée.
_ Si tu ne réagis pas, c'est pas drôle.
L'oiseau n'avait pas esquissé le moindre mouvement sûrement figé par la peur si tenté qu'un oiseau ressente des émotions mais là était toute l'étude de Saiki ; la douleur était elle réservé seulement aux humains ? Pris dans ses délibérations la poupée du laboratoire n'avait pas remarqué la présence du vieille homme et continua son expérience . L'enfant jeta un ?il à ses poignets et prit sa décision , il prit l'oiseau par les deux ailes et tira violemment séparant le corps du malheureux en trois parties . La pauvre bête se tordait de douleur sur le sol pendant que Saiki riait aux éclats en battant de ses mains ensanglantées devant cet odieux spectacle:
_ j'avais raison , j'avais raison , tout les créatures ressentent la douleur ! ! ! !
Et il continua à rire , à ses pieds un oiseau mourut .
Son visage joyeux disparut quand une main forte vint heurter son visage et le propulser la tête contre un mur . Le docteur J qui n'avait pas réagit, tétanisé par la réaction de sa chose fulminait de rage. Il leva encore sa main sur l'enfant qui ne chercha même pas à se protéger du coup qui tomba aussi violent que le premier . L'homme cybernétisé prépara encore un troisième coup pour le gamin qui , bien qu'il avait la lèvre et l'arcade sourcilière ouvertes n'avait pas la moindre once de vie au fond de ses beaux yeux, mais le retint , c'était inutile sur une créature tel que lui , un coup pour leçon ne lui signifiait rien .
_ J'espère au moins que tu as mal que tu comprenne ce que tu as fait .
Le gamin releva ses yeux vides sur le vieillard passant une langue sur sa lèvre endommagée.
_ Négatif docteur , ma douleur n'est pas comparable puisqu'elle n'est pas mortelle.
L'adulte passa en mode carpe ouvrant refermant sa bouche sans un son puis ressortit de la serre braillant un 'dégénéré' parfaitement audible pour le gosse qui se releva sans la moindre gène et prononça bien fort pour le que le vieux entende la phrase que son ami Tsuyoshi lui avait appris :
_ SALE CON ! ! !
****fin du flash****
Saiki fixait encore la porte où avait disparut l'Américain :
_... hm.
_ Hn ?
_ Tu crois qu'on aurait du dire à Duo que le professeur J venait demain pour nous donner nos missions ?
_ 'Ce n'est pas grave. On le réveillera avec un seau d'eau dans...', Heero jeta un coup à la pendule, ' 3h puisqu'il est 6h15.
_ ... Au fait pourquoi tu étais jaloux tout à l'heure ?
Heero regarda Saiki qui semblait vraiment ne pas comprendre ce qu'il venait de suggérer ce que Heero savait parfaitement faux derrière son air de pas y toucher. Saiki avait beau ne pas 'encore' savoir se comporter parfaitement au milieu de la civilisation, ses analyses étaient toujours justes mais quand on possède 290 de QI [4], il n'y avait pas de quoi applaudir. Heero ne voulait pas répondre à la question et trouva une sortie bien personnelle :
_ Tu veux retourner dans le labo de J ?
Heero manqua de perdre pied quand il vit que le jeune homme réfléchissait vraiment au sarcasme qu'il venait de lui faire et dont la réponse était évidente :
_ ... je présume que je ne veux pas.
_ Un jour, tu me tueras. Dit Heero levant les yeux au ciel.
_ C'est pas le but mais mes batteries sont presque vide puisqu'on parle de ce qui est mortel mais ce n'est pas ce que tu voulais me demander.
_ ... Pourquoi regardais tu ses hanches ?
_ Tu savais qu'il avait une longue cicatrice à ce niveau ?
Heero haussa les épaules :
_ Il a du se blesser en mission.
_ Non c'est beaucoup plus vieux, répondit Saiki en hochant négativement la tête.
Heero ne parut pas s'intéresser à la nouvelle, perfect soldier aux commandes depuis le mot mission et surtout rassuré pour une raison étrange que Saiki ne 'matait' pas son compagnon, une précision lui semblait quand même encore nécessaire :
_ Au fait Saiki, je te rappelle que les cafetières ne se téléportent pas, ce n'est pas courant pour les gens avec lesquels tu vas être à présent alors évite la prochaine fois.
_ '... D'un rat de laboratoire de J on peut tout s'attendre', répliqua le garçon aux cheveux blancs pas le moindre du monde gêné mais qui alla tout de même remettre la cafetière à son emplacement normal par la voix habituelle. 'Et puis Duo ne m'a pas vu.'
_ Hn.
_ Il était trop plongé dans ton regard pour me remarquer.
_ SAIKI ! ! ! ! , répliqua immédiatement la voix de Heero qui montait très haut dans les aiguës.
_ ... C'était purement objectif.
Les deux garçons reprirent le chemin de la chambre du 01 et finirent la nuit à parler.
**** matin 8h30 * cuisine ***
Trowa s'installa avec Wufei et Quatre qui venait d'arriver. Il avait eu du mal a bougé en se réveillant immobilisé par le bandage qui couvrait son poumon abîmé, la médecine de Sally avait tout de fois eue un effet étonnant et il se sentait bien mieux, s'en était presque miraculeux qu'un médecin soit si doué, presque impensable, en tout cas il aurait bien aimé savoir quel produit elle lui avait administré. Trowa remercia Quatre qui l'avait soutenu jusqu'en bas et Wufei pour l'avoir sortit du lit.
Il regardait avec étonnement la personne assise à coté du japonais et qui n'était pour une fois pas le natté mais un autre Japonais qui se présenta sous le nom de Saiki Furusawa puis qui ne parla plus se contentant de les dévisager tour à tour, Trowa ne posa pas de question et nota l'absence de Duo.
Quatre se sentait mal à l'aise face au regard du garçon qui à proprement parler était inexpressif et c'était justement ce point la qui le rendant effrayant, on avait l'impression de faire face à une marionnette, une coquille sans rien à l'intérieur. Un bruit de chaise détourna son attention, Heero s'était levé :
_ Je vais aller réveiller Duo, un seau d'eau sera nécessaire.
_ NON ! ! ! ! ! ! ! !
Tous se tournèrent vers l'origine du cri, c'était Quatre.
_ Duo a passé la journée d'hier à nous soigner et à s'occuper de nous, il peut peut-être se reposer un peu plus ?
Heero vit que Quatre rougissait à moitié en parlant, gêné d'avoir élevé le ton.
_ Non, désolé pour lui mais le professeur J se déplace pour nous donner notre mission.
_ Seulement J ? J'aurais pensé que les autres mads seraient venus aussi... En attendant laisse moi allez réveiller Duo, je ne tiens pas à le voir arriver avec des cheveux trempés.
Wufei parla pour la première fois depuis qu'il était à table.
_ Pourtant c'est marrant.
Quatre souffla exaspérer et prit la direction de l'escalier :
_ Je te signale que tu parles de la personne qui a passé une heure et demi à te réanimer et à qui tu dois d'être sur pied ce matin.
Puis l'Arabe gravit les escaliers la main sur la rampe de bois brun. Il fallait monter au deuxième étage de la maison pour accéder aux chambres, les murs blancs succédaient aux murs blancs comme un paysage monochrome pour finalement aboutir à la porte bleue du second étage.
Là, pour changer des murs blancs, ils étaient de différents bleus chevauchés par des arabesques noires qui représentaient une végétation. Le petit blond s'arrêta devant la troisième porte qui était celle de Duo. Il frappa la porte mais aucune réponse ne lui parvint, ce petit manège recommença quatre fois avec le même résultat, Quatre se résolu donc à ouvrir la porte de la chambre silencieuse, il saisit la poignée et poussa la porte pour la refermer trente secondes plus tard.
_ Bon on recommence et pas de blague.
Quatre ré ouvrit la porte pour trouver le même résultat, il poussa un soupir à fendre l'âme :
_ Quatre lettres : V. I. D.E comme vide, trois mots : Où est Duo ?
A suivre...
note : Je suis malheureusement de vacances forcés et je n'aurais plus de connexion Internet avant fin Août puisque mon portable n'en est pas équipé ( j'ai un portable je vais pas me plaindre ^^'''' je peux toujours avancé dans mes fics) . Mais laissez moi quand même une reviews, ça me sauvera et me redonnera du courage après mon bagne obligatoire ! ! ! !
Ah ! ! Oui ! Si vous voulez savoir qui est IL dont Saiki et Hee-chan parle, il faudra se référer à la fic de Sephy ( sur son site 'fallen Angel') , my sweet love ! ( lisez tous msl elle est trop bien ^^ ... ok j'arrête la pub) , le personnage s'appelle Saki ... Saki/Saiki ...ils sont fais pour être ensemble avec des noms pareils ^^ ( au fait Sephy on se le fait quand notre cross over ?)
Le comportement de Saiki est un thème qui revient souvent dans ce chapitre et je ne suis même pas sur que vous compreniez encore tout à fait le personnage , j'attache beaucoup d'importance aux définitions et aux mots ;
exemple : Quand je met 'encore' entre guillemets dans la phrase « . Saiki avait beau ne pas 'encore' savoir se comporter parfaitement » ce n'est pas un hasard et je base la compréhension de ce personnage la dessus ... en plus des flash backs bien sur ^-^ ... J'avoue ... Sephy m'a dit que mes rapports et mes persos étaient très complexes et que j'avais intérêt à faire des interludes ... T_T J'ai trop la flemmeeeeeuuuuhhhhh.
Pour ce qui est de Médusa ( je pense en particulier à Tahiri-chan ^^) , ce n'est pas un perso original ... Médusa est un nom de code pour une personne déjà existante . Vous voyez qui c'est ^_~ ? ... Pour ceux qui ne voit toujours pas il y a un indice dans le chapitre 1 et un autre dans le 2 ( en tous cas bravo Sephy qui a trouvé même si elle avait les fiches de persos mdr)
[1]^____________________^ Je vous l'ai dit ce mec , c'est deux de tension arfffff ze l 'aime ( presque autant que ton Saki ma sephy-sama^^)
[2] : si si vous voyez de quoi je veux parler, le sourire Shinigami ^______________^
[3]_Ai shiteru ./ Je t'aime
_ Nani ? / quoi ?
_ Betsuni . wasureru / rien . oublie
[4] Niark niark niark , il a un meilleur QI que Einstein ^^ ; ; ; mais faut dire que quand le professeur vous a traficoter l'adn.
