Chapitre 32 : Ce n'est pas la fin
Harry venait de quitter l'enceinte du parc pour rentrer dans la foret, lorsque des idées pas vraiment rassurantes lui vinrent à l'esprit. Tout d'abords, il ne savait pas où il devait aller. D'ailleurs, si cela avait été le cas, il ignorait totalement comment s'y rendre.
Il comptait au début en tout cas pouvoir faire comme son parrain, mais en oubliant que Sirius était un animagus. La pensée de son parrain lui fit aussitôt mal. Il venait de perdre la seule personne dans sa vie qu'il pouvait considérer comme sa famille. Pour la première fois de sa vie, il ressentait la peine et la douleur à la perte de quelqu'un.
Il s'enfonçait sans prier garde de plus en plus profond de la forêt. Il ne voyait pas du tout où il allait, si bien, qu'il faillit crier, lorsqu'au détour d'un chemin, en tournant la tête, il tomba nez à nez avec la figure d'une créature qu'il connaissait depuis quelques années à présent.
« Dobby est content d'avoir retrouvé Harry Potter Monsieur » s'écria le petit être avant d'aider Harry à se relever suite à la rencontre. Encore sous le choc de cette rencontre, Harry restait sans voix. Il espérait ne rencontrer personne, de plus, la vision de Dobby en plein milieu de la forêt interdite paraissait vraiment surréaliste.
« Que fais-tu ici Dobby ? » Harry chuchotant et regardant par-dessus son épaule pour voir s'ils étaient bien seuls.
« Je ne peux pas vous abandonner alors que tout le monde est à votre recherche Harry Potter. Je suis là pour vous aider Monsieur »
Harry voulu grimacer en pensant aux fois ou l'elfe avait voulu l'aider, mais se retint. La présence de l'elfe pouvait apporter un début de solution à son problème actuel.
« Dis moi Dobby, tu pourrais me rendre un service, si cela est possible » demanda-t-il, l'elfe arborant un sourire que Harry n'avait jamais vu sur son visage.
« Tout Monsieur. Dobby peut tout faire ce que Monsieur demande »
« Très bien dans ce cas, voila ce que tu vas faire »
Pendant ensuite plusieurs minutes, Harry expliqua à l'elfe ce qu'il attendait de lui. Il était toujours assez réticent à le lui demander, pas qu'il n'avait pas confiance en lui, mais car il avait peur que cela soit dangereux.
« Ce n'est dangereux Harry Potter. Nous autres elfes de maison faisons cela parfois lorsque les maîtres sont trop occupés. »
L'elfe salua Harry avant de disparaître, laissant le Gryffondor seul dans la forêt, en compagnie du nox, toujours enroulé sur son bras.
Lorsqu'ils entrèrent dans l'école, ils furent surpris de voir le concierge les attendre au niveau des grandes portes. Ils n'étaient pas revenus à Poudlard depuis des années et la fin de leurs études.
Ils suivirent Rusard par les escaliers, souriant aux élèves qu'ils croisaient, et aux quelques sorciers adultes professeurs ou aurors qui inspectaient toujours les lieux.
Ils s'arrêtèrent devant la gargouille, et sentirent une monté d'excitation dès que celle-ci libéra le passage pour accéder au bureau du directeur. Ils montèrent par le petit escalier, se rappelant que par chance, ils n'avaient jamais été dans cette salle avant.
L'anxiété se lisait sur le visage du couple. Un message leur demandant de venir à Poudlard les faisait venir, et la seule chose qu'il craignait était que leur fille soit blessée. Cette éventualité paraissait la seule et unique. Néanmoins, la vérité était tout autre.
Ils poussèrent la porte, et furent accueillit par un Dumbledore souriant, même si on supposait qu'il était forcé. Derrière lui, Fudge était assis, un auror debout derrière lui. Les deux personnes restantes dans le bureau étant leur fille et McGonagall. Lorsque la femme comprit que sa fille était saine et sauve, elle éclata en sanglot de joie.
« Fort heureusement tu vas bien » tout en la serrant et commençant à pleurer.
« Je vais bien, désolé si vous vous êtes inquiété, mais c'est uniquement à cause d'un incompétent » termina-t-elle en jetant un regard plein de haine au ministre, qui surpris plus que tous ses parents. Elle n'était pas de nature haineuse de la sorte.
« Merci d'être venu, et pardon si vous vous êtes fait des idées suite au message que vous avez reçu »
« Ce n'est pas la peine de vous excuser professeur Dumbledore. Vous n'êtes pas le fautif dans cette histoire » commenta-t-elle toujours en fixant le ministre.
Le directeur sourit devant le visage blême du ministre, qui n'osait pas répondre à la jeune femme. Il venait de se rendre compte de son erreur.
« Si vous êtes ici, c'est pour faire entendre raison à votre fille. »déclara le ministre, ne perdant pas ses motivations.
Les parents se regardèrent, se demandant de quoi il parlait.
« Mlle Bell est en relation privilégiée avec M Potter. A l'heure actuelle, M Potter est dans la nature, et votre fille refuse obstinément de nous donner les informations que nous désirons. Je rajouterais même qu'elle a tenu des propos assez injurieux à mon égard. »
Le ministre pris alors un air digne et rajouta ce qui fit lever les yeux au ciel Katie
« La pauvre enfant doit être sous le choc de l'attaque et »
« La pauvre enfant » se moqua Katie « Vous savez ce qu'elle vous dit a pauvre enfant : VOLDEMORT » Toutes les personnes présentes sursautèrent sauf Dumbledore qui souriait de plus en plus.
Le ministre visiblement outré par cette dernière parole, resta sans réagir quelques secondes, que le directeur utilisa pour calmer les esprits.
« Cornélius, vous devriez retourner au ministère régler les problèmes. Dans la mesure où vous êtes incapable de régler celui-ci »ironisa-t-il. Le ministre voulu protester, mais le regard bleu absent de toute bonté et qui commençait réellement à l'effrayer le fit changer d'avis.
Il quitta donc à la satisfaction de tous non seulement le bureau mais aussi Poudlard.
Les jours qui suivirent furent assez chaotiques à Poudlard ainsi qu'au ministère. L'attaque de Voldemort faisait grand bruit, et une peur de plus en plus féroce touchait l'ensemble de la population. Le soucie principal étant de savoir si l'école sous la protection de Albus Dumbledore garantissait encore la sécurité de l'avenir du monde magique, les enfants.
L'un des problèmes rencontré était le fait que tout le monde savaient à présent qu'il y avait eut plusieurs morts. Pire, le ministre avait jugé préférable d'annoncer que l'une d'elle étant même l'?uvre de Harry Potter, le survivant. Cette information avait lancé un froid dans la communauté magique. Comment Harry Potter, simple élève avait-il réussi à commettre un acte aussi effroyable. Pour envenimer la situation, des sorciers tout à fait honorable avait rappelé les articles concernant Potter un an plus tôt, le qualifiant de malade.
Heureusement, Dumbledore contrôlait à présent plus de chose qu'un an auparavant. Les imbécillités du ministre au fil des mois lui avaient rendu toute l'attention qu'il était censé avoir autour de lui.
Plusieurs jours passèrent, si bien que le banquet de fin d'année arriva très vite. Pourtant, malgré la fin des examens tout d'abord et la fin de l'année, l'humeur n'était pas au beau fixe dans la grande salle. Elle était même calamiteuse à la table des Gryffondor.
Les jumeaux eux-même semblaient éteint en ce dernier jour à Poudlard pour eux et les autres dernières années.
« Encore une nouvelle année qui se termine aujourd'hui » proclama Dumbledore, le banquet n'ayant pas encore commencé.
« Malgré les derniers évènements de ces dernières semaines, je suis très heureux de cette année. Vous avez fait preuves de courage et de bravoure face à l'adversité. Je suis très fière vous, les élèves, et surtout de votre dans ces situations si dramatique »
Il regarda en particulier la table des Gryffondor qu'il savait silencieuse.
« Je tiens aussi à féliciter la maison Gryffondor pour sa victoire dans la coupe de Quidditch, victoire double, car elle arrive en tête de la coupe des 4 maisons pour la cinquième année consécutive »
Il frappa des mains, et les couleurs des Gryffondor illuminèrent la salle une nouvelle fois. Amenant les grognements des Serpentard, et les félicitations des deux autres maisons.
Se rendant compte de leur victoire, les Gryffondor acclamèrent, même si certains avaient beaucoup de difficulté à le faire.
Le reste du banquet se déroula le plus normalement que possible, et cela malgré le peu d'enthousiasme de la majorité des élèves.
L'ambiance était tout aussi morose dans le compartiment du Poudlard Express le lendemain matin, contenant Ron, Hermione et le reste de l'équipe de Quidditch de leur maison. Il est vrai que beaucoup d'entre eux quittaient pour la dernière fois l'école, et une certaine tristesse se lisait sur les visages. Néanmoins, tout ne s'expliquait pas de cette façon.
« Ne vous inquiétez pas tous les deux. Je suis persuadé qu'il va très bien là où il se trouve »
Katie essayait de remonter le moral des deux plus jeunes qui restaient sans rien dire
« Elle a raison, c'est notre dernier voyage dans le train, alors nous ne devons pas nous laisser aller » rajouta Fred en sortant toutes les inventions qui lui restaient de l'année, bien décidé à les utiliser dans les couloirs du train.
Voyant que Ron ne bougeait pas, et après un clin d'?il rapide à Angélina, il agrippa son jeune frère qui ne parvint pas à résister et l'entraîna hors du compartiment, George sur les talons.
Hermione ne fit rien pour l'aider, comprenant que cela était organisé. Elle se retrouva donc seule avec les trois poursuiveuses, espérant qu'elles n'allaient parler Quidditch. Contre toute attente, cela ne fut pas le cas.
Le voyage passa vite. Au fil de la discussion, Hermione arriva à se maudire d'avoir attendu ce dernier jour pour avoir une réelle discussion avec les 3 filles. Non seulement elles étaient bonnes dans beaucoup de domaine, mais en plus elles pouvaient la conseiller dans de nombreux domaines autres que les études et son avenir.
Une heure après être partit, les trois Weasley étaient revenus, illares des farces faites par eux principalement au détriment des Serpentard.
La fin du voyage fut donc plus joyeux, agrémenté des histoires des plus belles farces des jumeaux et de certaines aventures des années précédentes de Ron et d'Hermione.
Mais la surprise fut totale, lorsqu'une chouette blanche vola près de la vitre, désirant entrer dans le wagon. Hermione cria en la voyant, étant la première à l'observer.
Ron se précipita sur la vitre, l'ouvrit, laissant entrer la chouette dignement, toujours fidèle à son tempérament. Dès qu'elle entra, elle alla se poser sur l'épaule de Katie, qui la caressa toute surprise.
« Regardez, elle a une lettre à la patte » s'exclama Ron en pointant l'enveloppe accroché à l'une des pattes de la chouette.
Katie la prit délicatement et commença à la lire, laissant les autres dans l'angoisse. Elle venait évidement de Harry, et tous se demandaient ce qu'il faisait et surtout comment il allait.
La jeune fille lut la lettre en son entier, un sourire se dessinant sur son visage, remplaçant peu à peu l'inquiétude. Arrivé en bout de page, elle rabaissa la lettre et sourit à ses 6 amis qui attendaient avec impatience les nouvelles. D'un coup d'?il, elle remarqua qu'ils semblaient plus calme, et cela grâce à sa réaction.
« Il va bien » les rassura-t-elle, laissant échapper un soupir qui ne surprit personne.
« Où est-il ? Que s'est il passé là-bas ? » demanda Ron anxieux de savoir
« Calme toi Ron. Elle a dit qu'il allait bien »
De toute évidence, Hermione gardait plus son calme que son ami, en tout cas en apparence.
« Oui, il va bien et veut que nous ne nous inquiétons pas de savoir ni où il se trouve et ni comment il va. Il dit non plus que ce n'est pas la peine de lui écrire, car il utilise un sort pour le rendre incartable. Les chouettes et hiboux ne peuvent pas le trouver. »
« Malin. S'il est incartable, il peut utiliser la magie sans se faire repérer par le ministère » expliqua Angélina alors que tous la regardait
« Je me demande bien où il a trouvé un tel sort. On ne le trouve pas n'importe où » rajouta Hermione songeuse. Elle avait entendu parler de ce genre de sort, mais n'avait jamais trouver la moindre ligne y faisant références dans un livre. Il était vrai aussi qu'elle n'avait jamais cherché ce sort.
« Cela prouve qu'il a plusieurs talents insoupçonné. » déclara Alicia « J'aimerais d'ailleurs connaître les autres talents qu'il possède » rajouta-t-elle en lançant un regard éloquent à Katie qui n'échappa à personne.
La blonde rosit légèrement, se doutant des pensées de son amie, et lui fit un signe de tête négatif qui les fit tous sourire.
Elle lança ensuite un regard noir à son amie alors que Hermione et Ron prenaient connaissance de la lettre.
Un léger ralentissement se fit sentir, premier signe de l'arrivé imminente du train en gare.
Ils se regardèrent, sachant ce que cela signifiait.
« Nous ne pouvons donc pas lui répondre » dit Hermione en rendant la lettre à Katie
« Non. D'ailleurs, je me demande bien comment à fait Hedwige pour le retrouver, car la dernière fois que je l'ai vu, Harry était déjà partit depuis 3 jours »
Comprenant que l'on parlait d'elle, la chouette toujours perché sur son épaule ébouriffa ses plumes, histoire de se montrer à tous sous son meilleur jour.
« Elle est intelligente. Elle est parvenue à le trouver malgré le sort »
A ses mots, touts regardèrent Hermione puis la chouette, réalisant qu'elle avait raison.
Fred allait répliquer, lorsque le train entra en gare avant de s'immobiliser. Il y eut quelques secondes de flottement, puis ce fut dans un silence qu'ils sortirent tranquillement du compartiment puis du train. Ils traversèrent le passage, pour retrouver de l'autre côté leurs parents.
Les parents de Katie et les Weasley furent surpris de voir la jeune femme avec la chouette toujours perché sur son épaule.
« Te voila enfin ma chérie » dit sa mère en la serrant, pas trop fort à cause de l'animal
« Très belle chouette » déclara son père avant de faire de même
« C'est.. »
« Oui Mme Weasley. Je crois qu'elle veut rester avec moi le temps que tout s'arrange » répondit-elle sous le regard de ses parents qui ne comprenaient pas.
Les adieux d'usage se firent rapidement, se jurant de rester en contact pendant les prochains mois. Et ce fut donc avec la chouette toujours sur son épaule que la jeune femme suivit ses parents hors de la gare. Elle laissa glisser une larme en y jetant un dernier regard, autant pour ses 7 dernières années que pour son inquiétude pour Harry.
Au même moment, dans un hôtel moldu d'une petite ville éloignée, Harry songeait à ses amis qui à l'heure actuelle devaient être de retour à Londres.
Il pensait aussi à sa chouette qu'il avait préféré faire partir pour leur sécurité. Il avait été surpris de la voir arrivé au matin du quatrième jours de fuite, alors que le sort de non-localisation que Dobby lui avait montrer fonctionnait vraiment.
« Elle est vraiment formidable. Je sais qu'elle pourra me retrouver quand la situation redeviendra normal enfin si elle le redevient » soupira-t-il.
Avec l'aide de Dobby qui avait été à Gringott prendre de l'argent et en changer une partie en argent moldu, il pouvait vivre presque normalement.
Alors qu'il était dans ses pensées, il en fut sortit par un toc à sa porte. Cachant sa baguette derrière dans son dos, il l'ouvrit. Par bonheur, se trouvait devant lui la personne qui pouvait l'aider dans sa fuite. Il fit entrer cette personne dans sa chambre, en regardant dans le couloir s'ils étaient bien seuls.
Dès la porte fermé, Rémus car c'était lui le serra dans ses bras, à croire qu'il le pensait mort.
« Bon sang quelle folie t'a pris d'agir de la sorte. »
Harry se sépara de lui incrédule de le voir parler de cette façon. Rémus sourit en voyant l'attitude du jeune homme.
« Tu ne fallais pas partir de la sorte, je me suis fait vraiment un sang d'encre » lui dit-il un émotion non feinte dans la vois avant de le reprendre dans ses bras.
Harry était heureux de la réaction de Rémus. Il acceptait ce qu'il avait fait et ne le jugeait pas pour cela. Il savait à présent qu'il avait fait le bon choix quand il avait demandé à Dobby de donner à Rémus la lettre lui révélant où il se trouvait. Il savait au fond de lui que le dernier des maraudeur lui viendrait en aide. Et cela lui réchauffait le c?ur, qui après la mort de Sirius et la séparation de Ron, Hermione et de Katie était vraiment froid.
Il savait à présent que les mois qui allaient suivre seraient beaucoup moins dur pour lui avec la présence de Rémus à ses côtés pour l'aider. Ce fut donc le premier sourire que Harry arbora depuis des semaines qui accueillit Rémus, lorsqu'ils se séparèrent.
Symbole que tout problème avait une solution. Solution que l'avenir donnera.
FIN
Réponses aux reviews :
Alex-13 : Et oui, c'est la fin, il en fallait une. Tu as ta réponse au sujet de Katie. Le fait que la chouette de Harry reste avec elle, prouve aussi que cela n'est pas finit entre eux, en tout cas dans ma tête à défaut d'être écrit.
Philippe Gryffondor : Merci beaucoup, il est de même pour moi aussi. Si ce chapitre est comme tu le dis très bien, cela vient du fait que j'y ai pensé pendant longtemps, j'en ai écrit les ¾ alors que les 4 chapitres précédant n'étaient pas encore commencer à être écrit. Comme j'ai bizarrement écrit la fin avant, je savais exactement quoi faire pour y arrivé au bon moment.
Lunenoire : C'est même plus que dans la panade, et malheureusement, je ne donne pas la solution, car il en existe beaucoup, et je préfère que vous trouviez vous-même la meilleur suite.
Big Apple : J'espère que cette suite tout comme celles des autres fics va te plaire.
Kyzara : C'est vrai c'est triste. Cela va se régler mais il va falloir du temps.
Cette fois, c'est la fin. Je suis à la fois content d'avoir terminer ma première fic, surtout que je ne savais pas si j'y arriverais non seulement à l'écrire mais aussi à la terminer.
J'espère que vous avez tous aimé ce dernier chapitre, qui comme je le souhaitais se termine d'une façon particulière car Harry est en fâcheuse position. Néanmoins, les choses commencent à s'arranger avec l'arrivé de Rémus. La suite, je vous la laisse imaginé.
Peut-être qu'un jour je m'y pencherai moi aussi, mais pour cela il va falloir attendre.
J'attends vos réactions à tous sur ce chapitre ainsi que sur l'ensemble de la fic. C'est rapide et c'est pour la dernière fois. Donc soyez généreux.
J'espère que vous avez passé un bon moment en la lisant, et espère que vous continuerez à lire les autres fics qui continuent.
Merci à tous.
By By
Harry venait de quitter l'enceinte du parc pour rentrer dans la foret, lorsque des idées pas vraiment rassurantes lui vinrent à l'esprit. Tout d'abords, il ne savait pas où il devait aller. D'ailleurs, si cela avait été le cas, il ignorait totalement comment s'y rendre.
Il comptait au début en tout cas pouvoir faire comme son parrain, mais en oubliant que Sirius était un animagus. La pensée de son parrain lui fit aussitôt mal. Il venait de perdre la seule personne dans sa vie qu'il pouvait considérer comme sa famille. Pour la première fois de sa vie, il ressentait la peine et la douleur à la perte de quelqu'un.
Il s'enfonçait sans prier garde de plus en plus profond de la forêt. Il ne voyait pas du tout où il allait, si bien, qu'il faillit crier, lorsqu'au détour d'un chemin, en tournant la tête, il tomba nez à nez avec la figure d'une créature qu'il connaissait depuis quelques années à présent.
« Dobby est content d'avoir retrouvé Harry Potter Monsieur » s'écria le petit être avant d'aider Harry à se relever suite à la rencontre. Encore sous le choc de cette rencontre, Harry restait sans voix. Il espérait ne rencontrer personne, de plus, la vision de Dobby en plein milieu de la forêt interdite paraissait vraiment surréaliste.
« Que fais-tu ici Dobby ? » Harry chuchotant et regardant par-dessus son épaule pour voir s'ils étaient bien seuls.
« Je ne peux pas vous abandonner alors que tout le monde est à votre recherche Harry Potter. Je suis là pour vous aider Monsieur »
Harry voulu grimacer en pensant aux fois ou l'elfe avait voulu l'aider, mais se retint. La présence de l'elfe pouvait apporter un début de solution à son problème actuel.
« Dis moi Dobby, tu pourrais me rendre un service, si cela est possible » demanda-t-il, l'elfe arborant un sourire que Harry n'avait jamais vu sur son visage.
« Tout Monsieur. Dobby peut tout faire ce que Monsieur demande »
« Très bien dans ce cas, voila ce que tu vas faire »
Pendant ensuite plusieurs minutes, Harry expliqua à l'elfe ce qu'il attendait de lui. Il était toujours assez réticent à le lui demander, pas qu'il n'avait pas confiance en lui, mais car il avait peur que cela soit dangereux.
« Ce n'est dangereux Harry Potter. Nous autres elfes de maison faisons cela parfois lorsque les maîtres sont trop occupés. »
L'elfe salua Harry avant de disparaître, laissant le Gryffondor seul dans la forêt, en compagnie du nox, toujours enroulé sur son bras.
Lorsqu'ils entrèrent dans l'école, ils furent surpris de voir le concierge les attendre au niveau des grandes portes. Ils n'étaient pas revenus à Poudlard depuis des années et la fin de leurs études.
Ils suivirent Rusard par les escaliers, souriant aux élèves qu'ils croisaient, et aux quelques sorciers adultes professeurs ou aurors qui inspectaient toujours les lieux.
Ils s'arrêtèrent devant la gargouille, et sentirent une monté d'excitation dès que celle-ci libéra le passage pour accéder au bureau du directeur. Ils montèrent par le petit escalier, se rappelant que par chance, ils n'avaient jamais été dans cette salle avant.
L'anxiété se lisait sur le visage du couple. Un message leur demandant de venir à Poudlard les faisait venir, et la seule chose qu'il craignait était que leur fille soit blessée. Cette éventualité paraissait la seule et unique. Néanmoins, la vérité était tout autre.
Ils poussèrent la porte, et furent accueillit par un Dumbledore souriant, même si on supposait qu'il était forcé. Derrière lui, Fudge était assis, un auror debout derrière lui. Les deux personnes restantes dans le bureau étant leur fille et McGonagall. Lorsque la femme comprit que sa fille était saine et sauve, elle éclata en sanglot de joie.
« Fort heureusement tu vas bien » tout en la serrant et commençant à pleurer.
« Je vais bien, désolé si vous vous êtes inquiété, mais c'est uniquement à cause d'un incompétent » termina-t-elle en jetant un regard plein de haine au ministre, qui surpris plus que tous ses parents. Elle n'était pas de nature haineuse de la sorte.
« Merci d'être venu, et pardon si vous vous êtes fait des idées suite au message que vous avez reçu »
« Ce n'est pas la peine de vous excuser professeur Dumbledore. Vous n'êtes pas le fautif dans cette histoire » commenta-t-elle toujours en fixant le ministre.
Le directeur sourit devant le visage blême du ministre, qui n'osait pas répondre à la jeune femme. Il venait de se rendre compte de son erreur.
« Si vous êtes ici, c'est pour faire entendre raison à votre fille. »déclara le ministre, ne perdant pas ses motivations.
Les parents se regardèrent, se demandant de quoi il parlait.
« Mlle Bell est en relation privilégiée avec M Potter. A l'heure actuelle, M Potter est dans la nature, et votre fille refuse obstinément de nous donner les informations que nous désirons. Je rajouterais même qu'elle a tenu des propos assez injurieux à mon égard. »
Le ministre pris alors un air digne et rajouta ce qui fit lever les yeux au ciel Katie
« La pauvre enfant doit être sous le choc de l'attaque et »
« La pauvre enfant » se moqua Katie « Vous savez ce qu'elle vous dit a pauvre enfant : VOLDEMORT » Toutes les personnes présentes sursautèrent sauf Dumbledore qui souriait de plus en plus.
Le ministre visiblement outré par cette dernière parole, resta sans réagir quelques secondes, que le directeur utilisa pour calmer les esprits.
« Cornélius, vous devriez retourner au ministère régler les problèmes. Dans la mesure où vous êtes incapable de régler celui-ci »ironisa-t-il. Le ministre voulu protester, mais le regard bleu absent de toute bonté et qui commençait réellement à l'effrayer le fit changer d'avis.
Il quitta donc à la satisfaction de tous non seulement le bureau mais aussi Poudlard.
Les jours qui suivirent furent assez chaotiques à Poudlard ainsi qu'au ministère. L'attaque de Voldemort faisait grand bruit, et une peur de plus en plus féroce touchait l'ensemble de la population. Le soucie principal étant de savoir si l'école sous la protection de Albus Dumbledore garantissait encore la sécurité de l'avenir du monde magique, les enfants.
L'un des problèmes rencontré était le fait que tout le monde savaient à présent qu'il y avait eut plusieurs morts. Pire, le ministre avait jugé préférable d'annoncer que l'une d'elle étant même l'?uvre de Harry Potter, le survivant. Cette information avait lancé un froid dans la communauté magique. Comment Harry Potter, simple élève avait-il réussi à commettre un acte aussi effroyable. Pour envenimer la situation, des sorciers tout à fait honorable avait rappelé les articles concernant Potter un an plus tôt, le qualifiant de malade.
Heureusement, Dumbledore contrôlait à présent plus de chose qu'un an auparavant. Les imbécillités du ministre au fil des mois lui avaient rendu toute l'attention qu'il était censé avoir autour de lui.
Plusieurs jours passèrent, si bien que le banquet de fin d'année arriva très vite. Pourtant, malgré la fin des examens tout d'abord et la fin de l'année, l'humeur n'était pas au beau fixe dans la grande salle. Elle était même calamiteuse à la table des Gryffondor.
Les jumeaux eux-même semblaient éteint en ce dernier jour à Poudlard pour eux et les autres dernières années.
« Encore une nouvelle année qui se termine aujourd'hui » proclama Dumbledore, le banquet n'ayant pas encore commencé.
« Malgré les derniers évènements de ces dernières semaines, je suis très heureux de cette année. Vous avez fait preuves de courage et de bravoure face à l'adversité. Je suis très fière vous, les élèves, et surtout de votre dans ces situations si dramatique »
Il regarda en particulier la table des Gryffondor qu'il savait silencieuse.
« Je tiens aussi à féliciter la maison Gryffondor pour sa victoire dans la coupe de Quidditch, victoire double, car elle arrive en tête de la coupe des 4 maisons pour la cinquième année consécutive »
Il frappa des mains, et les couleurs des Gryffondor illuminèrent la salle une nouvelle fois. Amenant les grognements des Serpentard, et les félicitations des deux autres maisons.
Se rendant compte de leur victoire, les Gryffondor acclamèrent, même si certains avaient beaucoup de difficulté à le faire.
Le reste du banquet se déroula le plus normalement que possible, et cela malgré le peu d'enthousiasme de la majorité des élèves.
L'ambiance était tout aussi morose dans le compartiment du Poudlard Express le lendemain matin, contenant Ron, Hermione et le reste de l'équipe de Quidditch de leur maison. Il est vrai que beaucoup d'entre eux quittaient pour la dernière fois l'école, et une certaine tristesse se lisait sur les visages. Néanmoins, tout ne s'expliquait pas de cette façon.
« Ne vous inquiétez pas tous les deux. Je suis persuadé qu'il va très bien là où il se trouve »
Katie essayait de remonter le moral des deux plus jeunes qui restaient sans rien dire
« Elle a raison, c'est notre dernier voyage dans le train, alors nous ne devons pas nous laisser aller » rajouta Fred en sortant toutes les inventions qui lui restaient de l'année, bien décidé à les utiliser dans les couloirs du train.
Voyant que Ron ne bougeait pas, et après un clin d'?il rapide à Angélina, il agrippa son jeune frère qui ne parvint pas à résister et l'entraîna hors du compartiment, George sur les talons.
Hermione ne fit rien pour l'aider, comprenant que cela était organisé. Elle se retrouva donc seule avec les trois poursuiveuses, espérant qu'elles n'allaient parler Quidditch. Contre toute attente, cela ne fut pas le cas.
Le voyage passa vite. Au fil de la discussion, Hermione arriva à se maudire d'avoir attendu ce dernier jour pour avoir une réelle discussion avec les 3 filles. Non seulement elles étaient bonnes dans beaucoup de domaine, mais en plus elles pouvaient la conseiller dans de nombreux domaines autres que les études et son avenir.
Une heure après être partit, les trois Weasley étaient revenus, illares des farces faites par eux principalement au détriment des Serpentard.
La fin du voyage fut donc plus joyeux, agrémenté des histoires des plus belles farces des jumeaux et de certaines aventures des années précédentes de Ron et d'Hermione.
Mais la surprise fut totale, lorsqu'une chouette blanche vola près de la vitre, désirant entrer dans le wagon. Hermione cria en la voyant, étant la première à l'observer.
Ron se précipita sur la vitre, l'ouvrit, laissant entrer la chouette dignement, toujours fidèle à son tempérament. Dès qu'elle entra, elle alla se poser sur l'épaule de Katie, qui la caressa toute surprise.
« Regardez, elle a une lettre à la patte » s'exclama Ron en pointant l'enveloppe accroché à l'une des pattes de la chouette.
Katie la prit délicatement et commença à la lire, laissant les autres dans l'angoisse. Elle venait évidement de Harry, et tous se demandaient ce qu'il faisait et surtout comment il allait.
La jeune fille lut la lettre en son entier, un sourire se dessinant sur son visage, remplaçant peu à peu l'inquiétude. Arrivé en bout de page, elle rabaissa la lettre et sourit à ses 6 amis qui attendaient avec impatience les nouvelles. D'un coup d'?il, elle remarqua qu'ils semblaient plus calme, et cela grâce à sa réaction.
« Il va bien » les rassura-t-elle, laissant échapper un soupir qui ne surprit personne.
« Où est-il ? Que s'est il passé là-bas ? » demanda Ron anxieux de savoir
« Calme toi Ron. Elle a dit qu'il allait bien »
De toute évidence, Hermione gardait plus son calme que son ami, en tout cas en apparence.
« Oui, il va bien et veut que nous ne nous inquiétons pas de savoir ni où il se trouve et ni comment il va. Il dit non plus que ce n'est pas la peine de lui écrire, car il utilise un sort pour le rendre incartable. Les chouettes et hiboux ne peuvent pas le trouver. »
« Malin. S'il est incartable, il peut utiliser la magie sans se faire repérer par le ministère » expliqua Angélina alors que tous la regardait
« Je me demande bien où il a trouvé un tel sort. On ne le trouve pas n'importe où » rajouta Hermione songeuse. Elle avait entendu parler de ce genre de sort, mais n'avait jamais trouver la moindre ligne y faisant références dans un livre. Il était vrai aussi qu'elle n'avait jamais cherché ce sort.
« Cela prouve qu'il a plusieurs talents insoupçonné. » déclara Alicia « J'aimerais d'ailleurs connaître les autres talents qu'il possède » rajouta-t-elle en lançant un regard éloquent à Katie qui n'échappa à personne.
La blonde rosit légèrement, se doutant des pensées de son amie, et lui fit un signe de tête négatif qui les fit tous sourire.
Elle lança ensuite un regard noir à son amie alors que Hermione et Ron prenaient connaissance de la lettre.
Un léger ralentissement se fit sentir, premier signe de l'arrivé imminente du train en gare.
Ils se regardèrent, sachant ce que cela signifiait.
« Nous ne pouvons donc pas lui répondre » dit Hermione en rendant la lettre à Katie
« Non. D'ailleurs, je me demande bien comment à fait Hedwige pour le retrouver, car la dernière fois que je l'ai vu, Harry était déjà partit depuis 3 jours »
Comprenant que l'on parlait d'elle, la chouette toujours perché sur son épaule ébouriffa ses plumes, histoire de se montrer à tous sous son meilleur jour.
« Elle est intelligente. Elle est parvenue à le trouver malgré le sort »
A ses mots, touts regardèrent Hermione puis la chouette, réalisant qu'elle avait raison.
Fred allait répliquer, lorsque le train entra en gare avant de s'immobiliser. Il y eut quelques secondes de flottement, puis ce fut dans un silence qu'ils sortirent tranquillement du compartiment puis du train. Ils traversèrent le passage, pour retrouver de l'autre côté leurs parents.
Les parents de Katie et les Weasley furent surpris de voir la jeune femme avec la chouette toujours perché sur son épaule.
« Te voila enfin ma chérie » dit sa mère en la serrant, pas trop fort à cause de l'animal
« Très belle chouette » déclara son père avant de faire de même
« C'est.. »
« Oui Mme Weasley. Je crois qu'elle veut rester avec moi le temps que tout s'arrange » répondit-elle sous le regard de ses parents qui ne comprenaient pas.
Les adieux d'usage se firent rapidement, se jurant de rester en contact pendant les prochains mois. Et ce fut donc avec la chouette toujours sur son épaule que la jeune femme suivit ses parents hors de la gare. Elle laissa glisser une larme en y jetant un dernier regard, autant pour ses 7 dernières années que pour son inquiétude pour Harry.
Au même moment, dans un hôtel moldu d'une petite ville éloignée, Harry songeait à ses amis qui à l'heure actuelle devaient être de retour à Londres.
Il pensait aussi à sa chouette qu'il avait préféré faire partir pour leur sécurité. Il avait été surpris de la voir arrivé au matin du quatrième jours de fuite, alors que le sort de non-localisation que Dobby lui avait montrer fonctionnait vraiment.
« Elle est vraiment formidable. Je sais qu'elle pourra me retrouver quand la situation redeviendra normal enfin si elle le redevient » soupira-t-il.
Avec l'aide de Dobby qui avait été à Gringott prendre de l'argent et en changer une partie en argent moldu, il pouvait vivre presque normalement.
Alors qu'il était dans ses pensées, il en fut sortit par un toc à sa porte. Cachant sa baguette derrière dans son dos, il l'ouvrit. Par bonheur, se trouvait devant lui la personne qui pouvait l'aider dans sa fuite. Il fit entrer cette personne dans sa chambre, en regardant dans le couloir s'ils étaient bien seuls.
Dès la porte fermé, Rémus car c'était lui le serra dans ses bras, à croire qu'il le pensait mort.
« Bon sang quelle folie t'a pris d'agir de la sorte. »
Harry se sépara de lui incrédule de le voir parler de cette façon. Rémus sourit en voyant l'attitude du jeune homme.
« Tu ne fallais pas partir de la sorte, je me suis fait vraiment un sang d'encre » lui dit-il un émotion non feinte dans la vois avant de le reprendre dans ses bras.
Harry était heureux de la réaction de Rémus. Il acceptait ce qu'il avait fait et ne le jugeait pas pour cela. Il savait à présent qu'il avait fait le bon choix quand il avait demandé à Dobby de donner à Rémus la lettre lui révélant où il se trouvait. Il savait au fond de lui que le dernier des maraudeur lui viendrait en aide. Et cela lui réchauffait le c?ur, qui après la mort de Sirius et la séparation de Ron, Hermione et de Katie était vraiment froid.
Il savait à présent que les mois qui allaient suivre seraient beaucoup moins dur pour lui avec la présence de Rémus à ses côtés pour l'aider. Ce fut donc le premier sourire que Harry arbora depuis des semaines qui accueillit Rémus, lorsqu'ils se séparèrent.
Symbole que tout problème avait une solution. Solution que l'avenir donnera.
FIN
Réponses aux reviews :
Alex-13 : Et oui, c'est la fin, il en fallait une. Tu as ta réponse au sujet de Katie. Le fait que la chouette de Harry reste avec elle, prouve aussi que cela n'est pas finit entre eux, en tout cas dans ma tête à défaut d'être écrit.
Philippe Gryffondor : Merci beaucoup, il est de même pour moi aussi. Si ce chapitre est comme tu le dis très bien, cela vient du fait que j'y ai pensé pendant longtemps, j'en ai écrit les ¾ alors que les 4 chapitres précédant n'étaient pas encore commencer à être écrit. Comme j'ai bizarrement écrit la fin avant, je savais exactement quoi faire pour y arrivé au bon moment.
Lunenoire : C'est même plus que dans la panade, et malheureusement, je ne donne pas la solution, car il en existe beaucoup, et je préfère que vous trouviez vous-même la meilleur suite.
Big Apple : J'espère que cette suite tout comme celles des autres fics va te plaire.
Kyzara : C'est vrai c'est triste. Cela va se régler mais il va falloir du temps.
Cette fois, c'est la fin. Je suis à la fois content d'avoir terminer ma première fic, surtout que je ne savais pas si j'y arriverais non seulement à l'écrire mais aussi à la terminer.
J'espère que vous avez tous aimé ce dernier chapitre, qui comme je le souhaitais se termine d'une façon particulière car Harry est en fâcheuse position. Néanmoins, les choses commencent à s'arranger avec l'arrivé de Rémus. La suite, je vous la laisse imaginé.
Peut-être qu'un jour je m'y pencherai moi aussi, mais pour cela il va falloir attendre.
J'attends vos réactions à tous sur ce chapitre ainsi que sur l'ensemble de la fic. C'est rapide et c'est pour la dernière fois. Donc soyez généreux.
J'espère que vous avez passé un bon moment en la lisant, et espère que vous continuerez à lire les autres fics qui continuent.
Merci à tous.
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