Je vous remercie beaucoup pour vos rewiew et je suis contente que cela vous
plaise. Voici la suite :
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Merry, Frodon et Sam avaient trouvé un ingénieux système pour faire la vaisselle : Sam lavait, Frodon essuyait et Merry rangeait. Malgré tout, il y eut confusion quand Merry, voulant faire une blague à Sam, lui tendit un plat propre à laver. Après quelques minutes, Sam prit Merry à son propre jeu et lui donna une tape sur la tête. Mais soudain, tous les trois cessèrent ce qu'ils étaient en train de faire, alertés par un 'à l'aide' paniqué venant de la pièce à côté. Frodon accourut dans la salle à manger, suivi de Sam et de Merry. Lorsqu'ils virent le problème en question, tous trois éclatèrent de rire. Le pauvre visage de Pippin était rouge de confusion.
« Et bien, Pippin, tu as donné un nouveau sens à l'expression 'être ^pris la main dans le sac' ! Ou plutôt dans le bocal ! Ricana Merry. »
« Veux-tu bien arrêter de rire et venir m'aider ? S'indigna Pippin en continuant de tirer le bocal, sans succès. »
Finalement, Frodon arrête de rire et s'approcha de Pippin.
« Bon, voyons-voir. »
Il essaya tout ce que Pippin avait essayé avant lui, il tira, il poussa, rien n'y fit.
« Cette chose est vraiment coincée, dit Frodon. Que pourrions-nous faire ? »
« Pourquoi pas du beurre ? Suggéra Sam. »
« Bonne idée, Sam, approuva Frodon. »
Il se saisit du beurre posé sur la table, en préleva une louche et l'étala sur la main de Pippin et le rebord du bocal. Quand tout but bien graissé, Frodon commença à tirer. Pendant cinq bonnes minutes, les deux cousins tirèrent, poussèrent, secouèrent, mais peine perdue, le bocal ne voulait pas s'en aller.
« J'ai une idée ! S'écria Merry. »
Ce dernier s'en fut dans une autre pièce et revint bientôt avec un marteau.
« Mets ta main sur la table, Pippin, dit-il en posant son marteau sur la table. »
« Mais t'es dingue ! S'écria Pippin. Tu vas me broyer la main ! »
« Ne sois pas ridicule, Pippin, c'est tout juste une possibilité, tout ce que tu risques, c'est d'être un peu blessé par des éclats de verre, mais au moins, le bocal sera parti, dit Merry en riant et en s'approchant de Pippin qui courut se cacher derrière Sam. »
Frodon compris que l'idée de Merry ne rassurait pas le jeune Touque.
« Bon, Merry, vas ranger ce truc. Il y a certainement un autre moyen, dit-il en reprenant le marteau des mains de Merry. »
« Bah, c'était juste une idée, grommela l'autre. »
Tout le monde s'assit tranquillement pendant quelques minutes, excepté le pauvre Pippin qui se mit à errer dans le salon. Il était anxieux, embarrassé, et de plus en plus effrayé. Devrait-il passer le restant de ses jours avec ce bocal au poignet ?
« J'ai une idée ! S'écria Frodon. »
Les trois autres le regardaient, stupéfaits.
« Quelle est votre idée, Monsieur Frodon ? Demanda Sam. »
Pippin contemplait son aînée, plein d'espoir.
« Suivez-moi, ordonna Frodon en se dirigeant vers l'extérieur ».
Les autres le suivirent, impatients d'entendre son idée. Puis Frodon se rua à nouveau à l'intérieur pour aller chercher un baquet d'eau glacée. Quand il revint, il plaça la main de Pippin dans le baquet.
« Waouh ! C'est froid, Frodon, tu auras pu me prévenir ! »
« Calmes-toi, Pippin. Maintenant, laisses ta main dans le baquet pendant une heure, expliqua-t-il. Ensuite nous mettrons le bocal au soleil pour qu'il chauffe. Avec un peu de chance, le contraste de température ramollira le verre et nous pourrons sortir ta main facilement. »
« Eh, ça peut marcher ! Dit Merry, plein d'espoir. »
Sur ce, Frodon, Sam et Merry laissèrent Pippin assis au soleil, mouillant et séchant sa main successivement. Le jeune hobbit répéta l'opération pendant six heures consécutives. Finalement, les trois amis revinrent pour trouver Pippin debout avec son bocal dans le soleil. Il contemplait l'objet d'un air absent, comme si son esprit était vide.
« Que regardez-vous, Pippin ? Demanda Sam, surpris de l'expression atterrée du jeune Touque.
« Le champignon est toujours dans le bocal et j'ai faim ! Répondit Pippin d'une voix lamentable. »
Frodon se mit à rire et s'approcha de Pippin.
« Bon. Voyons si l'expérience a fonctionné. »
Frodon et Pippin se firent face et Frodon commença à tirer et à tourner le bocal. Cinq minutes plus tard, rien de nouveau ne s'était produit. Les quatres hobbits se lamentèrent sur l'échec du plan. Et Pippin devenait hystérique. Il faisait sombre à présent et tout le monde était fatigué et affamé.
« Et bien, Pippin, je pense que tu vas devoir dormir avec ce bocal, dit sombrement Merry. »
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C'est tout pour aujourd'hui ! Et oui, je sis sadique, vous ne me connaissiez pas sous ce jour hein ?^^ Mais non, je suis très, très gentille, mais si vous voulez la suite, venez donc mettre une rewiew !^^
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Merry, Frodon et Sam avaient trouvé un ingénieux système pour faire la vaisselle : Sam lavait, Frodon essuyait et Merry rangeait. Malgré tout, il y eut confusion quand Merry, voulant faire une blague à Sam, lui tendit un plat propre à laver. Après quelques minutes, Sam prit Merry à son propre jeu et lui donna une tape sur la tête. Mais soudain, tous les trois cessèrent ce qu'ils étaient en train de faire, alertés par un 'à l'aide' paniqué venant de la pièce à côté. Frodon accourut dans la salle à manger, suivi de Sam et de Merry. Lorsqu'ils virent le problème en question, tous trois éclatèrent de rire. Le pauvre visage de Pippin était rouge de confusion.
« Et bien, Pippin, tu as donné un nouveau sens à l'expression 'être ^pris la main dans le sac' ! Ou plutôt dans le bocal ! Ricana Merry. »
« Veux-tu bien arrêter de rire et venir m'aider ? S'indigna Pippin en continuant de tirer le bocal, sans succès. »
Finalement, Frodon arrête de rire et s'approcha de Pippin.
« Bon, voyons-voir. »
Il essaya tout ce que Pippin avait essayé avant lui, il tira, il poussa, rien n'y fit.
« Cette chose est vraiment coincée, dit Frodon. Que pourrions-nous faire ? »
« Pourquoi pas du beurre ? Suggéra Sam. »
« Bonne idée, Sam, approuva Frodon. »
Il se saisit du beurre posé sur la table, en préleva une louche et l'étala sur la main de Pippin et le rebord du bocal. Quand tout but bien graissé, Frodon commença à tirer. Pendant cinq bonnes minutes, les deux cousins tirèrent, poussèrent, secouèrent, mais peine perdue, le bocal ne voulait pas s'en aller.
« J'ai une idée ! S'écria Merry. »
Ce dernier s'en fut dans une autre pièce et revint bientôt avec un marteau.
« Mets ta main sur la table, Pippin, dit-il en posant son marteau sur la table. »
« Mais t'es dingue ! S'écria Pippin. Tu vas me broyer la main ! »
« Ne sois pas ridicule, Pippin, c'est tout juste une possibilité, tout ce que tu risques, c'est d'être un peu blessé par des éclats de verre, mais au moins, le bocal sera parti, dit Merry en riant et en s'approchant de Pippin qui courut se cacher derrière Sam. »
Frodon compris que l'idée de Merry ne rassurait pas le jeune Touque.
« Bon, Merry, vas ranger ce truc. Il y a certainement un autre moyen, dit-il en reprenant le marteau des mains de Merry. »
« Bah, c'était juste une idée, grommela l'autre. »
Tout le monde s'assit tranquillement pendant quelques minutes, excepté le pauvre Pippin qui se mit à errer dans le salon. Il était anxieux, embarrassé, et de plus en plus effrayé. Devrait-il passer le restant de ses jours avec ce bocal au poignet ?
« J'ai une idée ! S'écria Frodon. »
Les trois autres le regardaient, stupéfaits.
« Quelle est votre idée, Monsieur Frodon ? Demanda Sam. »
Pippin contemplait son aînée, plein d'espoir.
« Suivez-moi, ordonna Frodon en se dirigeant vers l'extérieur ».
Les autres le suivirent, impatients d'entendre son idée. Puis Frodon se rua à nouveau à l'intérieur pour aller chercher un baquet d'eau glacée. Quand il revint, il plaça la main de Pippin dans le baquet.
« Waouh ! C'est froid, Frodon, tu auras pu me prévenir ! »
« Calmes-toi, Pippin. Maintenant, laisses ta main dans le baquet pendant une heure, expliqua-t-il. Ensuite nous mettrons le bocal au soleil pour qu'il chauffe. Avec un peu de chance, le contraste de température ramollira le verre et nous pourrons sortir ta main facilement. »
« Eh, ça peut marcher ! Dit Merry, plein d'espoir. »
Sur ce, Frodon, Sam et Merry laissèrent Pippin assis au soleil, mouillant et séchant sa main successivement. Le jeune hobbit répéta l'opération pendant six heures consécutives. Finalement, les trois amis revinrent pour trouver Pippin debout avec son bocal dans le soleil. Il contemplait l'objet d'un air absent, comme si son esprit était vide.
« Que regardez-vous, Pippin ? Demanda Sam, surpris de l'expression atterrée du jeune Touque.
« Le champignon est toujours dans le bocal et j'ai faim ! Répondit Pippin d'une voix lamentable. »
Frodon se mit à rire et s'approcha de Pippin.
« Bon. Voyons si l'expérience a fonctionné. »
Frodon et Pippin se firent face et Frodon commença à tirer et à tourner le bocal. Cinq minutes plus tard, rien de nouveau ne s'était produit. Les quatres hobbits se lamentèrent sur l'échec du plan. Et Pippin devenait hystérique. Il faisait sombre à présent et tout le monde était fatigué et affamé.
« Et bien, Pippin, je pense que tu vas devoir dormir avec ce bocal, dit sombrement Merry. »
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C'est tout pour aujourd'hui ! Et oui, je sis sadique, vous ne me connaissiez pas sous ce jour hein ?^^ Mais non, je suis très, très gentille, mais si vous voulez la suite, venez donc mettre une rewiew !^^